
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 31 juillet 2014
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?
MINE D'INFOS: Quoi de neuf à la MGEFI ?: Dans les boîtes aux lettres des adhérents MGEFI autour du 20 août 2014 DECOUVREZ en primeur sur 1 août : Intervi...
Quoi de neuf à la MGEFI ?
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Dans les boîtes aux lettres des adhérents autour du 20 août 2014 |
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Au sommaire du prochain n° de Couleurs MGEFI |
PDF
-de la couverture de Couleurs MGEFI: http://fr.calameo.com/read/003152624851d54baeaeb
et
-du Sommaire de
Couleurs MGEFI : http://fr.calameo.com/read/0031526243efb3a0ed960
DECOUVREZ en primeur sur
1 août : Interview de Serge Brichet Pdt. de la MGEFI
5 août : Edito de Serge Brichet Pdt. de la MGEFI
mercredi 30 juillet 2014
MINE D'INFOS: Accompagnement et éducation aux risques liés à l'i...
MINE D'INFOS: Accompagnement et éducation aux risques liés à l'i...: Accompagnement à l'injection : Les résultats sont là, l'urgence sanitaire aussi. Pourquoi attendre ? L'étude AERL...
MINE D'INFOS: Accompagnement et éducation aux risques liés à l'i...
MINE D'INFOS: Accompagnement et éducation aux risques liés à l'i...: Accompagnement à l'injection : Les résultats sont là, l'urgence sanitaire aussi. Pourquoi attendre ? L'étude AERL...
Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection
Accompagnement à l'injection :
Les résultats sont là, l'urgence
sanitaire aussi. Pourquoi attendre ?
L'étude AERLI (Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection), menée conjointement dans 14 villes de
France par délivre
aujourd'hui 24 juillet ses premiers résultats. Présentés à la Conférence
Internationale sur le sida de Melbourne, ces résultats plaident clairement en
faveur d'une généralisation du dispositif.
Première mondiale, cette étude
visait à évaluer la plus-value de sessions d'accompagnement délivrées par les
pairs auprès d'usagers de drogue par injection. L'objectif d'un tel
accompagnement était de réduire les pratiques à risque de transmission du VIH
et de l'hépatite C, ainsi que les dommages et complications sur le site
d'injection (abcès, infections…).
Des résultats sans appel. Les sessions d'accompagnement ont été réalisées sur
une période de 12 mois auprès de 113 usagers de drogue par voie intraveineuse,
répartis sur 8 centres en France. 127 autres usagers répartis dans 9 autres
centres ont constitué le groupe témoin de l'étude.
On observe parmi les usagers qui
ont bénéficié d'AERLI :
- une diminution de plus de 40% en
6 mois des pratiques à risque de contamination et de transmission infectieuse
(VIH et VHC)[1][1]
- une diminution de plus de 40% en
12 mois des complications observées sur les points d'injection (abcès,
infection…)[2][2]
L'étude AERLI (Accompagnement et éducation aux risques liés à l'injection), menée conjointement dans 14 villes de
France par l'ANRS, AIDES, Médecins du Monde et l'INSERM Marseille, délivre
aujourd'hui 24 juillet ses premiers résultats. Présentés à la Conférence
Internationale sur le sida de Melbourne, ces résultats plaident clairement en
faveur d'une généralisation du dispositif.
Première mondiale, cette étude
visait à évaluer la plus-value de sessions d'accompagnement délivrées par les
pairs auprès d'usagers de drogue par injection. L'objectif d'un tel
accompagnement était de réduire les pratiques à risque de transmission du VIH
et de l'hépatite C, ainsi que les dommages et complications sur le site
d'injection (abcès, infections…).
Des résultats sans appel. Les sessions d'accompagnement ont été réalisées sur
une période de 12 mois auprès de 113 usagers de drogue par voie intraveineuse,
répartis sur 8 centres en France. 127 autres usagers répartis dans 9 autres
centres ont constitué le groupe témoin de l'étude.
On observe parmi les usagers qui
ont bénéficié d'AERLI :
- une diminution de plus de 40% en
6 mois des pratiques à risque de contamination et de transmission infectieuse
(VIH et VHC)[3][1]
- une diminution de plus de 40% en
12 mois des complications observées sur les points d'injection (abcès,
infection…)[4][2]
En une année, le dispositif d'accompagnement a su
faire évoluer les pratiques des usagers vers une réduction remarquable des
risques infectieux et des dommages.
Des publics particulièrement exposés. Autre constat positif observé par nos équipes sur le
terrain, cet accompagnement a permis d'atteindre des publics très précarisés,
donc particulièrement exposés aux risques infectieux et aux dommages liés à
l'injection. Des publics difficiles à atteindre et pour lesquels l'urgence
d'intervention est la plus forte. Un argument de plus en faveur de la
pertinence de ce dispositif.
Forts de ces résultats, AIDES plaide pour sa généralisation sans délais sur
l'ensemble du territoire. "Nous ne pouvons nous permettre
d'attendre encore 5 ans pour rendre accessible ce dispositif aux usagers qui en
ont le plus besoin. On estime aujourd'hui que plus des deux tiers des usagers
de drogues par injection sont porteurs de l'hépatite C, dont une grande partie
l'ignore. Le temps n'est pas à la tergiversation ou aux considérations
idéologiques. Nous sommes dans un contexte d'urgence sanitaire, il faut agir,
et agir vite" explique Bruno Spire, président de AIDES.
AIDES appelle à la mise en place rapide d'un cadre réglementaire autorisant le déploiement de l'éducation aux risques
liés à l'injection. Si un tel cadre n'était pas rapidement fixé, AIDES prendra
ses responsabilités et fera en sorte que ce nouvel outil de réduction des
risques puisse bénéficier à ceux qui en ont le plus urgemment besoin. "Lorsqu'à la fin des années 80
l'épidémie de sida décimait les usagers de drogues par dizaines de milliers,
AIDES et d'autres associations n'ont pas attendu l'approbation des pouvoirs
publics pour mettre du matériel stérile à disposition des usagers" rappelle
Bruno Spire. Avec les résultats
spectaculaires que l'on sait[5][3].
MINE D'INFOS: C'est à lire : les jeunes adultes confrontés à la ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : les jeunes adultes confrontés à la ...: "Quitter le foyer familial : les jeunes adultes confrontés à la crise économique" de Mickaël Portela et Florent Dezenaire - Ed...
C'est à lire : les jeunes adultes confrontés à la crise économique
"Quitter le foyer familial : les jeunes adultes confrontés à la crise économique" de Mickaël Portela et Florent Dezenaire - Edition DREES Études et résultats n° 887, juillet 2014
Plus de la moitié des jeunes adultes sortis du système éducatif en 2007 n’habitent plus chez leurs parents en 2010. Les jeunes hommes sont moins nombreux à quitter le foyer parental que les jeunes femmes : c’est le cas de 45 % d’entre eux, contre 64 % des jeunes femmes. Par rapport aux jeunes adultes sortis du système éducatif en 2004 et interrogés en 2007, le taux de départ du domicile parental a baissé de 4 points en 2010.
Entre ces deux cohortes, la situation s’est davantage détériorée pour les jeunes confrontés à des difficultés d’insertion professionnelle. Dans un contexte de crise économique, le départ du domicile parental est davantage conditionné par l’accès à l’emploi : le taux de jeunes chômeurs ayant décohabité trois années après la sortie du système éducatif a diminué de 7 points entre les deux cohortes. Les inactifs, les jeunes qui ont repris une formation et les jeunes qui occupent des emplois précaires ont moins de chances en 2010 qu’en 2007 d’avoir quitté le foyer familial, par comparaison avec les jeunes adultes occupant un emploi stable.
Référence : Mickaël Portela et Florent Dezenaire, 2014, « Quitter le foyer familial : les jeunes adultes confrontés à la crise économique », Études et Résultats, n°887, Drees, Juillet.
Pour accéder à l'ensemble des publications sur Internet : http://www.drees.sante.gouv.fr.
MINE D'INFOS: Que sont-ils devenus...
MINE D'INFOS: Que sont-ils devenus...: Christophe, Laurence, Sandrine, Lazare recherchaient un emploi et avaient sollicité le concours de vos réseaux professionnels et perso...
Que sont-ils devenus...
Christophe, Laurence, Sandrine, Lazare recherchaient un emploi et avaient sollicité le concours de vos réseaux professionnels et personnels....
Le blog avait relayé leur bouteille à la mer... Découvrez ce qu'ils sont devenus... certains ont toujours besoin de vous...
Merci d'avance pour eux de relayer le lien de cette dépêche dans vos réseaux sociaux
Christophe SUC commence lundi un nouveau job, mais reste pour autant ouvert
aux oportunités
http://pressentinelle2.blogspot.fr/2014/07/bouteille-la-mer-dans-le-cadre-dun.html
Lazare AKE recherche toujours...
Béatrice Princi recherche toujours...
Stéphanie Helderlé a trouvé un job qui lui convient
Laurence Grossot a trouvé un nouveau job
Christophe Devos qui a un job a temps partiel ...
poursuit ses recherche d'un cdi plein temps
Sandrine Guichard nouvelle graphiste officielle de
l'association Emmaüs, toujours aussi passionnée par la création reste ouverte
aux opportunités de piges
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mardi 29 juillet 2014
MINE D'INFOS: L’actualité du sommeil à la rentrée 2014
MINE D'INFOS: L’actualité du sommeil à la rentrée 2014: L’édition 2014 du Congrès du Sommeil® La SFRMS vous donne rendez-vous à Lille le 20 novembre pour l’édition 2014 du Congrès du Sommei...
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