Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 12 septembre 2013

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Rappel : Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, qui vient d'être certifiée ISO 9001 par l'AFNOR le mois dernier, sont à disposition des journalistes pour livrer leur regard, témoignage, ou expertise ... pour les sujets liés à la santé ou à la protection sociale.

 

La MGEFI en faits et chiffres

■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

■ Un réseau de 800 militants.

■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *

■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

www.mgefi.fr

 

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vendredi 6 septembre 2013

L'Observatoire de l'Agisme fixe sa feuille de route


à l’occasion de son Assemblée générale

Créé en 2008, l’Observatoire de l’âgisme est un collectif rassemblant associations, médias, chercheurs, personnalités..., désireux de réfléchir aux discriminations liées à l’âge (âgisme) afin de mieux lutter contre. A l'occasion de son Assemblée générale du 3 juillet 2013, l'Observatoire n’a pu que constater la permanence des discriminations et stéréotypes âgistes et s'est donc fixé un ambitieux cadre de travail.

 

Cette réunion de l’Assemblée générale fut l’occasion pour l’Observatoire d’évoquer les sujets d’actualité, notamment autour du débat de la limite d’âge en ce qui concerne la conduite automobile. L’Observatoire rappelle que la dangerosité d’un conducteur n’est pas liée à son âge mais à certaines situations particulières (maladies, prises de substances, alcool, effets de certains médicaments, etc.). Bien que les jeunes conducteurs provoquent plus d’accidents que les vieux, ce sont uniquement à ces derniers que certains voudraient imposer un examen au-delà d’un certain âge. L’Observatoire rappelle que si un tel examen a un intérêt (non prouvé par les études), il doit être passé quel que soit l’âge du conducteur.

DENONCER ET INFORMER…

L’Observatoire a vocation à regarder et analyser toutes les discriminations liées à l’âge, envers les plus vieux comme envers les plus jeunes. Les préjugés et stéréotypes liés à l’âge sont nombreux et sont fortement ancrés dans les consciences collectives : les jeunes seraient passifs, non-motivés, voire violents.. Les vieux seraient oisifs et égoïstes, avant de devenir malades et « dépendants » ! Voilà le type d’idées reçues que souhaite dénoncer l’observatoire.

 

... SUR DES SUJETS DE SOCIETE...

Outre la thématique de la conduite automobile, l’Observatoire de l’Agisme souhaite traiter divers sujets :
Age et emploi :
qu’il s’agisse de la question du maintien dans l’emploi des seniors ou de l’accès à l’emploi des plus jeunes, les discriminations liées à l’âge sont nombreuses en ce domaine. L’Observatoire rappelle que ne pas employer les uns ne permet pas plus d’employer les autres… et qu’il est essentiel de travailler au contraire sur ce qui permet, en termes de formation continue comme de transmission d’expérience, de relier entre elles les différentes générations.

Age et accès aux soins : l’accès aux soins demeure un enjeu de société majeur. Pourtant, en raison de la situation, notamment économique, de certains jeunes, en raison de la prise en compte de l’âge par les mutuelles, en raison d’un dispositif uniquement destiné aux personnes handicapées de plus de 60 ans, de il existe de très fortes inégalités liées à l’âge dans l’accès aux soins. L’Observatoire entend lutter afin que l’âge d’une personne malade et/ou handicapée ne soit jamais un critère d’un moindre accès à des soins de qualité.

Age et médias : l’analyse des images utilisées par les médias au sujet de la vieillesse et de la jeunesse montre qu’elles transmettent de nombreuses idées reçues. L’Observatoire souhaite proposer aux médias des éléments d’analyse et des ressources pour contribuer à donner des différentes âges de la vie des visions plus nuancées et plus proches de la réalité d’un pays où l’on constate que les générations s’entraident bien plus qu’elles ne s’opposent.

 

Retrouvez l'interview de Florence Leduc,
nouvelle présidente de l'observatoire de l'agisme

 

Pour en savoir plus sur l'Observatoire de l'Agisme : www.agisme.fr
Contact : contact@agisme.fr

mardi 25 juin 2013

PREMIER OBSERVATOIRE EUROPEEN SUR L’AUTOMEDICATION :


Une initiative inédite pour rendre compte de la situation francaise dans l’Europe de l’automédication

L’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication responsable) vient de rendre public le premier observatoire européen sur l’automédication, réalisé par Celtipharm.[1] Cette étude totalement inédite s’intéresse à huit pays européens (EU8 : Allemagne, Belgique, Espagne, France, Italie, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède) et compare différents indicateurs pour rendre compte de la situation française de l’automédication au regard des autres pays européens étudiés.

Une démarche novatrice et originale

L’observatoire européen sur l’automédication est une initiative nouvelle et fondatrice en Europe. Elle répond à la volonté de l’Afipa de développer une approche comparative à même de traduire au fur et à mesure des années les évolutions du marché français au regard des autres pays européens considérés. Les données de cette étude sont issues des informations fournies par l’Association européenne des spécialités grand public (AESGP) et les associations représentatives des industries de l’automédication dans les huit pays européens analysés. Les définitions de l’automédication n’étant pas identiques d’un pays à un autre, le périmètre considéré dans le cadre de l’observatoire a été défini de manière rigoureuse et répond à la diversité des situations observées au niveau européen.[2]

Un développement de l’automédication en France inférieur à la moyenne européenne

L’observatoire montre ainsi que la part de marché en volume de l’automédication en France reste inférieure à la moyenne des 8 pays étudiés (15,9% en France vs. 23,3% en Europe). La dépense moyenne annuelle en produits d’automédication par habitant suit également la même logique puisque celle-ci s’élève à 34,5 euros pour la France pour une moyenne européenne[3] légèrement supérieure à 39 euros.

Une situation indépendante du niveau des prix des spécialités d’automédication en France

Ces résultats interviennent alors même que le niveau des prix est relativement faible au regard des autres pays européens. Le prix moyen d’une spécialité en automédication atteint ainsi 4,5 euros en France contre 5.2 euros aux Pays-Bas ou 6 euros en Espagne (pour une moyenne de 5,2 euros dans l’ensemble des 8 pays concernés par l’analyse). De même, l’observatoire démontre que pour des spécialités de même présentation et de même posologie dans chacun des 8 pays, le prix en unité de prise est en général le plus bas en France.

 

Un potentiel de délistage encore important en France

Si 95 molécules sont actuellement commercialisées en automédication en France, un chiffre proche de la moyenne calculée pour les 8 pays européens (94), il existe encore un potentiel de développement important de l’automédication en France au vu des principes actifs déjà délistés dans au moins un des pays EU8 hors-France. Sur cette base d’analyse, l’observatoire conclut en effet que 53 molécules actuellement commercialisées en France seraient potentiellement éligibles pour une utilisation en automédication.

Un rattrapage progressif de la France sur la moyenne européenne ?

D’après cet observatoire, une consultation chez le médecin généraliste en France donne lieu dans 74% des cas à une prescription, soit le taux le plus élevé après la Belgique (80%). Pour Pascal Brossard, Président de l’Afipa : « le retard français en matière d’automédication s’explique donc notamment par l’organisation du système de soins et le recours encore trop fréquent au médecin généraliste pour les pathologies mineures. Avec le problème de la démographie médicale, les perspectives pour l’automédication sont cependant encourageantes et le marché français devrait connaitre une évolution positive pour s’aligner progressivement sur la moyenne européenne. Pour atteindre cet objectif, il faudra par contre garantir une offre adaptée et suffisante de médicaments d’automédication avec notamment une politique de délistage plus volontariste, une meilleure information des patients et un renforcement de la formation des professionnels de santé. »

 

 

L’AFIPA, acteur de Santé Publique, est l’association professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication dont les membres sont :
 
ABBOTT, ALMIRALL, BAYER SANTE FAMILIALE, BOEHRINGER INGELHEIM, BOIRON, BOUCHARA-RECORDATI, BRISTOL MYERS SQUIBB – UPSA CONSEIL, DERMOPHIL INDIEN, DIEPHARMEX, EXPANSCIENCE, GALDERMA, GENEVRIER, GIFRER BARBEZAT, GSK SGP, HEPATOUM, JOHNSON&JOHNSON SBF, LABCATAL, LEHNING, MAYOLI SPINDLER, MERCK MEDICATION FAMILIALE, NEGMA LERADS, NOVARTIS SANTE FAMILIALE, NUTRITION ET SANTE, OMEGA PHARMA, PFIZER SANTE FAMILIALE, PROCTER & GAMBLE PHARMACEUTICALS FR, RECKITT BENCKISER, ROTTAPHARM MADAUS, SANOFI-AVENTIS FRANCE, SEMES S.A, TONIPHARM, URGO, WELEDA, ZAMBON FRANCE.
 
 
L’automédication consiste pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés, accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation indiquées (définition OMS 2000), avec le conseil du pharmacien.

 


[1] Définition du marché source Afipa et Celtipharm : tous les médicaments  de prescription médicale facultative, remboursables ou non, vendus sans ordonnance avec le conseil du pharmacien.
[2] Les données et analyses ont par ailleurs été validées par un Comité scientifique composé d’économistes de la santé et de pharmaciens d’officines
[3] Moyenne des 8 pays européens étudiés

jeudi 2 mai 2013

Observatoire Français des Retraites – 11ème édition




 
Union Mutualiste Retraite / Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI

 

Les Français n’ont jamais été aussi inquiets pour leur retraite  et continuent à réclamer une réforme en profondeur, dans un climat de méfiance à l’égard du gouvernement pour la mener à bien.

 

- Les Français, n’ont jamais été aussi inquiets sur le montant de leur retraite, mais n’épargnent pas pour autant davantage dans cette optique,

 

- Ils continuent à souhaiter une réforme en profondeur, tout en méconnaissant certaines options comme la retraite par points,

 

- Ils sont davantage prêts à accepter un allongement de la durée de cotisation qu’une mise à contribution des retraités,

 

A la veille de la remise des conclusions de la Commission pour l’avenir des retraites prévue à la mi-juin prochain, la onzième édition de l’Observatoire des retraites UMR-Corem / Liaisons Sociales Magazine / Ipsos (1) fait le point sur l’état d’esprit des Français sur le sujet.

 

Sont-ils toujours aussi pessimistes ? Leur inquiétude influe-t-elle sur leur intention d’épargne ? Quelle réforme souhaitent-ils vraiment ?

 

Des données qui éclairent l’ouverture prochaine de la Conférence Sociale de juillet qui doit mettre sur la table tous les scenarii possibles avant l’été et ouvrir la concertation avec les partenaires sociaux à l’automne.

 

A paraître dans Liaisons Sociales Magazine du lundi 6 mai 2013

 

Les Français, n’ont jamais été aussi inquiets sur le montant de leur retraite (80% : +4),

Ce pessimisme croissant concernant le montant des pensions est commun à toutes les tranches de la population : chez les femmes (83% : +2), les personnes âgées de 35 à 44 ans (92% :+3) et les actifs occupés (86% : +3). Les retraités demeurent moins fatalistes que le reste de la population mais eux aussi sont gagnés par une inquiétude grandissante (68% ; +5), la désindexation des retraites complémentaires de l’inflation décidée par les partenaires sociaux pouvant expliquer cet état d’esprit.

En dehors des questions financières, les Français se montrent par ailleurs majoritairement préoccupés par leur santé et leur accès aux soins (57% ; -1), et leur capacité à vivre de façon indépendante (58% ; +1). La question de la dépendance, si elle apparaît moins prégnante aux yeux des Français dans le contexte actuel, demeure donc toujours présente à l’esprit des interviewés.

 

 (1) Enquête réalisée par téléphone les 12 et 13 avril 2013 auprès dun échantillon national représentatif de 1019 personnes âgées de 15 ans et plus.

 

…Ils n’ont pas changé pour autant leur comportement d’épargne en vue de la retraite, par manque de moyens.

 

Un Français sur deux (49% = avril 2011) déclare avoir épargné en vue de sa retraite. 26% le font régulièrement et 23% de façon irrégulière. A l’inverse, 48% ne l’ont pas fait, dont 12% qui n’ont pas l’intention de le faire. A noter qu’au printemps 2009, avant la réforme de 2010, l’écart entre le taux d’épargnants et de non épargnants était de 9 points (53%- 44%).

Ceux qui n’épargnent pas pour leur retraite (mais qui ne sont pas opposés à l’idée) invoquent essentiellement le manque de moyens (80%). Cette raison arrive loin devant toutes les autres, qu’il s’agisse du manque d’information (32%), de la peur de perdre ses économies du fait de l’instabilité des marchés (32%), du manque d’intérêt pour l’épargne retraite (26%) ou de la confiance accordée au système actuel par répartition (16%). On notera que le manque d’information est davantage mentionné par les jeunes (42%) et par les femmes (35% contre 29% des hommes).

 

Les Français continuent à souhaiter une réforme des retraites en profondeur…

En novembre 2012, 70% des français jugeaient nécessaire une nouvelle réforme des retraites dans les deux ans à venir. Un constat alors partagé par toutes les catégories de population, notamment les salariés du privé (72%) et les salariés du public (66%). Cette année l’interrogation porte sur l’ampleur de la réforme nécessaire ; de grandes lignes émergent :

Ø 63 % (+1) des interviewés continuent de plébisciter, comme en octobre 2012, la mise en oeuvre d’une réforme « en profondeur » du système de retraite en France, qui traiterait de l’ensemble des sujets, y compris les plus délicats (mode de calcul des pensions, harmonisation entre secteur public et secteur privé, nouveaux prélèvements sur les retraités…. Le souhait d’une réforme « en profondeur » du système de retraite est majoritaire dans la quasi-totalité des catégories de population, y compris chez les salariés du public (60%) et les sympathisants PS (65%).

Ø En ce qui concerne les différentes pistes testées dans cette enquête, aucune mesure ne suscite un assentiment majoritaire des interviewés en étant jugée nécessaire ET souhaitable. Mais les Français considèrent cependant majoritairement que certaines évolutions sont nécessaires :

- L’augmentation de la durée de cotisation pour 66% des Français. 38% jugent cette mesure nécessaire et souhaitable tandis que 28% estiment que c’est certes nécessaire, mais pas souhaitable. Ils ne sont que 31% à manifester leur franche opposition à cette option en indiquant qu’elle est ni nécessaire, ni souhaitable. Les sympathisants Front de gauche sont ceux que l’idée rebute le plus (58%).

- Le relèvement de l’âge de la retraite pour 61% des interviewés, dont 35% qui jugent cela souhaitable et 26% pas souhaitable. Seuls 36% considèrent que cette piste n’est ni nécessaire, ni souhaitable (50% des ouvriers et 56% des sympathisants Front de gauche).

- L’augmentation des cotisations retraites supportées par les salariés et les entreprises pour 63% des Français.

Ø En revanche les Français se montrent particulièrement réfractaires à la mise à contribution des retraités. 72% des interviewés jugent ni nécessaire ni souhaitable de les taxer davantage ou de diminuer le montant des pensions. L’idée de désindexer les pensions suscite également une opposition majoritaire (52%), mais dans une moindre mesure.

 

…out en méconnaissant certaines options comme la retraite par points

Les Français ont du mal à se positionner sur le passage à un régime par points. L’a priori est plutôt négatif : 24% jugent cette mesure nécessaire et souhaitable, 13% nécessaire mais pas souhaitable et 36% ni nécessaire ni souhaitable. Plus d’un quart des interviewés ne se prononce pas (27%), signe que ce régime est encore très mal connu des citoyens.

L’enquête a été réalisée dans le contexte particulier de « l’affaire Cahuzac », ce qui donne une tonalité particulière à la réponse sur la confiance accordée au gouvernement par les Français pour assurer l’avenir des retraites. Elle est aujourd’hui très limitée sur le sujet (24%) même si la principale mesure envisagée par ce dernier – l’allongement de la durée de cotisation – est celle qui semble la plus acceptée. Plus de trois Français sur quatre (76%) déclarent ne pas avoir confiance en lui sur ce sujet, dont 50% « pas du tout ». Cette défiance est majoritaire dans toutes les catégories de population, à l’exception des sympathisants PS dont une petite majorité continue de lui conférer un certain crédit dans le domaine (52%). La défiance des Français est nettement supérieure à celle exprimée à l’égard du gouvernement Fillon en mai 2010, avant le vote de la réforme portant l’âge de la retraite à 62 ans (64%).

 

L’Observatoire Français des retraites UMR /Liaisons Sociales Magazine / IPSOS-CGI, créé en 2006, interroge deux fois par an, depuis 2009, les Français sur toutes les questions touchant à la retraite, avec des focus par thèmes : épargne, santé et dépendance, réformes…

-- L’Union Mutualiste Retraite, (UMR) est l’union de composantes de la Mutualité Française. Créée en 2002 elle gère en particulier Corem et Corem co, la plus importante complémentaire retraite mutualiste par points, individuelle ou collective.

l’UMR compte 391 000 adhérents, dont 319 773 sociétaires pour Corem avec un réseau comprenant 124 partenaires, mutuelles et groupements de mutuelles, et plus de 615 points de vente. Elle gère 7,6 milliards d’€d’actifs dont 5,6 milliards pour le Corem.

- Liaisons Sociales Magazine est édité par le groupe Wolters Kluwer (wolterskluwerfrance.fr <http://www.wolterskluwerfrance.fr/>), l’un des premiers acteurs mondiaux de l’édition et de l’information professionnelle. Le chiffre d’affaires en 2012 est de 3,6 milliards d’euros. Il emploie environ 19 000 personnes dans le monde et intervient dans plus de 40 pays en Europe, en Amérique du Nord, en Asie-pacifique et en Amérique latine.

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Contacts presse :

Union Mutualiste Retraite: Agence Comm’On Michèle Gallard, , mgallard@comm-on.info

Liaisons Sociales Magazine : Jean Paul Coulange, rédacteur en chef : IPSOS-CGI : Christelle Craplet Amandine Lama :

 
NDLR : MGEFI ET RETRAITE

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