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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
vendredi 28 janvier 2022
jeudi 27 janvier 2022
Protection sociale dans la Fonction publique de l'Etat: un accord intéressant 🤔
mercredi 26 janvier 2022
Nouvel hôtel hospitalier à Paris
mardi 25 janvier 2022
Pour être représentative, nous avons besoin de vos retours : Enquête Nationale Technologia
lundi 24 janvier 2022
ÉLYSÉE 2022
Élysée 2022 – RETOUR A L’ÉQUILIBRE DE L’ASSURANCE MALADIE, OUI MAIS AVEC DE NOUVELLES RECETTES
Renforcer le système de santé passe par plus d'efficience et de prévention mais aussi et surtout par un financement augmenté et stable
Une clarification s'impose
Think Tank
Economie Santé - Blog - Ph Leduc
dimanche 23 janvier 2022
Y a pas qu'une vie dans la vie dans la vie comme en témoigne Evelyne Delicourt-Massol journaliste santé
- Bonjour Evelyne Delicourt-Massol, si le monde de la santé (professionnels de santé, attachés de presse... et vos consœurs journalistes bien sûr) vous connaissent bien, certains de nos lecteurs un peu moins en revanche... pourriez-vous brosser en quelques lignes votre portrait et parcours professionnel ?
Blonde, aux yeux bleus, mes amis (es) me disent tonique, créative, artiste, plutôt bienveillante, positive, rassurante, gaie, quelquefois un peu autoritaire, tenace, volontaire, comme les béliers en général. Un BTS en main, j’ai commencé à travailler à 19 ans à l’Hôpital Américain de Neuilly comme secrétaire médicale où j’ai pu croiser de nombreux artistes et personnalités : Mike Brandt, Serge Gainsbourg, le Duc de Windsor et Wally, Jacky Kennedy,.. J’ai collaboré pendant 21 ans à L’Impatient, journal de médecines alternatives, puis pendant plusieurs années à un journal médical, Panorama du Médecin et à des journaux grand public comme Femme Majuscule, Pleine Vie, Top Santé. Dans ma carrière, J’ai alterné entre médecines allopathiques et médecines douces mais mon cœur a penché du côté doux.
Evelyne Delicourt-Massol en quelques images
https://vm.tiktok.com/ZMLRW1nSQ/
Quel est votre meilleur souvenir professionnel ?
La cueillette d’arnica montana dans un champ du Markestein en Alsace, un matin ensoleillé de juin. J’ai ramassé des gerbes d’arnica, jolies fleurs jaunes qui servent à faire des granules, de la teinture, des crèmes d’arnica. Un bon moment de partage avec les cueilleurs professionnels de plantes sauvages.
Vous avez pris votre retraite en 2018. Pouvez-vous nous parler de votre nouvelle vie ?
Une vie dédiée au jardinage, à des cours, à l’écriture, à la peinture, aux balades au bord de la mer, aux rencontres amicales même si la Covid a changé nos modes de vie qui sont actuellement restreints.
- Comment est née votre passion pour les chats ? Combien en avez-vous ?
Notre voisine a quitté son mari un beau jour en laissant 3 chattes. Lorsque nous sommes arrivés à la campagne, nous avons trouvé 11 chatons que nous avons adopté. Nous les avons fait stériliser avec l’aide d’une association et je leur ai donné des noms de fleurs : Aster, Mimosa, Narcisse, Gaura, Anémone, Phlox, Cosmos, Muscari, Lilas, Jasmin, Tournesol. Il m’en reste 7 actuellement. Ils vivent dans lune remise et ont des maisons pour s’abriter du froid ou de la pluie. Notre tout dernier Lupin, est un siamois de six mois qui vit avec nous et c’est mon chat qui ne me quitte pas d’une semelle.
- Pouvez-vous nous dire deux mots de votre activité d'autrice commencée un peu avant votre retraite ?
Dans ma jeunesse, j’étais une fan d’Agatha Christie. J’ai dévoré tous ses romans et je me suis promis d’écrire un roman policier. Une anecdote ; j’ai eu la chance de faire un petit voyage en Orient Express. Dans le wagon restaurant, j’ai choisi une place pour déjeuner. Pendant ce repas, Le directeur des Wagons-Lits nous a raconté l’histoire de ce célèbre train et a désigné ma place car c’était la table d’Agatha Christie. Elle se mettait toujours près des cuisines pour avoir des plats chauds et pour écrire ses romans. Le hasard ou pas ?
Au journal l’Impatient, la vie n’était pas toujours rose et je m’étiolais. Au lieu de faire une dépression, je me suis lancée dans l’écriture avec un premier roman policier à compte d’auteur « Le Jardin d’Héliotrope », enquête avec un bel inspecteur Roberto Pasini, italien et épicurien. Cet ouvrage a été très bien accueilli. Donc un second « Le Clos des Iris » puis un troisième « Rose Pivoine » et le quatrième qui vient de sortir au Lys bleu éditions « LES DELPHINIUMS DE SAINT JEAN une enquête avec Aristide, détective privé, qui a la chance de posséder une villa à Saint-Jean Cap Ferrat. Ma signature, ce sont les titres de fleurs, le suspens, l’humour, l’amour, les fleurs, les jardins, la nature, les voyages. J’écris le cinquième « Les étoiles de Jasmin ».
J’ai mis en scène la vie de mes chats en créant une collection LES CHATS FLEURIS » dont TOURNESOL est le premier livre. Il raconte ses aventures dans le jardin extraordinaire où il côtoie toute une faune de petits animaux et d’insectes. En plus l’enfant peut illustrer chaque chapitre où une page blanche lui est dédié.
On peut les commander en librairie, au lysbleu.com, sur Amazon, Fnac.com ou chapitre.com
Tournesol 11,70 € Les Delphiniums de Saint Jean 20,70 €
Quand avez-vous commencé à vous intéresser à l'aromathérapie... quelle part occupe t-elle dans votre vie aujourd'hui ?
Ayant eu des problèmes de santé, j’ai testé les traitements d’huiles essentielles qui ont réussi à me redonner du tonus et à soulager mes douleurs. J’ai enrichi mes connaissances avec des interviews de phyto-aromathérapeutes, des visites de laboratoires, des stages sur les huiles essentielles pendant mes collaborations à Top Santé, à Pleine Vie, Femme Majuscule. Aujourd’hui, dès que j’ai un petit bobo, je cherche l’huile essentielle magique qui me guérira et ça marche.
- Vous avez choisi, avec votre époux Philippe Massol ancien rédacteur en chef de Panorama du médecin,
de quitter Paris en 2018 pour vous installer dans le Languedoc... la capitale ne vous manque t-elle pas trop ?
J’ai quitté Paris un soir de juillet où il faisait très chaud. J’ai claqué la porte de mon appartement dans le septième arrondissement où nous habitions depuis 30 ans et je ne l’ai pas regretté. J’ai beaucoup profité de Paris en marchant et explorant les quartiers, en visitant les monuments. Nous y sommes retournés plusieurs fois depuis mais j’ai eu l’impression d’être une invitée et de ne plus faire partie des Parisiens. Mes amies me manquent mais il y a le téléphone, les mails,Facebook, Messenger.
- Vous êtes vous bien intégrée dans le village où vous avez élu domicile ?
Je fais partie d’une association et je donne des cours d’aromathérapie sur deux ans. J’apprends à bien utiliser les huiles essentielles (HE) à mes élèves pour soulager les douleurs articulaires, les maux de l’hiver, gérer les émotions, bien dormir… Et j’ai du succès car mes cours sont bien appréciés ! Je leur transmets ma passion pour ces senteurs guérisseuses.
Dernièrement, j’ai proposé au comité des fêtes du village de Lacoste d’organiser un premier marché de Noël. Un challenge que je me suis lancé ! J’ai réuni une vingtaine d’artisans dans l’esprit du naturel, du savoir-faire manuel, de la gourmandise et du recyclage d’objets. Cette journée a été une réussite unanime côté vendeurs qui ont réalisé un bon chiffre d’affaires comme côté acheteurs qui ont découverts des produits locaux, originaux et authentiques. Nous avons de nombreux projets pour 2022.
- Vous êtes très active sur les réseaux sociaux où vous postez de très belles photos... une nouvelle passion ou un besoin de communiquer, partager ou garder le contact...
J’ai créé sur Facebook deux groupes, le premier les chats fleuris et le second, fleurs de bonheur. Mon but au début était de partager mes photos de chats, de fleurs, du jardin. Puis les groupes ont grandi avec 2500 amis pour les chats fleuris et 5000 amis pour Fleurs de bonheur ce qui me permet de correspondre avec certains ou certaines vraies amies que j’ai retrouvés. Pendant le confinement, les gens se sont beaucoup raccrochés à Facebook pour communiquer et les jolies photos de fleurs ou de chats leur donnaient un sentiment de ne plus être seuls mais faire partie d’un groupe. J’apprécie les commentaires qui me remercient et m’encouragent à continuer.
- Nombre de vos consoeurs vous surnomment " la dame en rose" référence à votre couleur préférée que vous arborriez souvent. En faite vous êtes une femme "poète" votre jardin doit-être à votre image pouvez-vous nous en dire quelques mots...
Le rose est une de mes couleurs favorites. Je me suis mariée en rose fuschia. Au stand fruits et légumes du marché de Saxe à Paris, on me surnommait « Madame Rose ». Le rose est la couleur de l’optimisme, du bonheur, de la tendresse, de l’harmonie et elle est seyante au teint.
Mon jardin méditerranéen se compose de 7 restanques (terrasses) qui sont arborées et fleuries suivant les saisons. En ce moment, le mimosa va éclore ses jolies fleurs mousseuses de soleil. Notre jardin n’est pas à l’anglaise, ni à la française, mais à la Evelyne. Pas de perfection, pas de jardin paysager mais un jardin de fleurs aux mille couleurs, de senteurs, où les plantes s’entremêlent et choisissent leur emplacement. Des essences du sud : 9 sortes de Jasmins, des rosiers, des agrumes, des lauriers roses, jaunes, blancs… Nous cultivons quelques légumes avec nos propres plants. Nous avons une vingtaine d’oliviers et nous donnons nos olives aux moulins à huile. Que du bonheur !
Pendant le confinement, j’ai ajouté à l’écriture, la peinture à l’huile pour immortaliser les fleurs de mon jardin. J’ai pris des tutos sur internet et je me suis lancée sans filet. J’ai fait deux expositions dans l’église désacralisée Saint Laurent à Saint-Guilhem-le-Désert, très joli village authentique et j’ai vendu mes œuvres et j’ai eu beaucoup de compliments même deux jolies petites filles ont adoré mes toiles mais n’avaient pas assez d’argent pour les acheter.
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Crédit photo Evelyne Delicourt Massol Micheline FOURCADE Une consoeur vient de nous quitter pour laquelle nous avions tous bea...
✒MESSAGE PERSONNEL À NOTRE
"LA DAME EN ROSE"
Chère Evelyne, chère consoeur, je tenais à profiter de cette interview pour te dire une grand merci, toi qui m'a accueilli avec une grande bienveillance,
à mon arrivée dans le métier, qui m'a intégré dans ton groupe de copines et amies au fur et à mesure des conférences de presse, toi qui m'a présenté aux attachés de presse "qu'il fallait connaître", toi qui m'a régulièrement téléphoné pour me signaler les conférences de presse où il fallait être, qui m'a transféré les invitations presse à ne pas manquer...
Bref toi qui a guidé mes premiers pas qui m'a mis le pied à l'étrier.
A jamais reconnaissante
Nora Ansell-Salles
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samedi 22 janvier 2022
AGENDA "L'avenir des complémentaires santé" le 27 janvier (Université Paris Dauphine)
Bien que le colloque a été indéniablement une réussite, et qu'il apporté un certains nombre de réponses, il convient de garder l'oeil ouvert sur :
👉La question du 100% Sécurité Sociale qui reste importante à clarifier...
👉Tout comme l'impact du 100% santé sur la gestion des mutuelles qu'il convient de suivre de près...
👉Ainsi que les conséquences de la PSC des fonctionnaires sur les mutuelles...
En un mot il nous faut être attentif aux évolutions...
En attendant de retrouver sur cette page le compte rendu des travaux de cette journée, en voici le replay:
👉UN COLLOQUE A NE PAS MANQUER :
« L’avenir des complémentaires santé » le 27 janvier prochain entre 9h00 et 13h00 en direct l'université de Paris Dauphine
Organisé par la Chaire Gouvernance et Régulation de l’Université Paris Dauphine-PSL, ce colloque réunira à la fois les auteurs des études récentes menées sur le sujet, des experts et universitaires spécialistes de l’économie de la santé ou des assurances, ainsi que des représentants des différentes parties prenantes concernées par la question (OCAM, autorités de santé, opérateurs du système de soins).
Le financement des dépenses de santé en France repose sur l’articulation de l’assurance maladie obligatoire (AMO), qui couvre l’ensemble de la population, avec les organismes d’assurance complémentaire maladie (OCAM) qui assurent 13,4 % des dépenses de santé au bénéfice de 95% de la population. Ces chiffres moyens masquent de très fortes disparités dans les taux d’intervention des différents vecteurs de financement : l’AMO couvre l’essentiel des dépenses d’hospitalisation, et les complémentaires couvrent, entre autres, 70% des dépenses d’optiques et 40% des soins dentaires.
La dualité du système de financement trouve son origine dans la création des mutuelles, d’un côté, des instituts de prévoyance, de l’autre, qui ont permis dès le XIXème siècle de mutualiser des risques sociaux, respectivement entre les membres d’une collectivité territoriale ou professionnelle, ou entre employeurs et salariés. L’État est intervenu plus tard, notamment après 1945, pour étendre la prise en charge à un spectre de plus en plus large de catégories de citoyens, jusqu’à garantir une couverture universelle. Cette couverture s’est également étendue au fil du temps à un nombre croissant de catégories de dépenses de santé. Néanmoins, la persistance d’une couverture partielle des dépenses par l’AMO a pérennisé une demande de couverture par un système privé d’assurance complémentaire.
Trois types d’acteurs, aux statuts, régimes fiscaux et modèles économiques différents interviennent dans ce secteur. Au côté des organismes sans but lucratif que sont les mutuelles et les instituts de prévoyance, on trouve les compagnies d’assurance et les bancassurances, attirées, notamment à partir des années 1980, par ce marché en croissance et relativement peu risqué. Ces acteurs ont fortement modifié les pratiques commerciales en différenciant les services proposés aux divers segments de clientèle. Ils ont introduit un fort degré de concurrence dans une activité qui, historiquement, était fondée sur des prestataires opérant de facto sur des marchés protégés. Cette concurrence a été renforcée par différentes interventions de la puissance publique qui y a vu un biais pour faire baisser les coûts de l’assurance complémentaire, et du coup faciliter l’accès aux soins.
Du point de vue des pouvoirs publics, les OCAM ont en effet constitué l’un des vecteurs ayant permis, au cours des dernières décennies, d’améliorer le taux de couverture des dépenses de santé, et partant l’accès aux soins des français, sans peser sur les prélèvements obligatoires. Cela a conduit la puissance publique à encadrer, via des dispositifs fiscaux, l’offre de service des complémentaires santé en instaurant à la fois des « planchers » de prestation et des « plafonds » de remboursement. Par ailleurs, la solvabilisation de la demande a été organisée en mettant en place des transferts fiscaux entre catégories d’assurés.
La combinaison du renforcement de la concurrence et de l’encadrement des pratiques contractuelles a toutefois eu des effets indésirables. L’empilement des réformes au cours du temps a en effet abouti à un système marqué par des inégalités entre assurés, un certain nombre d’inefficacités (telle l’inflation de certaines dépenses) tout en laissant persister des difficultés d’accès à certains types de soins pour une partie des assurés sociaux ou en générant des « reste à charge » élevés pour certaines catégories de dépenses.
Plusieurs rapports récents ont analysé ces dysfonctionnements et ont fait l’objet de discussions. Le Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie (HCAAM), notamment, s’est penché sur l’organisation du système de financement de la santé et ses évolutions. Un débat s’est même engagé par voie de presse sur le développement d’une « Grande Sécu ». L’un des mérites du débat a été de souligner l’articulation de la question de l’organisation du financement des dépenses de santé avec des problématiques connexes comme la prévoyance, la prévention, la gestion des parcours de soins ou le financement de l’innovation.
Plateforme d’échanges et de réflexions associant monde universitaire, acteurs de la décision publique et opérateurs des secteurs concernés par les régulations publiques, la Chaire Gouvernance et Régulation organise le 27 janvier 2022 une conférence qui réunira les auteurs des études récentes, des experts et universitaires spécialistes de l’économie de la santé ou des assurances, ainsi que des représentants des différentes parties prenantes concernées par la question : OCAM, autorités de santé, opérateurs du système de soins.
Il s’agira d’évoquer ensemble les problèmes soulevés par l’articulation entre assurance maladie obligatoire et complémentaires santé et de discuter des voies d’évolution qu’il est à la fois raisonnable et réaliste d’envisager pour renforcer la cohérence, l’efficacité et la dynamique de notre système de financement de la santé.
Ce colloque aura lieu en présentiel à Dauphine, avec diffusion des débats en ligne. Il donnera lieu à une synthèse écrite et à un montage vidéo, à l’image de l’ensemble des travaux de la Chaire.
PROGRAMME
Introduction : Eric Brousseau, Chaire Gouvernance & Régulation, Université Paris Dauphine-PSL
Table ronde 1 : Enjeux de l’articulation public-privé dans le financement de la santé et de l’offre de soin
Modérateur : Eric Brousseau, Directeur scientifique de la Chaire Gouvernance et Régulation
INTERVENANTS :
- Brigitte Dormont, Professeure d'économie, Université Paris Dauphine-PSL
- Carine Franc, Chercheuse associée en économie, INSERM (Institut National de la santé et de la Recherche Médicale)
- Pierre Maitrot, Directeur des Affaires Publiques, Groupe Elsan, membre de la FHP (Fédération de l'Hospitalisation Privée)
- Carine Milcent, Professeure d'économie, Paris School of Economics
- Nicolas Peju, Directeur général, Centre Hospitalier National d'Ophtalmologie des Quinze-Vingts
- Jean-Marie Spaeth, Ancien Directeur, Assurance Maladie
Table ronde 2 : Les complémentaires santé : Quel modèle économique ? Quelle offre de service ? Quelle régulation ?
Modérateur : François-Xavier Albouy, Directeur de Recherche de la Chaire "Transitions démographiques, Transitions économiques"
Intervenants :
Eric Chenut, Président, Mutualité Française
Josette Guéniau, Associée fondatrice du cabinet de conseil JGSC, Directrice de l'Obervatoire Santé et Innovation, Institut Sapiens
Florence Lustman, Présidente, France Assureurs (ex FFA)
Guillaume Moukala Same, Chargé d'études économiques, Cabinet Asterès et FONDAPOL (Fondation pour l'innovation politique)
Erwan Samyn, Rapporteur extérieur, Cour des Comptes
Denis Raynaud, Directeur, IRDES (Institut de Recherche et de Documentation en Économie de la Santé)
Joëlle Toledano, Professeur Émérite, associée à la Chaire Gouvernance et Régulation, membre du Conseil National du Numérique (CNNUM)
Conclusion : Éric Brousseau
Nous vous attendons nombreux(ses) à cet événement sur place à Dauphine ; il est alternativement proposé en ligne sur la plateforme Livestorm; lien d'inscription en présentiel et lien d'inscription à la plateforme Livestorm ci-dessous:
Inscription à la conférence sur place à Dauphine
=> Salle Raymond Aron (2ème étage - Université Paris-Dauphine)
Le pass sanitaire sera contrôlé à l'entrée de l'événement.
Pour vous inscrire, cliquez sur les liens suivants :
- https://app.livestorm.co/
universite-paris-dauphine-4/ : pour s’inscrire à la conférence en lignelavenir-des-complementaires- sante?type=detailed
Cécile Crétien
Consultante relations presse senior
Mob. | +33 (0) 6 72 72 03 16
47 bis, rue des Vinaigriers | 75010 Paris