Nora ANSELL-SALLES

vendredi 28 février 2014

Matinale IRPS : La Prévention des risques Psychosociaux dans la Fonction Publique


Matinales Le Jeudi 3 Avril 2014 de 9h30 à 12h30



Au siège de la Mutuelle Générale Environnement & Territoires (MGET)

76/78 avenue de Fontainebleau – 94270 Le Kremlin Bicêtre, Métro : Le Kremlin Bicêtre


La prévention des risques psychosociaux dans la fonction publique :
La mise en œuvre au lendemain du dernier accord


Par son actualité, ses contenus opérationnels, le protocole d’accord cadre  signé le 22 octobre 2013 entre la ministre de la FP et les représentants des organisations syndicales et des employeurs, nous interpelle, nous oblige et nous intéresse[1].




Pourquoi ?

- car il dit vouloir « intégrer durablement la prise en compte des RPS, puis d’aller à terme vers des mesures plus larges d’amélioration de la qualité de vie au travail (QVT) »

- car il prévoit l’élaboration par chaque employeur public d’un plan d’évaluation et de prévention des RPS, 

- parce qu’il y a un calendrier précis : une phase de diagnostic dès 2014 et intégré dans le DU, une mise en œuvre au plus tard en 2015, et un 1ér bilan du plan national en 2016,

- parce qu’il insiste sur des « éléments primordiaux » tels que :



la participation des agents,

le rôle et la place de l’encadrement dans la formation,

la QVT comme nouvelle logique,

le rôle indispensable des CHSCT, avec 2 jours de formation à la prévention 

des RPS en 2014 ou 2015, dont au moins 1 journée en 2014.

- parce qu’il accompagné de 2 annexes, l’une sur l’octroi de moyens, en termes de temps et de formation, aux membres des CHSCT et l’autre, sur la médecine de prévention.





Que faire pour faire vivre un tel accord sachant  les contraintes que vivent les secteurs en question, les moyens de la mise en œuvre effective, les référentiels de formation, les modalités de choix des intervenants ? D’où le débat auquel nous vous convions et que nous souhaitons autour du    

                                

Comment faire en commun et chacun de son côté ?



Débat introduit par
Mme Sophie Guilbot- Christaki , responsable diadoque social, DGAFP (pressentie)

         Mr Nadim FARES, responsable du FNP (Fonds National de prévention CNRA CL)

         Mr. Denis GARNIER, FO, animateur d’un blog 

         Mme Florence Hutin Van Thuy, IRPS


Animé par
          Dr O Brixi, médecin et enseignant de santé publique


Contacts

Francine Grari : irps@mget.fr

Christelle GROUT-MORISSET : Christelle.grout-morisset@mnt.fr


Christelle GROUT-MORISSET
Gestionnaire Action Sociale et Prévention
 
Responsable : Madame Céline THIEBAULT

christelle.grout-morisset@mnt.fr
 





NDLR: MGEFI et Risques psychosociaux
www.journaldunet.com › ManagementRH
14 mars 2013 - Au sein des entreprises, les facteurs de risques psychosociaux sont ... Responsable des Veilles, Partenariats et Relations presse, MGEFI.
www.miroirsocial.com/membre/nansellsalles/blog/
www.journaldunet.com/account/nora-ansell-salles-5910

 




 


 




 
 
 




8 mars : Journée de la femme - Hymne Jeane Manson et Shirel

La Journée de la Femme a son hymne!



« Une Femme » le tube de la cultissime Jeane Manson pourrait bien devenir l’hymne de la journée internationale de la femme du 8 Mars.

A l’occasion de cette journée spéciale, Jeane Manson et sa fille Shirel revisitent cette chanson dans une complicité mère-fille avec une version groove et « catchi »… Un véritable « Double Je » tendre et rafraichissant qui sera interprété pour la première fois en Live lors du Concert exceptionnel de Shirel le 19 Mars 2014 au Palais Maillot à Paris. 20h30




C'est à lire : Vivre avec des difficultés d'audition

 
Répercussion sur les activités quotidiennes, l’insertion et la participation sociale
 de Laurence Haeusler, Bénédicte Mordier - Editions DREES

D’après l’enquête Handicap-Santé, 10 millions de personnes rencontrent des problèmes d’audition en 2008 en France. Pour 5,4 millions de personnes, ces limitations auditives, considérées comme allant de moyennes à totales, sont susceptibles d’avoir des répercussions sur leur vie quotidienne. Parmi elles, 360 000 ont des limitations très graves à totales puisqu’elles sont dans l’incapacité de suivre une conversation à plusieurs.


Les difficultés auditives sont plus fréquentes en vieillissant. Après 50 ans, une personne sur trois en déclare et plus d’une sur deux après 80 ans.


46% des personnes ayant des difficultés auditives moyennes à totales sont atteintes d’autres limitations (motrices, visuelles, intellectuelles, psychiques ou cognitives) contre 20% de l’ensemble de la population. Elles sont ainsi davantage exposées à des restrictions dans les activités de la vie quotidienne. Près du tiers des personnes ayant des problèmes auditifs se font aider par leur entourage ou des professionnels pour des actes de la vie courante. Seules un cinquième des personnes ayant des difficultés moyennes à totales portent un appareil auditif.


La participation à la vie sociale n’est affectée que pour les personnes ayant les limitations auditives les plus importantes. Les personnes ayant des limitations très graves ou totales vivent moins souvent en couple et sont moins souvent en emploi. Les rencontres avec la famille et les amis restent néanmoins aussi fréquentes que dans l’ensemble de la population.


bactéries multirésistantes


LES MARDIS DE L'ACADEMIE  DE MEDECINE

Mardi 4 mars 2014, 14h30

 

 

Les bactéries multirésistantes

Organisateur : François BRICAIRE

 

 

 

 

Introduction par François BRICAIRE (Membre de l’Académie nationale de médecine ; francois.bricaire@psl.aphp.fr)

 
Textes disponibles sur demande

Communications

Les bactéries multirésistantes à Gram négatif : quelles sont-elles ? Type de résistance ? Lesquelles craindre ? par Vincent JARLIER (Laboratoire de Bactériologie-Hygiène, Faculté de Médecine Pitié-Salpêtrière, Université Pierre et Marie Curie Paris VI –  vincent.jarlier@psl.aphp.fr)

 

Les bactéries multirésistantes à Gram positif : probabilité de résistance ? Que craindre ? par Gérard LINA (Laboratoire de microbiologie, Centre Hospitalier Lyon-Sud –  gerard.lina@univ-lyon1.fr)

 

Quels traitements innovants pour gagner la bataille des bactéries multirésistantes ? par Pierre TATTEVIN (INSERM U835, Université Rennes I - Maladies infectieuses et réanimation médicale, CHU Pontchaillou, Rennes –  pierre.tattevin@chu-rennes.fr)

L’émergence progressive des bactéries multirésistantes s’est accélérée nettement au cours de la dernière décennie, et serait à l’origine d’une surmortalité estimée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) à 25 000 décès attribuables chaque année en Europe. Cette situation non contrôlée s’accompagne d’un essoufflement majeur du développement de nouveaux antibiotiques, et laisse planer le spectre d’un retour à l’ère « pré-antibiotiques ». Dans ce contexte, la recherche et le développement de traitements anti-infectieux non antibiotiques s’intensifie, avec comme pistes principales : i) l’utilisation thérapeutique des phages (virus des bactéries), qui vise à valider l’efficacité et la tolérance de la phagothérapie largement utilisée dans plusieurs pays de l’Est depuis presque cent ans – cette piste se heurte aux contraintes liées à la nature de ces agents biologiques évolutifs et à l’absence d’études cliniques convaincantes ; ii) les bactériocines, petits peptides antibactériens secrétés par de nombreuses bactéries, avec des candidats rapidement bactéricides, bien tolérés, et à faible risque écologique pour la flore bactérienne – le développement des bactériocines est cependant freiné par la fragilité de ces peptides, les difficultés de pénétration des membranes bactériennes, et le risque d’émergence rapide de résistances ; iii) les oligonucléotides anti-sens, dont le principe est d’inactiver un gène en se liant de manière spécifique à un fragment d’ADN ou d’ARN complémentaire, ce qui pourrait permettre d’éteindre des facteurs de virulence – cette classe thérapeutique semble avoir plus d’avenir dans le traitement des infections virales, ou de maladies génétiques, que pour les bactéries multirésistantes, compte-tenu des difficultés d’acheminement de ces oligonucléotides à l’intérieur des bactéries.

 

Conclusion par François BRICAIRE

 

 

C'est à lire : L'impuissance face au pouvoir social d'un anti-héros


JC Satan est le héros diabolique d'une histoire d'amour surréaliste et improbable. Il se moque de l'échec de l'amour et de la liberté dans le chaos social actuel. Ecartelé entre sa survie formatée et son existence irrationnelle, il s'identifie aux phénomènes qu'il ne peut expliquer tels l'amour, les accidents, la naissance, le destin ou la mort. Il aime découvrir ses différences au fil de ces événements spécifiques et inopinés. Il est au contraire mal à l'aise dans la vie rationnelle qui lui assure son rôle dans la société. Il l'est d'autant plus que la vie exigeante s'accomode mal de l'incertitude de ses états d'âme. Il est perdu en constatant sa dépendance des autres. Clone anonyme, coupé de ses privilèges affectifs, philosophiques et idéologiques, endetté et éloigné des siens, il avoue son impuissance face au pouvoir social. Peut-il croire encore en l'amour et la liberté avant de mourir à l'asile?

 



C'est l'histoire de JC Satan qui croit comme Don Quichotte en son étoile, éclairant d'une lumière providentielle son destin bien obscur.
L’AUTEUR - SAM GAVE
Sam Gave a déjà publié « Bukowski n'en a jamais parlé » aux éditions L’Harmattan en 2012. Il s’agissait de son second recueil de poèmes érotiques après « JE N’AI DE LIBRE QUE MA CHUTE » publié chez Edilivre deux ans plus tôt . Aujourd’hui, il publie son nouvel ouvrage pour lequel il a fait le choix du tout numérique.
Sam Gave est un poète à fleur de peau, né de "L'amour est un chien de l'enfer" de Charles Bukowski. Comme lui, il flirte avec le chaos et l'amour dans une atmosphère de consommation charnelle et de vidange cérébrale. A-t-il une solution au chaos ? Sam est un aventurier né de Sailor et Lula et de Pulp Fiction. Sam est fou, fou de rage et fou d'elle comme dans American Psycho. La femme est sa chimiothérapie.


> SAM GAVE est disponible pour des interviews.


Sam Gave « Bulle d’amour »

Format Ebook seulement
314 pages - 6 euros
Taille du fichier ebook : 934 Ko
Editions Sam Gave






C'est à lire : Le compte de la dépendance en 2011 et à l'horizon 2060

Axel Renoux, Romain Roussel, Catherine Zaidman - Editions DREES
 
 
En 2011, les dépenses publiques de prise en charge de la perte d’autonomie ont atteint 21,1 milliards d’euros, soit 1,05 point de PIB. Évaluée dans une optique ciblée sur le surcoût de la dépendance, cette somme recouvre les dépenses au titre des dépenses de santé (pour 11,0 milliards d’euros), de prise en charge médico-sociale (8,0 milliards d’euros) et de l’hébergement (2,1 milliards). En incluant les sommes à la charge des ménages, la dépense totale atteindrait 28,3 milliards en 2011, soit 1,41 % du PIB.
 
 
À l’horizon 2060, la prise en charge publique de la perte d’autonomie s’élèverait dans le scénario intermédiaire étudié à 35 milliards d’euros en valeur équivalente de 2011, soit 1,77 point de PIB. Cet accroissement, continu sur la période de projection, serait plus marqué entre 2025-2040 du fait de la démographie. Pour estimer la sensibilité des résultats à différentes hypothèses macro-économiques, démographiques ou d’indexation, plusieurs scénarios ont été simulés. Si les résultats ne sont pas sensibles en part de PIB aux hypothèses macro-économiques retenues, ils le sont en revanche aux hypothèses démographiques et législatives. Les hypothèses d’indexation des différentes aides sociales et fiscales dont bénéficient les personnes âgées dépendantes ont en effet une influence marquée, non sur le montant global, mais sur la répartition de la dépense entre financeurs publics et ménages.

Lutte contre l’affichage sauvage en période électorale

La polémique concernant l’enlèvement d’affiches « Derrière le sourire la facture » nécessite une clarification :


1. Les équipes de la Propreté de Paris procèdent tout au long de l’année à des recensements d’affichages sauvages afin que les services procèdent à leur enlèvement. Lorsque des campagnes d’affichage commercial ou politique massives sont identifiées, des recensements plus ciblés peuvent être opérés. Tout signalement par des tiers d’affichage sauvage peut déboucher sur une intervention de la Propreté de Paris. En période électorale, la masse d’affichage illégale est plus importante et les services de la propreté de la ville renforcent actuellement leur activité contre tous les supports installés, quel(le) que soit le candidat ou la candidate concerné(e), sans autorisation dans l’espace public.

2. En janvier 2014, la maire du 16ème arrondissement a ainsi demandé à la direction de la propreté l’enlèvement d’une trentaine d’affiches de Thomas Lauret, tête de liste PS du « 16e qui ose » agrafées sur du mobilier urbain dans le secteur Porte de Saint Cloud / Avenue de Versailles. Cela a été fait immédiatement. En décembre 2013, c’était une campagne d’affichage sauvage du Front de gauche qui a donné lieu à une intervention du service de la propreté dans plusieurs arrondissements. Enfin, Nicolas Miguet, coutumier de ces affichages sauvages, avait déjà été averti par les services de la propreté en août 2013. Cette pratique est illégale et passible de peines pécuniaires comme le prévoit une délibération votée en novembre 2001par le Conseil de Paris.

3. Ni le maire de Paris, ni la première adjointe, ni l’adjoint en charge de la Propreté n’ont donné d’instructions concernant une campagne d’affichage spécifique. Ce sont les services qui gèrent ce type d’intervention où des actions d’enlèvement d’affiches sont très régulièrement menées.

La Ville de Paris observe donc une totale impartialité et répond de la même façon, sans exclusive, aux signalements d’affichage illégal qui lui sont remontés par ses services ou par les citoyens parisiens.




La création étudiante à l’assaut de Paris !

La création étudiante à l’assaut de Paris !




Du 13 au 27 mars 2014, la Ville de Paris organise la 11ème édition du festival artistique étudiant ICI&DEMAIN.
Plus de 40% des étudiants parisiens s’épanouissent dans des pratiques artistiques amateurs. Le festival ICI&DEMAIN, créé par la Ville de Paris, permet à ces jeunes artistes d’être découverts par le grand public en se produisant dans des lieux culturels de renom dans des conditions professionnelles.


La soirée d’ouverture d’ICI&DEMAIN se déroulera au Cirque Electrique, le jeudi 13 mars. Elle permettra au public de découvrir ou redécouvrir les talents de l’édition 2013.


Musique, Courts métrages, Spectacle vivant et Arts Visuels, durant les 15 jours qui suivront, ce sont 40 spectacles, performances, concerts, expositions, installations et projections qui seront proposés gratuitement aux parisiennes et aux parisiens à l’occasion du festival.



16 lieux culturels sont partenaires de cette : Le Cirque Electrique (20e), La Rotonde (19e), Le Théâtre Ouvert (18e), Le Wanderlust (13e), Le Théâtre Paris-Villette (19e), l’Espace Pierre Cardin (8e), le Point Ephémère (10e), La Machine du Moulin Rouge (18e), Le Théâtre 13/Jardin (13e), Le Studio Le regard du Cygne (20e), La Galerie du Crous de Paris (6e), le Centre d’animation Les Halles-Le-Marais (1er), le Centre Fleury Goutte d’Or Barbara (18e), La MPAA Saint-Germain (6e), Le Cinéma Saint-André des Arts (6e) et Le Forum des Images (1er).



Retrouvez toute la programmation du festival ICI&DEMAIN sur icietdemain.fr

Lancement de la 13e édition des rencontres internationales de danse Hip Hop


Depuis 12 ans, l’association Juste Debout organise les Rencontres Internationales de danse hip-hop où six des grands courants de la famille hip-hop sont représentés : locking, popping, hip hop new style, house, expérimental et top rock. Ces rencontres ont gagné, au fil des années, une grande notoriété, réunissant en 2013 plus de 3 600 danseurs venus de 15 pays à travers le monde. A Paris, les finales du festival ont attiré près de 16 000 spectateurs.



Cet événement s’impose aujourd’hui comme l’un des plus grands rassemblements de danse hip-hop.



Cette année, la 13e édition de ces rencontres internationales se déroulera le dimanche 2 mars au Palais Omnisports de Bercy dès 14h.



La Ville de Paris, qui accompagne depuis ses débuts le festival Juste Debout, accueillera les présélections des artistes français le 28 février prochain dès 18h dans la nef du Petit Palais.


 
 
 
 
 


E-cigarette : le SYNAPCE réagit contre la décision européenne portant sur les produits du tabac


Le SYNAPCE réagit contre la décision européenne portant

sur les produits du tabac
 




Le SYNAPCE, syndicat national de la cigarette électronique, s'insurge contre la directive adoptée ce 26 février par le Parlement Européen. Il s'inquiète quant à ses répercussions en matière de santé publique et de destructions d'emplois.
 

[Paris, le 27 février 2014] - Le SYNAPCE a pris acte des résultats du vote par le parlement européen intervenu le 26 février concernant la Directive sur les produits du tabac, et plus particulièrement sur l'article 18 portant sur la cigarette électronique.

Le SYNAPCE déplore vivement cette décision hâtive et ses répercussions désastreuses. Si le texte est appliqué en l’état, il pourrait avoir pour conséquences une recrudescence aigue du tabagisme dans les pays européens et une perte massive d'emplois dans le secteur. En France, 800 boutiques spécialisées dans la cigarette électronique seraient, à ce jour, recensées.

Pour le SYNAPCE, cette décision porte atteinte à la santé publique et aux droits fondamentaux des citoyens européens. Elle fait fi des recommandations de nombreux scientifiques internationaux au profit d'intérêts économiques et financiers.

Elle enfreint sans équivoque le principe de libre circulation des marchandises et de plusieurs textes européens, comme le soulignait déjà l'eurodéputé Clive Bates, ancien directeur de l'Action on Smoking and Health, dans sa lettre à la commission ENVI.

Absence de consultations, interprétations erronées de rapports scientifiques, irrégularités des procédures ; les anomalies présentées par ce texte - adopté à 478 voix pour et 130 contre - semblent nombreuses.

Parmi les nombreux points de la directive, il en est un que le SYNAPCE tient à relever particulièrement, pour les conséquences catastrophiques qu'il peut engendrer pour le secteur de l'e.cig. D'après la directive, un délai de 6 mois sera imposé aux fabricants et importateurs avant toute mise sur le marché de nouveaux produits. Une telle restriction, sur un secteur en fort développement technique, aurait pour effet de freiner considérablement l'évolution des produits, et d'empêcher le développement de ce marché.

Le syndicat précise qu'il prendra toutes les mesures qui s'imposent pour empêcher la mise en application des points de cette directive qui concernent l'e-cigarette.

Le SYNAPCE salue et soutient la déclaration faite par l'AIDUCE à l'issue du vote, et appelle une nouvelle fois à soutenir et à signer en masse l'EFVI, l'initiative Citoyenne Européenne.




Le SYNAPCE en appelle désormais à l'Etat français en espérant qu'il fera preuve de plus de discernement et de moins de précipitation. Il espère qu'un véritable dialogue sera initié avec les scientifiques, les utilisateurs et les professionnels de ce secteur afin de mettre en place une vraie démarche qualité, pour une régulation sereine et mesurée du marché de l'e-cigarette.

C'est ce que le SYNAPCE défend et aspire à construire au travers de sa charte et de son engagement.

 



A propos du SYNAPCE
Créé en décembre 2013, le Syndicat National des Professionnels de la Cigarette Electronique - SYNAPCE - est le premier syndicat français dédié à la défense des intérêts des Professionnels de la e-cigarette.

Né de la volonté d'entrepreneurs pionniers de la Cigarette Electronique dans l'Hexagone, il œuvre pour la reconnaissance par les pouvoirs publics et le grand public de cette activité professionnelle. Il défend les intérêts économiques, juridiques, matériels, moraux et sociaux de ses membres dans l'exercice de leur profession. Il a vocation à devenir un interlocuteur privilégié sur les aspects techniques de la cigarette électronique.

Régi par une charte Qualité rigoureuse, il veille à son strict respect par chacun de ses membres, garantissant aux consommateurs la qualité du service et du conseil qu'ils reçoivent, et celle des produits qui leurs sont vendus (certification, normes, traçabilité, etc.).

Présidé par Richard Pfeiffer, le SYNAPCE compte parmi ses adhérents des distributeurs, fabricants, détaillants répartis sur l'ensemble du territoire national.

Pour plus d'information : http://www.synapce.fr/



NDLR : MGEFI et TABAC

 journée sans tabac                                
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