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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 6 mars 2014
MINE D'INFOS: Remise de la note d’étape du Haut conseil du finan...
MINE D'INFOS: Remise de la note d’étape du Haut conseil du finan...: sur l’évolution du financement de protection sociale. En réponse à la lettre de saisine du Premier ministre du 19 décembre 20...
MINE D'INFOS: e-docteur : un lancement prometteur avec près de 3...
MINE D'INFOS: e-docteur : un lancement prometteur avec près de 3...: Un mois après le lancement du nouvel outil d’analyse de symptômes d’e-santé.fr, il est l’heure de faire le premier bilan. Au total, c’e...
MINE D'INFOS: Lancement de la Semaine Nationale du Rein le 8 mar...
MINE D'INFOS: Lancement de la Semaine Nationale du Rein le 8 mar...: En France, 3 millions de personnes souffrent d'une maladie rénale et beaucoup ne le savent pas. Un dépistage précoce pourrait pourtant ...
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MINE D'INFOS: MALADIES MENTALES / Concert au profit d'un projet ...: Jeudi 10 avril à la Maison de l'Unesco, un concert de musique classique exceptionnel sera donné au profit d'un projet de recher...
MALADIES MENTALES / Concert au profit d'un projet de recherche de la fondation FondaMental
Lancement de la Semaine Nationale du Rein le 8 mars
En France, 3 millions de personnes souffrent d'une maladie rénale et beaucoup ne le savent pas. Un dépistage précoce pourrait pourtant permettre de retarder voire d'éviter l'insuffisance rénale chronique terminale, synonyme de mise en dialyse ou de greffe rénale.
Pour sa neuvième édition, la Semaine Nationale du Rein, organisée par la FNAIR (Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux) sera l’occasion pour la population la plus large de se faire dépister de manière anonyme et gratuite.
Une multitude de stands d’information se tiendront également durant toute cette semaine dans toute la France pour informer le grand public sur les maladies rénales. Des colloques déclineront également le thème central de cette année : « Mes reins, j’y tiens : prévenir et ralentir le vieillissement du rein ».
A noter que cette Semaine Nationale du Rein coïncidera une nouvelle fois avec la Journée Mondiale du Rein (13 mars) promue et animée par la Fondation du Rein. Cette journée, et tous les événements qui l’entourent, sont placés sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République.
Pour en savoir plus : www.semainedurein.fr
Pour sa neuvième édition, la Semaine Nationale du Rein, organisée par la FNAIR (Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux) sera l’occasion pour la population la plus large de se faire dépister de manière anonyme et gratuite.
Une multitude de stands d’information se tiendront également durant toute cette semaine dans toute la France pour informer le grand public sur les maladies rénales. Des colloques déclineront également le thème central de cette année : « Mes reins, j’y tiens : prévenir et ralentir le vieillissement du rein ».
A noter que cette Semaine Nationale du Rein coïncidera une nouvelle fois avec la Journée Mondiale du Rein (13 mars) promue et animée par la Fondation du Rein. Cette journée, et tous les événements qui l’entourent, sont placés sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République.
Pour en savoir plus : www.semainedurein.fr
e-docteur : un lancement prometteur avec près de 30 000 analyses en un mois
Un
mois après le lancement du nouvel outil d’analyse de symptômes d’e-santé.fr, il
est l’heure de faire le premier bilan. Au total, c’est environ 1 000 analyses
par jour qui ont permis aux internautes d’exprimer leurs symptômes pour
identifier les diagnostics envisageables et surtout connaître le degré de
gravité (appeler le 15, appeler le médecin, se rendre aux urgences, prendre
rendez-vous chez le médecin ou s’auto-surveiller).
Des
débuts prometteurs et des internautes satisfaits
« Nous sommes très contents
des débuts d’e-docteur : son utilisation prouve que le besoin est réel »
explique Arnaud Julien, directeur général d’e-santé.fr. Le Docteur Loïc
Etienne, concepteur de l’outil, est également très positif : « Les médecins
se sont emparés du sujet et nous avons beaucoup échangé avec eux pour améliorer
e-docteur. Ceci est la première version de l’outil et le parfaire est un
travail collaboratif que nous avons à cœur de mener avec le corps médical ».
Côté utilisateurs, les avis sont
effectivement positifs. Une fois les symptômes exprimés et l’analyse achevée,
les internautes ont la possibilité de donner une note et de laisser un commentaire.
Avec une moyenne de 3,7 / 5, l’outil plaît : « C’est une
bonne initiative, qui permet d'éviter de lire tout et n'importe quoi en
proposant un outil sérieux et fiable » écrit un internaute. « La présentation
est réellement très claire. La qualité du rapport a dépassé mes attentes. Un très
bon outil donc, qui vient de rejoindre la liste de mes liens favoris » témoigne
un autre.
Un
outil évolutif collaboratif
Actuellement, e-docteur est
capable d’identifier 511 pathologies. Il va progressivement s’enrichir pour en
recenser à terme 1 500 à 2 000. Les médecins à l’origine du système expert d’e-docteur
suivent l’outil au quotidien pour l’adapter aux nouvelles données scientifiques
et aux retours des praticiens de santé. A ce titre, les utilisateurs - particuliers
et professionnels de santé - sont invités à donner leur avis en page de réponse
pour permettre une amélioration de l’outil.
En un mois, près de 300
commentaires ont été
laissés par des utilisateurs
et 80 par des professionnels
de santé. Grâce à ces retours, des modifications ont déjà été
faites sur l’outil : « Quand e-docteur a été lancé, l’internaute avait le
choix entre des symptômes “datant de moins de 2 jours“ ou “datant de plus de 2
jours“. L’analyse des commentaires et des statistiques nous a permis d’identifier
une ambiguïté sur cette description. Dorénavant, on a le choix entre “dure
depuis quelques heures ou quelques jour“’ et “dure depuis plus d’une semaine
(ou problème chronique)“.
« Les données sont suivies en continu par l’équipe médicale.
Des travaux seront publiés dès que les données seront scientifiquement
significatives. L’importance actuelle de l’utilisation de l’outil devrait nous
permettre de publier les premiers résultats avant l’été » explique Pascal
Gleyze, directeur de Persomed et porteur du projet.
En savoir plus
: www.e-sante.fr/e-docteur
Remise de la note d’étape du Haut conseil du financement de la protection sociale
sur l’évolution du financement de protection sociale.
En réponse à la lettre de saisine du Premier ministre du 19 décembre 2013, Mireille Elbaum, présidente du Haut conseil du financement de la protection sociale sur l’évolution du financement de protection sociale (HCFIPS), a remis au Premier ministre le 5 mars 2014 un point d’étape sur l’évolution du financement de protection sociale.
Conformément à la demande exprimée, le HCFIPS a travaillé à l’identification des différentes voies permettant une meilleure adéquation entre les logiques et le mode de financement des différents risques de protection sociale, ainsi qu’aux modalités de réduction des prélèvements sociaux pesant sur le coût et les revenus du travail.
La note d’étape résume les premières réflexions menées au sein du HCFIPS. Elle est accompagnée de la contribution des membres qui ont souhaité afficher une position ou une préférence sur les schémas envisageables d’évolution du financement.
La note contient également sept fiches d’éclairages sur les questions soulevées par la réforme du financement de la protection sociale.
Le Premier ministre souligne la très grande qualité de ce travail, effectué dans des délais très courts. La diversité des scenarii présentés dans la note et les éclairages sur les contraintes économiques, sociales, techniques et juridiques sont des points de repères précieux pour la réflexion et la décision.
La note d’étape nourrira la démarche engagée par le Président de la République et le gouvernement de préparation du Pacte de Responsabilité et du chantier de remise à plat de la fiscalité.
Le Haut conseil du financement de la protection sociale reprendra ses séances au mois d’avril 2014, en approfondissant certains aspects abordés dans la note d’étape.
ACADEMIES MEDECINE ET PHARMACIE : à propos de l'information médicament et santé
Pour une information du public scientifiquement fondée, impartiale, facilement accessible et
compréhensible dans le domaine du médicament
Rapport commun
de l’Académie nationale de médecine
et de l’Académie nationale de pharmacie
Au nom d’un groupe de travail commun :
Président : Gilles Bouvenot
Au titre de l’Académie nationale de médecine : Monique Adolphe, Gilles Bouvenot, Yves Chapuis, Jean-Paul Giroud, Patrice Queneau, Jean Sassard, Jean-Paul Tillement, avec la participation de Pierre Bégué et Michel Lhermitte
Au titre de l’Académie nationale de pharmacie : Alain Astier, François Chast, Jean-Pierre Foucher, Jean-Loup Parier
Liens d’intérêts:
Le rapporteur déclare un lien d’intérêt intellectuel : il a été membre du Collège de la Haute Autorité de santé (HAS) de 2004 à 2014 et a présidé la commission de la transparence de la HAS de 2003 à 2014.
L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles. Préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées, elles émettent un certain nombre de recommandations destinées à permettre de faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté, dans ce contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible pour le public. Ces recommandations s’adressent aux émetteurs d’informations les plus qualifiés que sont d’abord les pouvoirs publics et les autorités et agences de santé dont les trop nombreux silences, mais aussi le manque de réactivité et la production de messages peu adaptés au grand public ne permettent pas une présence suffisamment forte et visible dans les débats et polémiques ; ensuite à l’Assurance maladie qui devrait davantage donner accès aux très nombreuses données dont elle dispose et davantage les exploiter ; aux sociétés savantes qui doivent se garder de cautionner et de promouvoir des informations prometteuses mais non encore confirmées ; aux professionnels de santé qui restent les sources principales d’information du public et les meilleurs relais des informations émanant des autorités et dont la crédibilité des messages repose non seulement sur l’actualisation de leurs connaissances mais aussi sur leur indépendance; enfin, aux associations de patients et aux patients qui, dans leur quête d’informations, doivent prioritairement recourir à leurs médecins et à leurs pharmaciens, en particulier ne jamais interrompre brutalement un traitement en cours ou modifier sa posologie sans leur en avoir préalablement parlé et faire preuve de la plus grande prudence vis-à-vis de documents ou messages électroniques ou non dont l’origine et la qualité ne sont ni identifiées ni validées.
Recommandations
L’Académie nationale de médecine et l’Académie nationale de pharmacie :
rappellent que les médicaments, développés, évalués et surveillés avec la rigueur scientifique nécessaire, guérissent, soulagent et transforment la vie d’un nombre considérable de personnes ;
considèrent que le foisonnement et la diffusion incontrôlables dans les médias et sur Internet d’informations souvent contradictoires sur les médicaments, y compris les vaccins, aboutissent, dans le public, à une perte des repères et parfois à une perte de confiance dans les messages des institutions officielles ;
sont de plus en plus préoccupées par les effets délétères pour la santé publique que sont susceptibles de provoquer certaines de ces informations, quand elles sont alarmantes, caricaturales, insuffisamment fondées ou même erronées ;
ont décidé, dans le but de contribuer à faire davantage émerger, à titre de repère indiscuté dans un contexte de confusion et de dissonance, une information objective, impartiale, scientifiquement fondée, facilement accessible et compréhensible par le public, de faire les recommandations qui suivent.
Les Académies nationales de médecine et de pharmacie recommandent :
1. Aux pouvoirs publics :
d’amplifier les campagnes officielles en faveur du bon usage des médicaments, particulièrement lorsque la santé publique est en cause ;
d’adopter une politique de communication claire et pérenne en faveur de la vaccination, y compris par des campagnes ciblées ;
de poursuivre leur politique d’exigence en termes de déclaration d’intérêts éventuels, pour toute personne s’exprimant dans le domaine de la santé publique et en particulier dans celui du médicament ;
de s’assurer, en les coordonnant, de la cohérence des messages officiels issus des différentes institutions et autorités de santé ;
de faire en sorte que le contenu de la base publique de données sur le médicament :
- ne soit pas une simple compilation de monographies destinée aux professionnels, mais soit rendue accessible au grand public par un travail d’auteur et une rédaction plus appropriée à cet usage ;
- soit actualisée périodiquement et même conjoncturellement en cas de survenue d’un débat public ou d’une crise médiatique ;
- évolue dans les meilleurs délais vers un service public d’information en santé ;
de veiller à ce que la formation initiale des professionnels de santé comme le contenu et les modalités de leur développement professionnel continu soient indépendants de toute influence extérieure, y compris pour leur financement.
2. Aux Autorités et agences de santé :
d’intervenir en première ligne, rapidement, de manière non ambiguë et cohérente, face à la diffusion d’informations erronées, à plus forte raison en cas de polémique ou de crise, pour rappeler le canon de leur doctrine ;
de rappeler régulièrement mais aussi conjoncturellement que :
- tout médicament est « à risque » et que l’octroi de son Autorisation de mise sur le marché signifie que les avantages qu’il procure l’emportent sur les inconvénients ou les accidents qu’il est susceptible d’induire ;
- l’utilisation d’un médicament en dehors de son indication ou selon des modalités ne respectant pas son AMM peut avoir des effets délétères et ne se conçoit qu’à titre exceptionnel, dans un encadrement contrôlé.
d’améliorer la lisibilité de leurs prises de position et de leurs productions, d’en faire des synthèses en langage compréhensible par tous ;
de veiller à la clarté des informations fournies dans les notices situées dans les conditionnements ;
dans le domaine spécifique de l’automédication :
- d’apporter une information claire, pratique et adaptée sur tous les symptômes qui en sont justiciables ;
- de fournir une information validée sur la réelle efficacité des médicaments concernés.
3. A l’assurance maladie :
de développer ses campagnes médiatiques à destination du public et ses actions auprès des professionnels de santé, afin de contribuer à la dissémination à grande échelle d’informations scientifiquement fondées et validées ;
de donner accès aux épidémiologistes et d’exploiter davantage les très nombreuses données dont elle dispose qui sont non seulement susceptibles de mieux faire connaître les pratiques et de détecter les dérives mais encore, par le croisement avec d’autres bases de données comme le PMSI, d’imputer des accidents à un médicament donné et d’orienter de manière pertinente les messages et campagnes officiels.
8 Mars, journée des femmes . médecins, aussi !
En cette journée internationale pour leurs droits, les femmes exerçant la médecine libérale rappellent qu’elles sont toujours victimes d’injustices, inégalement traitées pour leur protection sociale maternité.
Malgré la promulgation de la loi mais faute de parution des décrets nécessaires la situation reste inchangée : en cas d’arrêt de travail pour grossesse pathologique, les femmes médecins exerçant en libéral ne perçoivent aucune indemnité, contrairement aux femmes médecins-salariées.
MG France réclame une autre mesure de simple justice : l’« Avantage Supplémentaire Maternité » assurant aux femmes exerçant la médecine libérale, un revenu leur permettant d’assumer les frais professionnels qui courent pendant la période de congé maternité.
Les contrats de « Praticien Territorial en Médecine Générale », proposés par la Ministre de la Santé dans le cadre du Pacte santé territoire, sont l’illustration de ce besoin de protection sociale. Nombre de jeunes consœurs ont choisi ce contrat d’installation, contrairement à d’autres dispositifs antérieurs ou existants ne la prenant pas en considération.
La féminisation de la profession est une réalité : elle impose, au nom de l’équité, ces mesures urgentes de protection sociale pour les femmes en exercice libéral.
Mesdames les Ministres de la Santé et des Droits des Femmes, osez–les !
Dr Laure LEFEBVRE
Dr Nicole BEZ
Dr Martine LANGLOIS
Référence du communiqué de presse : N° 303 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)
Malgré la promulgation de la loi mais faute de parution des décrets nécessaires la situation reste inchangée : en cas d’arrêt de travail pour grossesse pathologique, les femmes médecins exerçant en libéral ne perçoivent aucune indemnité, contrairement aux femmes médecins-salariées.
MG France réclame une autre mesure de simple justice : l’« Avantage Supplémentaire Maternité » assurant aux femmes exerçant la médecine libérale, un revenu leur permettant d’assumer les frais professionnels qui courent pendant la période de congé maternité.
Les contrats de « Praticien Territorial en Médecine Générale », proposés par la Ministre de la Santé dans le cadre du Pacte santé territoire, sont l’illustration de ce besoin de protection sociale. Nombre de jeunes consœurs ont choisi ce contrat d’installation, contrairement à d’autres dispositifs antérieurs ou existants ne la prenant pas en considération.
La féminisation de la profession est une réalité : elle impose, au nom de l’équité, ces mesures urgentes de protection sociale pour les femmes en exercice libéral.
Mesdames les Ministres de la Santé et des Droits des Femmes, osez–les !
Dr Laure LEFEBVRE
Dr Nicole BEZ
Dr Martine LANGLOIS
Référence du communiqué de presse : N° 303 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)
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