
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
vendredi 18 octobre 2013
MINE D'INFOS: ondes électromagnétiques
MINE D'INFOS: ondes électromagnétiques: Le Gouvernement salue la publication des travaux de l’ANSES sur les effets sanitaires des ondes électromagnétiques et poursuit ses...
MINE D'INFOS: Un PLFSS déconnecté de la Stratégie nationale de s...
MINE D'INFOS: Un PLFSS déconnecté de la Stratégie nationale de s...: Le financement d’actions de prévention : une priorité pour 83% des usagers A première vue le projet de loi de financement de la sécurité so...
Un PLFSS déconnecté de la Stratégie nationale de santé
Le financement d’actions de prévention : une priorité pour 83% des usagers
A première vue le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 ne comporte pas de disposition pesant directement sur les usagers. Cependant, on se rend vite compte qu’il prévoit des contributions détournées comme le financement d’une nouvelle franchise, le « forfait médecin traitant » par une taxe sur les complémentaires qui sera inévitablement répercutée sur les cotisations.
Plus globalement, nous regrettons qu’il soit si timide face à de nombreux enjeux prioritaires pourtant bien identifiés dans la récente communication publique sur la stratégie nationale de santé.
Prévention : une priorité absente dans les financements Pourtant 83% des Français[1] pensent que le financement d’actions de prévention doit être une priorité pour l’Assurance maladie, rejoignant les récentes déclarations de la ministre de la santé qui fait de la prévention le premier pilier de la future stratégie nationale de santé. Ce sont des engagements auxquels les associations d’usagers sont particulièrement sensibles et qu’elles auraient souhaité voir traduits dans le PLFSS pour 2014 sans attendre la future loi de santé publique.
La très vive attente de nos concitoyens sur l’accès aux soins Des dispositions laissant espérer une plus juste utilisation des ressources investies dans la santé sont plébiscitées :
- 73% des sondés pensent que le gouvernement devrait agir contre les dépassements d’honoraires à l’hôpital public (24% en mettant fin à cette pratique et 49% en l’encadrant mieux) ;
- 79% de sondés estiment que les complémentaires santé doivent avoir un rôle pour encadrer les tarifs des dépenses de santé qu’elles remboursent (dépassements d’honoraires, prothèses dentaires, lunettes), dont 50% « tout à fait d’accord » avec cette proposition.
Comme on le voit, la préoccupation de nos concitoyens sur le coût de la santé devient pour eux une priorité. D’ailleurs, la généralisation du tiers-payant chez le médecin est une mesure bien perçue pour 73% d’entre eux dans la perspective de faciliter l’accès aux soins pour tous.
Le troisième pilier sans le sou
Dans sa communication du 23 septembre dernier, le gouvernement a élevé la démocratie sanitaire au rang de troisième pilier de la stratégie nationale de santé. Mais, il n’y a strictement rien dans le projet de loi pour répondre au défi du financement de l’organisation et de la coordination de la représentation des usagers.
Il est temps de passer à un financement plus mature de cette représentation. Le CISS reprendra donc devant le parlement son plaidoyer sur la création d’un fonds dédié pour la participation des usagers aux processus de démocratie sanitaire. Avec un financement aujourd’hui de 0, 0011 % du budget de l’assurance maladie, c’est un troisième pilier bien fragile !
Des interrogations persistantes
Soucieux de l’accès à des soins de qualité pour tous, nous adressons aux Parlementaires des propositions d’amendements portant notamment sur les points suivants :
- Remplacement de l’Aide à l’acquisition d’une complémentaire santé par une CMU-c payante, pour simplifier le dispositif et étendre le nombre de bénéficiaires de la couverture complémentaire de bon niveau que constitue la CMU-c.
- Encaissement des honoraires des praticiens exerçant en libéral à l’hôpital afin de mieux réguler leur activité.
- Permettre aux salariés travaillant à temps très réduit d’accéder à un droit effectif aux indemnités journalières en cas d’arrêt maladie.
En outre, au nom de la sécurité sanitaire et de l’égalité d’accès aux traitements, nous nous montrerons particulièrement vigilants dans les semaines à venir sur les articles 38 et 39 du PLFSS pour 2014 qui traitent des médicaments biosimilaires et de l’accès à l’innovation dans le cadre des autorisations temporaires d’utilisation.
L’ensemble des dispositifs proposés et les exposés de leurs motifs sont disponibles sur le site du CISS : www.leciss.org/publications-documentation/enquetes-tribunes-plaidoyers-du-ciss
[1] Sondage Viavoice pour le CISS, interviews réalisées par téléphone du 2 au 4 octobre 2013 auprès d’un échantillon de 1013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR
APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer
France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde
SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH
A première vue le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 ne comporte pas de disposition pesant directement sur les usagers. Cependant, on se rend vite compte qu’il prévoit des contributions détournées comme le financement d’une nouvelle franchise, le « forfait médecin traitant » par une taxe sur les complémentaires qui sera inévitablement répercutée sur les cotisations.
Plus globalement, nous regrettons qu’il soit si timide face à de nombreux enjeux prioritaires pourtant bien identifiés dans la récente communication publique sur la stratégie nationale de santé.
Prévention : une priorité absente dans les financements Pourtant 83% des Français[1] pensent que le financement d’actions de prévention doit être une priorité pour l’Assurance maladie, rejoignant les récentes déclarations de la ministre de la santé qui fait de la prévention le premier pilier de la future stratégie nationale de santé. Ce sont des engagements auxquels les associations d’usagers sont particulièrement sensibles et qu’elles auraient souhaité voir traduits dans le PLFSS pour 2014 sans attendre la future loi de santé publique.
La très vive attente de nos concitoyens sur l’accès aux soins Des dispositions laissant espérer une plus juste utilisation des ressources investies dans la santé sont plébiscitées :
- 73% des sondés pensent que le gouvernement devrait agir contre les dépassements d’honoraires à l’hôpital public (24% en mettant fin à cette pratique et 49% en l’encadrant mieux) ;
- 79% de sondés estiment que les complémentaires santé doivent avoir un rôle pour encadrer les tarifs des dépenses de santé qu’elles remboursent (dépassements d’honoraires, prothèses dentaires, lunettes), dont 50% « tout à fait d’accord » avec cette proposition.
Comme on le voit, la préoccupation de nos concitoyens sur le coût de la santé devient pour eux une priorité. D’ailleurs, la généralisation du tiers-payant chez le médecin est une mesure bien perçue pour 73% d’entre eux dans la perspective de faciliter l’accès aux soins pour tous.
Le troisième pilier sans le sou
Dans sa communication du 23 septembre dernier, le gouvernement a élevé la démocratie sanitaire au rang de troisième pilier de la stratégie nationale de santé. Mais, il n’y a strictement rien dans le projet de loi pour répondre au défi du financement de l’organisation et de la coordination de la représentation des usagers.
Il est temps de passer à un financement plus mature de cette représentation. Le CISS reprendra donc devant le parlement son plaidoyer sur la création d’un fonds dédié pour la participation des usagers aux processus de démocratie sanitaire. Avec un financement aujourd’hui de 0, 0011 % du budget de l’assurance maladie, c’est un troisième pilier bien fragile !
Des interrogations persistantes
Soucieux de l’accès à des soins de qualité pour tous, nous adressons aux Parlementaires des propositions d’amendements portant notamment sur les points suivants :
- Remplacement de l’Aide à l’acquisition d’une complémentaire santé par une CMU-c payante, pour simplifier le dispositif et étendre le nombre de bénéficiaires de la couverture complémentaire de bon niveau que constitue la CMU-c.
- Encaissement des honoraires des praticiens exerçant en libéral à l’hôpital afin de mieux réguler leur activité.
- Permettre aux salariés travaillant à temps très réduit d’accéder à un droit effectif aux indemnités journalières en cas d’arrêt maladie.
En outre, au nom de la sécurité sanitaire et de l’égalité d’accès aux traitements, nous nous montrerons particulièrement vigilants dans les semaines à venir sur les articles 38 et 39 du PLFSS pour 2014 qui traitent des médicaments biosimilaires et de l’accès à l’innovation dans le cadre des autorisations temporaires d’utilisation.
L’ensemble des dispositifs proposés et les exposés de leurs motifs sont disponibles sur le site du CISS : www.leciss.org/publications-documentation/enquetes-tribunes-plaidoyers-du-ciss
[1] Sondage Viavoice pour le CISS, interviews réalisées par téléphone du 2 au 4 octobre 2013 auprès d’un échantillon de 1013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR
APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer
France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde
SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH
ondes électromagnétiques
Le Gouvernement salue la publication des travaux de l’ANSES
sur les effets sanitaires des ondes électromagnétiques
et poursuit ses travaux sur le sujet
Le Gouvernement avait demandé à l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), à l’issue de la conférence environnementale de 2012, de mettre à jour son expertise de 2009 sur les effets sanitaires des radiofréquences. L’ANSES publie ce jour ce nouveau rapport, qui porte sur l’analyse détaillée de plus de 300 publications scientifiques nouvelles.
Marisol TOURAINE, ministre des affaires sociales et de la santé, Philippe MARTIN, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, et Fleur PELLERIN, ministre déléguée auprès du ministre du redressement productif chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique en ont pris connaissance. Ces travaux viennent enrichir les apports du précédent rapport de 2009. Ils constituent également une mise à niveau significative pour les travaux du Gouvernement sur ce sujet.
Les ministres relèvent ainsi que l'analyse des études les plus récentes met en avant la prépondérance des enjeux liés à l’exposition aux terminaux mobiles. Cette analyse confirme les attitudes d’attention et de protection recommandées par le Gouvernement en matière d’exposition aux champs électromagnétiques, et notamment en matière d’utilisation des téléphones portables. En particulier, les ministres prennent acte des recommandations de l'ANSES et souhaitent rappeler que l'ANSES identifie des mesures simples qui peuvent être mises en oeuvre afin de limiter l’exposition individuelle aux ondes, notamment pour les publics les plus jeunes, enfants et jeunes adolescents :
- l'usage modéré du téléphone ;
- l'utilisation des kits oreillettes mains-libres et de terminaux ou autres équipements dont le débit d’absorption spécifique (DAS) est le plus faible.
Le Gouvernement continuera à travailler sur les réponses à apporter en matière de renforcement de l’information du public et des mesures de prévention quant à l'utilisation des téléphones mobiles sur la base des préconisations du rapport de l’ANSES, tel que la généralisation de l’affichage du niveau d’exposition maximal pour tous les dispositifs émetteurs de champs électromagnétiques utilisés près du corps (tablettes etc.).
L'exposition aux ondes électromagnétiques issues des antennes de téléphonie constitue une source de préoccupation, notamment pour les riverains. À cet égard, le Gouvernement rappelle que le Premier ministre a confié à Messieurs Jean-François GIRARD, conseiller d’État, et Philippe TOURTELIER, ancien député, une mission en matière de sobriété des ondes électromagnétiques. Cette mission, qui s'appuiera sur les travaux du comité chargé d’expérimenter des baisses de l’exposition aux ondes générées par les antennes-relais (COPIC) récemment remis à Philippe MARTIN et Fleur PELLERIN et sur ce rapport de l'ANSES, vise à répondre aux enjeux d'une nécessaire modération en matière d’émission électromagnétique. Elle rendra ses conclusions dans le courant du mois de novembre 2013. Le Gouvernement rappelle également que le COPIC, à la suite de la démarche initiée sous la présidence de François BROTTES dans le cadre du « Grenelle des ondes » a fourni des résultats particulièrement intéressants.
Les ministres souhaitent que le travail mené par l'ANSES puisse se poursuivre, notamment au regard du nombre important d'études et de travaux menés sur le sujet des effets des ondes électromagnétiques et de l'évolution rapide des usages et des consommations en matière de services mobiles. Le Gouvernement a pour cela veillé à maintenir le fonds de 2 millions d’euros par an dont dispose l’ANSES pour des appels à projets de recherche consacrés aux risques associés aux ondes électromagnétiques.
Le Forum Maladies rares à trouvé son slogan
« Partageons
pour être plus forts ! »
le slogan du Forum maladies rares
Le Forum maladies rares fête son
premier anniversaire. A cette occasion, les internautes ont été invités à
proposer le slogan de ce service qui offre des communautés en ligne à toutes
les personnes touchées par une maladie rare. Du 5 septembre au 10 octobre, de
nombreuses propositions ont été reçues et Maladies Rares Info Services en a
sélectionné une.
Le
slogan retenu : les fondamentaux en quelques mots
Le choix du slogan parmi les
nombreuses propositions a été difficile. Plusieurs d’entre elles sont
originales et restituent bien les caractéristiques du Forum : témoigner,
échanger des informations, se soutenir mutuellement, rompre l’isolement… afin
de faire face ensemble à la maladie.
Le slogan retenu présente trois principaux
avantages :
ü Il rend
bien compte de l’essence même du Forum : partager des informations, des
témoignages et des expériences.
ü La
finalité du Forum est également mise en valeur : les personnes touchées
par la maladie sont plus fortes en étant rassemblées dans une communauté en
ligne, en disposant d’informations supplémentaires, en se soutenant les unes
les autres…
ü Ce slogan
a l’intérêt d’être synthétique tout en soulignant les fondamentaux du service.
Tous les internautes ayant
participé à l’opération ont été informés en avant première du choix de ce
slogan. Son auteur n’a pas souhaité communiquer son adresse électronique et n’a
pu être contacté afin de présenter son propre parcours face à la maladie.
Le Forum maladies rares : un service
unique, une aide précieuse
Le Forum maladies rares a
rencontré son public, avec un nombre croissant de nouveaux inscrits. Les
témoignages sur l’utilité et l’intérêt de ce service sont nombreux. Lancé en
octobre 2012, ce nouveau service rencontre un franc succès : 53 pathologies, 8
thèmes généraux et 153 sujets sont proposés suite aux demandes des internautes.
Plus de 500 personnes sont déjà inscrites et ce sont 12 000 pages qui sont
consultées chaque mois.
Le Forum maladies rares est un
espace communautaire en ligne où les personnes malades et leurs proches peuvent
témoigner, partager leur expérience, échanger des informations et rompre leur
isolement. Il est structuré autour de noms de maladies rares ou de thèmes
transversaux : l’isolement, l’absence de diagnostic, l’insertion scolaire ou
professionnelle... Il favorise ainsi les passerelles entre pathologies sur des
problématiques communes qu’elles soient médicales, sociétales, psychologiques
ou financières.
La consultation des messages est
en accès libre. Pour participer aux échanges et poster des messages, il suffit
que l’internaute s’inscrive. Pour cela, il doit accepter la Charte du Forum,
qui en fixe les règles de fonctionnement.
La modération du Forum est
assurée par l’équipe de professionnels de Maladies Rares Info Services,
spécialisés dans les maladies rares. Il présente toutes les garanties de
sécurité et a fait l’objet d’une déclaration à la CNIL (n°1663344v0).
Maladies
Rares Info Services : le service d’information et de soutien de référence
Le service d’information et de
soutien
Maladies Rares Info Services
propose le service d’information et de soutien dédié aux maladies rares et à
leurs nombreuses problématiques. Il permet aux personnes malades et à leurs
proches d’être écoutés et de poser leurs questions à l’équipe de professionnels
de Maladies Rares Info Services. Une réponse claire et adaptée à la situation
de chaque personne est donnée par téléphone, courrier électronique ou ch@t.
Le « réseau social patients »
maladies rares
Il s’articule autour du Forum
maladies rares, de la page Facebook, du fil Twitter et du site internet de
Maladies Rares Info Services. Ces communautés en ligne sont autant d’espaces de
partage d’information et d’expérience pour toutes les personnes touchées par
une maladie rare. Elles contribuent également à rompre l’isolement des personnes
concernées par la maladie.
Maladies Rares Info Services
Le deuxième Plan national
maladies rares (2011-2014) reconnaît Maladies Rares Info Services comme « une
structure d’information de référence ». C’est le premier service d’information
en santé en France à être certifié conforme à une norme qualité (ISO 9001).
L’équipe est constituée de professionnels spécialistes des maladies rares et
aux compétences médicales et scientifiques. Leur activité est exclusivement
dédiée à Maladies Rares Info Services.
Maladies Rares Info Services a un
statut d’association. Elle est soutenue en 2013 par l’Institut National de
Prévention et d’Education pour la Santé (INPES), l’AFM-Téléthon et le Ministère
de la Santé.
Pour contacter Maladies Rares
Info Services
L’ensemble de ces services est
accessible au 01 56 53 81 36 (appel non surtaxé, inclus dans les forfaits) et
sur le site internet : http://www.maladiesraresinfo.org,
MINE D'INFOS: A la Une cette semaine sur le blog Mine d'Infos
MINE D'INFOS: A la Une cette semaine sur le blog Mine d'Infos: Mine d'infos a franchi la barre des 112 232 visites aujourd'hui HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE L...
A la Une cette semaine sur le blog Mine d'Infos
Mine d'infos a
franchi la barre des
112 232
visites aujourd'hui
HIT DES PAGES LES PLUS
LUES DE LA SEMAINE:
Cette
dépêche est la 3 000ème publiée sur le blog Mine d’Infos
En dehors des infos santé/ protection sociale/ RH/ Mutuelle etc... vous
retrouverez au fil de l'eau les actualités de la Mgefi également
sur le blog Mine d'Infos : http://pressentinelle2.blogspot.fr/
Rappel : Les
responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de
l'Industrie, qui vient d'être certifiée ISO 9001 par l'AFNOR le mois dernier,
sont à disposition des journalistes pour livrer leur regard, témoignage, ou
expertise ... pour les sujets liés à la santé ou à la protection sociale.
La MGEFI en faits
et chiffres
Très bon week-end
Blog Mine d’Infos - Enquête lectorat
Libellés :
-22 « Santé,
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MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette information vous concerne .....
MINE D'INFOS: Adhérents MGEFI cette information vous concerne .....: En savoir plus sur la MGEFI www.mgefi.fr
J -18 « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » 4 novembre 2013 Maison des associations de solidarité
En partenariat avec
MGEFI, SMI, APGIS, COVEA
Miroir Social
Vous invite au colloque
Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir
Quel rôle pour l’entreprise ?
Lundi 4 novembre 2013
Maison des associations de solidarité
10/18 rue des terres au curé - 75013 Paris
9h15-10h30
Réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale entre :
les âges;
les niveaux de salaire;
les catégories familiales;
les catégories professionnelles;
les tailles d’entreprise,...
les âges;
les niveaux de salaire;
les catégories familiales;
les catégories professionnelles;
les tailles d’entreprise,...
Bertrand Da Ros, directeur général de la mutuelle SMI
Corinne Prayez, directeur général de l'Apgis
10h45-12h15 Quelle place à la négociation dans l'entreprise, dans les branches ?
Quelle est la place de la protection sociale dans la rémunération globale ? Est-ce sa place ?
Quel développement des formules individualisées au travers des sur-complémentaires et des retraites supplémentaires ? Sont-elles les futurs socles de la protection sociale de demain ?
En quoi les démarches de prévention des acteurs de la protection sociale peuvent-elles contribuer à la qualité de vie au travail ?
Bruno Serizay, avocat associé chez Capstan
Serge Lavagna, secrétaire national CFE-CGC
Brigitte Jumel, secrétaire générale de l'Union des Fédérations CFDT des fonctions publiques et assimilés
Philippe Pihet, secrétaire confédéral FO
Eric Aubin, secrétaire national de la CGT (sous réserve)
Patrick Poizat, secrétaire général adjoint confédéral CFTC
Denis Falcimagne, Entreprise & Personnel
Participation
gratuite - Inscription obligatoire /Demande de renseignements :
redaction@miroirsocial.com
Coup de projecteur sur la participation de la MGEFI au
colloque
Comment réinventer
les principes de la mutualisation de la protection sociale ?
La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
www.mgefi.fr
Libellés :
APGIS,
Bertrand Da Ros,
Brigitte Jumel,
Bruno Serizay,
Corinne Prayez,
COVEA,
Daniel Benamouzig,
Denis Falcimagne,
Eric Aubin,
MGEFI,
Miroir Social,
Patrick Poizat,
Philippe Pihet,
Serge Brichet,
Serge Lavagna,
SMI
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