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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 11 octobre 2012
MINE D'INFOS: Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en ...
MINE D'INFOS: Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en ...: l’absence d’organisation nationale nuit à la prise en charge des troubles de l’audition et des maladies rares associée...
MINE D'INFOS: Agir pour les jeunes filles favorise le développem...
MINE D'INFOS: Agir pour les jeunes filles favorise le développem...: COMMUNIQUE DE CATHERINE COUTELLE, DEPUTEE, PRESIDENTE DE LA DELEGATION AUX DROITS DES FEMMES ET A L’EGALITE DES CHANCES ENTRE...
C'est à lire : « Cannashop Story » de Frédéric Martineau
Franck IF quadragénaire
est interviewé par une journaliste. Il est présélectionné pour l'élection du «
Manager de l'année ». C'est une surprise dans la mesure où il fait commerce de
cannabis !
Des troupes d'élite de la Nation aux terrains de golf, des
banlieues difficiles aux quartiers chics de Paris, de la Suisse au Maroc,
Franck a côtoyé la substance illicite tout au long de sa brève existence
jusqu'au jour où l'État français lui a demandé d'en organiser la distribution !
Il déroule le fil de ses souvenirs et retrace l'histoire de sa success-story...
Frédéric Martineau mélange les personnages de fiction et la
réalité politique et sociale du cannabis pour défendre l’impérieuse nécessité
de mettre en place un système de gestion rationnelle. Il va plus loin que les
revendications de dépénalisation qui réduisent le débat à sa dimension
juridique. Pour lutter contre la délinquance et limiter le risque sanitaire, il
défend l’idée d’une filière encadrée et contrôlée par les pouvoirs publics.
Aux racines vendéennes, est né en 1966 à Mulhouse. Son
premier roman, en partie autobiographique, emprunte des anecdotes réelles aux
usagers pour, sans faire de prosélytisme, défendre l’impérieuse nécessité de
changer le dispositif sociolégislatif qui encadre cette réalité sociétale
concernant des millions de Français. Lors de sa première sortie en 2003, il a
tenté de sensibiliser les politiques de tout bord (Jean-Louis Borloo, François
Hollande, Nicolas Sarkozy…) en leur adressant un exemplaire dédicacé d’un
quatrain.
« Vous avez su évoquer
avec inventivité, pertinence et souvent humour un sujet de société grave, qui
préoccupe fortement nos concitoyens » Dominique de Villepin
Agir pour les jeunes filles favorise le développement
COMMUNIQUE DE CATHERINE
COUTELLE,
DEPUTEE, PRESIDENTE DE LA
DELEGATION AUX DROITS DES FEMMES
ET A L’EGALITE DES CHANCES ENTRE
LES HOMMES ET LES FEMMES
DE L’ASSEMBLEE NATIONALE
11 octobre, 1ère
journée internationale des filles
Agir pour les jeunes
filles favorise le développement
Le 11 octobre 2012, première « Journée internationale des
filles », à l’initiative de l’ONU : la Délégation aux droits des
femmes et à l’égalité des chances entre les Hommes et les Femmes de l’Assemblée
Nationale présidée par Catherine Coutelle, Députée, entend à cette occasion
affirmer sa solidarité avec les actions en faveur des jeunes filles, et attire
l’attention de l’opinion sur la persistance des graves discriminations et des
très fortes inégalités dont elles pâtissent à travers le monde.
Il est important d’avoir conscience que, particulièrement dans les pays en
développement, le risque reste très fort qu’elles soient les premières victimes
de toutes sortes de violences, d’être obligées au mariage, de subir des mutilations,
d’être victimes de guerre, ou encore qu’elles subissent la pauvreté de façon
plus appuyée que les garçons.
La formation de la jeunesse joue un rôle essentiel : investir dans l’éducation des jeunes filles
contribue à libérer leur potentiel, donc collectivement celui des sociétés dans
lesquelles elles vivent, et par conséquent d’améliorer également la santé et le
niveau de vie de la prochaine génération. Aujourd’hui encore, 75 millions
de filles en âge d’être scolarisées n’ont pas accès à l’éducation[1].
De plus, 96 millions de jeunes femmes (contre 57 millions de jeunes hommes) âgées
de 15 à 24 ans ne savent ni lire ni écrire[2].
Or une année de plus d’école primaire augmente leurs revenus futurs de 10 à
20%, une année en plus d’école secondaire de 15 à 25%.
Les programmes internationaux pour le développement jouent un rôle majeur
dans la promotion de l’éducation, de la contraception et des luttes contre les
violences faites aux jeunes filles. L’effort doit être soutenu, la période qui
s’ouvre sera déterminante : elle sera marquée par la perspective des 20
ans de la conférence internationale sur la « population et le développement »
en 2014, et par la renégociation des Objectifs du Millénaire post 2015. Ces
programmes doivent permettre une meilleure prise en compte des besoins
spécifiques des jeunes filles dans les aides au développement, et aussi de
faire de la coopération internationale un réel outil de lutte contre les
inégalités femmes - hommes.
Le 11 octobre, « journée internationale des filles », nous rappelle
que la lutte pour l’égalité entre les sexes se joue dès le plus jeune âge. Il
faut penser les actions en termes combinés d’éducation, de travail, de santé,
mais aussi de changement des représentations de la féminité et de la
masculinité. En France, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, et tout
particulièrement Laurent Fabius à l’international et Najat Vallaud-Belkacem sur
le territoire national, y travaillent, mettant en œuvre les engagements de François
Hollande. La Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre
les hommes et les femmes salue les avancées nationales et internationales en la
matière, avec le souhait appuyé et permanent de veiller à l’effectivité des
droits.
Contact : Jérôme Picaud 01 40 63
65 61 / 05 49 47 47 87
Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en garde
l’absence d’organisation nationale nuit à la prise en
charge des troubles de l’audition
et des maladies rares associées
|
La surdité est
une pathologie fréquente, qui concerne 1 enfant sur 1 000 à la naissance (lire le tableau Epidémiologie des
différents types de surdité). Si de nombreux pays ont organisé le dépistage
néonatal des troubles de l’audition, la France est longtemps restée en marge,
affichant un taux de détection de ces troubles de l’ordre de 25 %, contre, par
exemple, 98 % au Danemark (lire l’encadré : Le dépistage néonatal de la
surdité, le retard français).
Le 23 avril 2012, un
arrêté1 faisant suite à la loi
votée en décembre 2010, a rendu obligatoire le dépistage de la surdité
néonatale permanente. Cet arrêté précise que le programme doit être « mis en
oeuvre par les agences régionales de santé conformément à un cahier des charges
national établi par arrêté des ministres chargés de la santé et de la
protection sociale » (article 4).
La rédaction du cahier des charges devrait associer professionnels de la
santé, représentants de toutes les associations de patients, quelle que soit
leur position sur le dépistage néonatal, et les instances chargées de la mise
en oeuvre du programme.
En l’attente de la rédaction du cahier des
charges, le dépistage n’est toujours pas organisé dans les maternités, à
l’échelle de tout le territoire2 : elle
dépend des initiatives ponctuelles de certains établissements ou encore des
centres experts vers lesquels les pédiatres orientent les parents, avec deux
conséquences :
Ø La mise à mal de
l’égalité d’accès aux soins, chère à la Ministre Marisol Touraine ;
Ø L’engorgement des centres
experts qui ont du mal à faire face à la demande consécutive à la publication
de l’arrêté du 23 avril 2012.
1http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025794966&dateTexte=&categorieLien=id
2 Des régions comme la Haute-Normandie, la Basse-Normandie, la région
Champagne-Ardenne et l’Alsace ont ainsi bénéficié de programmes pilotes de
dépistages systématiques.
Le professeur Françoise Denoyelle (service d’ORL
pédiatrique de l’hôpital Trousseau, Paris) alerte : «Avec la publication de
l’arrêté, le dépistage néonatal de la surdité est devenu obligatoire. Mais
comme rien n’est organisé à l’échelle nationale dans les maternités, les
pédiatres adressent les enfants aux centres experts qui sont débordés. Nous
ne pouvons pas assumer le dépistage pour les 800 000 naissances annuelles ».
Et si les centres sont débordés, c’est que les enjeux du
dépistage néonatal de la surdité sont importants :
Ø En effet, l’acquisition du langage se joue durant les deux
premières années de l’enfant. A cet âge, c’est en entendant sa famille et son
entourage lui parler que l’enfant commence son apprentissage de la langue
maternelle. Et s’il n’entend pas, il ne parlera pas. S’il entend mal, la
qualité de son langage s’en trouvera affectée. Ces difficultés retentissent
directement sur ses capacités à communiquer et à s’intégrer en collectivité, avec
parfois pour conséquences, des troubles psychologiques importants,
préjudiciables à son développement et à l’équilibre de toute la famille. Mais
en l’absence de dépistage, la surdité est difficile à détecter, car les enfants
sourds babillent comme les autres, et réagissent aux vibrations provoquées par
les bruits forts (porte qui claque).
ØPar ailleurs, dans près d’un
tiers de cas, la surdité est associée à d’autres troubles qu’elle permet
d’identifier : contamination intra-utérine au cytomégalovirus (à l’origine
de 10 à 15 % des surdités profondes), troubles de l’équilibre, maladie rare à
l’origine d’anomalies du coeur, des yeux ou de la thyroïde, dont les
conséquences peuvent être très graves si elles ne sont pas détectées. Le
dépistage néonatal de la surdité et le bilan précoce évaluant les causes de
celle-ci permettent aussi de repérer ces maladies et de les prendre en charge.
Son intérêt dépasse donc les seuls bénéfices en termes d’audition.
Le dépistage néonatal de la surdité est inclus dans un
dispositif global qui met l’accent sur l’accompagnement et l’information des
familles : ce sont elles qui décident de la prise en charge des troubles de
l’audition. De fait, le dépistage de la surdité n’aboutit pas nécessairement
à la mise en œuvre d’une réhabilitation auditive, si tel n’est pas le souhait
de la famille.
Concrètement, comment le dépistage se passe-t-il ?
Le dépistage consiste en un test d’audition objectif,
automatisé, indolore et non-opérateur dépendant, reposant
sur deux examens :
ØLa mesure du potentiel auditif
évoqué, c’est-à-dire l’enregistrement, grâce à des électrodes, des réactions du
tronc cérébral aux sons ;
ØLa mesure des otoémissions
acoustiques, c’est-à-dire du bruit provoqué par les contractions des cellules
de l’oreille interne, qui témoignent de l’audition.
Dans 98 à 99 cas sur 100, la réponse au test est normale.
Dans 1 à 2 cas sur 100, elle évoque la possibilité d’une surdité, mais celle-ci
peut être transitoire, l’audition du nouveau-né se trouvant parfois affectée
par la persistance de liquide amniotique dans le conduit auditif.
Les parents sont donc informés qu’il n’est pas possible de
conclure au vu de ces premiers tests, et on leur propose de réaliser des tests
auditifs complémentaires après 2 ou 3 semaines.
Les seconds tests permettent de confirmer la surdité dans 1
cas sur 10.
Dans ce cas :
Øun bilan complet est réalisé,
afin de comprendre l’origine de la surdité, et de détecter d’éventuels troubles
ou anomalies associées ;
Øune prise en charge globale de
la famille est organisée : durant plusieurs semaines, médecins, psychologues,
orthophonistes, psychomotriciens3, infirmières, accompagnent les parents, le temps nécessaire à
l’acceptation du diagnostic et à l’information sur tous les modes de
communication possibles (langage des signes compris), comme sur les
possibilités de réhabilitation de l’audition.
Epidémiologie des différents types de surdité
Surdité moyenne
|
Surdité sévère
|
Surdité profonde à totale
|
Déficit de 40 à 70 décibels (dB)
|
Déficit de 70 à 90 (dB)
|
Déficit supérieur à 90 (dB)
|
40 % des enfants dépistés
|
20 % des enfants dépistés
|
40 % des enfants dépistés
|
L’enfant est capable d’entendre une voix de
forte intensité.
Ses difficultés d’audition ralentissent
l’acquisition du langage.
|
L’enfant entend quelques bruits mais ne
distingue pas la voix humaine.
|
Seuls les bruits très intenses sont entendus
: à titre d’exemple, un marteau-piqueur correspond à l’émission de 100 dB.
L'enfant n'a aucune perception de la voix et
aucune idée de la parole.
|
Au terme de cette première étape, la plupart
des parents choisissent de s’engager dans une réhabilitation de l’audition.
L’enfant est alors appareillé, dans un premier temps.
Dans un second temps, en cas de surdité sévère ou profonde,
et si les parents souhaitent s’engager dans un projet d’acquisition du langage
oral, il pourra être envisagé de réaliser un implant qui, accompagné d’un
suivi orthophonique adapté, optimisera les chances de développement d’un
langage oral de qualité.
3Les psychomotriciens sont
impliqués dans la gestion des troubles de l’équilibre parfois associés à la
surdité.
Selon un consensus international, la prise en charge de
la surdité durant les deux premières années de la vie chez un enfant qui ne
comporte pas de troubles ou de handicaps associés, permet l’intégration de
l’enfant dans un milieu scolaire ordinaire à l’entrée en cours préparatoire.
Le dépistage néonatal de la surdité Le retard
français
Ainsi, en 2011 …
Ø 10 pays européens disposaient
d’une loi rendant obligatoire le dépistage néonatal de la surdité.
Ø 16 pays disposaient de fortes
recommandations en faveur du dépistage.
Ø Dans 13 pays, la couverture du
dépistage était de l’ordre de 90 %.
Au Danemark, la surdité permanente néonatale
est dépistée dans 98 % des cas quelques jours après la naissance (contre 25 %
en France). C’est également le cas depuis plus de dix ans, en Suisse, en
Belgique, en Grande-Bretagne, au Canada, et dans une majorité d’états des
Etats-Unis.
Edilivre passe la barre des 5 000 auteurs et lance 22 Clubs Auteurs à travers la France
L’éditeur continue
de séduire de nouveaux auteurs en franchissant un cap symbolique et porte à 22
le nombre de ses Clubs Auteurs, soit un pour chaque région de France.
Saint-Denis, le 11 octobre 2012 – Edilivre, société d’édition qui a pour objectif de rendre l’édition plus accessible, est fière de dépasser aujourd’hui le cap symbolique des 5 000 auteurs et d’annoncer le lancement de son réseau de 22 Clubs Auteurs régionaux à travers toute la France.
Afin de renforcer les liens et les échanges au sein de sa communauté d’auteurs, Edilivre s’associe avec eux dans chaque région de France à travers la création de « Clubs Auteurs Edilivre ». L’objectif de ces clubs est de créer des communautés d’auteurs régionales afin de permettre à leurs membres de se rencontrer, lors de dîners ou d’échanges littéraires, et de s’entraider, lors de salons ou dédicaces, en partageant leur passion.
Tout nouvel auteur est donc invité lors de l’édition de son livre à rejoindre le Club Auteur de sa région. Chaque club bénéficie d’une Page Facebook sur laquelle les auteurs membres peuvent échanger et partager leurs bonnes pratiques.
Edilivre organise également tout au long de l’année le « Prix des Clubs Auteurs Edilivre » durant lequel les auteurs d’une région sont invités à juger les livres d’auteurs d’une autre région.
Après avoir franchi la barre des 4 000 en juin dernier, l’éditeur dépasse le cap des 5 000 auteurs tout en conservant son esprit communautaire et en continuant d’améliorer ses services.
« Nos auteurs ont été enchantés d’apprendre le lancement de club dans leur région. Ils ont déjà commencé à se rencontrer et à prévoir l’organisation d’événements locaux », commente David STUT, Directeur Général d’Edilivre. « Cette démarche prouve à nouveau l’importance qu’Edilivre attache à renforcer son esprit communautaire. Notre réseau de Clubs Auteurs couvre à présent toute la France et nous espérons pouvoir rapidement étendre cette initiative à l’ensemble des pays francophones dans lesquels nous sommes présents ».
A propos d’Edilivre :
Créée en 2007, Edilivre est une société d’édition qui a pour objectif de rendre l’édition plus accessible aux auteurs. La société édite près de 5 000 auteurs à travers le monde (France, Belgique, Suisse, Canada, Maroc, Tunisie, Congo…) et présente un catalogue de plus de 8 000 livres, en format papier et numérique.
Saint-Denis, le 11 octobre 2012 – Edilivre, société d’édition qui a pour objectif de rendre l’édition plus accessible, est fière de dépasser aujourd’hui le cap symbolique des 5 000 auteurs et d’annoncer le lancement de son réseau de 22 Clubs Auteurs régionaux à travers toute la France.
Afin de renforcer les liens et les échanges au sein de sa communauté d’auteurs, Edilivre s’associe avec eux dans chaque région de France à travers la création de « Clubs Auteurs Edilivre ». L’objectif de ces clubs est de créer des communautés d’auteurs régionales afin de permettre à leurs membres de se rencontrer, lors de dîners ou d’échanges littéraires, et de s’entraider, lors de salons ou dédicaces, en partageant leur passion.
Tout nouvel auteur est donc invité lors de l’édition de son livre à rejoindre le Club Auteur de sa région. Chaque club bénéficie d’une Page Facebook sur laquelle les auteurs membres peuvent échanger et partager leurs bonnes pratiques.
Edilivre organise également tout au long de l’année le « Prix des Clubs Auteurs Edilivre » durant lequel les auteurs d’une région sont invités à juger les livres d’auteurs d’une autre région.
Après avoir franchi la barre des 4 000 en juin dernier, l’éditeur dépasse le cap des 5 000 auteurs tout en conservant son esprit communautaire et en continuant d’améliorer ses services.
« Nos auteurs ont été enchantés d’apprendre le lancement de club dans leur région. Ils ont déjà commencé à se rencontrer et à prévoir l’organisation d’événements locaux », commente David STUT, Directeur Général d’Edilivre. « Cette démarche prouve à nouveau l’importance qu’Edilivre attache à renforcer son esprit communautaire. Notre réseau de Clubs Auteurs couvre à présent toute la France et nous espérons pouvoir rapidement étendre cette initiative à l’ensemble des pays francophones dans lesquels nous sommes présents ».
A propos d’Edilivre :
Créée en 2007, Edilivre est une société d’édition qui a pour objectif de rendre l’édition plus accessible aux auteurs. La société édite près de 5 000 auteurs à travers le monde (France, Belgique, Suisse, Canada, Maroc, Tunisie, Congo…) et présente un catalogue de plus de 8 000 livres, en format papier et numérique.
Des journées de prévention à destination des étudiants du Nord-Pas-de-Calais
Rencontres Santé :
UNIVERSANTE-NUTRISPORT
Des journées de prévention à destination des étudiants du
Nord-Pas-de-Calais
Pour la 3ème année, la Mutualité
Française Nord-Pas de Calais et l’ULCO (Université du
Littoral Côte d’Opale) mettent en place
les journées « UNIVERSANTE-NUTRISPORT » avec le soutien du Conseil Régional
Nord-Pas-de-Calais.
Ces journées rentrent dans le cadre d’UNIVERSANTE,
une démarche de santé publique conduite par le laboratoire RELACS
(Recherche Littorale en Activités Corporelles et Sportives), dont la mission est
de mobiliser les étudiants autour de l’éducation à la santé et à la pratique
sportive.
_ Une précarité et un renoncement aux soins plus
importants chez les étudiants
De récents sondages1 ont mis en avant les difficultés
économiques et sociales des étudiants :
_ plus d’1 étudiant sur 4 déclare rencontrer des
difficultés financières ;
_ plus d’1 étudiant sur 3 montre des signes de mal-être
(tristesse, déprime, suicide…) ;
_ et plus de 34% énoncent également avoir renoncé
à consulter un médecin au cours des 12 derniers mois, que ce soit par
manque de temps ou de moyens financiers.
Aux côtés des nombreux pôles d’excellence
et avec les atouts dont dispose notre région, la santé ne doit pas être le «
parent pauvre » des étudiants. C’est pourquoi la Mutualité Française Nord-Pas de Calais
accompagne le projet Nutrisport dans le cadre de son programme de prévention «
Promotion de la santé ».
_ Universanté-Nutrisport, une réponse concrète aux
besoins de santé des étudiants
Réparties sur plusieurs sites universitaires (voir page 2),
ces journées annuelles sont ouvertes à l’ensemble des étudiants de l’ULCO et offrent
la possibilité à chacun de réaliser un bilan de santé complet et de participer
à de nombreuses animations de prévention :
_ Le bilan de santé est réalisé à partir de nombreux tests
physiques et psychologiques 2 . Il conduit à une orientation vers un ou plusieurs
professionnels de santé présents, permettant ainsi une prise en charge
immédiate et personnalisée.
_ Le « Village Santé » est composé de nombreux stands
proposant des animations ludo-préventives (relaxation, dégustation équilibrée…),
autour de 3 thématiques : l’alimentation, l’activité physique et les
addictions.
Au regard du succès de cette
initiative, le laboratoire RELACS et l’INSERM3 se sont rapprochés afin de
mettre en place un partenariat ayant pour objectif de développer ce projet à l’échelle
nationale.
Un bon exemple à suivre...
1 3ème Enquête Nationale sur la Santé des Etudiants,
réalisée par la LMDE (Mutuelle des Etudiants) en mai 2011.
2 L’état de santé de chaque étudiant est évalué à l’aide
de différents tests et mesures.
Mesures anthropométriques
(poids, taille, masse grasse, tension artérielle) et biologiques (cholestérol,
triglycérides, glycémie.),
Tests physiques généraux
(endurance par test de Léger boucher, saut explosif sans élan…)
Questionnaires sur les habitus
de vie (sommeil par le Horn et Osberg, pratique d’activité physique,
conduites addictives…)
3 Etablissement public de recherche à caractère scientifique et
technologique.
NDRL : Retrouvez chaque
semaine la veille Mine d’Infos MGEFI
La Mutualité Française dans les médias : découvrez les dernières analyses mensuelles
La Mutualité Française dans les médias : découvrez les dernières analyses mensuelles
Pour tout savoir sur « L’actualité de la Mutualité Française dans les médias », vous trouverez dans
les analyses médias des données chiffrées (nombre de reprises, type de presse...), la façon dont
sont traités les sujets, de même que l'évolution de certains thèmes au fil des mois...
Pour les visualiser et les télécharger, cliquez ici.
Ndlr: pour tout savoir sur l’actualité de la MGEFI (mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie) mutuelle adhérente à la FNMF : www.mgefi.fr ou contactez-moi
Nouvelle campagne de communication sur l'accès aux soins
"Sans
mutuelle, la santé devient hors de prix."
En amont de son 40e Congrès, la Mutualité Française alerte de nouveau les institutionnels et
l'opinion publique sur les difficultés d'accès aux soins en France.
Via les deux annonces déclinées, dans la lignée de la campagne sur la dépendance en 2011,
la jeune génération interpelle chacun sur des situations de rupture pouvant conduire à renoncer à
une couverture santé complémentaire.
Cette campagne sera diffusée du 10 au 18 octobre dans la presse quotidienne nationale
(Le Monde, Le Figaro, Libération, Les Echos, Le Journal du Dimanche, Le Parisien /
Aujourd'hui en France) et régionale (57 titres), ainsi que sur les sites internet d'information
et quelques supports représentatifs de l'économie sociale.
Ndlr: des représentants de la MGEFI seront bien entendu présents au congrès de la Mutualité
En amont de son 40e Congrès, la Mutualité Française alerte de nouveau les institutionnels et
l'opinion publique sur les difficultés d'accès aux soins en France.
Via les deux annonces déclinées, dans la lignée de la campagne sur la dépendance en 2011,
la jeune génération interpelle chacun sur des situations de rupture pouvant conduire à renoncer à
une couverture santé complémentaire.
Cette campagne sera diffusée du 10 au 18 octobre dans la presse quotidienne nationale
(Le Monde, Le Figaro, Libération, Les Echos, Le Journal du Dimanche, Le Parisien /
Aujourd'hui en France) et régionale (57 titres), ainsi que sur les sites internet d'information
et quelques supports représentatifs de l'économie sociale.
Ndlr: des représentants de la MGEFI seront bien entendu présents au congrès de la Mutualité
MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: En prime...
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