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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 27 novembre 2012
MINE D'INFOS: 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir
MINE D'INFOS: 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir: La Fondation de l’Avenir remettait, le 21 novembre dernier, les Prix des Chirurgiens de l’Avenir aux étudiants les plus prometteurs du ...
MINE D'INFOS: Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille...
MINE D'INFOS: Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille...: Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ...
MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...
MINE D'INFOS: Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et c...: L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et l’Institut Curie organisen...
Programme 5 décembre séminaire DESSEIN Santé et crise économique
L’association DESSEIN (Dauphine EcoSanté Social Entente et
Idées Nouvelles), l’Université Paris-Dauphine et l’Institut Curie organisent, dans le cadre de
Paris Sciences et Lettres, un séminaire.
Mercredi 5 décembre 2012
Santé, Crise économique
Quel est l’impact de la crise sur le système de santé, son financement et la qualité des soins ?
La santé, facteur de surendettement ? Ou facteur de croissance ?
Institut Curie, Accueil 8h45 - 9h-12h30 Amphi Constant Burg
12 rue Lhomond, Paris 5e
12 rue Lhomond, Paris 5e
Inscription obligatoire par mail : christine.roulliere@wanadoo.fr
En partenariat avec :
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation Privée, La Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé
La Fédération Hospitalière de France, La Fédération de l’Hospitalisation Privée, La Fédération des Etablissements Hospitaliers et d’Aide à la Personne, privés non lucratifs, Le Collège des Economistes de la Santé, le Laboratoire d'Economie et de Gestion des Organisations de Santé
Polyarthrite rhumatoïde : se soigner sans aiguille !
Crossject, société biomédicale bourguignonne, a signé une
licence de distribution de son dispositif d’injection sans aiguille ZENEO®
en association avec un médicament traitant la polyarthrite rhumatoïde. Ce
dispositif innovant permet aux patients de s’auto-administrer les doses
prescrites en toute sécurité. Une révolution dans le monde médical et une avancée
majeure pour l’entreprise. Explications.
La polyarthrite rhumatoïde est une maladie dégénérative
inflammatoire chronique qui se caractérise par une atteinte articulaire souvent
bilatérale et symétrique. Evoluant par poussées vers la déformation et la
destruction des articulations atteintes, elle nécessite notamment un traitement
intensif et long. Dans la quasi majorité des cas, il se traduit par des
injections d’antalgiques classiques, d’anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou
de corticostéroïdes à faible dose. Des traitements de fonds existent également.
ZENEO®, un dispositif médical d’injection sans
aiguille, attendu par les patients
« Pour soulager les personnes atteintes par la
polyarthrite rhumatoïde tout en évitant les injections avec seringues et
aiguilles ou des traitements parfois difficiles à suivre, Crossject a mis au
point ZENEO®, un dispositif d’injection
sans aiguille, conçu pour faciliter l’auto-administration de médicaments
injectables » explique Patrick Alexandre, PDG de Crossject.
ZENEO® est une innovation qui répond à des enjeux majeurs
de santé publique encore non satisfaits :
- Elimine la
phobie de l’injection par aiguille qui affecte 10% de la population qui refuse
pour cette raison de suivre le traitement médical (25% de la population est réticente),
- Réduit le «
stigma social » en améliorant la qualité de vie des patients par un dispositif
auto-administrable qui banalise les traitements chroniques injectables qui sont
ainsi mieux acceptés,
- Favorise l’observance
des traitements. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, le mauvais suivi
des thérapies chroniques est un problème mondial qui affecte 50% des patients.
- Supprime les
risques de contamination virale accidentelle des personnels de soin et de l’entourage
des patients.
- Accélère la
prise en charge des situations d’urgence par sa simplicité d’usage pour sauver
des vies ; ceci pour de nombreuses maladies telles que les allergies ou l’asthme
où la rapidité d’intervention est déterminante.
Explications dans le communiqué ci-joint
Explications dans le communiqué ci-joint
5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir
La Fondation de l’Avenir
remettait, le 21 novembre dernier, les Prix des Chirurgiens de l’Avenir aux étudiants
les plus prometteurs du Master 2 de Sciences Chirurgicales (Universités Paris
Sud et Paris Est-Créteil).
C’est dans la magnifique salle du conseil de l’Université
Paris Descartes (Paris 5e) que s’étaient réunis universitaires, médecins, étudiants
et mutualistes, pour assister à la 5e édition des Prix des Chirurgiens de l’Avenir.
Cet événement
organisé en partenariat avec les Universités Paris Sud et Paris Est-Créteil
(représenté par le Pr. Eric Allaire), avec le soutien de l’Académie Nationale
de Chirurgie (représentée par son président, le Pr. Jacques Baulieux) est
destiné à récompenser les meilleurs travaux réalisés dans le cadre du Master 2
de Sciences Chirurgicales.
La cérémonie, animée
par Michel Sirven (membre du directoire de la FDA) a débuté après la conférence
du Pr. Dominique Franco, professeur de chirurgie digestive à l'Université
Paris-Sud, sur le thème : " Quels défis pour la chirurgie de
demain?".
Comme chaque année,
les prix étaient répartis en 3 parcours : Neurosciences, Cancérologie et 3R (Régénération,
Réparation, Remplacement), avec une dotation de 3000€ chacun, et 6000€ pour le
prix spécial du jury (tous parcours confondus).
Le lauréat du
parcours Neurosciences, Michel Nassar, a reçu son prix
des mains de Véronique Faure (membre du
directoire de la FDA) et du Pr. Evelyne Emery (responsable du parcours
Neurosciences du master). Son travail portait sur les surdités liées à
l'infection foeto maternelle à cytomégalovirus.
C’est Dominique
Lebrun (trésorière de la FDA) et le Pr. Marc Pocard (responsable du parcours
Cancérologie du master) qui ont eu l’honneur de remettre le prix du parcours
Cancérologie à Chetana Lim, pour son travail sur les métastases des cancers
colorectaux.
Quant au prix
du parcours 3R, il a été remis à Pierre Lhommet, par le Pr. Emmanuel
Martinod, (responsable du parcours 3R du master) et Anne Mounolou (secrétaire générale
de la FDA) pour son étude sur la thérapie cellulaire cardiaque.
Enfin, le prix spécial du Jury a été décerné à Adeline Decambron,
des mains du Pr. Pierre Bonfils et de Dominique Letourneau, respectivement président
du conseil scientifique et président du directoire de la Fondation de l’Avenir.
Son travail portait sur des matériaux "biohybrides" pour la réparation
osseuse.
Chantons pour la Recherche Médicale en Ophtalmologie Ouverture des inscriptions pour les chorales !
Retina France est heureuse d’annoncer
à toutes les chorales que la 18ème édition de Mille chœurs pour un
regard est lancée et que toutes les chorales peuvent participer à cet événement
choral au profit de la Recherche Médicale en Ophtalmologie.
Les concerts de
chorales auront lieu les 22, 23 et 24 mars 2013 sur toute la France et les
inscriptions sont ouvertes jusqu’à fin janvier.
C’est la chanteuse
ENZO ENZO, aux couleurs pop-jazzy qui parraine cette opération et qui offre à
toutes les chorales inscrites, la possibilité d’intégrer à leur répertoire la
chanson « La même lune que moi » dont les partitions seront envoyées
gratuitement.
Chaque année, les
artistes sont de plus en plus nombreux à s’investir pour alerter le public sur
les maladies, « la vue est un des domaines dans lequel il faut se mobiliser
pour permettre à la Recherche d'avancer » confie Enzo Enzo.
En 2012, Retina
France a contribué au versement d’un million d'euros à la Recherche Médicale en
Ophtalmologie, soit le financement de nombreux programmes et bourses de
recherche dans des laboratoires Inserm et CNRS. La thérapie génique, les
facteurs de croissance, le génotypage etc. sont autant d’axes de recherche
soutenus par l’association, reconnue d’utilité publique.
En 2012, 650 concerts ont été donnés et 1800 chorales ont donné de leur voix pour le plus grand bonheur du public. L'originalité de "Mille chœurs pour un regard" consiste en l'organisation de centaines de concerts partout en France.
L'association
fournit aux chorales l'ensemble des supports de communication (partitions,
affiches, programmes, tracts, billets….) et prend en charge les frais
d'organisation avec le concours de la SACEM.
Il s’agit pour les chorales d’un rendez-vous incontournable, musical et solidaire !
Pour participer rien de plus simple, rendez-vous sur le site internet www.retina.fr ou contactez l’association :
RETINA FRANCE
2 chemin du
Cabirol- 31770 COLOMIERS
Alerte Etienne Caniard
Mutuelles, assurances : est-ce si différent ?
AgoravoxTv
Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD président de la mutualité française. Pardon, mais tout à voir si on regarde la ...
AgoravoxTv
Donc, rien à voir avec une mutuelle, si l'on en croit Etienne CANIARD président de la mutualité française. Pardon, mais tout à voir si on regarde la ...
SANTE ET ENVIRONNEMENT : études à la clé, clé des études
Paris 5 / Paris 6
/ Paris 7
Lundi 3 décembre 2012
17h00 - 20h00
AgroParisTech. Amphithéâtre Tisserand
16, rue Claude Bernard. 75005 Paris
(Re)passez votre certificat d’études !
17h00
DU CERCLE VICIEUX
DE BRENNER AU CERCLE VERTUEUX DE L’OMS
André AURENGO - Paris VI
17h15
CÔTÉ SCIENTIFIQUE
: UNE ÉTUDE PEUT EN CACHER UNE AUTRE...
Claude MONNERET : du « sans parabènes » à la une
André AURENGO : téléphones portables : du débat
sur toute la ligne
Louis-Marie
HOUDEBINE : on peut tout
faire dire à des rats...
18h15
CONTEXTE : DEBAT
PUBLIC OU MEDIATIQUE ?
Sylvestre HUET (Libération)
Marc MENNESSIER (Le Figaro)
18h45
SUIVI POLITIQUE :
DÉCIDER ou décider de poursuivre les études
Un parlementaire
19h15 – 20h00
LE POINT DE VUE DE L'OPINION
Interventions du
public et réponses aux
questions posées par mail lors de l'inscription.
Si vous souhaitez assister,
merci de vous inscrire
Ateliers Santé -
Environnement
Paris 5 / Paris 6
/ Paris 7
Dans le cadre du
Diplôme Inter Universitaire (DIU) Santé - Environnement de Paris 5, Paris 6 et
Paris 7, des ateliers ouverts sont organisés quatre fois par an pour éclairer
le public sur les sujets qui font débat en santé dans sa nouvelle dimension
environnementale et sociétale.
Ces ateliers sont
conçus comme des « travaux pratiques » dans un objectif essentiellement pédagogique,
afin de rendre compte de l'état des connaissances scientifiques mais aussi de
leur évaluation, voire de leur interprétation, à tous les niveaux du débat
public, depuis l'alerte jusqu'à la décision.
Deux premiers
ateliers, en 2011 et 2012, sur la question des pesticides et la prise en charge
des personnes électrohypersensibles ont permis de valider la pertinence de
cette formule argumentaire et interactive, et d'envisager d'autres réunions sur
le même modèle courant 2013.
Lundi 3 décembre
2012, de 17h00 à 20h00, les « 3e Ateliers santé-environnement » poseront la question de la
validité des études telles qu'elles s'imposent aujourd'hui en référence
incontournable, mais souvent discutable, à la fois sur le plan médiatique et
dans un nouveau contexte de décision politique.
A partir
d'exemples précis, des scientifiques, des journalistes et des décideurs démontreront,
de leur point de vue, différent et complémentaire, parfois conflictuel, les
difficultés actuelles et les contraintes de l'information et de la décision en
santé.
Pour répondre avec
des arguments validés et référencés aux incompréhensions et aux inquiétudes de
nos concitoyens.
Pour fournir à
ceux qui ont la responsabilité d'informer et de décider une grille de lecture
adaptée aux conditions d'exercice et à l'éthique de leur métier.
Posez vos questions par courriel : claire.zaslavsky@upmc.fr
Bilan, nouveautés et perspectives des indicateurs de qualité et de sécurité des soins
Pour une politique de transparence dans les établissements
de santé : bilan, nouveautés et
perspectives des indicateurs de qualité
et de sécurité des soins
Dans le cadre de la deuxième édition de semaine de la sécurité des patients,
qui se tient du 26 au 30 novembre 2012, Jean Debeaupuis, directeur général de
l'offre de soins et le professeur Jean-Luc Harousseau, président de la Haute
Autorité de Santé (HAS), ont restitué ce jour les résultats des indicateurs de
qualité et de sécurité des soins 2011.
Tous deux saluent l'action des établissements de santé :
depuis près de six ans, ceux-ci se sont engagés dans cette démarche en participant au déploiement
de ces indicateurs, véritable outil de pilotage de la qualité et de la sécurité
des soins pour les établissements et de transparence à destination des usagers.
Les résultats sont d'ores et déjà
accessibles sur le site de diffusion publique Platines
: www.platines.sante.gouv.fr
A ce jour, 16 indicateurs
existent : 7 pour la lutte contre les infections nosocomiales - généralisés par
la DGOS - 9 pour la qualité et la sécurité de la prise en charge du patient -
QUALHAS, généralisés par la HAS.
Chaque établissement
a 2 mois à compter de ce jour pour mettre à la disposition du public ses résultats
individuels assortis de données de comparaison, permettant ainsi
une information au plus près de l'usager.
C'est précisément à destination
des établissements - et plus globalement, de tous les acteurs qui diffusent des
informations comparatives utilisant les indicateurs : journalistes, opérateurs de
soins etc - que la HAS a élaboré un guide publié aujourd'hui. Ce guide
méthodologique de diffusion publique des indicateurs doit les aider à
améliorer la qualité de leur communication et son impact auprès du public.
La HAS et la DGOS entendent
porter de manière forte l'amélioration de la qualité et de la sécurité des
soins.
Ainsi, en plus de l'extension
des indicateurs QUALHAS aux secteurs de la psychiatrie et de l'hospitalisation à
domicile, la HAS diffuse cette année un indicateur dans le domaine de la cancérologie
sur une étape clé de la prise en charge au travers des réunions de concertation
pluridisciplinaire (RCP) et l'indicateur de pratique clinique sur l'évaluation
du risque d'escarre en HAD.
Pour continuer à progresser sur
le champ de la sécurité des patients, plusieurs changements marquent
l'évolution du tableau de bord des infections nosocomiales, avec des indicateurs de 2ème génération :
- plus
exigeants sur les actions et les résultats,
- plus spécifiques
sur les grands risques graves et évitables avec de nouveaux indicateurs :
l'indicateur composite de lutte contre les infections du site opératoire
(ICA-LISO) et l'indicateur composite de maîtrise de la diffusion des bactéries
multi-résistantes (ICA-BMR).
De la même façon, les
indicateurs de qualité et de sécurité de la prise en charge de la HAS en cours
de généralisation visent à mesurer la qualité et la sécurité des soins pour des
prises en charge cliniques fréquentes afin de compléter un dispositif
transversal aux pratiques hospitalières.
Le site Platines,
plateforme de diffusion publique des indicateurs, connaît de nouvelles avancées telles que l'introduction des secteurs de
l'hospitalisation à domicile (HAD), de la santé mentale ainsi qu'une évolution de son
ergonomie et la recherche d'établissement par géolocalisation.
Enfin, afin de prolonger la
recherche sur le développement d'indicateurs, un appel à projet conjoint au
ministère chargé de la santé et à la HAS est prévu, dans le but de financer des
nouveaux projets de recherche pour les années 2013-2016.
Des thèmes prioritaires sont
d'ores et déjà envisagés, tels que la satisfaction des patients, l'amélioration
du parcours de soins, le management des ressources humaines, l'évaluation de la qualité en psychiatrie et
la sécurité des prises en charge.
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