Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Française. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Française. Afficher tous les articles

lundi 21 janvier 2013

DIABETE ET PRECARITE

Dépister dès le stade du pré-diabète

Agir concrètement et au plus près des intéressés
 
Une enquête inédite, des résultats inattendus


A l'initiative de l'association PRESPODIA,* avec le concours de l'Académie nationale de médecine et de Languedoc Mutualité (Mutualité Française), une vaste enquête en Languedoc-Roussillon démontre la responsabilité de la précarité dans la progression du diabète et dans les insuffisances de sa prise en charge.


PRÉCARITÉ n'est pas seulement synonyme de « marginalité » ; il s'agit de plus en plus souvent d'une « vulnérabilité bio-psycho-sociale ». Le phénomène, accentué par la crise , touche des populations nouvelles, plus jeunes, souvent diplômées mais fragilisées sur le plan du travail, de la famille, du logement, sans accès facile aux soins, d'où des co-morbidités psychiatriques et des addictions.

LE DIABETE est un modèle de pathologie chronique en milieu précaire ; La précarisation apparaît comme un facteur aggravant qui exige une autre prise en charge de ces patients, notamment à travers les réseaux de soins.

* L'association PRESPODIA, créée en 1973, contribue dans l'Hérault à aider les malades diabétiques ou prédiabétiques à assumer leur prise en charge thérapeutique, en donnant notamment à l'éducation et l'exercice physique la place essentielle qui leur revient

 
Une nouvelle approche

Deux institutions, L'Académie nationale de médecine et la Mutualité Française,  vont à la rencontre des jeunes précaires et de leur entourage sur INTERNET pour éviter l'écueil des voeux pieux ou de l'injonction, inutiles en milieu précaire, dans tous les domaines où le risque de diabète est lié à la précarité (alimentation, hygiène, observance...). Les deux sites (www.academie-medecine.fr et www.mutualite.fr font un lien avec un site dédié «  précarite-diabete » à destination des personnes précaires, des professionnels de santé concernés et de leur entourage au sens le plus large.

 Mercredi 30 janvier 2013

11h00

Académie nationale de médecine - 16, rue Bonaparte Paris 6e

 avec la participation de :

Etienne Caniard - Président de la Fédération nationale de la Mutualité française

Catherine Dardé - Directeur Général du groupe Languedoc Mutualité

Henri Hugues - Préfet honoraire, Président de l'Association PRESPODIA

Claude Jaffiol - Membre de l'Académie nationale de médecine, responsable de l'enquête

Jean-François Mattei - Président de la Croix Rouge, membre de l'Académie nationale de médecine

Serge Passeron – Responsable de l'Association PRESPODIA, coordonateur de l'enquête

Denyse Vannnereau - médecin diabétologue, coordinatrice de l'enquête
 
Confirmation présence  avant le 28 janvier prochain (nicole.priollaud@wanadoo.fr)

 

jeudi 6 décembre 2012

DÉPASSEMENTS D’HONORAIRES

La Mutualité Française Nord-Pas de Calais s’engage dans le conventionnement hospitalier mutualiste pour minimiser le reste à charge des familles.
 
Un français sur cinq déclare avoir, au cours des deux dernières années, renoncé ou retardé des soins, principalement pour des raisons financières. En région Nord-Pas de Calais, les dépenses liées aux soins hospitaliers représentent 650 €/an/habitant. L'enjeu est de taille : limiter les dépassements d'honoraires afin de diminuer le reste à charges et donc favoriser l'accès aux soins au plus grand nombre.

·         Conventionnement hospitalier mutualiste : un accès à des soins de qualité tout en dépensant moins !
Représentant aujourd'hui 17,3% des dépenses totales des mutuelles, les dépenses hospitalières arrivent devant les honoraires de médecins de ville et les honoraires dentaires !
Le Conventionnement hospitalier mutualiste est un dispositif visant à aider les patients adhérents d’une mutuelle à choisir un établissement de santé en étant bien informés sur la qualité et le coût maîtrisé des soins proposés. En effet, la Mutualité Française Nord-Pas de Calais sélectionne certains établissements de la région (publics ou privés) selon des critères de qualité (établissements certifiés par la Haute Autorité de Santé et ayant de bons résultats en matière de lutte contre les infections nosocomiales) et s’accordent avec eux sur un tarif de la chambre particulière à respecter.
Pour le patient, c’est une garantie de dispense d’avance de frais et la maîtrise du reste à charge grâce à des tarifs négociés.


·         Premier bilan du Conventionnement hospitalier : 60% des établissements référencés avant le début de la deuxième phase
En région Nord-Pas de calais, 38 conventions ont déjà été signées, soit plus de 60% des établissements référencés.
Le dispositif concerne aujourd'hui les activités de médecine, de chirurgie et d’obstétrique mais la Mutualité Française Nord-Pas de Calais va l’étendre aux soins de suite et de réadaptation (SSR) , ainsi qu’à la médecine ambulatoire  et aux soins externes.

C’est d’ailleurs pour échanger sur l’avancée du conventionnement dans la région, sur les perspectives de lancement de cette deuxième phase ou encore sur la mise en place de procédures simplifiées pour les établissements de santé, qu’une journée de rencontres entre acteurs de santé de la région à été organisée le 13 novembre dernier. Une première nationale !
 
                       Les habitants du Nord-Pas de Calais peuvent consulter la liste des             
          établissements conventionnés sur le site internet de la Mutualité :       
                  et se référer au Label « Etablissement Conventionné » visible dans les hôpitaux concernés.

Congrès de Pneumologie de Langue Française


Agenda

Le Congrès de Pneumologie de Langue Française revient !

Du vendredi 1er au dimanche 3 février 2013

 

Rendez-vous pour la 17ème édition du congrès

à Lille Grand-Palais

 

La conférence de presse de présentation du 17ème CPLF se tiendra le 17 janvier 2013, à 9H00, à La Maison du Poumon, Paris 6.

Vous trouverez en pièce jointe l’invitation relative à cet événement.

 

Nous vous remercions par avance de bien vouloir nous informer de votre participation.

 

Pour tout complément d’information sur le congrès et le programme :

 

Contacts presse :

Alexandra DELEUZE & Gabrielle ISSAVERDENS


 

Jeudi 17 janvier 2013 à 9h00 à la Maison du poumon

 

En présence des associés de Pneumologie Développement :

 

Jean-Pierre Grignet, représentant l’APP1, coordinateur du Comité d’Organisation des Congrès,

gérant de Pneumologie Développement et Chef du service pneumologie du CH de Denain,

Francis Martin, représentant le CPHG2, pneumologue et cancérologue au CH de Compiègne,

Alain Didier, Président de la SPLF3, Chef de pôle Voies Respiratoires au CHU de Toulouse,

et

Bertrand Dautzenberg, chargé de la communication du 17e CPLF, pneumologue à la Pitié-

Salpêtrière

 

Programme

Aperçu des principaux thèmes du 17e CPLF :

BPCO, les nouveaux visages de la maladie (Fil rouge)

La plèvre : quèsaco ? (Fil orange)

Sommeil et apnées : panorama des dernières études

Cancers bronchiques : avancées de la recherche et question

 

Informations pratiques :

09h00 : Accueil et petit déjeuner 09h30 : Conférence de presse

Adresse : Maison du poumon

66, boulevard Saint-Michel - 75006 Paris

RER : Ligne B, Luxembourg

 

Programme détaillé et informations pratiques sur le site www.congres-pneumologie.fr

 

1. Association de Perfectionnement post-universitaire des Pneumologues

2. Collège des Pneumologues des Hôpitaux Généraux

3. Société de Pneumologie de Langue Française

mercredi 5 décembre 2012

Compétitivité de la recherche clinique :


la position française reste fragile.

Le Leem appelle à la mobilisation de tous les acteurs pour renforcer

l’attractivité de la France.

La sixième édition (2012) de l’enquête du Leem sur « la Place de la France dans la recherche

clinique internationale» montre les difficultés de la France à maintenir sa position dans la

compétition internationale dans le domaine des essais de médicaments : si la compétitivité

française demeure tirée par deux aires thérapeutiques « phares », cancer et maladies rares,

elle cède en revanche du terrain dans deux autres domaines clés : le cardiovasculaire et le

diabète.

Le nombre global d’essais cliniques réalisés en France, leur organisation, leur répartition par

domaines et par phases sont autant d’indicateurs de la vitalité et de la compétitivité de la recherche

clinique française et de sa position au sein de la recherche clinique internationale. Ce sont ces

indicateurs qui sont suivis par les Entreprises du Médicament (Leem) dans une enquête d’une

ampleur unique effectuée tous les deux ans depuis 2002 auprès des industriels internationaux du

médicament.

La dernière édition de cette enquête (2012) a porté sur près de 420 études internationales (avec

participation française) de phases 2 et 3 (contre 328 en 2010), incluant 247 000 patients. Il en ressort

qu’au sein de la compétition internationale, la France parvient à maintenir globalement sa position

avec :

6,5% des patients recrutés (7,6% en 2010)

33% des études de phases 2-3 proposées et réalisées en France, un retour au niveau de

2008 après les 28% de 2010

3,9 patients recrutés par centre actif en cancérologie, conforme aux moyennes mondiale et

européenne

4,2 patients recrutés par centre actif dans le domaine des maladies rares, chiffre supérieur

aux moyennes Monde et Europe, respectivement de 3,7 et 3,9.

Ces deux derniers indicateurs confirment l’attractivité de la recherche clinique française dans les aires

thérapeutiques cancer et maladies rares. La mobilisation conjuguée des industriels, au travers des

différents CSIS1 et du CeNGEPS2, et des pouvoirs publics via les Plans Cancer et Maladies Rares, a

permis à la France de maintenir une recherche clinique compétitive et de compenser en 2012, la

perte d’attractivité des aires diabète et cardiovasculaire.

1 CSIS : Conseil stratégique des Industries de santé

2 CeNGEPS : Centre de gestion des essais des produits de santé

La situation de la recherche clinique française reste cependant tendue, prise en étau entre une

perception mitigée de sa qualité et de ses procédures administratives et la montée de la concurrence

nord-américaine et asiatique. Les Etats-Unis et le Canada participent dorénavant à près de 4 études

sur 5 impliquant la France.

Ce décrochage compétitif concerne l’Europe dans son ensemble à l’exception notable de

l’Allemagne. Si la France veut demeurer, ainsi que le souhaite son Premier ministre Jean-Marc

Ayrault, « une force d’entrainement et une référence en matière de recherche médicale dans le

monde3 », elle doit améliorer la productivité de sa recherche clinique, capitaliser sur son expertise et

l’étendre à d’autres champs thérapeutiques.

C’est pourquoi les Entreprises du Médicament appellent à une mobilisation de tous les acteurs de la

recherche clinique : autorités françaises et européennes, hôpitaux, investigateurs, patients… et à

l’organisation d’un forum les réunissant, afin de définir un plan d’action concret pour promouvoir la

compétitivité de la recherche clinique en France.

Il en va du traitement des malades, mais aussi de l’avenir de la France et de sa place dans

l’économie des sciences du vivant.

L’enquête 2012 « Place de la France dans la recherche clinique internationale »

est disponible et téléchargeable sur

www.leem.org

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

3 Extrait 3 du discours prononcé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault le 13 novembre 2012 lors de la tenue des 4èmes Rencontres Internationales de Recherche (RIR)

mercredi 21 novembre 2012

Affaire Cref :


La Cour de Cassation rend justice à l’Union Mutualiste Retraite

 

 La Cour de Cassation dans son arrêt daté du 14 novembre 2012 vient de confirmer l’arrêt de la Cour d’Appel du 29 avril 2012 concernant l’affaire Cref, déboutant ainsi les 4745 adhérents du Cref, regroupés au sein de l’association CIDS, de l’intégralité de leurs demandes contre l’UMR, gestionnaire du Corem.

 

Elle confirme que l’UMR n’était pas intervenue dans la gestion du Cref. Elle clôt définitivement la discussion sur le transfert de portefeuille qui ne s’analyse en aucun cas en une transmission universelle de patrimoine qui aurait impliqué le transfert à l’UMR de toutes les obligations de la MRFP. Dans ces conditions, l’UMR n’était tenue qu’aux obligations liées au transfert de portefeuille et n’est en aucun cas tenue de réparer le préjudice des décisions prises par la MRFP.

 

« Après 12 ans de procédure, la plus haute juridiction met définitivement hors de cause l’UMR dans le procès du Cref », déclare Alain Hernandez, Président de l’UMR. « Nous allons désormais pouvoir nous attacher à gérer sans pression judiciaire l’épargne retraite des 400 000 adhérents qui nous font confiance », a-t-il ajouté.

 

L’Union Mutualiste Retraite, (UMR) est l’union de composantes de la Mutualité Française. Créée en 2002 elle gère en particulier Corem et Corem co, la plus importante complémentaire retraite mutualiste par points, individuelle ou collective.

Fin 2011 l’UMR compte 391 000 adhérents, dont 319 773 sociétaires pour Corem avec un réseau comprenant 124 partenaires, mutuelles et groupements de mutuelles, et plus de 615 points de vente. Elle gère 7,6 milliards d’€ d’actifs dont 5,6 milliards pour le Corem.

 
NDLR :

COREM, la solution retraite proposée par la MGEFI

Bénéficiez de tarifs préférentiels.