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jeudi 23 octobre 2014
MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014
MINE D'INFOS: Clôture des Journées de l’Avenir 2014: Jeudi 16 octobre, le professeur Francis Juthier , chirurgien cardiaque au CHRU de Lille, a reçu un chèque de 11427 € des mains de Dominiqu...
Clôture des Journées de l’Avenir 2014
Jeudi 16 octobre,
le professeur
Francis Juthier, chirurgien cardiaque
au CHRU de Lille, a reçu un chèque de 11427 € des mains de Dominique Letourneau, président du directoire de la Fondation de l’Avenir, Ludocic Vaty, parrain des
Journées de l’Avenir 2014 et de Paul
Merliot, membre du comité
directeur de la Ligue Nationale de Basket. Cette remise a été faite également
en présence de Francis
Formaglio, président de
l’union régional Nord-Pas de Calais de la Mutualité Française, de Bernard Peroy de la Mutuelle
Apreva, ainsi que des représentants des clubs de Lille et de Gravelines.
NDLR: MGEFI ET FONDATION DE L'AVENIR
Le Président fondateur de la Fondation Jean-Pierre Davant ainsi que le président actuel Etienne Caniard ont tous deux étés président de la MAI -Mutuelle des Agents des Impôts (l'une des mutuelles fondatrices de la MGEFI. Le président de la MGEFI Serge Brichet à été trésorier de la Fondation.
Le professeur Juthier a exposé
l’avancée de ses travaux de recherches en chirurgie cardiaque puis a permis à
ses visiteurs d’un jour de visiter les infrastructures du CHRU.
Ce chèque correspond à l’ensemble de la
collecte qui a été mise en place dans le cadre du partenariat qui lie la LNB et
la Fondation de l’Avenir. Depuis sept ans, au cours du mois d’avril, l’ensemble
des clubs de Pro A et de Pro B offre à la Fondation de l’Avenir une visibilité
au cours de l’un de leurs matchs à domicile. Depuis le décès brutal de Thierry Ruppert en
2013, la LNB, sous l’impulsion de son président Alain Béral, et la Fondation de l’Avenir,
ont décidé de soutenir plus particulièrement les recherches sur les
malformations cardiaques.
Le projet translationnel EA 2693, aussi appelé
projet SAVE, porté par le professeur Juthier et son équipe, correspond
pleinement aux valeurs du partenariat qui lie la Ligue Nationale de Basket et
la Fondation de l'Avenir.
NDLR: MGEFI ET FONDATION DE L'AVENIR
Le Président fondateur de la Fondation Jean-Pierre Davant ainsi que le président actuel Etienne Caniard ont tous deux étés président de la MAI -Mutuelle des Agents des Impôts (l'une des mutuelles fondatrices de la MGEFI. Le président de la MGEFI Serge Brichet à été trésorier de la Fondation.
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MINE D'INFOS: Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...: Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans ...
Plus jamais, PLUS JAMAIS çà...
Association FLORIAN FILLET Pour qu'existe enfin les soins palliatifs en pédiatrie
Florian Fillet est décédé d’un mal inconnu, dans des souffrances extrêmes, à l’âge de 15 ans et après 125 jours d’hôpital. De ces souffrances et du constat du manque de moyens des hopitaux pour accompagner
les enfants en soins palliatifs, ses parents ont créé l’association Florian Fillet.
Actuellement, il existe les soins palliatifs pour les adultes, mais force est de reconnaître que pour les enfants, nous en sommes aux balbutiements.Face à l’urgence et au besoin de sensibiliser le plus largement possible, l’action de l’association Flo- rian Fillet est de promouvoir les soins palliatifs, d’organiser et d’intervenir dans l’accompagnement des enfants en soins palliatifs et/ou des enfants dont le pronostic vital est en jeu ; principalement en pédiatrie dans les établissements médicalisés (hôpitaux, cliniques, maisons de santé...) et à domicile.
Son action s’étend à l’accompagnement des proches. L’association peut, en cas de nécessité et en collaboration avec d’autres associations, intervenir dans l’accompagnement de toute personne dont le besoin est identifié.
Le bénévolat de l’association Florian Fillet répond à des objectifs précis :
· Organiser, en concertation avec les professionnels de santé, dans le respect des lois en vigueur concernant les soins palliatifs et la fin de vie, l’accompagnement des malades atteints d’une patho- logie grave, curable ou incurable, connue ou inconnue, et pouvant entraîner la mort. Que ce soit en institut médicalisé ou à domicile.
· Sensibiliser l’opinion publique et favoriser l’évolution des mentalités face à la maladie grave, à la fin de vie et à l’isolement que cela engendre.
· Collaborer avec les équipes soignantes et le corps médical sans jamais tenter de se substituer à eux mais avec la volonté de fournir toute aide susceptible de faciliter leur mission.
· Participer en permanence à l’étude des besoins en matière d’accompagnement des malades en soins palliatifs et/ou en fin de vie.
· Recueillir et partager les informations dans l’intérêt des patients.
· contact mail www.idccommunication.com
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1 Français sur 10 prêt à se faire soigner à l’étranger[1]
Parmi les 11% de Français qui affirment s’être déjà fait soigner à
l’étranger (2%) ou y avoir pensé (9%), les soins visés concernent très
majoritairement le dentaire (67%) et sont liés à des motivations financières
(66% évoquent le coût des soins inférieurs à ceux pratiqués en France) ou de
délais d’attente (31% qui les jugent plus courts qu’en France, avec une pointe à
43% chez les personnes vivant dans des départements
frontaliers).
Un symptôme des carences dans la prise en charge des soins
dentaires en France
Cette prééminence du dentaire dans les intentions qu’auraient nos
concitoyens à se faire soigner à l’étranger montre à quel point l’accès à ce
type de soins est de loin le plus problématique en France pour la population
générale. Si la qualité des professionnels n’est pas remise en cause, ce sont
bien les questions d’accès aux soins, d’abord d’un point de vue financier et
dans une moindre mesure en termes de délais, qui posent
problème.
Le recours à des soins à l’étranger ne pouvant constituer une
réponse sanitaire satisfaisante, cela rappelle l’urgence d’une mise à plat déjà
revendiquée par le CISS des tarifs pratiqués par les chirurgiens-dentistes :
ajustement des remboursements assurés par l’Assurance maladie obligatoire sur
les soins conservateurs et les soins prothétiques, en contrepartie d’un
encadrement des prix de ces derniers.
Le souci de l’après-soin et l’attachement au système de santé
français
Car dans le dentaire comme dans les autres domaines, les
réticences à choisir de se faire soigner à l’étranger sont grandes et largement
majoritaires, d’abord du fait des craintes autour de l’après-soins : les
difficultés relatives au suivi des soins après l’intervention et par rapport à
un éventuel recours en cas d’accident médical sont évoquées, respectivement par
36% et 24% des 9 Français sur 10 qui n’envisagent pas de se faire soigner à
l’étranger, comme raison principale à cela.
Par ailleurs, c’est l’attachement au système de santé français qui
constitue l’explication de ce non-recours aux soins à l’étranger pour 31 %
d’entre eux.
Nos concitoyens ont donc majoritairement conscience des problèmes
de qualité que peut poser le recours aux soins à l’étranger. Ils attachent de
l’importance à pratiquer leurs soins en France aussi pour contribuer à la
qualité du système de santé français et à l’activité des professionnels qui y
exercent. Il est essentiel de se donner collectivement les moyens de faire vivre
cette source d’activité économique solidairement
financée.
Dans la pratique, le dentaire représente 2,5 % des soins pratiqués
à l’étranger remboursés par la Sécurité sociale
La prise en charge des soins à l’étranger reste principalement
orientée vers les soins non programmés réalisés au cours d’un séjour à
l’étranger notamment en cas d’urgence (hospitalisation par exemple) ou de soins
ne pouvant être interrompus dans le cadre de maladies au long cours (dialyse
notamment). C’est ce type de soins à l’étranger qui est de loin le plus pris en
charge par la Sécurité sociale : parmi l’ensemble des prestations remboursées,
environ 80 % sont liées à l’hospitalisation et 7% à la dialyse d’après le
rapport 2013 du Centre national des soins à
l’étranger.
Les assurés sociaux en France doivent être mieux informés de leurs
droits quant à la prise en charge de soins effectués à l’étranger en fonction de
règles spécifiques à chaque pays, à la condition que les soins en question
fassent partie de ceux remboursés en France et dans la limite des tarifs
conventionnels. Cette prise en charge est d’autant facilitée si les soins sont
réalisés au sein d’un Etat membre de l’Union européenne (+ Islande,
Liechtenstein, Norvège et Suisse) et que la personne détient une « carte
européenne d’assurance maladie ».
[1] Enquête
LH2 pour le CISS, réalisée auprès d’un échantillon de 1224 personnes,
représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, recrutés par
téléphone et interrogés par Internet (il ne s’agit pas d’un access panel) les 8
et 9 octobre 2014.
Sécurité sociale
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