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mardi 13 mai 2014
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Enquête : Mais alors, qui sont vraiment les journalistes ?
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Académie de médecine : revoir le déremboursement de la vitamine D
ACADÉMIE
NATIONALE DE MÉDECINE
Communiqué
de presse, mai 2014
DOSAGE
DE VITAMINE D
Ne
plus rembourser les examens en routine
mais ne pas pénaliser la recherche des vraies
carences
Le dosage de 25 OH-D sérique, un métabolite de la vitamine D, qui permet d’apprécier les carences ou les surcharges en cette vitamine, n’est pas nécessaire chez le sujet sain, quel que soit son âge, lorsqu’il mène une vie normale. De même, ce dosage n’a aucune indication dans un grand nombre de situations cliniques. Un apport de vitamine D chez le sujet normal, ne nécessite effectivement aucun dosage préalable, le risque d’effets toxiques aux doses recommandées (jusqu’à 4 000 UI/jour) étant nul.
Or, de 2005 à 2012, la demande de dosages de vitamine D sérique a décuplé, avec 8 millions d'examens remboursés pour un montant de 144 millions d'euros (1). C'est pourquoi la Haute autorité de santé (HAS) (2) a, avec raison, mis fin à l'inflation de demandes de ces dosages en préconisant leur déremboursement partiel. Mais, si les indications du dosage sérique de la 25 OH-D doivent être soigneusement pesées, elles nous paraissent plus étendues que celles retenues par la HAS, à savoir le rachitisme et l’ostéomalacie, un âge avancé associé à des chutes répétées, les suites de la transplantation rénale au delà de 3 mois et les suites du traitement chirurgical de l’obésité (chirurgie bariatrique). De plus, le prix de remboursement du dosage a nettement diminué passant de 24 euros 30 (c'est-à-dire B90) à 11 euros 34 (B42).
En sus des indications retenues par la HAS, Il serait préjudiciable de ne plus rembourser les dosages de vitamine D dans plusieurs circonstances bien identifiées où ils permettent de dépister une carence susceptible d’entraîner des conséquences dommageables et aussi chaque fois qu’il parait nécessaire d’effectuer un bilan complet du métabolisme phosphocalcique pour mieux analyser une situation complexe.
Il s’agit essentiellement de toutes les situations de fragilité osseuse incluant le rachitisme chez l’enfant, l’ostéomalacie et l’ostéoporose chez l’adulte, mais aussi les maladies ou la surveillance des traitements (glucocorticoïdes, par exemple) pouvant induire un risque de fracture. Ce dosage est également très utile chez les patients atteints d’insuffisance rénale chronique, qu’ils soient dialysés ou non, ainsi que dans toute situation de malabsorption intestinale. Le dosage reste utile pour une interprétation correcte des troubles du métabolisme phospho-calcique, à côté de la mesure de l’hormone parathyroïdienne et garde un intérêt certain chez des patients dont l’état clinique peut évoquer une surcharge en vitamine D (coliques néphrétiques à répétition, néphrocalcinose).
C'est pourquoi l'Académie nationale de médecine, reprenant les conclusions de son dernier rapport sur les besoins en vitamine D (5), s'associe aux spécialistes qui, se basant sur les recommandations internationales, se sont récemment exprimés à ce sujet (3,4) et ont demandé aux pouvoirs publics de revenir sur leur décision de ne plus rembourser le dosage de 25 OHD sérique dans les situations énumérées ci-dessus.
B. SALLE* , E DELVIN
membres de l’Académie nationale de médecine
1 – La biologie médicale. Communication à la commission des affaires sociales du sénat Article 10.132-3-1 du code des juridictions financières Juillet 2013. In : www.senat.fr
2- La HAS ne reconnaît pas d’utilité au dosage de vitamine D en routine. Communiqué de presse du 30 octobre 2013. In : www.has.fr
3- Souberbielle JC, Benhamou CL, Cortet B, Rousière M, Roux C, Abitbol V et al. Rapport de la HAS sur les dosages de vitamine D : ne passons pas d’une situation extrême à une autre situation tout aussi extrême. Presse Med. 2014 ; 43 :5-8. Doi : 10.1016/j.lpm.2013.12.005
4 - Ostéopathies fragilisantes, maladie rénale chronique, malabsorptions, anomalies biologiques du métabolisme phospho-calcique : les bonnes indications pour un remboursement raisonné du dosage de vitamine D. Jean-Claude Souberbielle1, Claude Laurent Benhamou2, Bernard Cortet3, Mickael Rousière4, Christian Roux5, et al. Sous presse dans : Annales de Biologie Clinique
5- B. Salle. Statut vitaminique, rôle extra osseux et besoins quotidiens en vitamine D. Bull. Acad. Natle Med., 2012, 196, 1011-1015.
Pierre Fabre obtient l’AMM européenne pour Hemangiol®
le premier et seul traitement pédiatrique approuvé
dans le traitement des hémangiomes infantiles prolifératifs
Castres (Tarn) - France, le 5 mai 2014 –Les Laboratoires Pierre Fabre Dermatologie ont obtenu auprès de la Commission Européenne l’autorisation de mise sur le marché pour Hemangiol® (propranolol), le premier et seul médicament approuvé dans l’indication « hémangiomes infantiles prolifératifs nécessitant un traitement systémique ». Hemangiol® est une solution buvable spécifiquement développée pour un usage pédiatrique. Sa commercialisation débutera par la France et l’Allemagne et sera ensuite progressivement élargie à d’autres pays européens.
L’agrément de la Commission Européenne fait suite à celui de la Food and Drug Administration (FDA) obtenu le 14 mars dernier pour HemangeolTM, nom de la spécialité identique qui sera commercialisée à partir de juin aux Etats-Unis.
Cette AMM pédiatrique (ou PUMA pour Paediatric Use Marketing Authorization) est seulement la deuxième de ce type, toutes pathologies confondues, à être octroyée par l’Agence Européenne du Médicament (EMA) depuis la mise en place du dispositif en 2007.
De la découverte au médicament
L’efficacité du propranolol pour le traitement des hémangiomes infantiles a été découverte en 2007 par le Dr Christine Léauté-Labreze, Dermatologue au CHU de Bordeaux. « 12% des hémangiomes sont des formes sévères qui peuvent entraîner des complications comme une obstruction des voies aériennes, altérer la vue ou entraîner des défigurations irréversibles. Pourtant nous n’avions à notre disposition aucun traitement avec un profil d’efficacité et de tolérance satisfaisant pour cette pathologie. L’AMM apporte un cadre légal d’utilisation sécurisant pour l’enfant, l’entourage et le prescripteur. » souligne le Dr Christine Léauté Labreze Dermatologue CHU de Bordeaux.
C’est en 2009 qu’un partenariat a été conclu entre les Laboratoires Pierre Fabre Dermatologie et l’Université de Bordeaux pour rendre accessible cette découverte aux nourrissons atteints d’hémangiomes infantiles dans des conditions spécifiquement adaptées à l’usage pédiatrique. Dans ce cadre, Pierre Fabre Dermatologie a pris en charge le développement pharmaceutique, toxicologique, clinique et industriel, notamment :
Le développement d’une formulation adaptée aux nourrissons : sans excipient à effets notoires (notamment alcool et sucre) et aromatisée, pour faciliter l’acceptabilité du traitement,
La mise en place de 3 études cliniques dont une de Phase II / III, réalisée chez 460 bébés âgés de 5 semaine à 5 mois, pour confirmer le schéma thérapeutique approprié, l’efficacité et la tolérance de la formule,
La conception d’une présentation visant une utilisation sécurisée et facilitée avec notamment une seringue orale graduée en mg et un adaptateur non amovible sur le flacon,
La transposition industrielle et la fabrication selon les standards pharmaceutiques, afin de garantir la qualité et la reproductibilité du médicament.
« Chaque année, ce sont des milliers d’enfants qui vont pouvoir bénéficier de ce nouveau traitement de dermatologie pédiatrique spécifiquement formulé, développé, testé et produit pour un usage pédiatrique sécurisé » a déclaré le Dr Jean-Jacques Voisard, Dermatologue, Directeur Général Pierre Fabre Dermatologie.
« Les agréments obtenus de l’agence américaine puis européenne valorisent la capacité d’innovation de la recherche française et récompensent un partenariat public-privé entamé il y a six ans entre l’Université, le CHU de Bordeaux et les Laboratoires Pierre Fabre, avec le soutien de l’agence d’innovation Aquitaine Science Transfert,» a commenté Eric Ducournau, Directeur Général de Pierre Fabre Dermo-Cosmétique. « C’est un formidable encouragement à poursuivre nos efforts de recherche dans les domaines d’innovation thérapeutique prioritaires pour notre Groupe que sont l’oncologie, la dermatologie et la neuropsychiatrie » a déclaré Bertrand Parmentier, Directeur Général des Laboratoires Pierre Fabre.
À propos des hémangiomes infantiles consulter le site internet www.infantilehemangiomas.com
À propos d’Hemangiol® : Hemangiol® (propranolol base) est une forme pharmaceutique de propranolol spécifiquement adaptée et testée dans l’indication pédiatrique pour laquelle elle a été développée, permettant de meilleures conditions d’usage et d’administration pour cette population de patients. L'efficacité d’Hemangiol® chez l'enfant (âgé de 5 semaines à 5 mois lors de l'instauration du traitement) avec un hémangiome infantile prolifératif nécessitant un traitement systémique a été démontrée dans une étude pivotale adaptative de phase II/III, randomisée, contrôlée, en doses multiples, multicentrique.
Informations importantes de sécurité : Hemangiol® est contre indiqué chez les prématurés n’ayant pas atteint l’âge corrigé de 5 semaines, en cas d’hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients, d’asthme ou antécédent de bronchospasme, de bradycardie, de blocs auriculo-ventriculaires des second et troisième degrés, d’insuffisance cardiaque non contrôlée par un traitement, d’hypotension artérielle, ou de phéochromocytome.
Dans les essais cliniques conduits dans les hémangiomes infantiles prolifératifs, les effets indésirables les plus fréquemment rapportés chez les enfants traités par HEMANGIOL ont été des troubles du sommeil, des infections respiratoires majorées telles que bronchite et bronchiolite associées à une toux et une fièvre, des diarrhées et des vomissements. Les effets indésirables les plus sévères rapportés au cours du programme d'utilisation compassionnelle et dans la littérature ont été des hypoglycémies (et les événements associés tels que des crises convulsives hypoglycémiques) et des infections respiratoires majorées associées à une détresse respiratoire.
A propos de Pierre Fabre rendez-vous sur www.pierre-fabre.com
C'est à lire : Prévoir sa retraite
VIENT DE PARAÎTRE,
dans la collection Études et Résultats,
n° 880, avril 2014
Le 30 avril 2014
Prévoir sa retraite : une personne sur cinq épargne
Charline Laborde
Près de 20 % de la population de 18 ans ou plus détiennent au moins un produit d’épargne financière pour compléter leur retraite. Alors qu’elle ne lui est pas dédiée, l’assurance-vie est le placement préféré des ménages : 7 % des personnes contractent une assurance-vie pour disposer d’un complément de rémunération. Les produits de retraite supplémentaire sont moins diffusés et représentent des montants épargnés plus modestes.
Le recours à des actifs financiers en prévision de la retraite augmente avec l’âge jusqu’à 60 ans, et avec le niveau de vie.
20 % des personnes retraitées perçoivent une rente issue des produits de retraite supplémentaire, notamment des anciens cadres, artisans, commerçants ou chefs d’entreprise. Les hommes qui ont plus souvent occupé ce type d’emplois sont 22,5 % à disposer d’une rente, contre 13,7 % des femmes.
Contact PRESSE : drees-infos@sante.gouv.fr
Abonnez-vous gratuitement aux AVIS DE PARUTION en cliquant ici
Mission Publications-Diffusion
Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES)
Ministère des Finances et des Comptes publics
Ministère des Affaires sociales et de la Santé
Ministère du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social
Pour accéder à l'ensemble de nos publications sur Internet : http://www.drees.sante.gouv.fr
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n° 880, avril 2014
Le 30 avril 2014
Prévoir sa retraite : une personne sur cinq épargne
Charline Laborde
Près de 20 % de la population de 18 ans ou plus détiennent au moins un produit d’épargne financière pour compléter leur retraite. Alors qu’elle ne lui est pas dédiée, l’assurance-vie est le placement préféré des ménages : 7 % des personnes contractent une assurance-vie pour disposer d’un complément de rémunération. Les produits de retraite supplémentaire sont moins diffusés et représentent des montants épargnés plus modestes.
Le recours à des actifs financiers en prévision de la retraite augmente avec l’âge jusqu’à 60 ans, et avec le niveau de vie.
20 % des personnes retraitées perçoivent une rente issue des produits de retraite supplémentaire, notamment des anciens cadres, artisans, commerçants ou chefs d’entreprise. Les hommes qui ont plus souvent occupé ce type d’emplois sont 22,5 % à disposer d’une rente, contre 13,7 % des femmes.
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