Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Association. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Association. Afficher tous les articles

mardi 29 janvier 2013

Nomination à l'AFPA


 

 

Un nouveau comité de direction exécutif pour l’Afpa

Depuis le 1er janvier 2013, l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) dispose d’une nouvelle équipe de direction réunie autour d’Yves Barou, président et d’Hervé Estampes, directeur général.

« L’Afpa refondée est à présent en ordre de marche, dotée d’une feuille de route claire, d’une équipe de direction renouvelée et de véritables perspectives d’avenir. » déclare Yves BAROU son président.

Placé sous la direction générale d’Hervé Estampes, le comité de direction exécutif1 est constitué de la façon suivante, par ordre alphabétique :

Anne-Marie Bjornson-Langen, directrice d’Afpa Transitions

Rémi Bordet, directeur du développement service public

Dominique Costiou, directeur des services et moyens généraux

Juliette des Garest, directrice de l’ingénierie et de l’innovation pédagogique

Christophe Donon, directeur de la stratégie

Hervé Dufoix, directeur des relations humaines et du dialogue social

Jean-Luc Le-Clech, directeur régional PACA

Fabienne Maubert-Le Dren, directrice des formations

Anne Morrier, directrice de la communication

Christophe Ribon, directeur financier

Lionel Rouillon, directeur du développement entreprises et international

Dominique Schwach, directeur régional Ile de France

 

A propos de l’Afpa

Avec plus de 160 000 personnes formées chaque année, l’Afpa (Association nationale pour la formation professionnelle des adultes) est depuis plus de 60 ans, le 1er organisme de formation des actifs (salariés et demandeurs d’emploi) et, avec Afpa Transitions, le 4ème cabinet d’accompagnement des transitions professionnelles en France. Entreprise de l’économie sociale et solidaire, elle propose une large gamme de formations adaptées aux besoins de tous les actifs, des entreprises et des acteurs institutionnels des territoires. Acteur majeur de l’alternance, l’Afpa accompagne de la formation à l’emploi : insertion, reconversion, professionnalisation. L’Afpa est également le 1ER organisme de formation des personnes en situation de handicap. Plus d’informations sur www.afpa.fr

lundi 21 janvier 2013

DIABETE ET PRECARITE

Dépister dès le stade du pré-diabète

Agir concrètement et au plus près des intéressés
 
Une enquête inédite, des résultats inattendus


A l'initiative de l'association PRESPODIA,* avec le concours de l'Académie nationale de médecine et de Languedoc Mutualité (Mutualité Française), une vaste enquête en Languedoc-Roussillon démontre la responsabilité de la précarité dans la progression du diabète et dans les insuffisances de sa prise en charge.


PRÉCARITÉ n'est pas seulement synonyme de « marginalité » ; il s'agit de plus en plus souvent d'une « vulnérabilité bio-psycho-sociale ». Le phénomène, accentué par la crise , touche des populations nouvelles, plus jeunes, souvent diplômées mais fragilisées sur le plan du travail, de la famille, du logement, sans accès facile aux soins, d'où des co-morbidités psychiatriques et des addictions.

LE DIABETE est un modèle de pathologie chronique en milieu précaire ; La précarisation apparaît comme un facteur aggravant qui exige une autre prise en charge de ces patients, notamment à travers les réseaux de soins.

* L'association PRESPODIA, créée en 1973, contribue dans l'Hérault à aider les malades diabétiques ou prédiabétiques à assumer leur prise en charge thérapeutique, en donnant notamment à l'éducation et l'exercice physique la place essentielle qui leur revient

 
Une nouvelle approche

Deux institutions, L'Académie nationale de médecine et la Mutualité Française,  vont à la rencontre des jeunes précaires et de leur entourage sur INTERNET pour éviter l'écueil des voeux pieux ou de l'injonction, inutiles en milieu précaire, dans tous les domaines où le risque de diabète est lié à la précarité (alimentation, hygiène, observance...). Les deux sites (www.academie-medecine.fr et www.mutualite.fr font un lien avec un site dédié «  précarite-diabete » à destination des personnes précaires, des professionnels de santé concernés et de leur entourage au sens le plus large.

 Mercredi 30 janvier 2013

11h00

Académie nationale de médecine - 16, rue Bonaparte Paris 6e

 avec la participation de :

Etienne Caniard - Président de la Fédération nationale de la Mutualité française

Catherine Dardé - Directeur Général du groupe Languedoc Mutualité

Henri Hugues - Préfet honoraire, Président de l'Association PRESPODIA

Claude Jaffiol - Membre de l'Académie nationale de médecine, responsable de l'enquête

Jean-François Mattei - Président de la Croix Rouge, membre de l'Académie nationale de médecine

Serge Passeron – Responsable de l'Association PRESPODIA, coordonateur de l'enquête

Denyse Vannnereau - médecin diabétologue, coordinatrice de l'enquête
 
Confirmation présence  avant le 28 janvier prochain (nicole.priollaud@wanadoo.fr)

 

vendredi 18 janvier 2013

Culture RP :


Interview de Benoît Drouillat  président de l'association "designers interactifs"



Quelles ont été vos motivations quand vous avez créé l’association designers interactifs ?

*designers interactifs* a été créée en 2006 pour représenter les professionnels du design numérique en France et en promouvoir les métiers. Nous souhaitions créer un réseau professionnel qui permette à la fois de conférer une meilleure lisibilité aux apports du design dans l’économie numérique et la société. Nous souhaitions par ailleurs ne pas nous cantonner à un rôle d’organisme professionnel classique, mais aussi contribuer à alimenter la réflexion, à travers des cycles de conférence et des publications. A ce titre, l’association est devenue avant tout un projet éditorial, ce qui est une posture relativement originale.

Quelle définition donneriez-vous au designers interactifs ?

Le design interactif est la démarche de conception des produits et des services numériques.
Cette démarche consiste à définir la façon dont les personnes, les produits et les services dialoguent par la médiation d’une interface, d’un objet ou d’un environnement numérique. Ce dialogue est mis en scène dans des scénarios d’usage qui mobilisent les propriétés de la « matière informatisée ».

Pourquoi avoir écrit « Le design des interfaces numériques en 170 mots-clés » ?

Cet ouvrage, publié aujourd’hui chez Dunod, est le fruit d’un effort de formalisation que j’avais initié en 2009, sous la forme d’un Petit dictionnaire du design numérique. Il s’agissait de rassembler les définitions des termes spécifiques que nous mobilisons dans la pratique du design interactif et plus largement notre culture numérique.
En 2012, la publication a été augmenté de 50 définitions, réalisées lors d’un projet collaboratif avec lAPCI, Mov’eo et Systematic. L’objectif est dès lors de permettre le développement d’un langage commun entre designers, ingénieurs, marketeurs…
Cette démarche nous permet de réfléchir véritablement sur la terminologie spécifique de notre champ.

Lors des évènements  *di*/zaïn # : Interaction(s) est-ce que les relations presse sont prépondérantes?

Je dirai que nous nous appuyons plutôt sur notre audience (site web, réseaux sociaux, newsletter) et la communauté de nos 800 membres. Nos relations avec la presse sont assez discontinues, sauf avec la revue Etapes:, qui relaie régulièrement les événements.


 

jeudi 20 décembre 2012

JOUETS TOXIQUES : PÉTITION DE L’ASSOCIATION WECF SUR CHANGE.ORG POUR L’INTERDICTION DES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS


·         Près de 4000 personnes ont signé en quelques jours une pétition sur Change.org pour l’interdiction des perturbateurs endocriniens dans les jouets.

·         Hier, Arte rassemblait près de 400 000 téléspectateurs lors d’une soirée spéciale “Jouets Toxiques”

PARIS, le 19/12/2012 – L’association Women for a Common Future (WECF-France) lance une pétition sur Change.org appellant la Ministre de l’Écologie Delphine Batho à faire interdire les perturbateurs endocriniens dans les jouets et les articles de puériculture.

Cette pétition intervient quelques jours après le vote par le Sénat de l’interdiction du Bisphénol A dans les contenants alimentaires. À la suite de ce vote, Madame Batho avait en effet annoncé publiquement que la France pourrait proposer une interdiction de ces substances dans les jouets au niveau européen.

Nous sommes satisfait que le gouvernement s’engage dans cette direction, mais nous attendons des actes. Cela fait des années que le sujet de la sécurité des jouets mobilise en période de Noël mais passe aux oubliettes dès la saison d'hiver passée. Preuve que la nouvelle réglementation européenne n'est pas adéquate: elle est déjà en cours de révision alors qu'elle n'est pas encore entrée en vigueur!” explique Elisabeth Ruffinengo, chargée de mission plaidoyer à WECF France.

La semaine dernière, WECF publiait les résultats d’une étude auprès des acteurs du marché (distributeurs et fabricants). “Un constat alarmant tant par le manque de transparence des professionnels (seules quatre enseignes sur seize ont accepté de répondre) que par l’absence de mobilisation contre les substances toxiques (une seule enseigne a affirmé avoir supprimé de ses ventes les produits composés de Bisphénol A)”, déclarait alors l’association.

Aucune information n’est aujourd’hui disponible pour les parents qui souhaitent acheter des produits sains pour leurs enfants”, déplore Elisabeth Ruffinengo. “Nous avons donc lancé cette pétition sur Change.org car il est urgent de mettre en place un système pour que ces produits soient signalés aux consommateurs, avant d’être interdits au niveau européen.”. Ce manque d’information s’est illustré par les centaines de questions de téléspectateurs postées sur le chat qui a suivi l’émission “Jouet Toxiques”, diffusée ce mardi 18 décembre sur Arte.

Ce sujet semble être au coeur des préoccupations des Français : plus de 45 000 personnes ont signé la pétition Réseau Environnement Santé pour l’interdiction du Bisphénol A dans les contenants alimentaires, pétition qui a poussé les Députés français à faire appliquer la loi “Bisphénol A” dès le 1er janvier 2015, au lieu de juillet 2015.

Selon Benjamin des Gachons, Directeur des campagnes de Change.org, “le succès de ces pétitions lancées sur Change.org montre qu’en cette veille de Noël, les questions liées à la santé, et en particulier aux substances toxiques contenues dans les produits de grande consommation mobilisent massivement les citoyens.”

Lien vers la pétition du WECF sur Change.org: www.change.org/JouetsToxiques


Lien vers la page d’Arte “Jouets toxiques” http://www.arte.tv/fr/thema-jouets-toxiques/7088102.html

Lien vers le Chat d’Arte sur les Jouets Toxiques http://www.arte.tv/fr/jouets-toxiques/7089264.html

mercredi 14 novembre 2012

5èmes Rencontres de l’Association BPCO, dans le cadre de la Journée Mondiale de la BPCO


« BPCO, une épidémie moderne. Un défi pour les patients, un défi de santé publique »

 

Face à une épidémie qui progresse et à un financement des soins qui  « s’essouffle », l’Association BPCO, a poussé hier, en ouverture de son colloque, qui s’est tenu au Palais du Luxembourg  un nouveau cri d’alarme pour la prise en charge des patients.

 

A noter : un compte-rendu complet du colloque sera  prochainement publié dans la veille Mine d’infos MGEFI

 

 

EDITO

 

« BPCO, une épidémie moderne. Un défi pour les patients, un défi de santé publique »

 

Pour ce 5ème rendez-vous de l’Association BPCO, nous avons placé au centre de nos préoccupations ce fantastique « défi » que constitue cette maladie : défi pour les patients, mais également défi de santé publique. Car nous savons tout, ou presque tout de ce « tueur silencieux » qui, année après année, voit grossir ses effectifs.

 

Nous savons tout - ou presque - de la maladie… et les autorités de santé ont arrêté des recommandations pour un meilleur dépistage et une prise en charge plus adaptée de la BPCO. Elle a même bénéficié d’un Plan spécifique, conduit entre 2005 et 2010, et assorti d’un nombre important d’actions.

 

Et pourtant, la BPCO continue de progresser, malgré les efforts conjugués de tous : pouvoirs publics, professionnels de santé, structures sanitaires, sociétés savantes, associations de patients, dont nous faisons partie. La mobilisation n’est pas totale, mais elle a été optimale au fil des années écoulées. Les gouvernements successifs ont adopté des mesures fortes contre le tabagisme – interdiction de fumer dans les lieux publics, sur les lieux de travail, dans les restaurants. Ils ont régulièrement augmenté les prix du tabac. Pour autant, les derniers constats sont sévères : le tabagisme, principale cause de la BPCO, n’est pas en recul en France : il progresse même dans les rangs des jeunes et en particuliers dans ceux des femmes.

 

Dans ce contexte général qui n’incite pas à l’optimisme, l’Association BPCO poursuit  cependant son combat, entamé en 2003. Car à l’heure où notre système de santé peine à faire face aux dépenses liées aux maladies chroniques – qui représentent déjà plus de 60 % des dépenses de santé remboursées - et face au bilan mitigé du Plan BPCO initié en 2005, les patients rassemblés au sein de l’association BPCO s’interrogent : Quelle qualité de soins les malades BPCO sont-ils en droit d’attendre dans les années à venir ? Quelles réponses efficaces l’assurance-maladie va-t-elle apporter à leurs demandes d’une prise en charge adaptée à leurs besoins ? Comment réduire les coûts sans diminuer la qualité des soins et améliorer l’efficience ?

 

En d’autres termes, comment financer leur prise en charge dans le contexte d’un système de santé lui aussi à bout de « souffle » et de moyens ?

 

Pour y parvenir, le dialogue, entre tous les acteurs de santé et les malades, en vue de trouver des solutions, nous apparaît toujours comme une voie qui conserve toute son actualité. L’Association BPCO a souhaité cette année encore, à la veille de la Journée Mondiale de la BPCO - favoriser les échanges dans cette enceinte du Sénat, afin de porter la voix des malades le plus loin et le plus haut possible.

 

Yves Grillet

Président de l’Association BPCO

 

Rappel du programme

 

9h00 - Ouverture

Charles Descours, Sénateur Honoraire

Yves Grillet, Président de l’Association BPCO

 

Le défi BPCO

• Epidémiologie de la maladie

Docteur Claire Fuhrman, Pneumologue, épidémiologiste Département des maladies chroniques et des

traumatismes, Institut de Veille Sanitaire

• Le parcours de soins : effet de mode ou nécessité ?

Docteur Jean-François Thébaut, Membre du Collège de la HAS

 

Bilan 7 ans après le plan national BPCO

• Constat et principaux enseignements

Professeur Christos Chouaïd, Pneumologue, Hôpital Intercommunal Créteil

 

Actualités et perspectives

• Education Thérapeutique du Patient : de la théorie à la pratique

Docteur Marc Sapène, Pneumologue, Président de l’Association Asthme & Allergies

 

• Une nouvelle approche : la « pertinence de la prise en charge »

Docteur Rémy Bataillon, Adjoint du directeur de la qualité et de la sécurité des soins – Chef de service

de l’évaluation et de l’amélioration des pratiques – HAS

 

• Quelle place pour les pathologies chroniques et la BPCO dans les plans régionaux de santé ?

Daniel Lenoir, Directeur Général ARS Nord-Pas-de-Calais

 

• Point de vue et implication de la Caisse nationale d’assurance maladie

Pierre Gabach, CNAMTS, Direction déléguée à la gestion et à l’organisation des soins, Direction des  assurés, Département des pathologies lourdes

 

• Point de vue et implication des complémentaires santé

Laurent Borella, Directeur Santé, Malakoff Médéric

Docteur Annabel Dunbavand, Conseiller médical, Direction Santé, FNMF

 

Table ronde : Le parcours de soins à l’épreuve du terrain

Animation et modération : Professeur Bruno Housset

• Professeur Pierre-Louis Druais, Président d’Honneur du Collège National des Généralistes

Enseignants

• Martial Fraysse, Pharmacien, Vice-président du Conseil régional de l’Ordre des pharmaciens d’Ilede-

France

• Daniel Lenoir, Directeur Général ARS Nord-Pas-de-Calais

• Alain Murez, Président de la FFAAIR

• Docteur Daniel Piperno, Pneumologue, Lyon

 

Conclusion

Docteur Yves Grillet, Président de l’Association BPCO

lundi 12 novembre 2012

Les accidents en France. Résultats du Baromètre santé 2010


Les accidents en France. Résultats du Baromètre santé 2010 - De nouvelles données issues du Baromètre santé 2010 ont été présentées lors du Congrès de l'Association des épidémiologistes de langue française (Adelf), les 12 et 14 septembre 2012, à Bruxelles. Elles portent sur les accidents du travail, de la circulation et de la vie courante (domicile, sports, loisirs et école).
Le document InVS / INPES

Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contact


NDLR : les adhérents de la MGEFI trouveront dans le N°10  de novembre de leur magazine Couleurs un article sur le Baromètre Santé des Fonctionnaires intitulé «  Horizon Prévention 2013 »