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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 14 janvier 2014
MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse
MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014 Titre : Scor pourrait acheter tout ou ...
La MGEFI dans la presse
Titre : Rumeurs
d'OPA de Scor sur MutRé
www.argusdelassurance.com
du 9 janvier 2014
Titre : Scor
pourrait acheter tout ou partie du capital de MutRé, qu'il détient à parts égales
avec la Mutualité Française et la Matmut
CORRESPONDANCE
ECONOMIQUE du 08 JAN 14
Titre : Les évènements
qui ont marqué 2013
L'OPTICIEN
LUNETIER de DEC 13
Titre : Les événements qui ont marqué
l'année 2013
L'OUIE MAGAZINE
de NOV/DEC 13
Titre : L'Argus de
l'Assurance - Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé
ARGUS ASSURANCE NEWSLETTER du 10 JAN 14
Titre : Carnet
L'ENA MENSUEL HORS LES MURS de DEC 13
Libellés :
CORRESPONDANCE ECONOMIQUE,
ENA,
événements,
MATMUT,
MGEFI,
MutRé,
Mutualité Française,
OPA,
OPTICIEN LUNETIER,
presse,
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www.argusdelassurance.com
lundi 13 janvier 2014
Cancer du col de l'utérus ....
La sage-femme dans la campagne de dépistage du cancer du col de l'utérus
10 janvier 2014 | Communiqué |
L'UNSSF, Union Nationale et Syndicale des Sages-Femmes, se réjouit que les sages-femmes soient associées pleinement à la nouvelle campagne sur le dépistage du cancer du col de l'utérus.
A la différence de la dernière campagne et suite à la demande de l'UNSSF, elles sont désormais citées dans la campagne radio.
Rappeler aux femmes tous les professionnels impliqués, c'est permettre l'amélioration de la prise en charge de la santé des femmes, préoccupation majeure de l'UNSSF.
MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle
MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle: LES MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE Mardi 14 janvier 2014, 14h30 15h00 « L’hypertension artérielle dans tous ses é...
Santé : le point sur l'hypetension artérielle
LES
MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE
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Mardi 14 janvier 2014, 14h30
15h00
« L’hypertension artérielle dans tous ses états »
« L’hypertension artérielle dans tous ses états »
Organisateur : Pierre-François PLOUIN
Introduction par Pierre-François PLOUIN (Membre correspondant de
l’Académie nationale de médecine
Communications
Dénervation rénale dans le traitement de
l’hypertension résistante : intérêts, limites et perspectives par Michel AZIZI (Centre d’investigation clinique,
Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )
Malgré l'existence de plusieurs classes de traitements
antihypertenseurs actifs par voie orale, l'hypertension artérielle résistante
(HTAR) reste un problème important de santé publique en 2014. L'échec des
approches purement pharmacologiques pour traiter l'HTAR a stimulé l'intérêt
pour de nouvelles approches invasives fondées le principe de modulation de
l’activité sympathique rénale et centrale. Ainsi la dénervation rénale par voie
endovasculaire utilise un courant de radiofréquence ou des ultrasons pour
réaliser une ablation des fibres sympathiques afférentes et efférentes qui
cheminent dans l’adventice des artères rénales.
À ce jour, cette nouvelle technique a été évaluée dans un petit nombre
d’essais randomisés ouverts ou au cours d’études de cohorte qui ont inclus un
nombre limité de patients hautement sélectionnés ayant une HTAR, une anatomie
artérielle rénale compatible et un débit de filtration glomérulaire > 45
ml/min. Les données disponibles suggèrent un effet tensionnel favorable de la
dénervation rénale à court et moyen terme avec une faible incidence de
complications locales et endovasculaire immédiates. Cette période de suivi est
cependant trop courte pour la détection des événements indésirables rares ou
d'apparition tardive (sténose artérielle rénale de novo). Les études publiées à
ce jour ont plusieurs limitations inhérentes à leur caractère ouvert avec un
risque de bais d’évaluation et de performance compromettant potentiellement
leur validité interne. Ainsi, les effets tensionnels de la dénervation rénale
évalués par mesure ambulatoire sont de plus faible amplitude que ceux détectés
par la mesure clinique de la pression artérielle. Enfin, il est difficile
d'extrapoler à l’ensemble des patients souffrant d'HTAR sur la base des
résultats des essais qui ont inclus des patients hautement sélectionnés. Dans
ce contexte, l’utilisation de cette procédure doit rester contrôlée car 1) le rapport bénéfice / risque reste mal
connu, 2) la réponse tensionnelle à la denervation rénale est très variable
d’un individu à l’autre, 3) il n’y a aucun marqueur de succès primaire de la
procédure, et 4) le rapport coût - efficacité reste mal connu. En 2014, les
indications de la dénervation rénale doivent être celles retenues par la
conférence de consensus français (www.sfhta.org). Enfin, le
suivi rigoureux des patients après dénervation rénale nécessite au mieux leur
inclusion dans les essais cliniques et les registres internationaux.
Hypertension masquée : prévalence, causes et
conséquences par Guillaume BOBRIE
(Médecine vasculaire et hypertension artérielle, Hôpital européen Georges
Pompidou, Paris )
L’« hypertension
masquée » est définie par la constatation de chiffres tensionnels élevés
en dehors du milieu médical (mesure ambulatoire ou automesure à domicile) et
normaux au cabinet médical. Sa fréquence est élevée, surtout chez les sujets
recevant un traitement antihypertenseur sujets ayant une PA normale en mesure.
Elle est souvent associée aux autres facteurs de risque cardio-vasculaire. Son
pronostic cardio-vasculaire en termes d’atteinte des organes cibles et de
complication est plus élevé que celui des sujets étiquetés normo-tendus par
toutes les méthodes de mesure et voisin de celui des sujets étiquetés
hypertendus par toutes les méthodes de mesure. Son mécanisme physiopathologique
n’est pas connu. Aucun essai contrôlé visant à démontrer le bénéfice de son
traitement n’a été réalisé.
De nouveaux
gènes de prédisposition à une forme rare d'hypertension révèlent des mécanismes
communs de régulation du bilan sodé
par Xavier JEUNEMAITRE (Département de Génétique. Centre de Référence des
Maladies Vasculaires Rares - Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : « ...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : « ...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : « ...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...
MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : « ...
VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs : Un document destiné aux femmes
L’Agence nationale de sécurité
du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document
destiné aux femmes : « Vous et… vos
contraceptifs oestroprogestatifs » pour les aider à mieux connaître les effets
indésirables, les signes évocateurs d’une survenue d’accident thrombotique qui
sont rares mais graves, ainsi que les précautions d’emploi pour minimiser les
risques liés aux pilules, à l’anneau et au patch contraceptifs
oestroprogestatifs. Ce document a été réalisé en collaboration avec la Haute
autorité de santé (HAS), les professionnels de santé et les associations de
patients.
Ce document est diffusé auprès
des professionnels de santé qui pourront le remettre à leur patientes, Il est également
téléchargeable sur le site Internet de l’ANSM (rubrique Publications >> Dépliants).
En contexte : réévaluation au
niveau européen
En janvier 2013, l’ANSM a initié
en une réévaluation du rapport bénéfice/risque des contraceptifs hormonaux
combinés (CHC, incluant les pilules, l’anneau vaginal et le patch) contenant
des progestatifs dits de 3e et 4e générations (désogestrel, diénogest, gestodène,
norgestimate, drospirénone, chlormadinone, nomégestrol, étonogestrel et
norelgestromine). Elle a introduit une procédure d’arbitrage auprès des
institutions communautaires au niveau européen.
En novembre 2013, le Comité des
médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA)
a adopté une position finale. Le rapport bénéfices/risques des CHC reste
favorable, le risque bien connu de thrombo-embolie veineuse est maintenant
mieux pris en considération. La position du CHMP est en cours d’examen par la
Commission européenne.
Recommandations de l’ANSM aux
professionnels et aux femmes
L’ANSM rappelle ses
recommandations et celles de la HAS sur le bon usage des CHC :
Il est recommandé
aux femmes et aux prescripteurs d’utiliser préférentiellement des contraceptifs
oraux combinés contenant du lévonorgestrel ou de la noréthistérone (ou
maintenant du norgestimate) en combinaison avec la dose la plus faible d’estrogène.
Lors de la première
prescription de contraceptifs hormonaux combinés, un examen médical attentif et
des examens biologiques (cholestérol total, triglycérides, glycémie à jeun)
doivent permettre de repérer les facteurs de risque et d’adapter au mieux la
contraception à chaque femme, y compris dans le cas de contre-indications, en
lui proposant un autre moyen contraceptif adapté.
Il est important d’informer
les femmes sous CHC des premiers signes et symptômes d’accident thromboembolique
et de la nécessité de consulter un médecin s’ils surviennent.
http://ansm.sante.fr/Dossiers/Pilules-estroprogestatives-et-risque-thrombotique/Actualite/(offset)/0
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