Nora ANSELL-SALLES

samedi 2 février 2019

Zoom sur l'université populaire Panafricaine


L’Université Populaire Panafricaine  - les rendez-vous mensuels de la connaissancepour les bâtisseurs Africains de la Diaspora et leurs soutiens

Thème de Février 2019
Dans les luttes de libération en Afrique, de nouvelles dynamiques sont en cours, notamment au Gabon, en RDC et au Togo.
Quels sont les enjeux ? Quels sont les intérêts ? Quels sont les acteurs ? Quelles sont les stratégies ?
 
Date : Samedi 2 Février 2019, 14 H à 18H
Lieu : 35, rue du Colonel Rozanoff, 75012 Paris, métro Reuilly-Diderot  (lignes 1 - 8)
PARTICIPATION : 20 euros / 5 euros  pour les étudiants
 
 
Albert MUKULUBUNDU (Porte-Parole France de la Coalition LAMUKA)
Olivier DOSSOU,Journalisteindépendantet Consultant Politique
Régis ESSONO, La Plareforme ça suffit comme ça
Contact : La Plateforme Panafricaine
ppanafricaine@gmail.com  - Tél. +336 80 98 29 86

Programme PASS


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Newsletter N°53 
01 Février 2019ELLES FONT BOUGER LA MUTUALITÉ EN AFRIQUE

1ère rencontre internationale des femmes mutualistes à Abidjan - 06 Mars 2019

Tout au long de l'année 2018, le Pass dans sa newsletter mensuelle a mis en lumière à travers des inter...
Lire plusCONFÉRENCE AIM AU TOGO 22 - 23 JANVIER 2019

L'Association internationale de la Mutualité a organisé sa deuxième conférence internationale en Afrique

Trois ans après le rendez-vous d'Abidjan (Côte d'Ivoire), les mutualistes de plusieurs pays se sont...
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Le ministre ivoirien de l'emploi et de la protection sociale reconnait l'importance des mutuelles dans la mise en place des CMU en Côte d'Ivoire

La première table ronde des assises de Lomé sur le thème '' l'engagement mutualiste… une...
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Des conférences inspirantes sur la mutualité et les nouvelles technologies

La deuxième journée de la conférence de Lomé a été principalement animée par des conférences inspirantes.1....
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La plateforme de Lomé voit le jour

Les participants à la conférence de Lomé ont au terme des échanges de ces deux journées abouties à l'adopti...
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Visite de Thierry Beaudet,, président de la Mutualité Française à l'équipe du Pass - 19 Janvier 2019 à Abidjan (Côte d'Ivoire)

Le Samedi 19 Janvier 2019, le Président de la Mutualité Française, également Président du groupe Vyv, Thier...
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Adoption du RAMU au Mali : une concrétisation du programme présidentiel d'urgence sociale - 07 Janvier 2019 à Bamako (Mali)

Le projet de loi portant institution du Régime d'Assurance Maladie Universelle a été adopté par le Conseil ...
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Extension de la couverture sanitaire universelle au Mali, l'adhésion des sociétés coopératives et associations suscitée - 18 Janvier 2018 à Bamako (Mali)

Pour une large adhésion à la couverture sanitaire sociale des sociétés coopératives, associations et autres...
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Le Pass va participer au 1er Forum international sur la couverture maladie universelle dans la zone Cipres - 04 au 06 Mars 2019 à Lomé (Togo)

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Le Bénin lève 127 millions d'euros pour financer le projet de l'Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (Arch)

La République du Bénin a conclu un accord de financement d'un montant total de 127M€ (83 milliards de ...
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26 - 27 Février 2019 Nouakchott (Mauritanie)

L'Aiss organise un séminaire technique sur l'extension de la couverture sociale %u2013 innover pour atteind...


04 - 06 Mars 2019 à Lomé (Togo)

1er Forum internationale sur la couverture maladie universelle dans la zone Cipres......


06 Mars 2019 à Abidjan (Côte d'Ivoire)

Journée internationale de la Femme Mutualiste organisée par le Pass à Abidjan (Côte d'Ivoire)...


12 - 15 Novembre 2019 à Auckland (Nouvelle-Zélande)

Conférence biennale de l'Icmif......


A PROPOS DU PASS
PASS est le programme d'appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L'objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu'il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d'ouvrage, PASS permet l'établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteurs mutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l'Union Africaine de la Mutualité. Ce programme est initié, financé et conduit par : Fnmf, mgen, Harmonie, Matmut, Solimut, Casden, MGEFI, Ofi, Egamo, MNT. Il est soutenu au plan international par l'AISS, l'AIM et l'ICMIF, et au plan français par la MSA.

Pour plus d’informations :

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jeudi 31 janvier 2019

C'est à lire avant d'aller faire vos courses aujourd'hui

Loi alimentation: ces produits dont le prix va flamber


Une mesure de la loi alimentation entre en vigueur le 1er février : pour les produits alimentaires, la hausse de 10 % du seuil de revente à perte va provoquer une hausse identique des prix des références des grandes marques.
Par Angélique Vallez-d'Erceville
Publié le 30/01/2019 à 20:29, mis à jour le 31/01/2019 à 09:03

Conséquence directe de la loi alimentation, les enseignes n'ont plus le droit de vendre à prix coûtant. 17951385/flashpics - Fotolia

La nuit prochaine, on ne change pas d'heure, on change de prix. Le 1er février, les étiquettes des produits alimentaires auront enflé de quelques centimes, voire un euro. Conséquence directe de la loi alimentation, les enseignes n'ont plus le droit de vendre à prix coûtant, le seuil de revente à perte est relevé de 10 %. Or, environ 20 % du chiffre d'affaires des distributeurs était jusqu'ici réalisé avec moins de 10 % de marge. «L'effet inflationniste varierait entre 14 et 38 euros par an et par ménage», estime l'Autorité de la concurrence. Chez Carrefour, la hausse de prix sera en moyenne de 35 centimes par produit. «Il y a environ 1 000 références qu'on vendait jusque-là avec des marges très faibles, entre 0 et 10 %, car ce sont les produits les plus bataillés», explique Élodie Perthuisot, directrice marketing et clients Carrefour. Chez Intermarché, 5 % de l'assortiment affichera des hausses, ce qui correspondrait à une inflation de 0,8 % sur le panier de la ménagère en 2019. Annoncé comme le grand perdant de cette inflation, Leclerc assure maîtriser la situation. «Environ 3000 produits auraient dû augmenter mais, au 1er février, on aura réussi à juguler l'essentiel de la hausse. Restent 1000 produits qui augmenteront de 3 %», assure Michel-Édouard Leclerc, président des Centres E. Leclerc.
» LIRE AUSSI - Loi alimentation: les supermarchés affinent leur stratégie pour maintenir des prix bas


À l'heure où la question du pouvoir d'achat est très sensible, cette hausse effraie les enseignes. Et même le gouvernement. «Ce que je demande aux grandes surfaces, c'est de trouver un moyen de répartir les marges différemment», insistait mercredi Didier Guillaume, ministre de l'Agriculture. C'est une hausse de quelques centimes sur le litre d'essence qui a déclenché la crise des «gilets jaunes», on parle d'augmenter les prix des produits vedettes du chariot de courses.
Pour éviter le coup de frein, les enseignes ont pris les devants. Carrefour se pose en défenseur des familles et lance le 1er février une «Prime grandes marques» sur 200 produits, prévoyant de redonner l'argent sur la carte de fidélité. «Nous utilisons le programme fidélité Carrefour pour redonner du pouvoir d'achat au consommateur», assure Élodie Perthuisot. Les engagements pris avec les filières agricoles sont une autre part de la réponse. Certes, les prix vont augmenter mais parce que les distributeurs se sont engagés à rémunérer mieux l'éleveur laitier ou l'agriculteur.
En parallèle, la guerre des prix se déplace sur le terrain des marques de distributeurs (MDD). Les marges y sont plus importantes et les produits moins comparables entre enseignes. Leclerc a annoncé baisser les prix des 4600 références de sa Marque Repère en 2019, et promet que «dès mars, le jeu redeviendra vertueux».

« Notre objectif est que le jeu soit à somme nulle pour le consommateur. Nous allons baisser les prix sur nos marques distributeurs, faire des promotions là où on peut encore le faire »

Thierry Cotillard, président d'Intermarché


Intermarché assure à son tour des baisses sur toutes ses marques propres. «Notre objectif est que le jeu soit à somme nulle pour le consommateur. Nous allons baisser les prix sur nos marques distributeurs, faire des promotions là où on peut encore le faire, en hygiène-beauté et sur le non-alimentaire, et renforcer le cagnottage avec la carte de fidélité», explique Thierry Cotillard, président d'Intermarché. De quoi inquiéter les PME qui les fournissent. «Les enseignes vont augmenter leur masse de marge sur les marques nationales, ce qui va les encourager à favoriser ces mêmes marques en rayon, au détriment des PME qui risquent de perdre 4 % à 5 % en un an», s'inquiète Dominique Amirault, président de la Fédération des entreprises et entrepreneurs de France (FEEF). «Au contraire, c'est une opportunité pour les fabricants de MDD, car l'écart de prix avec les marques nationales va se renforcer. Cela va générer plus de volumes pour les MDD et les PME qui les fabriquent seront les grandes gagnantes», croit Thierry Cotillard.
Leclerc aussi veut les rassurer. «Les baisses de prix de la Marque Repère sont financées par une baisse de marge. Cela représente plusieurs dizaines de millions d'euros de pertes de marge pour les Centres Leclerc. On les rattrapera si on garde nos clients et si on augmente les volumes», assure Michel-Édouard Leclerc. Les grandes marques dont les prix montent auraient plus à perdre. «L'an dernier, quand les prix ont augmenté de 1 %, les volumes ont chuté de 1,7 %», confirme Daniel Ducrocq, chez Nielsen.

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» LIRE AUSSI - «Les Français ne font plus confiance à l'industrie agro-alimentaire»

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 Distribution alimentaire: l'impératif devoir de réinvention de toute une filière


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mercredi 30 janvier 2019

Actualité africaine

https://eur04.safelinks.protection.outlook.com/?url=https%3A%2F%2Fwww.jeuneafrique.com%2F723354%2Fsociete%2Ftribune-proces-laurent-gbagbo-a-la-cpi-pour-le-droit-et-la-justice%2F&data=02%7C01%7C%7C169b3a9709a545b6378a08d686d66931%7C84df9e7fe9f640afb435aaaaaaaaaaaa%7C1%7C0%7C636844652768316596&sdata=BfA8G4pSgt0RDiqedkindejAdo2t%2B2ecewYAR3sjNfA%3D&reserved=0

Il pleut sur Nantes...

Des débris provenant «probablement» de l'avion de Sala retrouvés sur une plage française http://sport24.lefigaro.fr/le-scan-sport/2019/01/30/27001-20190130ARTFIG00177-disparition-d-emiliano-sala-des-debris-provenant-probablement-de-l-avion-retrouves.php?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

Que faire des djihadistes français ?

Syrie : des djihadistes français pourraient être rapatriés http://www.lefigaro.fr/international/2019/01/29/01003-20190129ARTFIG00265-syrie-des-djihadistes-francais-pourraient-etre-rapatries.php?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

Une méthode surprenante pour sauver votre orchidée

https://youtu.be/fRfE4VtDSek

Actualité Afrique

Victimes de la crise ivoirienne: Trop c'est trop

Depuis 2002, lorsqu'on parle des victimes de la crise en Côte d'Ivoire on donne l'impression qu'elles sont seulement à Abobo, Anyama ou au nord. Et avec l'annonce de la libération de Gbagbo et de Blé Goudé, cela se confirme parce qu'il y a un petit groupe qui s'agite se présentant comme étant les victimes de la guerre post électorale et refusant la libération de Gbagbo et de Blé Goudé.
Soyons vrais et justes. Pour rappel, de 1999 jusqu'aujourd'hui il y a des millions d'ivoiriens de toutes ethnies qui ont subi les affres de la guerre. Les hommes et des femmes ont été tués dans la region de Duékoué, à Bouaké, à Anonkoua Kouté, à Sikensi, à Bassam, à Adzopé. Des fonctionnaires ont tout perdu, en abandonnant maison et tout à Bouaké. Des Ivoiriens ont AVC aujourd'hui parce qu'ils ont tout perdu. Ce n'est pas par peur qu'on ne parle pas. Mais il y a un moment dans la vie où on fait un pas vers ce qui est plus grand: la paix. Les victimes de la guerre en Côte d'Ivoire n'ont ni couleur, ni ethnie ce sont des hommes. Chaque ivoirien, de manière directe ou indirecte  a été victime de cette barbarie occasionnée par des rebelles soutenus par des pays occidentaux.
Aujourd'hui nous n'allons pas permettre à certains ivoiriens de jouer aux victimes et de faire une propagande contre la paix. Et d’ailleurs, quand le président Ouattara a libéré les prisonniers au nom d'une amnistie, ou étaient ces victimes d'Abobo et d'Anyama?
Pourquoi se plaindre et gesticuler lorsqu'on veut libérer deux ivoiriens à la CPI?
Trop c'est trop. Au nom de la vérité et de la justice nous ne pouvons pas permettre à des plaisantins et illettrés de travestir l'histoire récente de la Côte d'Ivoire.
Le silence des autres n'est pas une faiblesse. C'est par éducation, et du fait de leur foi que les autres se taisent et luttent pour la paix. Sinon, tout le monde voit en Côte d'Ivoire des tueurs se pavaner, et narguer les victimes en allant même dans leurs propres villages. Il y a des cœurs qui saignent lorsqu'on voit à la télévisions des bourreaux d'hier devenir vos chefs à qui vous devez servir. Si chaque ivoirien devait passer pour parler de ce qu'il a subi et perdu dans cette crise, on ne pourra plus jamais vivre ensemble.
Le mouton est pacifique mais il peut aussi être offensif. Nous luttons pour la paix. Nous voulons la paix et la réconciliation pour laisser à nos enfants et petits enfants un héritage qui sera une Côte d'Ivoire dans laquelle il n'y a plus de rattrapage ethnique et d'ivoirité identitaire.  Par conséquent nous invitons les autorités étatiques à œuvrer pour que la masse silencieuse ne soit pas considérée comme des imbéciles. Les ivoiriens ont trop souffert.
Dieu a tant aimé la Côte d'Ivoire qu'il donne toujours aux ivoiriens par des petits gestes l'occasion de fraterniser et de vivre ensemble dans la paix. Et la libération de Laurent Gbagbo et de Blé Goudé est la dernière porte de la réconciliation que Dieu ouvre pour nous. Ne la fermons pas. C'est pourquoi au nom de ma foi en Christ et de par ma mission de prêtre, prophète et roi, je serai parmi ceux qui, par la parole empêcheront les diablotins de fermer cette dernière issue de rassemblement et d'unité que Dieu nous offre.
"Partagez cet article sans peur"

Père Marius Hervé Djadji
Docteur en théologie dogmatique

Les produits qui augmentent au 1er février

Nutella, Pastis, Chocapic, Evian : pourquoi les prix de centaines de produits vont-ils flamber à partir de vendredi ?

Le pot de Nutella fait partie des hausses de prix annoncées Photo DR

Economie

Suite au vote en octobre dernier de la loi alimentation, un grand nombre de produits du quotidien vont voir leurs prix augmenter ce vendredi 1er février. Une augmentation en moyenne de 6,3% mais qui pour certaines denrées atteindra près de 10%. Explications.

Pastis Ricard, les céréales Chocapic ou encore l'eau minérale Evian font partie de la liste des produits de grande consommation qui vont voir leurs prix augmenter d'ici le 1er février. La raison ? Selon l'UFC Que-Choisir, c'est la conséquence du vote de loi alimentation du 2 octobre dernier qui entre en vigueur ce vendredi 1er février. Ce texte prévoyait de redéfinir les relations entre les agriculteurs, les industriels et les distributeurs. En moyenne, l'augmentation des prix sera de 6,3% mais pour certaines denrées, la hausse atteint parfois les 10%.

Plus de 8% pour le Nutella

A titre d'exemple, le pot de Nutella de 750 grammes va passer de 4,05 euros à 4,39 euros (+8,4%), la bouteille d'un litre de Pastis Ricard voit son prix augmenter de 9,9 % ce qui fera grimper le prix d'achat à 20,61 euros au lieu de 18,75 euros auparavant. Le paquet de céréales Chocapic de la marque Nestlé reviendra à 2,35 euros contre 2,15 euros avant la hausse. 


Pour Mathieu Escot de l'UFC UFC-Que choisir interviewé dans le Parisien, les types de produits concernés par cette augmentation des tarifs sont principalement des denrées alimentaires de grandes marques, appelés également produits d'appel comme les marques de soda, de café ou encore d'eau minérale. 
Du côté des enseignes, toutes n'appliqueront pas forcément cette hausse des prix. "Pas dans les petits magasins de centre-ville ou les Monoprix parisiens, en tout cas, car les marges réalisées sur les produits y sont déjà supérieures à 10 %. En revanche, dans les hypermarchés qui se livrent à une guerre des prix – Leclerc, Géant Casino, etc. – comme chez les « hard discounters » (Leader Price, Netto, etc.), les hausses pourront être fortes. Or, ce sont ces magasins que fréquentent les Gilets jaunes. Ce sont donc bien les Français les plus modestes, avec un faible pouvoir d’achat, qui vont payer", argumente le responsable des études pour l'association de consommateurs UFC-Que choisir.
Parmi une liste de 25 000 références, 1 000 feraient l'objet de cette hausse des prix dans un hypermarché.

Comment expliquer ces nouvelles étiquettes de prix ?

C'est en fait le seuil de revente à perte qui a été modifié. Ce prix plancher est en fait le tarif en-dessous duquel un distributeur ne peut revendre un produit sous peine de sanctions. Pour établir ce montant, le coût des transports, les taxes...sont pris en compte. En résumé, si le distributeur paie un produit 100 en tarif seuil, il sera contraint de le vendre 110 aux consommateurs. 
Autre nouveauté, ce nouveau texte interdit également les promotions supérieures à 34% sur un produit. Les opérations de type « 1 produit acheté = 1 produit offert », qui sont donc une remise  de 50% ne seront donc plus autorisées. 


Coup de projecteur :
Découvrez le Tweet de @le_Parisien : https://twitter.com/le_Parisien/status/1090548085284130817?s=09

Finance et intérêt général

Découvrez le Tweet de @ciriecaa : https://twitter.com/ciriecaa/status/1088548371923640320?s=09