Nora ANSELL-SALLES

vendredi 4 octobre 2013

C'est à lire : LA PREMIERE COLLECTION DE 10 CONTES FANTASTIQUES PERSONNALISEE AU PRENOM DE VOTRE ENFANT


Découvrez le premier Episode de la collection  des Contes de la petite Boutique de la rue d’en face !

 

LA SORCIÈRE DE LA RENTRÉE DES CLASSES


Aujourd’hui c’est la rentrée des classes, notre héros/héroïne va avoir du fil à retordre avec sa nouvelle maîtresse qui se trouve être une sorcière. Heureusement, il/elle va rencontrer la grosse vendeuse de la petite boutique de la rue d’en face qui a plus d’un tour dans son sac.

 

 

DÉJÀ PARU DANS LA COLLECTION


La sorcière de la rentrée des classes
Le croquemitaine du grenier
Le petit vampire du bac à sable
Le conte de Noël
La Petite Souris des dents


 La marionnettiste de Mardi gras
Le marchand de sable
L’anneau de Pâques
Le petit cirque de
la fête foraine
Les grandes vacances


 

En savoir plus
Pour voir la version en ligne cliquez ici
www.lescontesdelapetiteboutique.com

Contrat d'accès aux soins


La Mutualité Française, signataire de l’avenant n°8 à la convention médicale au sein de l’Unocam, se félicite que l'objectif de 33% de médecins signataires du contrat d’accès aux soins (CAS), parmi ceux qui sont éligibles soit atteint.

 

Le contrat d’accès aux soins est un outil devant contribuer à la maîtrise, dans un premier temps, à la diminution, à terme des dépassements d’honoraires des médecins.

 

L’Unocam s'est engagée à " inciter les organismes complémentaires d'assurance maladie, lorsque les garanties ou les contrats le prévoient, à prendre en charge de façon privilégiée les dépassements d'honoraires des médecins adhérant au CAS".


La Mutualité Française respectera intégralement ces engagements, mais refusera toute mesure qui contribuerait à légitimer les dépassements d'honoraires en généralisant leur prise en charge comme tentent de le faire certains syndicats médicaux.

 

 

A propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.

 
NDLR : MGEFI et Contrats accès aux soins
Foire aux questions pratiques                     

Campagne TV Corem


Le Corem revient à la télé cet automne.

 

La campagne Corem démarrera le vendredi 18 octobre et se terminera le 11 novembre. Les spots restent identiques à ceux du mois de février 2013.

Vous pouvez les visionner sur le site Corem.com à l’adresse suivante : http://www.corem.com/particuliers/actualites-corem.php
 
 
NDLR MGEFI et COREM

Corem                               
  • Nos partenaires                     
  • La Matmut ouvre un centre de santé en plein Paris



    News Assurances Pro

    Pour l'occasion, Daniel Havis, PDG du groupe Matmut était accompagné d'Etienne Caniard, président de la FNMF. L'activité “Livre III” de Matmut mutualité a été ...

    MGEFI : La qualité du service à l'adhérent certifiée AFNOR

     
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    www.mgefi.fr
     

    La MGEFI fait sa pub !


     
     
     
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    Remise à Marisol Touraine du rapport sur les données de santé :

     

     
    Vers un accès ouvert et sécurisé aux données de santé
     
     
     

    Pierre-Louis Bras, inspecteur général des affaires sociales (IGAS), récemment nommé secrétaire général des ministères chargés des affaires sociales, a remis ce jeudi 3 octobre 2013 à Marisol Touraine, Ministre des Affaires sociales et de la Santé, le rapport sur « la gouvernance et l’utilisation des données de santé » (en PJ). La ministre avait demandé en avril dernier des propositions pour mettre en place un dispositif d’accès et d’utilisation des bases de données médico-administratives, adapté aux besoins de santé publique et de sécurité sanitaire, dans des conditions fiables et sécurisées, respectant notamment le strict anonymat des patients.

    Le rapport remis ce jour s’inscrit dans le cadre plus général de la réflexion menée sur l’ouverture de l’accès aux données de santé :
    il complète ainsi le rapport sur la pharmaco-surveillance remis le 15 septembre à la ministre par les Professeurs Bégaud et Costagliola - qui recommandait la création d’une structure regroupant et analysant l’ensemble des données de santé sur l’utilisation des médicaments et produits de santé,
    et s’articule avec la mission « Open data » sur la politique d’ouverture des données publiques.
     

    A l’issue de la remise du rapport, et pour mettre en œuvre concrètement ses recommandations, Marisol Touraine demande à Franck Von Lennep, directeur de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), de diligenter :
    une expertise technique sur la sécurité des données concernant le risque de ré-identification des personnes à partir de données anonymes ;
    une analyse de faisabilité juridique et pratique des propositions sur le contrôle d’accès aux données d’une part et sur les modalités de gestion des bases de données ainsi constituées d’autre part.

    Lors de la présentation de la stratégie nationale de santé, Marisol Touraine a réaffirmé sa volonté de créer les conditions d’un accès plus ouvert, mais aussi sécurisé, aux données de santé. Ces dernières ne sont pas des informations comme les autres, leur protection étant notamment assurée par le secret médical. Dans le même temps, elles présentent un intérêt collectif important : pour que le grand public soit informé sur le système de santé, mais également pour que les autorités sanitaires, les chercheurs et les industriels puissent réaliser des études et suivre l’impact des comportements sanitaires en termes de santé publique. C’est à une ouverture maitrisée des données de santé qu’appelle ainsi le gouvernement.

    Rapport disponible auprès de : nansellsalles@mgefi.fr
     

    jeudi 3 octobre 2013

    MINE D'INFOS: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures s...

    MINE D'INFOS: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures s...: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets : Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions Se laver r...

    Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets :


    Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions

    Se laver régulièrement les mains, ne pas tousser devant un bébé, porter un masque… De simples gestes de prévention permettent de préserver les tout-petits en réduisant les risques de bronchiolite. Pourtant, les gestes ne sont pas toujours bien connus et mis en pratique par les Français. Seulement 6 personnes sur 10 se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper d’un nourrisson1. Très contagieux, les virus responsables de la bronchiolite affectent les bronches des bébés et peuvent être responsables de complications nécessitant une hospitalisation. A l’approche des premiers froids, l’Inpes rappelle les réflexes à avoir pour limiter les risques de transmission dans un livret d’information en ligne : « La bronchiolite ».

     

     

    Faire la chasse aux virus de la bronchiolite en adoptant les bons réflexes !

     

    Selon les résultats d’une enquête menée par l’Inpes en 2012, les Français ont plutôt conscience de la nécessité des gestes de prévention face aux virus de l’hiver : 79% d’entre eux déclarent adopter au moins une précaution vis à vis des infections respiratoires de l’hiver. Sachant que le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur une surface inerte2 comme les jouets, tables, poignées de porte…il faut faire attention de ne pas échanger les effets personnels des différents enfants de la famille (biberons, couverts, etc.) et de les laver soigneusement. Les mains étant un moyen de transport idéal des virus, il est important de se les laver régulièrement et de se couvrir la bouche avec le coude quand on tousse. En période d’épidémie, quelques autres gestes simples sont à adopter. Si certains d’entre eux sont devenus pour la plupart des Français un réflexe, certains restent encore peu adoptés.

     

    Les gestes les plus adoptés par les Français pour diminuer les risques de transmission :

     

    Ne pas embrasser un bébé sur le visage ou sur les mains en cas de rhume et de toux. Même si deux tiers (67 %) des parents d’enfants de moins de 5 ans ne les embrassent jamais quand ils sont malades, 8% continuent à le faire souvent voire systématiquement.

     

    Se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon pendant au moins trente secondes, particulièrement avant de s’occuper d’un bébé.

    Le lavage de mains arrive en tête des gestes de précaution pour protéger les enfants de moins de 2 ans spontanément cités : 22% des Français et 34 % des parents d’enfants de moins de 5 ans. Néanmoins, seulement 59% des Français se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper des nourrissons. Par ailleurs, 37 % de l’ensemble de la population (29 % des parents) n’utilisent pas systématiquement le savon quand ils se lavent les mains à l’eau. Concernant les solutions hydro-alcooliques, elles se sont largement répandues (plus des trois quarts de la population en a déjà utilisées) ; elles sont plus plutôt utilisées à l’extérieur de la maison (51% déclarent les utiliser fréquemment à l’extérieur du domicile vs 33 % à l’intérieur).

     

    Des habitudes à améliorer …

     

    Eternuer et tousser en se couvrant la bouche avec le coude, le bras/la manche ou un mouchoir jetable. Quasiment tous les Français se couvrent la bouche en cas d’éternuement ou de toux (98%) principalement avec la main (48%) et plus rarement avec le coude (11%). Le réflexe de se couvrir la bouche avec le coude est plus fréquent chez les parents d’enfants de moins de 5 ans. Ils sont 19% à le faire.

     

    1 Etude Inpes / BVA – novembre 2012 – échantillon national représentatif de 1206 personnes dont 306 parents de moins de 5 ans.

    2 Kramer A, Schwebke I, Kampf G. How long do nosocomial pathogens persist on inanimate surfaces? A systematic review. BMC infectious

    diseases. 2006;6:130. Epub 2006/08/18.

    2

    Porter un masque chirurgical pour s’occuper d’un bébé (en vente en pharmacie).

    Peu de parents de jeunes enfants ont recours au masque pour éviter de contaminer leur entourage lorsqu’ils sont enrhumés ou grippés : ils sont 6 % à l’utiliser souvent ou systématiquement.

     

    Mis à part ces conseils d’hygiène, il est important d’éviter les visites de personnes malades (enrhumées, notamment) ou d’éviter de leur rendre visite avec un bébé. Il faut aussi éviter d’emmener un nourrisson dans des lieux publics où il risquerait d’être en contact avec des personnes malades (centres commerciaux, transports en commun…), surtout s’il a moins de 6 mois.

     

    S’il est indispensable d’adopter quelques gestes pour préserver son bébé des virus, il est aussi important de le laisser dans un environnement approprié : sain, non enfumé, aéré quotidiennement et maintenu à une température à 19 degrés.

     

    Parents, tout comprendre et tout savoir sur la bronchiolite

     

    Qu’est-ce que la bronchiolite ? Comment limiter les risques de transmission du virus ? Que faire si son bébé est malade ? Les parents se posent fréquemment des questions en période hivernale.

     
    Afin de répondre à leur inquiétude et leurs interrogations, l’Inpes met à leur disposition un livret d’information qui permet de faire le point sur la maladie : « La bronchiolite ». Ce livret est téléchargeable sur le site www.inpes.sante.fr. Il est mis gratuitement à disposition du grand public chez les médecins, pédiatres, kinésithérapeute, dans les crèches et à la CAF.



    NDLR : MGEFI et BRONCHIOLITE
     
     
     
     
    bronchiolite bb                               
  • Bronchiolite : campagne annuelle d'info nov-avril enfants 0-2 ans                               
  • Bronchiolite                     
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