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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 21 mai 2013
MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS
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Bouteille à la mer de Christophe DEVOS
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MINE D'INFOS: Vers une contraception mieux adaptée au profil de ...
MINE D'INFOS: Vers une contraception mieux adaptée au profil de ...: Dans le cadre de la conférence de presse de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et à l'occasion d...
Vers une contraception mieux adaptée au profil de chacun
Dans le cadre de la conférence de presse de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine, et à l'occasion du lancement le 18 mai de la campagne « La contraception qui vous convient existe» de l'INPES, la Haute Autorité de Santé met à la disposition des pouvoirs publics, des professionnels de santé et du grand public des outils pour répondre aux problématiques liées à la contraception.
Malgré un taux de contraception élevé en France, il subsiste un nombre important de grossesses « non prévues ». Un tiers de ces grossesses est dû à l'absence de contraception tandis que les deux autres tiers surviennent sous contraception. La Haute Autorité de Santé (HAS) s'est intéressée aux moyens d'agir. Après avoir publié deux documents fin mars, elle met aujourd'hui à la disposition des pouvoirs publics et des professionnels de santé des outils pour répondre aux besoins des femmes.
Deux grossesses non prévues sur 3 surviennent alors qu'une méthode contraceptive est utilisée. Plusieurs facteurs expliquent cette situation : tout d'abord, il y a un écart entre l'efficacité théorique d'une méthode contraceptive et son efficacité en vie réelle. En effet, la méthode utilisée par la personne n'est pas toujours la plus adaptée à sa situation personnelle. Par ailleurs, il existe en France une notion de « norme contraceptive » qui est utilisée pour caractériser les pratiques contraceptives au cours de la vie. En France, cette norme se traduit par un recours au préservatif en début de vie sexuelle, à l'utilisation de la pilule dès que la vie sexuelle se régularise et au recours au dispositif intra-utérin (DIU) comme alternative à la pilule à partir de 30 à 35 ans, une fois que les femmes ont eu les enfants qu'elles désiraient. Le manque d'information sur les autres possibilités de contraception et cette norme sociale guident souvent le choix et n'aident pas à identifier la méthode la plus adaptée à ses besoins.
Afin de répondre à ce besoin d'information sur les méthodes de contraception disponibles, la HAS a diffusé fin mars un document de synthèse. Celui-ci rassemble toutes les informations sur les méthodes jugées très efficaces par l'OMS et permet aux professionnels de santé de proposer une méthode efficace à chaque personne qui le demande. Ce document était accompagné d'une fiche mémo reprenant les conseils à donner aux femmes pour trouver une contraception adaptée à son propre cas. En effet, la HAS a souhaité souligner l'importance du libre choix de la personne concernée afin que soit prise avec le prescripteur la décision la plus adaptée à son profil.
La HAS complète aujourd'hui cette publication par celle de fiches mémo par situation clinique (au nombre de 8) et d'un rapport sur les freins et les leviers pour le choix d'une contraception adaptée.
Des freins au choix d'une contraception adaptée ...
La HAS rend aujourd'hui public un rapport sur les freins et les leviers à la contraception. Précédé d'un état des lieux des pratiques contraceptives actuelles et des dispositifs d'accès à la contraception, ce rapport met en lumière les difficultés d'accès au choix d'une contraception adaptée et des leviers pour y remédier.
Les freins sont de plusieurs types et concernent les professionnels de santé comme les usagers. Côté professionnels de santé, la HAS a identifié notamment le manque d'actualisation des connaissances sur les méthodes de contraception, ainsi que les conditions d'exercice médical qui peuvent parfois entraver l'accès à une consultation uniquement dédiée à la contraception, pourtant primordiale pour une bonne information de la personne.
Côté usagers, certains freins peuvent être associés à l'existence d'idées reçues telles que la pilule fait grossir, le DIU rend stérile... Ces représentations sont la plupart du temps dues à un manque d'information et de connaissances des moyens de contraception. D'autres obstacles ont été identifiés : la réticence à aborder des questions qui relèvent de l'intime, les difficultés d'accès à certains professionnels de santé ou les contraintes économiques (restes à charges). Enfin, des situations de fragilité peuvent de manière générale entraver le choix d'une méthode contraceptive mais également constituer des facteurs de risque d'échec de la contraception : non-reconnaissance sociale et parentale de la sexualité juvénile, périodes de post-partum ou post-IVG, périodes d'instabilité et/ou de fragilité affectives, situations professionnelles particulières et/ou le mode de vie (travail de nuit, horaires irréguliers et/ou décalés)
... qui peuvent être levés
Afin de dépasser ces difficultés, la HAS propose une synthèse des principales préconisations des institutions ayant exploré cette thématique comme par exemple le fait d'améliorer l'information du grand public pour mettre fin aux idées reçues sur la contraception et la vie sexuelle. Ou encore mieux préparer les professionnels de santé à leur rôle de conseil et d'accompagnement en matière de contraception.
Enfin, pour répondre aux besoins des professionnels de santé d'actualiser leurs connaissances par une information fiable et de qualité, la HAS publie des fiches mémo par situation clinique. Ces fiches aideront le professionnel de santé à trouver avec la personne la contraception la plus adaptée à ses besoins et à sa situation clinique. Ces fiches complètent la première fiche mémo mise en ligne fin mars « Conseils et prescriptions pour la délivrance d'une pilule ».
Les fiches mémo, mises en ligne aujourd'hui, sont au nombre de 7 :
- contraception chez la femme adulte en âge de procréer (hors postpartum et post IVG),
- contraception chez l'adolescente,
- contraception en postpartum,
- contraception en post IVG,
- contraception chez l'homme,
- stérilisation chez l'homme et la femme,
- contraception d'urgence
A ces fiches par situation clinique, la HAS ajoute un tableau de synthèse des méthodes contraceptives et de leur efficacité respective.
Des travaux dans la continuité
La HAS publiera au cours de l'année d'autres travaux pour continuer dans cette perspective d'amélioration des pratiques professionnelles. Elle élabore actuellement une fiche mémo sur l'évaluation et la prise en compte des risques cardio-vasculaires qui sera rendue publique en juin et évalue l'intérêt du dépistage des troubles de la coagulation avant la prescription d'une méthode de contraception.
Consultez les fiches memo en cliquant ici
NDLR : MGEFI et contraception
http://www.mgefi.fr/public/Prevention/Internet
Les Agences régionales de santé (ARS) d’Ile-de-France et de Rhône-Alpes consolident leur partenariat sur le champ des systèmes d’information santé
Le 15 mars 2013, Claude Evin, directeur général de l’ARS Ile-de-France et Christophe Jacquinet, directeur général de l’ARS Rhône-Alpes ont renouvelé la convention de partenariat qui les engageaient à développer en commun des systèmes d’information en santé, médico-social, prévention et ambulatoire, depuis les études préalables jusqu’à la mise en œuvre opérationnelle des projets.
L’ouverture de l’hôpital vers la ville, l’accroissement de la diffusion des technologies de l’information et de la communication dans la santé et les contraintes budgétaires sont autant d’éléments conjoncturels qui conduisent les agences régionales de santé, dans le cadre des orientations nationales impulsées par la délégation à la stratégie des Systèmes d’Information de Santé du ministère, à promouvoir le développement rationnel et performant des systèmes d’information.
Parallèlement, la place des mutualisations intra et inter régionales s’étend à de nombreux champs de compétences des agences.
Les régions Ile-de-France et Rhône-Alpes présentent des caractéristiques communes comme la taille de la région et le nombre important d’opérateurs et de professionnels de santé y exerçant (420 établissements de santé et 47 000 professionnels de santé libéraux en Ile-de-France ; 340 établissements de santé et 32 700 professionnels de santé libéraux en Rhône-Alpes), qui rendent possible l’importation de méthodes et de solutions éprouvées par l’une ou l’autre des deux régions. Procéder par simple « copier / coller » à partir de solutions construites dans des régions de tailles trop différentes est souvent plus difficile.
En 2008, des premiers axes de mutualisation en matière de systèmes d’information de santé avaient été identifiés, notamment au travers d’outils destinés à faciliter la coordination des soins comme TRAJECTOIRE[1], conçu en Rhône-Alpes et aujourd’hui déployé dans 98% des établissements de santé franciliens.
D’autres travaux communs ont été menés, à partir du Répertoire des professionnels de santé d’Ile-de-France (REPSIF) et du portail télésanté de Rhône-Alpes. De nouveaux projets communs démarrent autour du Répertoire opérationnel des ressources (ROR) Ile-de-France et des échanges sécurisés entre professionnels et établissements de santé.
La nouvelle convention est aujourd’hui signée après cinq années de collaboration jugées fructueuses ; elle établit un comité stratégique composé paritairement de 2 représentants de chaque ARS et un programme de travail commun annualisé. Les groupements de coopération sanitaires régionaux, le GCS pour le Développement des Systèmes d’Information partagés en Santé en Ile-de-France - D-SISIF (www.gcsdsisif.fr) et le GCS Système d’information santé Rhône-Alpes - SISRA (www.sante-ra.fr) en assureront le secrétariat et animeront les comités projets.
Engagées l’une et l’autre dans l’amélioration des parcours des patients et le développement de l’efficience du système de santé, les deux régions partenaires accroissent ainsi leurs moyens et souhaitent limiter les redondances en matière de système d’information.
MINE D'INFOS: 27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibil...
MINE D'INFOS: 27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibil...: Un patient dépisté à temps = une économie de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour la Sécurité Sociale et les mutuelles Sans ...
27 mai au 1er juin - Semaine Nationale de Sensibilisation à l’Hémochromatose
Un patient dépisté à temps = une économie de plusieurs dizaines de milliers d’euros pour
la Sécurité Sociale et les mutuelles
la Sécurité Sociale et les mutuelles
Sans connaître l’Hémochromatose et sans dépistage, le malade consulte bon nombre de spécialistes sans savoir de quoi il souffre et ce souvent pendant de nombreuses années. Ces recherches entraînent des consultations multiples auprès de spécialistes, des examens biologiques onéreux : des dépenses considérables pour la sécurité sociale, pour les mutuelles.
Comme le diagnostic de l’Hémochromatose est fait trop tard à 50-65 ans, le fer accumulé a altéré les organes. La maladie provoque alors différents maux invalidants, pénibles comme une fatigue extrême, une destruction articulaire ou un diabète insulinorequérant, des maladies graves comme une cardiomyopathie et d’autres mortelles comme une cirrhose ou un cancer. Elle nécessite alors des traitements multiples à vie : la mise en place de prothèses de hanches, de genoux, d’épaules, de chevilles ainsi que d’autres traitements lourds pour soigner les maladies handicapantes engendrées.
A ce moment là, les saignées, faîtes trop tard, sont peu efficaces ce qui entraîne pour les malades arrêts de travail temporaires ou définitifs, des invalidités et pas moins de 2000 décès par an.
« L’hémochromatose génétique dépistée tardivement engendre donc des dépenses médicales considérables pendant 30 à 50 ans qui peuvent être évaluées à plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Ne faudrait-il pas, pour économiser les deniers de l’Etat et ceux des mutuelles, faire de la prévention, c’est-à-dire du dépistage ? »
Ne faudrait-il pas, pour économiser les deniers de l’Etat et ceux des mutuelles, faire de la prévention, c’est-à-dire du dépistage ? »
Pour connaître toutes les informations dans votre ville, spécialistes, conseils aux familles :
un seul numéro : ASSOCIATION HEMOCHROMATOSE FRANCE – 04 66 64 52 22
www.hemochromatose.fr
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Contact Presse : Sophie Mordelet : hemochromatose@sg-communication.fr
MINE D'INFOS: Les perturbateurs endocriniens quels risques pour ...
MINE D'INFOS: Les perturbateurs endocriniens quels risques pour ...: SANTÉ & ENVIRONNEMENT Les perturbateurs endocriniens quels risques pour demain ? Le mardi 4 Juin 2013 de 11H à 13H ESPA...
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