Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 18 novembre 2021

Institutions de prévoyance : le CTIP décide la création d'un comité des pratiques RSE

Institutions de prévoyance : le CTIP décide la création d'un comité des pratiques RSE | Miroir Social
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Institutions de prévoyance : le CTIP décide la création d'un comité des pratiques RSE

A l’occasion de la COP26, le CTIP, porte-parole des institutions de prévoyance (IP), fait le point sur l’engagement de ses adhérents en matière d’investissements responsables.  Dans un communiqué de fin de semaine dernière, le CTIP rappelle que  comme  qu’investisseurs institutionnels, les IP sont clairement engagées et gèrent plus de 80 % de leurs actifs en investissements responsables, soit 160 milliards d’euros.  Cette part a doublé depuis les Accords de Paris en 2015.  Le CTIP décide de renforcer sa démarche et crée un Comité des pratiques RSE avec pour objectif de diffuser et d’enrichir les bonnes pratiques en la matière.

 

« Le changement climatique est un enjeu majeur qui nécessite l’engagement de tous les acteurs de la vie économique et sociale », estime Denis Laplane, président du CTIP. « Lorsqu’en amont de la COP26, nous avons passé en revue tout ce qui avait été développé par les IP en la matière, nous avons constaté de réelles réussites. Le Comité des pratiques RSE s’est donc tout naturellement imposé à nous pour capitaliser sur ces aspects positifs et les partager largement avec nos clients que sont les entreprises et les salariés ». Avec la création de ce Comité, « les IP s’affirment comme des acteurs majeurs d’une protection sociale durable », ajoute Dominique Bertrand, le vice-président du CTIP.

 

Plus de 80% des investissements sont responsables

 

Une étude menée pour le CTIP auprès de ses membres à l’été 2021 a révélé que l’Investissement Responsable était très majoritaire dans les IP. En effet, dès le début des années 2000, la plupart d’entre elles, sous l’impulsion de leur gouvernance paritaire, ont commencé à réorienter leurs investissements vers des valeurs respectueuses de l’environnement et des droits sociaux et humains. Aujourd’hui, les trois quarts utilisent des indicateurs de suivi extra-financiers de leurs actifs, et plusieurs ont déjà atteint 100% d’investissements responsables.

 

Ainsi, au 30 juin 2021, les IP géraient 160 milliards d’euros d’investissements responsables, soit 83% de leurs investissements en prévoyance, santé et épargne retraite. Elles s’appuient pour cela sur leurs gestionnaires d’actifs, sur le recours aux différents labels de place (ISR, Greenfin ou Finansol) ou font appel aux agences de notation comme Vigéo afin d’évaluer de façon documentée les choix possibles. Enfin, la majorité des IP s’inscrivent dans une logique de désengagement assumé des industries qui ne contribuent pas à la transition écologique.

 

Des formes d’engagement multiples

 

L’engagement des IP ne se limite pas à ce volet financier. Dédiées au monde de l’entreprise et des branches professionnelles, elles accompagnent leurs adhérents dans leurs propres politiques RSE, au travers d’actions dans le domaine du développement durable, de la santé, de la qualité de vie au travail, de la réinsertion professionnelle, ou encore de la lutte contre le gaspillage alimentaire ou le mal logement.

 

Les IP mènent également leurs propres démarches en matière d’engagement sociétal : soutien à la recherche, appui aux associations, créations de fondations, etc. « Les IP ont longtemps fait de la RSE sans le savoir », résume Denis Laplane, qui précise : « La dimension environnementale avec l’émergence du développement durable leur a permis de mieux cibler et organiser leurs actions en cohérence avec les 17 objectifs du Plan de l’ONU en faveur du développement durable. ».

 

 Un comité RSE..pour quoi faire 

 

Le Comité en charge des pratiques RSE est ouvert, sur la base du volontariat, à toutes les IP. Son objectif est d’être un lieu d’échange pour formaliser des axes communs d’actions et enrichir les démarches actuelles. Sont ainsi envisagés, dans un premier temps, un travail sur l’alignement des pratiques avec les récentes orientations fixées par l’Union européenne ainsi que la rédaction d’un guide des bonnes pratiques à destination des entreprises adhérentes.

 

Ce nouveau Comité est présidé par Frédéric Olivennes, Directeur général d’Audiens, le groupe de protection sociale des médias et de la culture : « Au-delà de la poursuite du recensement des bonnes pratiques, nous voulons nous orienter vers un socle commun pour progresser en matière de RSE. Nous le devons à nos entreprises adhérentes, à nos salariés et surtout aux générations futures », souligne Frédéric Olivennes.

Un grand merci à Jacky Lesueur pour l'autorisation de reprise de son article publié sur Miroir social.

vendredi 12 novembre 2021

A lire sur "Miroir social" aujourd'hui...

La rédaction de "Mine d'Infos" vous recommande la lecture de "Miroir social".

    
MIROIR SOCIALE 
Un site d'informations à connaître et faire connaître... Pour en savoir plus:

Faites comme moi publiez sur Miroir social:
https://www.miroirsocial.com/participatif/reforme-de-la-psc-dans-la-fonction-publique-revolution-sur-ordonnances

Bon week-end à tous 
Nora Ansell-Salles 

mardi 2 novembre 2021

Tribune libre : Jacky Lesueur


La réforme de la protection sociale complémentaire  des fonctionnaires va-t-elle laisser les retraités de côté ?... vrai sujet... entre autres !

Une réforme qui suscite   de plus en plus d'interrogations et d'inquiétudes  !

Après tant d’années de politiques d’austérité́, tant en matière salariale et  sur les déroulements de carrière que sur les emplois et les moyens , avec les inévitables conséquences sur  leurs conditions de vie au  travail , le gouvernement paraissait  vouloir se  préoccuper -enfin - de la protection sociale complémentaire des agents publics prévue par l'article 22bis du Statut Général de la Fonction Publique depuis la loi du 2 février 2007, que l'ordonnance du 17 février 2021, article 1, vient de modifier.!

En effet depuis quelques mois, chacun a pu acter avec intérêt les annonces  de la Ministre de la Fonction Publique, sur sa volonté d'améliorer la participation financière des employeurs publics (actuellement dérisoire comme l'a rappelé régulièrement la Mutualité Fonction Publique) à la couverture sociale complémentaire des fonctionnaires.

Mais comme souvent, au-delà des déclarations de principes et des généralités, le diable se cache souvent dans les détails...et depuis la publication de l'ordonnance en février dernier sur le sujet et les premières rencontres avec les organisations syndicales pour sa mise en œuvre, les interrogations et les inquiétudes s'expriment de plus en plus, tant dans le monde syndical que mutualiste sur les orientations gouvernementales qui se précisent.

La    présentation de la "feuille de route" aux fédérations syndicales et la finalisation de accord de méthode préalable  à un accord cadre sur la PSC des agents publics, confirme bien la complexité du dossier sans lever les sérieux doutes que l'on peut légitimement avoir en l'état actuel des choses !

Les réactions se multiplient sur de nombreux aspects de la réforme

Effectivement, nombreux  sont ceux qui se sont exprimés sur le sujet ,  que ce soit la Mutualité Fonction Publique, le CRAPS (Cercle de recherche et d'analyse sur la protection sociale) avec  sa dernière publication sur "Les mutuelles, les syndicats et l’État dans la protection sociale complémentaire des agents de l’État", ... entre autres....

En fait, au fil des semaines, les plus vives critiques s'expriment  sur les orientations de la réforme de l’aide à la complémentaire santé dans les trois Fonctions Publiques et particulièrement dans la Fonction Publique d'État, et notamment sur  la possibilité d’imposer un contrat collectif à adhésion obligatoire allant à  l'encontre:

 de la liberté des agents, qui ont toujours eu la possibilité de choisir l’organisme complémentaire santé et prévoyance qui leur convient,

-   des libertés mutualistes, par lesquelles les agents de l’État en très grand nombre ont créé et continuent de faire vivre leurs Mutuelles,  qu’ils gèrent à égalité de pouvoir, et dans un esprit de fraternité favorable à la prise en compte des situations individuelles et des difficultés exceptionnelles, avec le risque majeur de conduire à une couverture sociale moins solidaire, moins protectrice, voire plus chère surtout pour les retraités  laissés  à l’extérieur du dispositif...à l'image de ce qui s'est passé dans le secteur privé avec la "généralisation de la complémentaire santé " en 2016, ouvrant de fait la porte aux comportements prédateurs des assurances du secteur concurrentiel et des courtiers.

La Mutualité Fonction Publique (MFP)   et les fédérations syndicales de fonctionnaires  posent leurs conditions pour une véritable protection sociale complémentaire.

La  MFP ( l'union de 20 mutuelles de la fonction publique)  et l'ensemble des organisations syndicales de la fonction publique (FO, FSU, UNSA, CFDT,CGT, Solidaires, CGC, CFTC, FA-FP) ) ont tenu à rappeler depuis des mois leurs exigences  pour une politique ambitieuse en matière de protection sociale complémentaire des agents publics ... rappelant  leur attachement à un système social plus juste et plus solidaire.

Si elles défendent avant tout, elles aussi,  un régime d’assurance maladie obligatoire de haut niveau qu'elles considèrent incontournable pour une véritable solidarité nationale, elles souhaitent vivement que la réforme projetée se traduise par:

-  Une couverture mutualisant toutes les catégories d’agents actifs et retraités ( la préservation des solidarités intergénérationnelles mises en place depuis 75 ans , indiciaire et familiale,  protections indispensables contre les situations de précarité, étant essentielle)

- Une adhésion libre permettant à chacun de pouvoir choisir la couverture complémentaire convenant le mieux à leurs besoins.

- Une couverture globale complète intégrant la prise en charge des risques courts et des risques longs, en complément des garanties statutaires : frais de santé, incapacité temporaire de travail, invalidité, décès et perte d’autonomie. Pour tenir compte des spécificités existantes, cette couverture devra  être  négociée dans les conditions propres à chaque versant.

-  Une participation financière des employeurs publics significative et suffisamment incitative.

-   Un renforcement du poids des critères solidaires dans l’appréciation et le choix des opérateurs complémentaires retenus pour couvrir les agents actifs et retraités.

C’est, à l'évidence, un point qu’il ne sera pas possible d’occulter au regard de ce qui se passe actuellement dans le secteur privé où , seuls, les retraités sont contraints de  payer  des cotisations souvent élevées pour pouvoir accéder à des garanties complémentaires suffisamment protectrices.

Une nécessité: se faire entendre et peser sur la teneur de cette réforme!

Sur la base de ces propositions partagées , les organisations syndicales et la MFP entendent bien poursuivre leur action dans la période de discussions qui est désormais engagée pour la mise en œuvre de la réforme, car pour elles, bon nombre de points   restent à éclaircir, parmi lesquels, et non des moindres , celui concernant l’incitation vers la mise en œuvre de contrats collectifs obligatoires réservés aux seuls actifs qui  peut constituer une grave atteinte au modèle de protection sociale dont les agents bénéficient actuellement, modèle élaboré sur la mutualisation des risques et des individus (actifs et retraités).

En alertant sur  les conséquences de la mise en œuvre de tels contrats pour les plus âgés, c'est bien l’accès à la santé et à la prévoyance de millions de retraités qui est aussi en jeu dans cette réforme.

Les retraités font face à des coûts parfois très conséquents résultant d'une tarification majoritairement liée à l'âge. La situation est particulièrement difficile pour les personnes dont les revenus dépassent de peu le plafond de la CSG.

Ainsi la contribution financière des retraités aux complémentaires santé est particulièrement élevée à proportion de leurs revenus et sont plus exposés que les autres classes d'âge aux restes à charge élevés " relève la Cour des Comptes dans son rapport de juin 2021.

De fait , après intervention de leur complémentaire santé,  celui ci est une à trois fois plus élevé que celui des plus jeunes. Les dépenses santé pèsent lourdement dans le budget des retraités d'autant que la pension moyenne, en France s'élevait en 2019 à 1 393 Euros (**) et que les revalorisations ridicules des pensions sont inférieures à l'inflation qui repart actuellement fortement.

Si la mise en œuvre de mécanismes de solidarité qui est une volonté mutualiste forte, ne se met pas en oeuvre le montant des cotisations risquerait vite de devenir inaccessible à nombre de retraités.

 Il n'est peut-être pas inutile de rappeler  que seule la solidarité intergénérationnelle permet de plafonner significativement les cotisations des retraités.

En l'état,   la réforme:

-  porte bien  en germe une véritable régression des droits dont les agents bénéficient actuellement, notamment dans la fonction publique d’État (niveau des garanties de santé et de prévoyance réduit, couplage non systématique des deux garanties, risque dépendance non retenu etc.).

- et , au-delà de la couverture complémentaire de santé et de prévoyance, l’ordonnance occulte toute la dimension d’accompagnement global des individus (actions sociales adaptées aux besoins sociaux des actifs et des retraités, santé au travail et prévention ciblée sur les risques du métier public).

Dans ce contexte, on peut se poser nombre de questions:

Pourquoi vouloir élaborer de nouveaux dispositifs de protection sociale complémentaire qui seront finalement moins-disant que ceux volontairement proposés et élaborés depuis des décennies sur la base d’un modèle mutualiste global et solidaire ?

Comment sera finalement traité le sort des retraités?... quand on voit déjà, que le projet de décret soumis fin juin au Conseil Supérieur de la Fonction Publique de l'Etat pour la mise en place du dispositif transitoire de la participation financière  de  l'Etat au 1er janvier 2022 les écarte clairement du dispositif...! Les exclure serait une grave erreur politique et sociale. Non !  les retraités ne sont pas une classe protégée des aléas économiques et des crises. Doit-on rappeler le lourd tribu payé à celle du Covid ?

Ce  projet de décret, déconnecté des négociations à venir ces prochains mois , comporte en fait trois critiques importantes :

•                     La participation  forfaitaire de l'Etat employeur de 15 euros bruts par mois reste finalement très faible. ( la question de sa fiscalisation restant posée )

•                     Les différentes réunions préalables au CSFPE ne permettent pas clairement de comprendre si ce nouveau « droit » est accompagné d’un financement nouveau, supplémentaire et  véritablement  fléché dans le PLF 2022,

•                     Enfin, ce montant forfaitaire versé exclusivement aux actifs mais excluant les pensionnés et retraités soulève bien  de nombreuses inquiétudes sur la manière d’organiser et de financer la solidarité intergénérationnelle dans le cadre de la négociation à venir.

Et maintenant?

La DGAFP a précisé fin juin aux organisations syndicales le calendrier et le programme de travail pour les mois à venir sur le régime "cible"...

Un calendrier "volontariste annoncé....:

·         7 septembre 2021 > Risque santé (Panier de soins + prévention)

·         21 septembre 2021 > Dispositifs de solidarité (Solidarités intergénérationnelles et familiales)

·         5 et 19 octobre 2021 > Risque prévoyance (couverture statutaire + capital décès ; couverture complémentaire + couplage des risques)

·         2 novembre 2021 > Modalités de financement et d’adhésion (participation employeurs + portabilité des droits + mécanismes d’affiliation + cas de dispense)

·         16 novembre 2021 > Procédure de sélection + cahier des charges (critères de sélection + contenu minimal + contrats collectifs et contrats individuels)

·         30 novembre 2021 > Cadre de la négociation et suivi des contrats (modalité des négociations + Comité de pilotage et de suivi).       

En l'état , les choses ont finalement peu avancé...bon nombre de sujets d'importance  prévus pour la rentrée n'ont toujours pas véritablement été évoqués, et la dernière réunion du 13 octobre  avec les fédérations syndicales de

fonctionnaires essentiellement consacrée  à la présentation des scénario proposés par le Gouvernement sur l'articulation des niveaux de négociations et des accords( collectifs?)  pouvant en  découler ne font que conforter nos inquiétudes...         

·         Tout reste possible, le meilleur, peut-être,  comme le pire hélas!

L’objectif gouvernemental est d’aboutir à un 1er projet de décret pour la mi-décembre... pour une application au 1er janvier 2022 même si le référencement actuel court jusqu'en 2023 et ira à son terme...C'est dire..!

...c'est dire que les sujets ne manquent pas sur un sujet aussi complexe , et que la plus grande vigilance s'impose pour  veiller à ce que la construction des nouvelles dispositions en matière de PSC   se traduisent véritablement par des garanties les plus protectrices et les plus équitables, en s'attachant à expertiser toutes les solutions ouvertes par le gouvernement.

Les chemins à prendre pour atteindre ces  objectifs seront sûrement très différents entre les trois versants de la Fonction publique; aussi conviendra-t-il de  rester maîtres de notre liberté de choisir les dispositifs idoines pour qu’aucun agent, actif comme retraité, ne reste à l’écart d’une couverture protectrice tout au long de son parcours de vie.

A ce stade, le  champ des incertitudes et des craintes est encore très large… et il  ne s'agira pas  d’accepter un copier-coller du modèle imposé dans le secteur privé.

La  prudence devra  donc rester de mise pour en éviter les écueils  face aux effets dévastateurs à terme d’une réforme:

- qui serait  construite avant tout pour les actifs,

- qui n’a pas encore posé de solution pérenne pour les retraités qui exigent une PSC de même niveau que celle des actifs,

mais aussi face aux risques de segmentation des garanties santé et prévoyance, et à la faiblesse des niveaux de couverture couverts, en l’état actuel des textes, par  les futurs dispositifs cibles (ouvrant ainsi   la porte à des sur-complémentaires facultatives, entièrement financées par les seuls salariés qui en ont les moyens )

 …et sur laquelle  le manque de lisibilité des crédits qui seront alloués  à la PSC présente encore trop peu de garanties gouvernementales ...

.... autant d'éléments et d'arguments développés par la MFP dans un courrier adressé à  la Ministre de la Fonction Publique début juillet juillet , considérant qu'en l'état, le sort des retraités est de plus en flou et que des clarifications  s'imposent sans tarder  !

De leur côté, l'ensemble des fédération syndicale de fonctionnaires  ont tenu à  saisir  la Ministre fin juillet pour réitérer leurs demandes, notamment sur la question de l'organisation des solidarités entre actifs, retraités et ayants droits , et pour exiger des clarifications dès la rentrée avant d'aborder les différents groupes programmés.


               RENDEZ-VOUS

          SUR MIROIR SOCIAL

pour suivre les analyses de Jacky Lesueur :

https://www.miroirsocial.com/



En effet, le  renvoi de cette question majeure  à des réunions ultérieures ne peut que conduire légitimement à  s‘interroger sur les raisons de leur  exclusion  des dispositifs « cible ».


Nul doute que ces sujets particulièrement sensibles retiendront  toute l'attention dans les semaines et mois à venir....les attentes sont grandes depuis trop longtemps pour que les exigences exprimées ne soient pas largement prises en considération.

En cette rentrée 2021 restons vigilants par rapport aux évolutions de ce dossier, majeur et sensible, et  fermes sur nos revendications.

Le cas échéant il faudra nous mobiliser avec nos organisations. Les retraités savent être actifs.

         🚨RAPPEL
✒ Les propos tenus dans la rubrique  "Tribune libre" n'engagent que leur signataire.
N'hésitez pas à réagir en publiant un commentaire.
La rédaction de Mine d'infos

 

 

 

 

 



mardi 6 juillet 2021

lundi 24 mai 2021

Miroir social : miroir de société...

Présentation Miroir social pour Mines d'Infos

par Jacky Lesueur responsable des partenariats Miroir Social (*)

 

Pouvez vous en qq mots nous présenter Miroir Social, et son approche du traitement de  l'actualité sociale?

Miroir Social est un site d'information affilié au SPIIL (syndicat de la presse indépendante d'information en ligne)  qui a vu le jour en 2007 et qui s'est développé avec le soutien de plusieurs acteurs de l'ESS sur la base d'une approche éditoriale "double face " :

●        participatif , pour permettre à l'ensemble des membres de publier gratuitement des informations dans toute leur diversité.

●        journalistique, pour développer des contenus complémentaires sur abonnement

 

En termes d'informations, quels sont les principaux sujets traités ?

Les  actualités publiées par ses membres et les  contenus éditoriaux de ses journalistes reposent sur un réseau d'échange qui compte plus de 14.000 membres de tous les horizons. (Représentants des directions des ressources humaines, des Institutions de prévoyance, du monde mutualiste ou associatif,   élus des institutions représentatives du personnel, responsables  syndicaux, cabinets de conseil , services juridiques et bien d’autres sont en fait  les rédacteurs des actualités du Miroir Social)

 

L'éventail des sujets ainsi abordés dans ce lieu d'échanges important  est donc  très  large : les conditions de travail, la protection sociale sous ses différents aspects , les rémunérations , l'égalité professionnelle,  le paritarisme,  la formation professionnelle  , l 'emploi, l'hygiène et la sécurité, la prévention,. ..

 

L'idée étant de pouvoir constituer une banque de données significative pour ses membres et mettre en relation directe l’ensemble des acteurs du dialogue social.

 

C’est ainsi  le sens des rencontres organisées par le média sous la forme de petits déjeuner (le Café social) avant la pandémie et en ligne depuis. Les sujets ? Nous nous efforçons de proposer des thèmes raccordés aux problématiques qui remontent des publications des membres et de notre travail de veille journalistique.

Vous pouvez regardez les rediffusion de nos 23 derniers directs sur ce lien 

https://app.livestorm.co/miroirsocial


Quel est le profil actuellement de votre réseau et le public concerné?


Sur les 14.000 membres du média: 

●   42 % représentent le personnel

●   35 % représentent les directions

●   23 % représentent des intervenants externe

 

Miroir Social propose des services d’accompagnement éditoriaux aux entreprises qui recherchent un regard distancié pour produire une information structurée qui intègre des objectifs de communication.

(*) pour en savoir plus

https://www.miroirsocial.com/

 

vendredi 23 septembre 2016

Best-of du 23 septembre 2016

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 L'Image de la semaine

Christian PASQUETTI, DG de la MGEFI accorde une interview exclusive à Miroir social
Beaucoup de lecteurs de "Mine d'infos" demandent la version intégrale de l'interview accordée par Christian Pasquetti à Miroir social lire le début de l'article https://pressentinelle2.blogspot.fr/2016/09/christian-pasquetti-dg-de-la-mgefi-fait.html. Cet article est hélas réservé aux abonnés. Il est cependant possible d'acheter l'article simple. Ce renseigner auprès de la rédaction de Miroir social.



Nota : Les journalistes qui souhaitent une interview de Christian Pasquetti, sont invités à contacter : Nora Ansell-Salles 06 70 74 15 42 / nansellsalles@mgefi.fr



 
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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l’Économie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.

A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 
■ clip institutionnel 2015 https://vimeo.com/132203098?ref=tw-share

   TRÈS BON WEEK-END