
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 18 février 2014
MINE D'INFOS: 12ème Colloque professionnel Ipse
MINE D'INFOS: 12ème Colloque professionnel Ipse: Généralisation de la complémentaire santé et pilotage d’un régime de branche : quelles conséquences ? Vendredi 21 mars 2014 de 8h...
12ème Colloque professionnel Ipse
Généralisation de la complémentaire santé et pilotage d’un régime de
branche : quelles conséquences ?
Vendredi 21 mars 2014 de 8h30 à 13h
Accueilli par l’AG2R La Mondiale – 26 rue Montholon – 75009 PARIS
Depuis l’ANI du 11 janvier 2013
introduisant la généralisation de la complémentaire santé, les modalités de
mise en œuvre d’accords collectifs dans les branches professionnelles ne
cessent de connaître d’importants rebondissements. Le dernier en date : la décision
du conseil constitutionnel censurant la modulation du forfait social pour les
clauses de recommandations. Ces nombreux revirements durant cette dernière
année, notamment autour de l’article L 912-1 du code de la sécurité sociale,
n’ont pas été sans créer une certaine confusion chez les acteurs de la
protection sociale complémentaire, et plus particulièrement chez les
partenaires sociaux en charge des négociations.
Ce 12e Colloque
professionnel a pour objectif de clarifier les conséquences concrètes de ces
décisions sur la mise en place et le pilotage de régimes de branche par les
négociateurs. Ainsi, de quelles garanties collectives doit-on doter son régime
pour parvenir à un degré élevé de solidarité, nouvelle condition d’éligibilité
aux clauses de recommandations ? Quelles devront être les conditions à suivre
pour la procédure de mise en concurrence des organismes assureurs ? A quelles
suites doit-on s’attendre et peut-on dès à présent agir ? Outre offrir
des conseils et expertises et d’ouvrir à nouveau un espace de débats pour y
voir plus clair, cette matinée proposera notamment un point de vue « européen »
pour prendre de la hauteur sur ces débats.
Télécharger :
- L’exposé des motifs : français
- Le programme : français
- Le bulletin d’inscription et les
conditions de participation : français
- Inscription en ligne
prix de la participation au
Colloque : 150€.
Une facture vous sera envoyée dès réception de votre formulaire. Voir le
bulletin d’inscription et les conditions de participation pour plus
d’informations.
MINE D'INFOS: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI: JOURNEE AUTOREPRESENT...
MINE D'INFOS: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI: JOURNEE AUTOREPRESENT...: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI JOURNEE « AUTOREPRESENTATION » « Rien pour nous sans nous » Le vendredi 14 mars...
MINE D'INFOS: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI: JOURNEE AUTOREPRESENT...
MINE D'INFOS: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI: JOURNEE AUTOREPRESENT...: AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI JOURNEE « AUTOREPRESENTATION » « Rien pour nous sans nous » Le vendredi 14 mars...
MINE D'INFOS: RCA : les efforts internationaux déployés n'arrête...
MINE D'INFOS: RCA : les efforts internationaux déployés n'arrête...: Les efforts internationaux déployés pour protéger les Centrafricains ne suffisent pas à arrêter les massacres Le Con...
MINE D'INFOS: A lire un très bel #hommage à René #Teulade dans l...
MINE D'INFOS: A lire un très bel #hommage à René #Teulade dans l...: René Teulade ou un militant incarné C’est dans sa commune d’Argentat, en Corrèze, dont il était le maire depuis 1989, qu...
MINE D'INFOS: A lire un très bel #hommage à René #Teulade dans l...
MINE D'INFOS: A lire un très bel #hommage à René #Teulade dans l...: René Teulade ou un militant incarné C’est dans sa commune d’Argentat, en Corrèze, dont il était le maire depuis 1989, que l’ancie...
A lire un très bel #hommage à René #Teulade dans le n° 4529 de l'AFIM du 18 févirer 2014.
René Teulade
ou un militant incarné
C’est dans sa commune d’Argentat, en Corrèze, dont il était le maire depuis 1989, que l’ancien président de la Mutualité Française et ancien ministre de François Mitterrand sera inhumé ce mardi 18 février. Retour sur la carrière d’un militant qui a profondément marqué le mouvement mutualiste.
HOMMAGE
À RENÉ TEULADE
LE 5 MARS
La Mutualité Française rendra hommage à son ancien président le 5 mars en fin d’après-midi. Les modalités
précises de cette cérémonie amicale
seront précisées ultérieurement. Rappelons que la Fédération a ouvert
une adresse électronique afin de
permettre aux mutualistes de saluer la mémoire de celui qui a présidé leur
Fédération de 1979 à 1992.
Témoignages et condoléances peuvent
être déposés à l’adresse suivante :
RCA : les efforts internationaux déployés n'arrêtent pas les massacres

Les efforts internationaux déployés pour protéger
les Centrafricains ne suffisent pas à arrêter les massacres
Le Conseil de Sécurité des Nations Unies et les Etats africains doivent agir immédiatement
afin de faire cesser la violence et permettre un déploiement plus important de l’aide humanitaire.
afin de faire cesser la violence et permettre un déploiement plus important de l’aide humanitaire.
Images HD Libres de droit disponibles
(Contact : 01.40.21.28.40. / François Dumaine)
(Contact : 01.40.21.28.40. / François Dumaine)
Genève, le 18 février 2014 – En République centrafricaine (RCA), l’extrême violence à l’encontre des civils et les assassinats ciblés de groupes minoritaires illustrent l’échec des efforts internationaux déployés pour protéger la population, déclare l'organisation humanitaire médicale internationale Médecins Sans Frontières (MSF). Pour l’organisation, l’insuffisance de la réponse internationale actuelle est la preuve accablante de l’abandon pur et simple de la population centrafricaine.
MSF appelle les Etats membres du Conseil de sécurité de l'ONU, ainsi que les pays donateurs, à se mobiliser pour mettre immédiatement un terme aux atrocités commises à l’encontre des populations ; à œuvrer à la mise en place d’un niveau de sécurité suffisant pour que les populations puissent se déplacer, sans craindre pour leur vie ; et permettre un déploiement massif de l'aide afin de répondre aux besoins essentiels de la population. Les dirigeants locaux et nationaux doivent faire tout leur possible pour stopper la violence et renforcer la protection.
« Notre principale préoccupation concerne la protection. Alors que nous prenons en charge des milliers de blessés, nous nous sentons impuissants face à cette violence extrême. Nous voyons des centaines de milliers de personnes fuir leurs maisons, c’est en fait la seule issue qui leur reste pour ne pas être tuées », déclare le Dr Joanne Liu, Présidente Internationale de MSF, de retour de RCA. « Le manque d’engagement et de mobilisation des dirigeants politiques du Conseil de Sécurité des Nations Unies est choquant. La mobilisation trop limitée de pays africains et de l'Union Africaine, insuffisante pour lutter contre la violence, est entrain de déchirer littéralement la RCA. »
Les civils centrafricains, issus des deux principales communautés religieuses du pays, sont otages de la violence perpétrée par les groupes armés, premiers responsables de ces atrocités. Depuis le 5 décembre, les équipes MSF ont pris en charge plus de 3 600 personnes souffrant de blessures par balle, grenade, machette, couteau et autres traumatismes violents à Bangui, la capitale et dans tout le pays.
« Quand j’étais à Bozoum, nous avons trouvé 17 blessés par armes à feu, machettes, et grenade qui étaient cachés dans une petite cour » témoigne le Dr Liu. « Ils n’osaient pas se rendre à l’hôpital, de peur d’être victimes de nouvelles attaques.. Leurs blessures étaient graves, certains perdaient du sang mais ils étaient tous là, assis, silencieux, sans plus aucun espoir.».
Les équipes MSF doivent faire face à de violentes attaques qui ont lieu à proximité ou à l'intérieur même des structures de santé. Le 12 février, dans la ville de Berberati, des hommes armés de machettes et de fusils se sont introduits au sein de l'hôpital, où MSF travaille, en tirant des coups de feu et mettant les patients en danger. Craignant pour leur vie, deux patients ont alors fui l'hôpital. A d'innombrables reprises et dans diverses localités, des dirigeants locaux, des dignitaires religieux et du personnel médical MSF ont dû s’interposer alors même que des hommes armés attaquaient ou menaçaient de tuer des individus, y compris des patients. Ces derniers refusent même régulièrement d’être transportés dans des ambulances par peur d’être victimes de nouvelles violences. De plus, l'insécurité générale a rendu certains axes routiers trop dangereux et donc impraticables.
Dans les 8 localités où MSF travaille, environ 15 000 civils regroupés se retrouvent piégés dans les enceintes d’hôpitaux, d’églises et de mosquées, vivant dans la peur d'être tués par des groupes armés. Dans des villes comme Bouar, 6 000 musulmans sont ainsi prisonniers, menacés d'être tués s'ils tentent de quitter la ville. MSF a ouvert des postes de santé dans plusieurs de ces enclaves, y compris à Bangui, où les blessés et les malades n’osent pas se rendre à l’hôpital, même s’ils n’ont que quelques centaines de mètres à parcourir pour s’y rendre.
Au cours des deux dernières semaines, à Bangui, Baoro, Berbérati, Bocaranga, Bossangoa, Bouca, Bozoum et Carnot, les équipes MSF ont vu des dizaines de milliers de personnes - issues de la communauté musulmane - fuir ou être transportées par camion vers les pays voisins, escortées par des forces armées internationales dans l’incapacité de les protéger par ailleurs. D'autres ont été évacuées du nord-ouest du pays vers Bangui et sont désormais prises au piège dans des camps qui sont devenus des enclaves et où elles continuent à vivre dans la terreur. La peur des persécutions a poussé des dizaines de milliers de civils, issus de toutes les communautés, à fuir dans la brousse, où ils n’ont accès à aucune forme de protection ou d'assistance humanitaire.
Les conséquences dévastatrices de la violence ont encore été aggravées par l'absence d’un déploiement assez significatif de l'aide humanitaire pour pouvoir répondre aux besoins les plus essentiels de la population. L’assistance, jusqu’ici consternante à Bangui a pratiquement été inexistante en dehors de la capitale. La distribution d’eau, de nourriture et d’abris manquent cruellement. Par exemple, la dernière distribution de nourriture dans le camp de Don Bosco, à Bangui, où plus de 20 000 déplacés sont regroupés, a eu lieu le 2 janvier dernier. Elle était destinée à couvrir deux semaines de besoins seulement. Un des exemples les plus marquants de l’insuffisance de l’aide est le camp de Mpoko, situé à l'aéroport international de Bangui, où environ 60 000 déplacés vivent dans des conditions catastrophiques et ce, à quelques centaines de mètres seulement de la piste de l'aéroport.
« Les horribles conditions de vie dans le camp de Mpoko soulèvent la question de savoir si la lenteur de la distribution de l'aide est une forme de négligence délibérée visant à dissuader les gens de venir s’installer ici », s’interroge le Dr Liu. «Compte tenu du niveau de violence à Bangui, les populations devraient être en mesure de choisir entre rentrer chez elles ou rester là où elles se sentent protégées. L’assistance devrait être fournie partout où elles se sentent le plus en sécurité ».
Même si des incidents de sécurité entravent quotidiennement les secours, l’important déploiement de personnel MSF (plus de 2 240 travailleurs, internationaux et nationaux) et d’activités (dans 16 villes à travers le pays) montre qu'il est possible de fournir une assistance humanitaire en RCA aujourd’hui.
« La crise humanitaire à laquelle nous assistons aujourd'hui est sans précédent en RCA, un pays négligé par la communauté internationale depuis des années » déclare le Dr Liu. « Nous lançons un appel aux Etats membres de l'ONU ; ces derniers doivent arrêter les demi-mesures. Une mobilisation totale doit avoir lieu maintenant, pas dans un ou six mois. Tous les jours, nous sommes témoins d’atrocités. Une catastrophe majeure est en train de se dérouler sous le regard indifférent des dirigeants internationaux. Ne pas répondre équivaut à faire le choix, conscient et délibéré, d'abandonner le peuple centrafricain ».
***
Suite aux actes d’extrême violence commis par les forces de l’ex-Séléka - et en guise de représailles - des milices locales d'autodéfense appelées « anti-Balaka » ont lancé des attaques collectives contre les civils musulmans, considérés comme le support politique potentiel des ex-Séléka. C’est ainsi qu’ a commencé la spirale de violences et de pillages qui, si elle a particulièrement ciblé les communautés musulmanes ces dernières semaines, continuent de concerner les communautés chrétiennes.
MSF travaille en République centrafricaine depuis 1999. Actuellement MSF gère 8 projets réguliers à Batangafo, Boguila, Carnot, Kabo, Ndélé, Paoua, Bria et Zémio ; et 8 projets d'urgence à Bangui, Bouar, Bangassou, Bozoum, Bossangoa, Bria, Yaloke et Berberati. MSF compte plus de 240 travailleurs internationaux et 2 000 collaborateurs locaux dans le pays. Au Cameroun, au Tchad, en République démocratique du Congo et au Congo-Brazzaville, d'autres équipes MSF viennent en aide aux réfugiés centrafricains.
Libellés :
Batangafo,
Boguila,
Bria et Zémio,
Cameroun,
Carnot,
https://ftp.ocg.msf.org/broll/Broll-CAR/,
Kabo,
massacres,
MSF,
Ndélé,
ONU,
Paoua,
RCA,
République démocratique du Congo,
Tchad
AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI: JOURNEE AUTOREPRESENTATION - vendredi 14 mars 2014
AGENDA UNAPEI & NOUS AUSSI
JOURNEE « AUTOREPRESENTATION »
« Rien pour nous sans nous »
Le vendredi 14 mars 2014 de 8h30 à 17h00
Crédit Coopératif
12 Boulevard de Pesaro
92000 NANTERRE
(RER A : Nanterre-Préfecture)
Inscriptions ouvertes à tous
Depuis plus de dix ans, Nous Aussi et l'Unapei travaillent ensemble pour promouvoir l'autoreprésentation des personnes handicapées intellectuelles afin qu'elles participent activement aux décisions qui les concernent, expriment ce qu'elles veulent pour leur vie.
Exemples concrets d'autoreprésentation, intérêt pour les personnes handicapées intellectuelles et apport pour les autres acteurs du champ du handicap, la journée autoreprésentation de Nous Aussi et de l'Unapei donne la parole aux personnes handicapées intellectuelles et leur est entièrement accessible.
Programme complet en pièce jointe.
Tarifs : 25€ / Inscription auprès de l'Unapei - services généraux : 01 44 85 50 50
A propos de Nous Aussi :
Nous Aussi est la première association nationale d'autoreprésentation des personnes handicapées intellectuelles. Elle compte plus de 400 adhérents et 27 délégations locales dans toute la France. Nous Aussi représente l'ensemble des personnes handicapées intellectuelles quelques soient leur difficulté et leur degrés de handicap, pour qu'aucune décision les concernant ne soit prise sans elles. Nous Aussi souhaite aussi rendre la société plus accessible pour les personnes handicapées intellectuelles et modifier le regard porté par sur le handicap intellectuel. Plus d'informations sur : http://nousaussi.over-blog.com/
Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis :
Créé en 1960, l'Unapei est le premier mouvement associatif français œuvrant pour la représentation et la défense des intérêts des personnes handicapées mentales. Les associations affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les autres.
L'Unapei est un mouvement national qui fédère 600 associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).
L'Unapei en chiffres :
· 180 000 personnes handicapées accueillies
· 60 000 familles adhérentes des associations affiliées
· 3 000 établissements et services spécialisés
· 75 000 professionnels employés dans les associations et les établissements
Plus d'informations sur : www.unapei.org
NOTE AUX JOURNALISTES : Si vous souhaitez y assister, merci de vous inscrire auprès de votre contact presse Coralie Beylot : 01 44 85 50 83 / c.beylot@unapei.org
Cliquez ici pour visualiser la pièce jointe : ProgrammeJourneeautorepresentation.pdf
Inscription à :
Articles (Atom)