Nora ANSELL-SALLES

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jeudi 6 mars 2014

4 jours/4 nuits de course en relais pour le don d'organes

Du 2 avril au 6 avril 2014 aura lieu la 28ème édition de la Course du Cœur. Cette course exceptionnelle de 4 jours et 4 nuits rassemble 240 coureurs de grandes entreprises autour d'une équipe de 15 coureurs greffés, pour parcourir en relais les 750 km qui séparent Paris de Bourg Saint Maurice - Les Arcs, en Savoie.

L'objectif de cette course, organisée par l'association Trans-Forme, est de sensibiliser le grand public au don d'organes et de prouver que la greffe offre une nouvelle vie aux malades.



Découvrir le programme : http://fr.calameo.com/books/003152624c80dc3c181a2
 

jeudi 2 janvier 2014

La MGEFI dans la presse


Titre : Mme Monique AUGE, administratrice de la Fédération Nationale de la Mutualité Française (FNMF)

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE du 18 DEC 13

 

Titre : Monique Augé

L'AGEFI ED.7 H du 18 DEC 13

 

Titre : Crédit Coopératif

EXECUTIVES du 20 DEC 13

 

Titre : Les tarifs santé font le grand écart

L'ARGUS DE L'ASSURANCE du 20 DEC 13

 

Titre : Colloque MFP Quels défis pour la protection sociale des agents publics ? (Paris)

www.ressources-solidaires.org du 24 décembre 2013

 

Titre : l'ESS: pour quelle dynamique?

www.miroirsocial.com du 26 décembre 2013

 

Titre : Colloque MFP Quels défis pour la protection sociale des agents publics? 13 février 2014, Paris

www.recma.org du 27 décembre 2013

 

Titre : Association

LES ECHOS du 27 DEC 13

lundi 16 décembre 2013

LIBRES PROPOS signés Nicolas Rossignol Pdt de « Tout le monde chante contre le cancer »: Un grand Merci pour les enfants

« Je reviens vers vous suite au succès exceptionnel de notre Gala de Noël au Cirque d'Hiver Bouglione mardi dernier ! Cette soirée a été un très beau moment de fête, une réussite que nous pouvons mesurer au bonheur transmis aux centaines d'enfants malades et leur famille, invités d'honneur.


 
Yannick Noah

 

La plupart d’entre vous étaient présents à nos côtés, certains parmi vous n’ont pas pu venir, mais je tenais tout simplement à vous remercier pour votre soutien et pour la confiance que vous nous avez accordé !

Le plus beau des MERCI, vous le trouverez dans le sourire de notre petite Eva qui était parmi les centaines d’enfants « courage » invités de la soirée. Voici un reportage d’M6 dans les coulisses de la soirée (regardez à 12min42 du JT : cliquer ici). Vous comprendrez pourquoi, à travers votre soutien, vous avez été les Anges Gardiens de sa journée de rêve…
 

 

Lors de cette soirée de Gala, l’association a récolté plus de 182 000€, qui s’ajoutent à l’ensemble des soutiens reçus lors de ce mois de sensibilisation ! Merci à vous tous, donateurs, mécènes, sponsors, partenaires… pour ces dons si précieux !  Pour boucler notre opération d’ici fin décembre et pour offrir aux familles le plus beau des Noëls, il ne manque plus désormais que 18 543 € (oui, c’est très précis ! Notre gestion est très rigoureuse, les chiffres aussi !) qui financeront les derniers cadeaux, les fêtes de Noël et des équipements spécifiques pour faciliter la vie à l'hôpital.
 
 
Maxime et Eva
 
 Si vous souhaitez encore parrainer des Noëls, mobiliser votre entreprise, CE, association, club,… vous pouvez faire un don en ligne directement sur http://don.toutlemondechante.net/

Beaucoup d’entre vous nous demandent comment poursuivre votre engagement d’Ange Gardien tout au long de l’année. Plusieurs possibilités :

·         Organisez des événements, dîners caritatifs... au profit de l'association

·         Destockez vos invendus, packagings abîmés, changements de collection... de tous vos produits neufs. Vous destockez, libérez de la place, ne payez pas de destruction, vous défiscalisez le montant de votre don en nature... et vous ne payez pas le transport, offert par notre partenaire !

·         Parrainez ou sponsorisez des actions auprès des familles toute l'année

·         Associez votre entreprise au prochain Gala de l’association, « Toutes les femmes chantent contre le cancer » (3 Mars 2014 à l’Olympia) en hommage à toutes les femmes courage, qu’elles soient maman d’enfant malade, compagne de malade, ou malade elle-même… Plus d’informations, cliquer ici

 
 

Pour tous ces projets, il peut s’agir de budget communication, marketing, RH, CE, achat d’espace… Si vous le souhaitez, vous pouvez aussi financer les projets 2014 avec votre budget 2013.
 
Si vous souhaitez plus d'informations, je serai très heureux de vous rencontrer pour aller plus loin et évoquer ensemble des projets communs, merci de contacter Aurélie Dufourmantelle : aurelie@toutlemondechante.net /
 
 
Merci à chacun d'entre vous pour votre soutien et pour ce que nous ferons désormais tous ensemble pour améliorer le quotidien des malades.

 Bienvenue dans la famille des Anges Gardiens ! »

Nicolas ROSSIGNOL
JOURNALISTE-ANIMATEUR-CONSULTANT (Formation, Coaching & Média-Training) & Président bénévole de "TOUT LE MONDE CHANTE CONTRE LE CANCER"
Contact : nicorossignol@hotmail.com

 
 
* Depuis 8 ans, l'association "TOUT LE MONDE CHANTE CONTRE LE CANCER", réalise 1000 actions chaque année pour améliorer le quotidien de 4000 enfants & adolescents malades et leurs familles, auprès de 115 hôpitaux partout en France. Découvrez le clip de l'association réalisé gracieusement par nos partenaires de Publicis : cliquez ici

lundi 25 novembre 2013

Restos du Cœur


La Ville de Paris met cinq locaux à la disposition des Restos du Cœur pour la distribution de repas chauds dans la capitale

 

Dans le cadre du lancement de la 29ème campagne hivernale des Restos du Cœur, ce lundi 25 novembre 2013, la Ville de Paris renforce son soutien à l’association :

 

·         la mise à disposition gratuite de cinq locaux (dont l’apport annuel en nature est évalué à 400.000 euros) pour permettre la distribution de repas chauds et de colis dans différents points de la capitale :

-     quatre locaux sur les six utilisés par l’association à Paris, dans les 14e, 18e, 19e et 20e arrondissements ;

-     un nouveau restaurant rue Saint-Roch (1er) depuis le mois de novembre 2012, qui accueille une centaine de personnes chaque soir de semaine.

·         une aide de 160.000 euros (en hausse de plus de 10% par rapport à 2012) qui  permet de contribuer aux dépenses de fonctionnement de la campagne de distribution alimentaire 2012-2013 de l’association;

·         des subventions d’investissement versées régulièrement à l’association pour lui permettre d’aménager ses locaux, pour un montant de 1.180.000 euros depuis 2003 (dont 490 000 pour la réalisation du futur centre de distribution Julia Bartet dans le 14ème arrondissement, destiné à remplacer le centre actuel).

 

Lors de la campagne précédente, les Restos du Cœur, qui jouent un rôle essentiel dans le soutien alimentaire aux Parisiens en situation de précarité, ont servi près de 570.000 repas chaud et a distribué plus d’2,1million de paniers alimentaires à Paris.

 

 

Au total, la Ville de Paris aura consacré en 2012 plus de 6 millions d’euros à l’aide alimentaire, pour permettre la distribution de plus de 3 millions de repas aux Parisiens les plus démunis en finançant :

·         6 restaurants solidaires, gérés par le centre d’action sociale de la Ville de Paris (CASVP), qui accueillent jusqu’à 900 personnes tous les soirs. Un nouveau restaurant solidaire ouvrira prochainement dans le 17e arrondissement ;

·         10 associations subventionnées pour leur activité d’aide alimentaire (dont les Restos du Cœur), pour un montant global de plus de 900.000 euros en 2013 ;

·         le restaurant social Santeuil (5e), géré par l’association Aurore ;

·         le restaurant social Baudricourt (13e), géré par le centre d’action sociale de la Ville de Paris (CASVP).

mardi 29 octobre 2013

1er parcours de soin virtuel pour les patients cancéreux


Pfizer met en ligne un parcours de soin virtuel  pour aider les personnes atteintes d’un cancer


 
Optimiser la prise en charge des patients sous thérapie anti-cancéreuse orale, c’est l’objectif du programme PactOnco™ (Personnalisation de l’ACcompagnement du patienT en ONCOlogie) lancé l’an dernier.

 

Aujourd’hui, Pfizer poursuit son engagement auprès des différents acteurs du parcours de soins. Conçu en collaboration avec les associations de patients, Pfizer lance, dans le cadre de son programme "PactOnco", le Module Parcours de Soins sur son site web : http://pactonco.pfizer.fr avec des outils entièrement dédiés au patient et à son entourage.

 
Un parcours de soins scénarisé et adapté à chaque phase de la maladie

Afin d’aider le patient atteint d’un cancer à devenir acteur de sa maladie, un parcours de soins virtuel totalement inédit est proposé. Qu’il s’agisse d’adapter son quotidien, d’accéder rapidement à des informations fiables ou d’anticiper la gestion de certains effets indésirables, tous les sujets sont méthodiquement abordés.

"Les malades attendent une information claire et précise apportée par des outils appropriés. C'est le cas avec le parcours de soins PactOnco, une carte virtuelle qui reprend avec réalisme l’univers dans lequel nous vivons notre maladie" précise Nathalie, atteinte d’un cancer du rein depuis 7 ans et membre bénévole de l’association ARTuR (Association pour la Recherche sur les Tumeurs du Rein).



Ce parcours de soins virtuel invite le patient à mieux comprendre le rôle de chaque interlocuteur et les spécificités des lieux qui lui sont familiers comme l’hôpital ou la pharmacie. Il aura également l’occasion de se rendre dans une maison de l’accompagnement ou un bureau d’aide sociale, des offres auxquelles le patient ne pense pas spontanément mais qui lui seront d’une grande aide.

Le principe du programme "PactOnco" est de délivrer une information adaptée à la situation des personnes : "les informations utiles au moment de l'annonce de la maladie ne sont pas les mêmes que celles recherchées plus tard pour anticiper les éventuels effets indésirables liés à un traitement", explique Nathalie, membre de l’association ARTuR.

vendredi 25 octobre 2013

Libres propos signés François Besnier Pdt de l'Association Prader Willi


Affaire Loquet :

Adultes sans solution à situations sans solutions ?

 

L’action en justice menée par l’UNAPEI pour faire appliquer les droits d’une personne handicapée, porteuse du syndrome de Prader-Willi (SPW), a été largement commentée dans les médias. La justice avait ordonné à l’État de trouver une place à cette personne dans un centre spécialisé. Le ministère de la santé interjette un appel de cette décision puis se rétracte en fin de journée.

Cette action a attiré l’attention du grand public sur un problème réel. De trop nombreux adultes, porteurs de handicaps complexes avec, en particulier, des troubles du comportement, ne trouvent pas de structures médico-sociales pour les accueillir. Ils vivent chez leurs parents, dans des situations souvent dramatiques. C’est le cas d’Amélie et son cas n’est pas isolé. Une enquête menée en 2011 par l’association Prader-Willi France (PWF) montrait que 60% des adultes étaient hébergés dans leurs familles et souvent sans activité journalière extérieure.

 

Un secteur médico-social souvent inadapté

Pourquoi ces situations sont-elles si nombreuses ? Il n’y a pas assez de places proposées, c’est vrai, mais il manque surtout des solutions adaptées à ces cas complexes. Celles proposées par le secteur médico-social sont encore trop rigides, manquent de la souplesse nécessaire et de moyens pour s’adapter aux personnes. Dans la situation économique actuelle de notre pays, on ne peut espérer la création d’un grand nombre de nouvelles places. Il faut donc faire mieux, à partir des moyens existants.

Dans le cas du SPW, les refus ou les échecs de prise en charge sont très souvent liés à une méconnaissance des spécificités du syndrome. Celui-ci met en échec les réponses éducatives ou organisationnelles habituelles. Les situations de crise conduisant à des hospitalisations provoquent des ruptures souvent irréversibles des parcours de vie.

 

Le risque de la judiciarisation : l’exclusion des personnes malades

Les recours en justice, s’ils devaient se multiplier ne feront pas progresser vers des solutions durables. Ils risquent d’induire une judiciarisation néfaste à la construction de vraies solutions. Celle-ci a un effet pervers : les structures, déjà peu nombreuses, risquent par peur de la sanction judiciaire, de fermer la porte à la prise en charge de nos enfants. Une stigmatisation de plus, en réaction à la peur.

Le cas d’Amélie illustre parfaitement la spirale perverse de la judiciarisation. L’État interjetant appel aurait laissé la famille dans le désarroi et entraîné une procédure juridique, bataille longue et coûteuse.

La lenteur des réponses aux demandes des familles n’est pas acceptable, tout comme l’absence de réponse coordonnée des acteurs concernés, pour proposer des aides et accompagner la famille dans la recherche de solutions pérennes. On ne peut se contenter de l’affirmation des droits des personnes handicapées sans que soient mises en place les solutions permettant de les respecter.

Pour sortir de cette spirale, l’association Prader-Willi France a donc décidé de saisir le Défenseur des Droits.

 

La co-construction est la solution

Les solutions seront issues d’une collaboration des établissements médico-sociaux et du secteur médical. La création des centres de référence (dans le cadre du Plan « Maladies Rares ») a permis des avancées remarquables dans le parcours de soins. Mais il manque aux sites du Centre de référence des professionnels de coordination sur l’aspect psychiatrique et social permettant de faire le lien avec les établissements de soins psychiatriques et le monde médicosocial. Le réseau de centres de compétences associés, couvrant l’ensemble du territoire, doit constituer un élément essentiel d’un accompagnement adapté. Il faut mettre en place les solutions d’accueil  temporaire (les séjours de répits) essentielles pour construire ou revoir les projets de vie et permettre aux personnes concernées et à leurs familles de souffler un peu (des initiatives de ce type vont se concrétiser dans le cadre du plan obésité). Il faut également s’appuyer en particulier sur l’expérience acquise par des établissements sanitaires comme l’hôpital Marin de Hendaye, qui accueille depuis plus de 13 ans des adultes pour des séjours temporaires. Des demandes ont été faites pour augmenter le nombre de places offertes par cet établissement, demandes sans réponse à ce jour.

Il convient de s’appuyer sur les établissements médico-sociaux (IME, ESAT, foyers d’hébergements, foyers de vie, etc.) qui accueillent nos enfants et s’efforcent de construire des solutions adaptées. Ils disposent d’une réelle expertise qu’il faut faire connaître et partager. Encore faudrait-il qu’ils aient tous un minimum de moyens pour accomplir cette tâche.

 

Associer tous les acteurs à la prise en charge

Les associations de familles enfin, par leur connaissance acquise quotidiennement sont aussi des acteurs essentiels dans ce travail. Les ARS (Agences Régionales de Santé) et les MDPH (Maisons Départementales des Personnes Handicapées) doivent s’impliquer fortement dans cette démarche et impulser le travail commun, la mise en place de solutions cohérentes dans les régions et sur l’ensemble du territoire. Elles doivent aider à diffuser l’information et à former les intervenants.

Le problème est complexe et il n’existe pas de solution miracle. Les différents acteurs impliqués doivent travailler ensemble. Oui, il faut donner plus de moyens aux structures qui proposent déjà des solutions, oui, il faut assouplir les réglementations, s’inscrire dans une logique de continuité des parcours de soin et de vie.

La co-construction des solutions ne doit pas être simplement un slogan, un affichage, mais une réelle pratique de terrain. C’est ce à quoi nous travaillons depuis des années, pour des solutions durables, duplicables et consensuelles.

 

Un groupe de travail avec tous les acteurs

C’est pourquoi nous demandons au Ministère de la Santé la création urgente d’un groupe de travail comportant les représentants de l’État, des acteurs du secteur médico-social et des représentants des familles. Il aurait pour mission de proposer, dans un délai assez court, des recommandations portant sur l’évolution des procédures d’examen des dossiers et de la réglementation, l’extension des solutions de répit et la coordination des parcours.

François Besnier Président de l’association Prader Willi France

En savoir plus : leplus.nouvelobs.com/contribution/9

lundi 7 octobre 2013

Chirurgie robotique de la thyroïde: la France à la traine ?


15% de la population française est touchée par les maladies de la thyroïde. La thyroïdectomie classique, lorsqu'elle est nécessaire est synonyme de douleurs, de longue convalescence et autres désagréments. Il existe pourtant depuis bientôt 3 ans une technique révolutionnaire : l'assistance robotique. La France est dotée d'une trentaine de robots (contre 1300 aux Etats-Unis) et seulement 5 centres hospitaliers l'utilisent pour opérer la thyroïde.

Pourquoi un tel retard ?

 

Bénéfices de la thyroïdectomie par chirurgie robotique

 

La thyroïdectomie par chirurgie robotique est une opération moins invasive et de qualité, elle présente de nombreux avantages dont :

- une hospitalisation plus courte,
- un rétablissement et un retour à une activité normale plus rapide donc un arrêt maladie plus court,
- des douleurs réduites,
- des usages médicamenteux réduits…


Pourquoi, face à ces avantages, les patients, (dont le nodule thyroïdien est inférieur ou égale à 5 cm) ne sont pas informés de cette technique? Pourquoi les chirurgiens ne souhaitent pas se former à cette technique ? Pourquoi la France est-elle à la traine ? Autant de questions que se pose l'association Da Vinci Mode Papillon.

Soutenue par le Docteur Patrick Aïdan, l'association se bat pour développer la thyroïdectomie par chirurgie robotique; pour former les chirurgiens à cette technique. Cette technique doit se généraliser. Le Docteur Aïdan, l’un des premiers à avoir développé cette technique, et qui a déjà opéré une centaine de patients avec succès précise bien que "grâce au robot, le geste est plus précis, il y a moins de complications".

 

A quand une journée dédiée ?


Pour faire entendre la voix de l'assistance robotique pour la thyroïdectomie, l'association Da Vinci Mode Papillon souhaite créer une Journée de la Thyroïde et une journée de la Chirurgie robotique. Deux journées qui ont du sens… Mais les Hautes Instances restent sourdes à cette demande, préférant la journée de la Chips ou la journée du fromage !
 

L'ASSOCIATION DA VINCI MODE PAPILLON
 
Son but est d’aider et de contribuer activement à la connaissance et à la reconnaissance de la chirurgie robotique pour une meilleure prise en charge médicale et sociale.
 
L'association souhaite sensibiliser l’opinion et les professionnels de la santé sur l’importance humaine et sociale de cette nouvelle technologie.
 
A la tête de cette association se trouve Louisette Chebili, pour qui la thyroïdectomie partielle devenait une nécessité. Face au désagrément d'une chirurgie traditionnelle, la chirurgie robotique est alors
Le succès de l'opération est assombri par le dysfonctionnement du système : manque d'informations, coût. Elle décide alors de fonder l'association pour aider d'autres personnes et faire connaître cette chirurgie révolutionnaire.
L'Association Da Vinci Mode Papillon est née le 25 octobre 2012.

mercredi 10 juillet 2013

LIBRES PROPOS de l' Association de lutte contre le sida et la transmission du VIH, "Action-Pro"


L'association de lutte contre le sida et la transmission intentionnelle du VIH,"Action-Po" dément des informations publiées par l'association Act Up dans la revue " Protocoles " N°73.


« ACTION PO » association de lutte contre le VIH-SIDA

A ce titre la Présidenteétait présente au colloque « Femmes et vih » qui se déroulait à Paris les 7 et 8 décembre 2012.

Venue en compagnie de Madame Barbara WAGNER, la Présidente de l'association " Femmes Positives ", faire entendre et sa voix, en porte parole des victimes de contamination intentionnelle, elle fût entendue, et suscita d'hostiles réactions.

Bien que l'association « ACTION-PO » ne fasse pas partie du «  collectif inter associatif *», sa présence aurait dû être notée, non pas occultée, ainsi que ses revendications.

Or...

Tout comme celles de l'Association " Femmes Positives ", elles manquent au « détail des revendications » publiées dans la revue " Protocoles " N°73, revendications que l'inter associatif a la charge de transmettre aux institutions, chercheurs, médecins, ainsi qu'aux autres acteurs de la lutte contre le VIH, en dépit du fait que Melle XALO participait à leur rédaction à l'issue du colloque.

Pire...

En occultant lesdites revendications, l'association « ACT UP » attribue à l'association « ACTION-PO » des propos qu'elle n'a jamais tenu, auxquels elle s'est toujours fermement opposée, et qui sont de surcroît contraires à sa politique.

« L'association « ACTION-PO » ne réclame pas de loi spécifique sur la transmission intentionnelle du VIH, car elle estime que la qualification «  d'administration de substance nuisible avec ou sans préméditation » actuellement retenue par les Tribunaux est adaptée.

Nous pensons toutefois, que sanction et prévention, ne sont pas des notions opposées, mais complémentaires...

...que la responsabilisation des personnes séropositives est indispensable à l'atteinte des objectifs fixés, qui sans elle, nous semblent utopiques, à savoir : Zéro nouvelle infection au VIH. Zéro discrimination. Zéro décès lié au sida. » déclare Melle Agnès XALO,
avant de poursuivre : « La loi actuellement en vigueur doit être appliquée, au cas par cas, il ne s'agit nullement de faire peser la charge de la contamination du partenaire sur la personne séropositive de manière systématique, mais seulement dans les cas légitimes.

Les associations ont toujours pris la défense des contaminateurs, même en 2005 lorsqu'une femme était jugée dans le Loiret, pour avoir intentionnellement transmis le VIH à son époux !

Nous trouvons cela scandaleux.

Imaginez vous mettre un préservatif avec votre mari ? Ou votre femme ?
Nous ne pouvons pas continuer à parler de responsabilité partagée dans des cas tels que celui ci, ou encore dans des cas comme celui de Sabrina, cette jeune mère de deux enfants, de Niort qui a récemment déposé plainte, et avait demandé un test sérologique à son partenaire, lequel lui aurait montré des tests falsifiés, ni dans les cas de viol, ou de manipulation.

La Présidente d'  « ACTION-PO » souligne le fait que « il n'y a point de crime ou de délit sans intention de le commettre » selon l'article 121-3 du code pénal, les associations afin de défendre une fois de plus les contaminateurs, posent « la question d’intentionnalité de qui porte la responsabilité de la prévention ». Dans la fameuse revue « Protocoles » N°73 .

« Maintenant qu'il y a des condamnations, afin de faire pression, les associations véhiculent le message : n'allez pas vous faire dépister, car si vous êtes informés de votre séropositivité, vous risquez des sanctions pénales. L'unique but est l'objectif Zéro condamnation ! Or, le dépistage est un test anonyme, et plus vite le séropositif sera traité moins il sera contaminant, ce qu'elles sont les premières à mettre en avant.

La pénalisation de la transmission intentionnelle ne nuit pas à la prévention
...dont on constate l'échec, en voyant que seul un étudiant sur trois utilise le préservatif, ce qui y nuit réellement en revanche, est le message que délivrent ces associations aux personnes concernées.


Viendront elles ensuite se plaindre que se sont les quelques condamnations dans notre pays qui sont responsables de cet échec ? Ou de la réticence à se faire dépister, lorsqu'elles créent cette réticence ?.

Nous sommes tous concernés, il faut inciter la population générale au dépistage, reconnaître qu'aucun couple marié n'utilise de préservatif, que la responsabilité partagée a donc ses limites, et cesser d'agir de manière douteuse afin de parvenir à ses objectifs.

Nous sommes également scandalisées par la lettre ouverte que l'association ACT UP a récemment mise sur internet, à l'attention du Président François HOLLANDE, et de Madame Christiane TAUBIRA. Dans cette lettre en ligne sur son site, l'association ACT UP réclame la libération de toutes les personnes séropositives incarcérées.

Il est inadmissible de tenter de faire ainsi pression sur la justice, libérer ces personnes serait une atteinte au principe d'autorité de la chose jugée, elles ont été jugées et condamnées, bénéficient de traitements en prison, y rencontrent des intervenants de l'association « Aides », ont été auscultées comme il se doit, et reconnues accessibles à une sanction pénale, c'est une fois de plus conférer del'impunité a des personnes criminelles, sous prétexte qu'elles sont séropositives. Nous nous opposons à cette politique de déresponsabilisation, de favoritisme, d'impunité, de diabolisation des victimes et de victimisation des criminels, et tenons à souligner que dans beaucoup d'affaires de contamination intentionnelle, les personnes condamnées ont fait l'objet de peines légères, avec sursis, ou n'en ont fait que la moitié » .

«  Le 08 décembre au soir, je postais un article nommé «  Colloque femmes et VIH sur la page facebook de l'association, et j’écrivais, après un bref compte rendu de cette journée : « Avec l'association « Femmes Positives », nous attendons patiemment de voir si nous avons été entendues et comprises », nous avons aujourd'hui la réponse, c'est bien celle à laquelle nous nous attendions, mais nous ne baisserons pas les bras.

J'ai également demandé lors de ce colloque et sur par internet une rencontre avec des Professionnels de santé, ( psys, virologues, épidémiologistes ), des juristes , ( avec pour chaque professionnel : l' un en faveur de, et un autre opposé à la pénalisation de la transmission intentionnelle.

Qu'ils soient tous choisis par une autorité indépendante et impartiale ), mais aussi que participent : un représentant de chaque association de lutte contre la sida (( petite ou grande, pour et contre la pénalisation )( Aides, Act up, warning ....Femmes positives, Action-po....)). Bien entendu, cette requête tout comme ma "Lettre ouverte aux féministes, et associations de lutte contre le viol", en ligne sur le site de l'association ACTION-PO, ou celle de Marie-Victoire Louis,à Mme Laurent Présidente du MFPF, en date du 11 mars 2005, restera vaine.

Pour rappel, l'Association «  ACTION-PO » fût créée par Melle Agnès
XALO, elle même victime de contamination intentionnelle, en décembre
2011, après le procès qui l'opposait à Monsieur Hicheim GHARSALLAH
condamné à 9 ans de détention.

Cette association lutte contre le sida, les discriminations, écoute, informe, soutient, et offre des conseils juridiques gratuits aux victimes de contamination intentionnelle. Vous pouvez la soutenir ou la contacter via son site internet, ou par téléphone.


Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.communique-de-presse-gratuit.com/lassociation-action-po-lutte-contre-le-sida-et-sa-transmission-intentionnelle_126785.html

lundi 29 avril 2013

"Ensemble contre la méningite" à l'occasion de la Journée Mondiale et de la Semaine Européenne de la Vaccination


Dans le cadre de la Journée Mondiale contre la méningite et de la Semaine Européenne de la vaccination, Méningite France – Association Audrey et l’association Petit Ange poursuivent leur combat pour une meilleure information et une meilleure prévention.

Méningite France -Association Audrey et Petit Ange vous donnent rendez-vous le 8 octobre prochain à l'occasion de la Journée Nationale "Ensemble contre la méningite", colloque organisé au Ministère des Affaires Sociales et de la Santé, en partenariat avec la Direction Générale de la Santé, sur le thème "Méningites : Information, Prévention, Recherche".

 

En savoir plus

  Anne de BOISMENU ,

Consultante Développement Santé






 
NDLR: MGEFI et VACCINATION

 



 

Venez découvrir le nouveau site de la MGEFI : www.mgefi.fr
 

Et postez un commentaire sur le Blog Mine d’Infos pour faire part de vos suggestions et remarques



 

mercredi 24 avril 2013

Patrick Tejedor nouveau président...



L’Assemblée Générale de l’association Vaincre la Mucoviscidose a rassemblé près de 800 participants à Saint-Malo le 7 avril dernier. Patrick Tejedor vient d’y être élu nouveau Président, et succède ainsi à Jean Lafond, après avoir été son vice-président depuis 2009.

Patrick Tejedor place son mandat sous le signe de la continuité des actions menées par son prédécesseur, avec la volonté de poursuivre le Plan d’Actions Prioritaires « Souffle 2015 » initié pour répondre aux besoins des nouvelles générations de patients atteints de mucoviscidose. En effet, les priorités de « Souffle 2015 » sont d’améliorer la santé globale de tous les patients, de dynamiser et coordonner la recherche et enfin de développer les ressources financières de l’association.

« Focaliser l’énergie en additionnant toutes les forces pour être efficace ensemble » résume Patrick Tejedor pour décrire sa mission de Président.

Un engagement depuis près de 23 ans
Père d’une jeune femme atteinte de mucoviscidose, Patrick Tejedor, membre actif de l’association, se bat pour combattre la maladie depuis plus de 23 ans.
En 1990, il devient membre du Bureau régional et s’implique au sein de l’association pour laquelle il organise de nombreuses Virades de l’espoir dans la région de Toulouse.
Depuis 13 ans, il est membre du Bureau national. Il préside le Conseil Communication de 2000 à 2004 et le Conseil de la Vie Associative de 2004 à 2008.
De 2009 à avril 2013, il est vice-président de l’association Vaincre la Mucoviscidose au côté de Jean Lafond.

Le 7 avril, devant toute l’Assemblée Générale, dont de nombreux patients, Patrick Tejedor a solennellement rendu hommage à l’action de Jean Lafond. Il s’engage avec ferveur dans cette même ligne de combat pour soutenir les patients et leurs familles.


A propos de la maladie
La mucoviscidose est une maladie rare, génétique et mortelle qui touche principalement les voies respiratoires et le système digestif. En France, 200 enfants naissent chaque année avec cette maladie et 2 millions de personnes sont porteurs sains du gène de la mucoviscidose sans le savoir.
A propos de l’association
Créée en 1965 par des parents de jeunes patients et des soignants, Vaincre la Mucoviscidose se consacre à l’accompagnement  des malades et de leur famille dans chaque aspect de leur vie bouleversée par la maladie. L’association organise son action autour de  quatre missions prioritaires : guérir, soigner, améliorer la qualité de vie, et informer et sensibiliser.

 
Vaincre la Mucoviscidose est une association reconnue d’utilité publique, agréée par le Comité de la charte du don en confiance et habilitée à recevoir des legs, des donations et des assurances-vie.