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lundi 3 mars 2014
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MINE D'INFOS: Qualification en médecine générale : le Collège fa...: Un travail et un combat collectifs de plusieurs dizaines d'années ont permis de faire reconnaître la médecine générale en France comme ...
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MINE D'INFOS: Journée Internationale de l'Audition de l'OMS : Pr...: Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette an...
Journée Internationale de l'Audition de l'OMS : Priorité à la prévention
Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.
En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détecté
En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détecté
NDLR : MGEFI et AUDITION
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Qualification en médecine générale : le Collège fait des recommandations
Un travail et un combat collectifs de plusieurs dizaines d'années ont permis de faire reconnaître la médecine générale en France comme dans tous les pays, selon la définition européenne de l'Organisation mondiale des médecins généralistes (Wonca 2002) :
• Comme une discipline scientifique et universitaire, avec sa filière de formation le D.E.S, (diplôme d'études spécialisées) depuis 2004, et ses enseignants chercheurs (loi de février 2008),
• Comme une spécialité, appuyée sur le référentiel métier et compétences officiel (Mission Matillon), ses modalités d'exercice, reconnaissance qui a enclenché le processus de qualification par l'Ordre des médecins, au sein de commissions de qualification (depuis 2007).
La médecine générale est une spécialité particulière par son mode d'exercice en soins primaires, par sa place de premier recours et par son rôle dans l'accompagnement des patients dans la continuité. Elle ne saurait être découpée en sous-spécialités, que ce soit par mode d'exercice ou par orientation.
Dans ce contexte, le Collège de la Médecine Générale réaffirme qu'il faut différencier « diplôme universitaire » et « qualification ordinale» :
- la validation du D.E.S (diplôme d'études spécialisées) de médecine générale confère à tous les jeunes diplômés le titre de spécialiste dans la discipline.
- la soutenance de la thèse confère le titre de Docteur en médecine.
- la qualification ordinale est accordée de droit à tous les spécialistes diplômés qui débutent leur exercice professionnel. Pour les médecins généralistes en exercice, non titulaires du D.E.S, la reconnaissance des acquis de l'expérience professionnelle permet d'obtenir le même titre, sur décision de commissions de qualification de l'Ordre des médecins en fonction de critères nationaux.
Cependant, des disparités importantes et inacceptables ont été observées suite aux décisions des commissions départementales, par non respect des critères nationaux, au risque de laisser des professionnels qui exercent la médecine générale au bord du chemin. Ces critères nationaux doivent être affirmés par le CNOM, et respectés par l'ensemble des commissions départementales.
La qualification ordinale procède uniquement de la spécialité universitaire ou de la reconnaissance de l'expérience et des acquis. La justification de l'expérience et le respect des critères sont une nécessité au regard de la transparence du rôle de chacun dans le système de santé, au service notamment de l'information des patients.
Le titre requiert au plan professionnel une prise en charge de tous les motifs de recours sans sélection des patients, une approche globale, un suivi des problématiques de santé les plus prévalentes, en particulier les patients atteints de maladies chroniques, dans le respect des données actualisées de la science.
Cet ensemble est illustré par la fonction de « médecin généraliste traitant ». Dans ce cadre, des techniques de soins particulières peuvent être intégrées à l'activité de médecine générale, au contraire d'activités à orientations exclusives et sélectives. Pour illustrer le propos, un spécialiste en médecine générale doit assurer prise en charge globale, coordination et continuité des soins conformément aux données de la science, en ayant la possibilité de recourir à ces techniques de soins.
Des processus de mise à niveau existent pour les médecins souhaitant changer d'activité et exercer la médecine générale, tenant compte des acquis de l'expérience et du curriculum vitae.
Le Collège conseille aux médecins qui n'exercent pas la médecine générale et qui n'ont pas de spécialités reconnues de se rapprocher de leurs organisations professionnelles pour faire reconnaitre leurs droits légitimes. C'est le cas des nombreux médecins hospitaliers improprement qualifiés « PH de médecine générale ». Ce sont des médecins omnipraticiens qui relèvent souvent de spécialités comme la médecine interne, par exemple.
Le Collège de la Médecine Générale s'inscrit dans le travail effectué depuis plus de 30 ans pour clarifier aux yeux de la société et des patients la situation des médecins généralistes. C'est une nécessité au bénéfice d'une organisation lisible et structurée du système de santé et de la qualité et de la sécurité des soins prodigués à la population. C'est une nécessité pour respecter l'investissement des jeunes professionnels issus de l'université médicale, dans la médecine générale, spécialité identifiée et reconnue.
www.lecmg.fr
• Comme une discipline scientifique et universitaire, avec sa filière de formation le D.E.S, (diplôme d'études spécialisées) depuis 2004, et ses enseignants chercheurs (loi de février 2008),
• Comme une spécialité, appuyée sur le référentiel métier et compétences officiel (Mission Matillon), ses modalités d'exercice, reconnaissance qui a enclenché le processus de qualification par l'Ordre des médecins, au sein de commissions de qualification (depuis 2007).
La médecine générale est une spécialité particulière par son mode d'exercice en soins primaires, par sa place de premier recours et par son rôle dans l'accompagnement des patients dans la continuité. Elle ne saurait être découpée en sous-spécialités, que ce soit par mode d'exercice ou par orientation.
Dans ce contexte, le Collège de la Médecine Générale réaffirme qu'il faut différencier « diplôme universitaire » et « qualification ordinale» :
- la validation du D.E.S (diplôme d'études spécialisées) de médecine générale confère à tous les jeunes diplômés le titre de spécialiste dans la discipline.
- la soutenance de la thèse confère le titre de Docteur en médecine.
- la qualification ordinale est accordée de droit à tous les spécialistes diplômés qui débutent leur exercice professionnel. Pour les médecins généralistes en exercice, non titulaires du D.E.S, la reconnaissance des acquis de l'expérience professionnelle permet d'obtenir le même titre, sur décision de commissions de qualification de l'Ordre des médecins en fonction de critères nationaux.
Cependant, des disparités importantes et inacceptables ont été observées suite aux décisions des commissions départementales, par non respect des critères nationaux, au risque de laisser des professionnels qui exercent la médecine générale au bord du chemin. Ces critères nationaux doivent être affirmés par le CNOM, et respectés par l'ensemble des commissions départementales.
La qualification ordinale procède uniquement de la spécialité universitaire ou de la reconnaissance de l'expérience et des acquis. La justification de l'expérience et le respect des critères sont une nécessité au regard de la transparence du rôle de chacun dans le système de santé, au service notamment de l'information des patients.
Le titre requiert au plan professionnel une prise en charge de tous les motifs de recours sans sélection des patients, une approche globale, un suivi des problématiques de santé les plus prévalentes, en particulier les patients atteints de maladies chroniques, dans le respect des données actualisées de la science.
Cet ensemble est illustré par la fonction de « médecin généraliste traitant ». Dans ce cadre, des techniques de soins particulières peuvent être intégrées à l'activité de médecine générale, au contraire d'activités à orientations exclusives et sélectives. Pour illustrer le propos, un spécialiste en médecine générale doit assurer prise en charge globale, coordination et continuité des soins conformément aux données de la science, en ayant la possibilité de recourir à ces techniques de soins.
Des processus de mise à niveau existent pour les médecins souhaitant changer d'activité et exercer la médecine générale, tenant compte des acquis de l'expérience et du curriculum vitae.
Le Collège conseille aux médecins qui n'exercent pas la médecine générale et qui n'ont pas de spécialités reconnues de se rapprocher de leurs organisations professionnelles pour faire reconnaitre leurs droits légitimes. C'est le cas des nombreux médecins hospitaliers improprement qualifiés « PH de médecine générale ». Ce sont des médecins omnipraticiens qui relèvent souvent de spécialités comme la médecine interne, par exemple.
Le Collège de la Médecine Générale s'inscrit dans le travail effectué depuis plus de 30 ans pour clarifier aux yeux de la société et des patients la situation des médecins généralistes. C'est une nécessité au bénéfice d'une organisation lisible et structurée du système de santé et de la qualité et de la sécurité des soins prodigués à la population. C'est une nécessité pour respecter l'investissement des jeunes professionnels issus de l'université médicale, dans la médecine générale, spécialité identifiée et reconnue.
www.lecmg.fr
AVIS SUR LES SALLES D’INJECTION CONTROLEE DE DROGUES
ACADÉMIE NATIONALE DE PHARMACIE
SANTÉ PUBLIQUE - MÉDICAMENT - PRODUITS DE SANTÉ - BIOLOGIE - SANTÉ ET ENVIRONNEMENT
Fondée le 3 août 1803 sous le nom de Société de Pharmacie de Paris
Reconnue d’utilité publique le 5 octobre 1877
AVIS SUR LES SALLES D’INJECTION CONTROLEE
DE DROGUES
adopté par le Conseil du 12 février 2014 et en séance du 19 février 2014
L’Académie nationale de Pharmacie, ayant pris connaissance du projet ministériel d’expérimentation
de salles de consommation contrôlée de drogues, a demandé à sa Commission des Substances
vénéneuses et des Dopants d’analyser ce projet et de donner son avis qui a été adopté par le Conseil du
12 février 2014 et qui est présenté en séance plénière de l’Académie le 19 février 2014.
considérant :
l’absence de garantie de qualité, d’identité et d’asepsie des produits injectés (« drogues de rue »),
l’objectif qui est de venir en aide à ces patients et non d’entretenir leurs addictions,
la non garantie d’éviter les contaminations par le VIH ou le VHC, la majorité des patients étant le
plus souvent déjà contaminés,
l’effet limité sur leur réinsertion dans le circuit sanitaire,
l’absence de données concernant la responsabilité des médecins et des pouvoirs publics en cas de
complication médicale ou d’actes délictueux commis sous l’emprise de la drogue injectée
(accidents de la route, par exemple),
l’absence de rigueur méthodologique et de critères d’évaluation de l’expérimentation envisagée,
les rares études plutôt favorables à ce genre d’expérimentation concernant l’usage d’héroïne
médicinale et non celui de « drogues de la rue » comme dans le cas présent,
l’exemple de certains pays comme la Suède qui ont supprimé les salles d’injection en raison de
leurs résultats peu convaincants,
le nombre de centres de soins pour toxicomanes existant en France, avec 170 000 patients sous
traitement substitutif,
l’absence de concertation avec le monde médical et pharmaceutique à la recherche d’un
consensus,
l’Académie nationale de Pharmacie émet un avis défavorable à l’expérimentation de salles
d’injection contrôlée de « drogues de rue » telle qu’elle est actuellement définie dans le projet, et
demande, pour une plus grande sécurité des patients, un renforcement des moyens alloués aux
centres de soins pour toxicomanes et aux unités d’addictologie.
… /…
Avis AnP Salles d’injection adopté Conseil 12.02.2014 et séance du 19 février 2014 2 / 2
Bibliographie
Heroin or conventional opioid maintenance ? The patients’ perspective. J Addict Med, 2013, 7,
401-4.
Effectiveness of methadone maintenance treatment in prevention of Hepatitis C Virus
transmission among injecting drug users. Hepat Mon, 2013, 13, e12411.
New heroin-assisted treatment. Recent evidence and current practices of supervised injectable
heroin treatment in Europe and beyond. EMCDDA Insights, European Monitoring Centre for
Drugs and Drug Addiction, 2012, 170 pp.
Supervised injectable heroin treatment is expensive but cost effective, report says. BMJ, 2012,
344, e2942.
Héroïne – Teneurs et adultérants. Évolutions récentes. Observatoire Français des Drogues et des
Toxicomanies, Dispositif SINTES, 2011.
Supervised injectable heroin or injectable methadone versus optimised oral methadone as
treatment for chronic heroin addicts in England after persistent failure in orthodox treatment
(RIOTT) : a randomised trial. Lancet, 2010, 375, 1885-95.
Les traitements de substitution aux opiacés : bilan des politiques publiques. Ann Pharm Fr, 2009,
67, 299-303.
From illegal poison to legal medicine : a qualitative research in a heroin-prescription trial in
Spain. Drug Alcohol Rev, 2009, 28, 186-95.
ACOUPHENES ET HYPERACOUSIE
Focus sur des troubles de
l’audition qui pourraient bien s’avérer
les maux de notre siècle
Parmi les troubles de l’audition, les acouphènes
(bourdonnements et sifflements dans la tête et dans les oreilles)
et l’hyperacousie (hypersensibilité aux bruits normalement
supportés) sont des symptômes ORL de plus en plus fréquents
au sein de la population française. Entre 2 et 2,5 millions de
Français de tous les âges sont officiellement déclarés
acouphéniques (source : association France Acouphènes).
Mais on estime que 6 à 8 millions de personnes en souffriraient
parmi la population française.
L’origine de ces troubles de l’audition est multiple :
Traumatisme Sensoriel Auditif (lié aux pratiques d’écoute
de musique amplifiée ou au bruit au travail) ; usure des
mécanismes de l’oreille avec l’âge ; choc émotionnel ;
prise de médicaments ototoxiques…
Vivre avec ces gênes ou troubles en permanence est
insupportable et provoque fatigabilité, dégradation
de la vie intellectuelle, physique, psychique et sociale.
17 e Journée Nationale de l’Audition
Avec la participation de :
Mme Roselyne Nicolas - France Acouphènes
Dr. Pascal Foeillet - ORL
Dr. Paul Zylberberg - Médecin du travail
Dr. Martine Ohresser - ORL
membres du Comité Scientifique de la JNA
Au cours de cette Conférence,en avant-première :
les résultats de l’Enquête Nationale JNA - IPSOS - Crédit Agricole :
‘‘Acouphènes et Hyperacousie : Quelles solutions ? ’’
Le Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF se fait l'écho de la Journée Internationale de l'Audition, qui attire cette année l'attention sur la nécessaire mise en place de programmes de prévention liée à la perte auditive, dans de nombreux pays.
En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détectés.
En effet, 80 millions de personnes sont atteintes de déficience auditive dans l'Union Européenne et 30% des cas restent non détectés.
NDLR : MGEFI et AUDITION
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13 mars 2014: journée nationale de l'audition
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Annuaire Secu - Lettre 591 sélection d'info
10e Podium de la relation client Bearing Point et TNS
Sofres. L'Assurance retraite reçoit le 1er prix dans la catégorie Services
publics
17/02/14 - Pour la sixième année consécutive, l'Assurance retraite reçoit le 1er prix Podium de la relation client dans le secteur Services publics de la part de Bearing Point et TNS Sofres. Ce trophée remis le 10 février 2014 récompense son offre de services en ligne ainsi que la qualité de l'accueil et des conseils retraite que la branche propose à ses assurés.
Le classement s'établit sur l'évaluation exprimée par les clients et usagers, meilleurs juges de la performance des organisations en matière de Relation Client. Pour chaque organisation, les personnes interrogées sont amenées à se prononcer sur 14 dimensions structurantes de la Relation Client réparties en 3 catégories (exécution, lien et émotion).
BearingPoint
et TNS Sofres annoncent les résultats du 10e Podium de la Relation Client
Le
communiqué de la CNAV du 12 février 2014
La vidéo de la semaine
L'Ecole nationale supérieure de Sécurité sociale (EN3S), en partenariat
avec le Commissariat général à la stratégie et à la prospective, a organisé,
vendredi 14 février, la cérémonie de remise du Prix EN3S 2013.
Retrouvez la vidéo de la cérémonie et les photos sur le site du Commissariat général à la stratégie et à la prospective
Le hit des liens
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