Nora ANSELL-SALLES

lundi 14 octobre 2013

J -22 « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » 4 novembre 2013 Maison des associations de solidarité



En partenariat avec
 
 
MGEFI, SMI, APGIS, COVEA
 

Miroir Social

Vous invite au colloque
Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir
Quel rôle pour l’entreprise ?

Lundi 4 novembre 2013
Maison des associations de solidarité
10/18 rue des terres au curé - 75013 Paris




 

Programme :


9h-9h15 Ouverture par Daniel Benamouzig, chercheur en sociologie au CNRS-Sciences Po et coordinateur du rapport de Terra Nova "Réinventons notre système de santé"

9h15-10h30 Réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale entre :
les âges;
les niveaux de salaire;
les catégories familiales;
les catégories professionnelles;
les tailles d’entreprise,...



Avec


Serge Brichet, président de la Mgefi
Bertrand Daros, directeur général de la mutuelle SMI
Corinne Prayez, directeur général de l'Apgis



Pause



10h45-12h15Quelle place à la négociation dans l'entreprise, dans les branches ?

Quelle est la place de la protection sociale dans la rémunération globale ? Est-ce sa place ?

Quel développement des formules individualisées au travers des sur-complémentaires et des retraites supplémentaires ? Sont-elles les futurs socles de la protection sociale de demain ?
En quoi les démarches de prévention des acteurs de la protection sociale peuvent-elles contribuer à la qualité de vie au travail ?



Avec


Bruno Serizay, avocat associé chez Capstan
Serge Lavagna, secrétaire national CFE-CGC
Brigitte Jumel, secrétaire générale de l'Union des Fédérations CFDT des fonctions publiques et assimilés
Philippe Pihet, secrétaire confédéral FO
Eric Aubin, secrétaire national de la CGT (sous réserve)
Patrick Poizat, secrétaire général adjoint confédéral CFTC
Denis Falcimagne, Entreprise & Personnel



12h15-12h30 Synthèse des partenaires

 


12h30 Cocktail déjeunatoire

 

Participation gratuite - Inscription obligatoire /Demande de renseignements : redaction@miroirsocial.com

 

Coup de projecteur sur la participation de la MGEFI au colloque



 

Comment réinventer les principes de la mutualisation de la protection sociale ?


 Une problématique depuis toujours au cœur même des préoccupations de la Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie.
Serge Brichet, Pdt. de la MGEFI, apportera l’éclairage « spécifique » d’une mutuelle de la Fonction publique et présentera la stratégie mise en place au sein de sa propre organisation, lors du colloque « Santé, prévoyance, retraite : une protection sociale à reconquérir Quelle place pour l’entreprise ? » organisé par Miroir Social le 4 novembre prochain à la Maison des associations de solidarité.

Contact presse MGEFI:

Nora Ansell-Salles

nansellsalles@mgefi.fr / 06 70 74 15 42 


La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.
■ 260 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
www.mgefi.fr

vendredi 11 octobre 2013

10ème JOURNÉE EUROPÉENNE DE LA DÉPRESSION


Mardi 22 octobre à L’entrepôt – Paris 14ème

20h00 à 24h00

 PROGRAMME

Salle de cinéma « l’Entrepôt » : 7 rue Francis de Pressensé 75014 Paris

Manifestation gratuite ouverte au public – Préinscription recommandée –

 
Projection du film (salle de cinéma) :

• 20h00 – 21h30 : « Harcelé à en perdre la Raison » 90’, 2012, de Daniel KUPFERSTEIN

Moment convivial, dédicaces et débat (espace bar) :

 • 21h30 – minuit : animé par le Professeur Jean-Pierre OLIE, Membre de l’Académie Nationale de Médecine, Professeur de Psychiatrie à l’hôpital Sainte-Anne, en présence de : Dr Marie-Hélène DELHON, Médecin du travail (retraitée) de M. J-M. RIEUX, M. Daniel KUPFERSTEIN, Réalisateur, Mme Marie PEZE, Docteur en Psychologie, expert près la Cour d’Appel de Versailles, M. Gérard RIEUX, et un représentant de la Fédération CGT de la Santé et l’Action Sociale


PROJECTION du FILM « Harceler à en perdre la raison » :

Ce documentaire de Daniel Kupferstein retrace la lente « descente aux enfers » de Jean-Michel Rieux, employé communal dans le service Parcs et Jardins de la ville de Béziers. Au-delà de ce drame terrible, qui s’est déroulé en 2003, c’est toute la mécanique du harcèlement dans le travail qui est décortiquée grâce aux témoignages des membres de la famille, des amis et des collègues de travail. Alors que l’actualité nous renvoie régulièrement à des suicides et des cas de souffrance au travail, il est utile de montrer qu’un processus de harcèlement peut amener au pire...

 
Daniel KUPFERSTEIN est réalisateur de films documentaires, et auteur et réalisateur de films de fiction depuis 1998. M. Kupferstein était également formateur de 2004 à 2008 à l’Ecole Internationale de Création Audiovisuelle et de Réalisation (EICAR) sur l’écriture et l’initiation aux films documentaires et de 2007 à 2012 envers les bibliothécaires et les collégiens de Seine-et-Marne dans le cadre d’une sensibilisation aux films documentaires.

 
Sur son dernier film, « Harcelé à en perdre la raison », il nous raconte :

« D’après l’INRS, les cas de suicides sur les lieux du travail ont commencé à être rapportés par les médecins du travail vers la fin des années 1990. Entre janvier 2008 et juin 2009, la Caisse nationale d’assurance-maladie (CNAM) a reconnu 28 suicides comme accidents du travail. Pour autant, il n’existe pas de données nationales permettant de suivre l’évolution du nombre des suicides sur le lieu du travail et a fortiori liés au travail. Une chose est sûre, toutefois, quels que soient les chiffres: quand une vingtaine de salariés d’une même entreprise mettent fin à leurs jours sur le lieu de leur travail -y revenant parfois dans ce seul but- ou laissant un mot indiquant un lien clair avec les conditions de travail, c’est que ça va mal dans l’entreprise. Et France Télécom n’est pas la seule à voir s’accumuler les morts volontaires. Mais, là encore, le sujet est à manier avec précaution. Tous les salariés qui vont mal ne se suicident pas. En revanche, certains salariés confrontés à certaines situations, dans leur vie personnelle ou au travail, passent à l’acte. Quelles sont-elles dans le milieu professionnel (quelles organisations du travail, quel management, etc.) ? C’est tout ce champ de recherche qu’il reste à approfondir.

 
 
Pour mieux saisir la complexité de ces drames, voici un film, celui de Jean-Michel Rieux, harcelé dans son travail à en perdre la raison. »
 

 
Dr Marie-Hélène DELHON, médecin du travail (retraitée)

 
C’est dans le cadre de sa fonction de médecin du travail salarié du Service de Médecine du Travail de Béziers que, durant vingt-quatre ans, Marie-Hélène DELHON assure la surveillance médicale des agents de la Mairie.

 
En février 2003 survient un drame hors du commun qu’elle a été impuissante à prévenir malgré toutes ses alertes : le suicide de Jean-Michel Rieux, agent municipal, qui met fin aux jours de son épouse, Akima, et de leurs deux enfants, Amandine et Charles, avant de se supprimer lui-même. Jean-Michel Rieux dénonçait depuis plusieurs années un harcèlement moral professionnel qu’après le drame, les responsables municipaux puis la Justice se sont employés à nier.

 
Victime elle-même d’un harcèlement moral aujourd’hui reconnu par le Conseil des Prud’hommes, Marie-Hélène DELHON doit quitter son travail à la Mairie en 2004 puis son employeur, le Service de Médecine du Travail, en 2008 pour aller terminer sa carrière ailleurs. Elle consacre les premiers mois de sa retraite à rassembler tous les événements professionnels concernant Jean-Michel Rieux. Dans son livre intitulé « Du désastre professionnel au parti-pris judiciaire », elle démontre l’enchaînement qui a entraîné le terrible dénouement ; puis, elle met en parallèle la réalité des faits avec ce qu’en a retenu la Justice dont le parti-pris permet aujourd’hui à l’employeur d’éviter toute remise en cause. Ce livre est un appel à tous acteurs du monde professionnel, salariés, employeurs, syndicats, médecins, inspecteurs du travail, législateurs, juges, afin que chacun, à son niveau, devienne conscient de sa propre responsabilité et agisse pour que de pareils drames ne se reproduisent pas.

 

Une représentante de la Fédération CGT de la Santé et de l’action sociale parlera de son vécu dans le domaine.

 

LES INTERVENANTS – 10ème Journée Européenne de la Dépression à PARIS :

 
Pr. Jean-Pierre OLIÉ est Professeur de Psychiatrie à la Faculté de Médecine Paris-Descartes, Médecin consultant, ancien chef de service à l’hôpital Sainte-Anne à Paris, Médecin expert près la Cour d’Appel de Paris, agréé par la Cour de Cassation et Membre de l’Académie Nationale de Médecine Il est également, Président de la Fondation Pierre Deniker reconnue d’utilité publique pour la Formation et la Recherche en Santé Mentale Président de Ligne de Vie, association pour la réinsertion des anciens toxicomanes Président du Congrès de l’Encéphale, réunion annuelles des psychiatres francophones

 
Auteur de plus de 300 publications scientifiques et de 20 ouvrages professionnels ou grand public. Il a récemment publié

Guérir la souffrance psychique, 2009, éditions Odile Jacob

Cas cliniques en psychiatrie,…. Flammarion

 
Marie PEZÉ est Docteur en Psychologie, psychanalyste, expert près la Cour d’Appel de Versailles. Elle a créé la première consultation « Souffrance et travail » en 1997 au Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre, le site souffrance-et-travail.com et est responsable du réseau de consultations souffrance et travail.

 
Elle est aussi responsable pédagogique du certificat de spécialisation en psychopathologie du travail qu’a lancé Christophe DEJOURS en novembre 2008 au CNAM et Membre Fondateur du Groupe pluridisciplinaire de Réflexion sur la Maltraitance au Travail.

 
Elle a participé en 2002 au groupe de travail sur « le harcèlement moral dans les établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux publics », DHOS, Ministère de la santé, de la famille et des personnes handicapées. En 2005, à la commission « violence, travail, emploi, santé » présidée par le Professeur DEJOURS, dans le cadre de la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004, Ministère des solidarités, de la santé et de la famille. En 2009 à la Commission Parlementaire UMP sur la souffrance au travail, à la Commission sénatoriale sur le mieux-être au travail.

 
Elle a ouvert sa consultation à de nombreux documentaristes : Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés de Sophie Bruneau et Marc-Antoine Roudil, J’ai très mal au travail de Jean-Michel Carré, La mise à mort du travail de Jean-Robert Vialet et Christopher Nick, prix Albert Londres 2010.

 Elle a publié :

1) Le deuxième corps, La Dispute, Paris, 2002.

2) Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, Pearson, 2008, Flammarion, collection champs 2010

3) Travailler à armes égales avec Rachel Saada et Nicolas Sandret, Pearson, 2011

Réseau de Consultations Souffrance et Travail

Sport à l'hôpital : une initiative originale à La Pitié Salpétrière, Cochin et dans d'autres hôpitaux




Plusieurs hôpitaux d’Ile de France bientôt dotés de vélos de remise en forme pour favoriser l’activité physique à l’hôpital et améliorer la qualité de vie des patients atteints de leucémie.

L’association Leucémie Espoir Paris Ile de France, soutenue par les Laboratoires Pierre Fabre Oncologie, doteront prochainement quatre services hospitaliers d’hématologie ou d’onco-hématologie de la région parisienne de vélos de remise en forme destinés aux patients soumis à des chimiothérapies intensives dans le cadre de leur traitement onco-hématologique.

« Parce qu’un séjour à l’hôpital est parfois long et difficile à supporter par les petits et par les grands, Leucémie Espoir Paris Ile de France a fait de l’amélioration de la vie de patients à l’hôpital un axe fort de ses actions. Les aides que nous apportons doivent correspondre au mieux aux besoins des services hospitaliers et aux attentes des patients. Les vélos de mise en forme offerts aux services hospitaliers vont permettre de joindre l’utile à l’agréable. L’utile, car le patient entretient sa masse musculaire, et l’agréable car l’activité physique favorise un bon moral. »

Colette CLAVIN SAUGIER Président de l’Association Leucémie Espoir Paris Ile de France.

 

 

Un PLFSS 2014 unanimement rejeté


Le gouvernement a présenté hier en Conseil des ministres un projet de loi de financement de la Sécurité sociale qui fait l’unanimité contre lui : les conseils de la CNAMTS, de la CNAV, de la CNAF, de l’UNCAM et de l’UNOCAM l’ont rejeté. Le gouvernement prend donc la responsabilité de présenter au Parlement un texte qui n’est soutenu par aucune organisation sociale représentée dans ces instances.

 

Les mesures prévues par ce PLFSS n’apportent aucune solution à l’augmentation du renoncement aux soins. Pire, elles vont conduire à compartimenter plus fortement encore les populations en limitant drastiquement l’offre de complémentaire santé accessible aux bénéficiaires de l’Aide à la complémentaire santé (ACS). En s’éloignant un peu plus du principe d’universalité des droits, le gouvernement prend, en outre, le risque de renforcer les effets de seuils dans la couverture santé.

 

Alors que le mouvement mutualiste avait accepté de contribuer volontairement à la revalorisation de la rémunération des médecins ne pratiquant pas les dépassements d’honoraires, le PLFSS remet en cause les engagements contractuels en instaurant une nouvelle taxe, sans aucune concertation avec les acteurs.

 

Enfin, en refusant de supprimer les taxes qui pèsent sur les contrats solidaires et responsables, le gouvernement ne respecte pas les engagements que François Hollande avait pris devant le congrès de la Mutualité Française en octobre 2012. Leur maintien conduira de plus en plus de personnes à renoncer à se couvrir convenablement pour des raisons financières.

 

La Fédération des mutuelles de France, dans le cadre de la campagne « une mutuelle pour tous », formule des propositions pour renforcer la Sécurité Sociale et permettre à tous d’accéder à une mutuelle. Elle continuera, par ses actions militantes dans les prochaines semaines, à interpeller les parlementaires et le gouvernement pour inverser la logique qu’instaure ce PLFSS et proposer une alternative qui contribue à renforcer notre protection sociale solidaire.

 

A propos des Mutuelles de France

La Fédération des mutuelles de France, présidée par Jean-Paul Benoit, regroupe près de 130 groupements mutualistes dont 88 mutuelles santé et 34 unions ou mutuelles gestionnaires de réalisations sanitaires et sociales qui gèrent près de 300 services de soins et d’accompagnement mutualistes (Ssam). L’ensemble des mutuelles et unions de la FMF protège 3 millions de personnes.

La FMF est membre de la Fédération nationale de la Mutualité française depuis l’unification du mouvement mutualiste en 2002.

 

Salles de consommation à moindre risque :


Le Conseil d’Etat recommande d’inscrire le dispositif dans la loi

Dans le cadre du plan gouvernemental de lutte contre la drogue et les conduites addictives 2013-2017, porté par la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) et adopté le 19 septembre dernier, le gouvernement a confirmé sa volonté d’accompagner l’expérimentation d’un nouveau dispositif de réduction des risques auxquels s’exposent les toxicomanes :  les « salles de consommation à moindre risque». Ce sont des espaces supervisés par des professionnels permettant d’assurer un cadre d’usage sécurisé aux usagers de drogues injectables dans des conditions d’hygiène évitant les risques infectieux.

De tels espaces ont été ouverts dans plusieurs pays étrangers ; ces expériences ont montré que ces accueils permettent aux usagers de recevoir conseils et aides spécifiques, induisant une diminution des comportements à risque et des overdoses mortelles. Ont également été mis en évidence une réduction de l’usage de drogues en public et des nuisances associées.

C’est pourquoi, le gouvernement a souhaité apporter son soutien au projet d’expérimentation d’une salle de consommation à moindre risque à Paris, impliquant associations de patients et professionnels de santé. Un décret devant permettre ce type d’expérimentation a été préparé à cette fin et soumis pour avis au Conseil d’Etat.

Le Conseil d’Etat a procédé à l’examen de ce projet le 8 octobre dernier et a recommandé au gouvernement d’inscrire dans la loi le principe de ce dispositif pour plus de garantie juridique. Le gouvernement va travailler avec les acteurs concernés par ce projet à la sécurisation juridique de ce dispositif.

Santé Protection sociale : à lire absoslument...




Maude Espagnacq - Dress


En 2009, 77 % des bénéficiaires d’une prestation de compensation du handicap (PCH) sont aidés régulièrement pour les activités de la vie quotidienne. Dans 90 % des cas, ils ont recours à leur entourage et, dans moins d’un cas sur deux, à un professionnel. 90 % des personnes percevant l’allocation compensatrice pour tierce personne (ACTP) sont aidées, contre 77 % des personnes bénéficiant de la PCH. Mais, toutes choses égales par ailleurs, les bénéficiaires de la PCH recourent plus souvent à un professionnel.

Les professionnels sont massivement des aidants à domicile : 80 % des bénéficiaires d’une aide professionnelle reçoivent ce type d’aide. Les professionnels aident principalement pour les tâches ménagères et pour les soins personnels, alors que l’entourage intervient dans toutes les activités quotidiennes.

 

La moitié des bénéficiaires sont aidés plus de six heures trente par jour par leur entourage et plus d’une heure par jour par des professionnels. Ces durées dépendent davantage de la nature du trouble que du type de prestation.

C’est à lire : « Se réconcilier avec le sommeil » de Michèle FREUD – Editions Albin Michel




Enfin un livre efficace pour vraiment mieux dormir

 


Un tiers des Français souffrent de troubles du sommeil et en subissent quotidiennement les conséquences physiques et psychiques : fatigue, déprime, irritabilité, problèmes d’attention et de mémoire, difficulté à prendre des décisions, teint terne, muscles endoloris, crampes…

 

Or ces troubles, qui sont souvent des signaux d’alerte, peuvent se décoder, se réparer et se guérir, sans médicaments.

 

C’est en écoutant ce que le corps cherche à nous dire, en lui prodiguant les soins et l’attention nécessaires, que nous pourrons nous détendre, soulager nos tensions et retrouver un sommeil de qualité.

 

Dans un langage clair et accessible, Michèle Freud décrit les différents troubles du sommeil et leurs causes. À l’aide d’exercices et d’outils simples et très efficaces, inspirés des neurosciences et de la sophrologie (une méthode de connaissance de soi et un puissant outil de changement), elle invite le lecteur à dénouer les tensions quotidiennes qui l’affectent pour mieux lutter contre :

 

L’insomnie
Les difficultés à s’endormir
Les réveils précoces
Les réveils nocturnes
Les cauchemars
Etc.

 

Un ouvrage -accompagné d’un CD offert- pour redécouvrir, en toute confiance, le chemin du sommeil.


 

 

 

 

 

 


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