Nora ANSELL-SALLES

mardi 14 janvier 2014

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014   Titre : Scor pourrait acheter tout ou ...

La MGEFI dans la presse


Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014

 

Titre : Scor pourrait acheter tout ou partie du capital de MutRé, qu'il détient à parts égales avec la Mutualité Française et la Matmut

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE du 08 JAN 14

 

Titre : Les évènements qui ont marqué 2013

L'OPTICIEN LUNETIER de DEC 13

 

Titre : Les événements qui ont marqué l'année 2013

L'OUIE MAGAZINE de  NOV/DEC 13

 

Titre : L'Argus de l'Assurance - Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

ARGUS ASSURANCE NEWSLETTER du 10 JAN 14  



Titre : Carnet

L'ENA MENSUEL HORS LES MURS de DEC 13


 
 


lundi 13 janvier 2014

Cancer du col de l'utérus ....

La sage-femme dans la campagne de dépistage du cancer du col de l'utérus


10 janvier 2014 |  Communiqué | 

L'UNSSF, Union Nationale et Syndicale des Sages-Femmes, se réjouit que  les sages-femmes soient associées pleinement à la nouvelle campagne sur le dépistage du cancer du col de l'utérus.

A la différence de la dernière campagne et suite à la demande de l'UNSSF, elles sont désormais citées dans la campagne radio.

Rappeler aux femmes tous les professionnels impliqués, c'est permettre l'amélioration de la prise en charge de la santé des femmes, préoccupation majeure de l'UNSSF.

MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle

MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle: LES MARDIS DE L'ACADEMIE   DE MEDECINE Mardi 14 janvier 2014, 14h30   15h00 « L’hypertension artérielle dans tous ses é...

Santé : le point sur l'hypetension artérielle


LES MARDIS DE L'ACADEMIE  DE MEDECINE

Mardi 14 janvier 2014, 14h30

 

15h00
« L’hypertension artérielle dans tous ses états »

Organisateur : Pierre-François PLOUIN

 

 

Introduction par Pierre-François PLOUIN (Membre correspondant de l’Académie nationale de médecine 

 

Communications

Dénervation rénale dans le traitement de l’hypertension résistante : intérêts, limites et perspectives par Michel AZIZI (Centre d’investigation clinique, Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )

Malgré l'existence de plusieurs classes de traitements antihypertenseurs actifs par voie orale, l'hypertension artérielle résistante (HTAR) reste un problème important de santé publique en 2014. L'échec des approches purement pharmacologiques pour traiter l'HTAR a stimulé l'intérêt pour de nouvelles approches invasives fondées le principe de modulation de l’activité sympathique rénale et centrale. Ainsi la dénervation rénale par voie endovasculaire utilise un courant de radiofréquence ou des ultrasons pour réaliser une ablation des fibres sympathiques afférentes et efférentes qui cheminent dans l’adventice des artères rénales.  À ce jour, cette nouvelle technique a été évaluée dans un petit nombre d’essais randomisés ouverts ou au cours d’études de cohorte qui ont inclus un nombre limité de patients hautement sélectionnés ayant une HTAR, une anatomie artérielle rénale compatible et un débit de filtration glomérulaire > 45 ml/min. Les données disponibles suggèrent un effet tensionnel favorable de la dénervation rénale à court et moyen terme avec une faible incidence de complications locales et endovasculaire immédiates. Cette période de suivi est cependant trop courte pour la détection des événements indésirables rares ou d'apparition tardive (sténose artérielle rénale de novo). Les études publiées à ce jour ont plusieurs limitations inhérentes à leur caractère ouvert avec un risque de bais d’évaluation et de performance compromettant potentiellement leur validité interne. Ainsi, les effets tensionnels de la dénervation rénale évalués par mesure ambulatoire sont de plus faible amplitude que ceux détectés par la mesure clinique de la pression artérielle. Enfin, il est difficile d'extrapoler à l’ensemble des patients souffrant d'HTAR sur la base des résultats des essais qui ont inclus des patients hautement sélectionnés. Dans ce contexte, l’utilisation de cette procédure doit rester contrôlée  car 1) le rapport bénéfice / risque reste mal connu, 2) la réponse tensionnelle à la denervation rénale est très variable d’un individu à l’autre, 3) il n’y a aucun marqueur de succès primaire de la procédure, et 4) le rapport coût - efficacité reste mal connu. En 2014, les indications de la dénervation rénale doivent être celles retenues par la conférence de consensus français (www.sfhta.org). Enfin, le suivi rigoureux des patients après dénervation rénale nécessite au mieux leur inclusion dans les essais cliniques et les registres internationaux.

Hypertension masquée : prévalence, causes et conséquences par Guillaume BOBRIE (Médecine vasculaire et hypertension artérielle, Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )

L’« hypertension masquée » est définie par la constatation de chiffres tensionnels élevés en dehors du milieu médical (mesure ambulatoire ou automesure à domicile) et normaux au cabinet médical. Sa fréquence est élevée, surtout chez les sujets recevant un traitement antihypertenseur sujets ayant une PA normale en mesure. Elle est souvent associée aux autres facteurs de risque cardio-vasculaire. Son pronostic cardio-vasculaire en termes d’atteinte des organes cibles et de complication est plus élevé que celui des sujets étiquetés normo-tendus par toutes les méthodes de mesure et voisin de celui des sujets étiquetés hypertendus par toutes les méthodes de mesure. Son mécanisme physiopathologique n’est pas connu. Aucun essai contrôlé visant à démontrer le bénéfice de son traitement n’a été réalisé.

De nouveaux gènes de prédisposition à une forme rare d'hypertension révèlent des mécanismes communs de régulation du bilan sodé par Xavier JEUNEMAITRE (Département de Génétique. Centre de Référence des Maladies Vasculaires Rares - Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )
 

MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...

MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «   ...

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MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «   ...

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MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «   ...

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VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs : Un document destiné aux femmes



L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «  Vous et… vos contraceptifs oestroprogestatifs » pour les aider à mieux connaître les effets indésirables, les signes évocateurs d’une survenue d’accident thrombotique qui sont rares mais graves, ainsi que les précautions d’emploi pour minimiser les risques liés aux pilules, à l’anneau et au patch contraceptifs oestroprogestatifs. Ce document a été réalisé en collaboration avec la Haute autorité de santé (HAS), les professionnels de santé et les associations de patients.

 

Ce document est diffusé auprès des professionnels de santé qui pourront le remettre à leur patientes, Il est également téléchargeable sur le site Internet de l’ANSM (rubrique Publications >> Dépliants).

 

En contexte : réévaluation au niveau européen

 

En janvier 2013, l’ANSM a initié en une réévaluation du rapport bénéfice/risque des contraceptifs hormonaux combinés (CHC, incluant les pilules, l’anneau vaginal et le patch) contenant des progestatifs dits de 3e et 4e générations (désogestrel, diénogest, gestodène, norgestimate, drospirénone, chlormadinone, nomégestrol, étonogestrel et norelgestromine). Elle a introduit une procédure d’arbitrage auprès des institutions communautaires au niveau européen.

 

En novembre 2013, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a adopté une position finale. Le rapport bénéfices/risques des CHC reste favorable, le risque bien connu de thrombo-embolie veineuse est maintenant mieux pris en considération. La position du CHMP est en cours d’examen par la Commission européenne.

 

Recommandations de l’ANSM aux professionnels et aux femmes

 

L’ANSM rappelle ses recommandations et celles de la HAS sur le bon usage des CHC :
 

Il est recommandé aux femmes et aux prescripteurs d’utiliser préférentiellement des contraceptifs oraux combinés contenant du lévonorgestrel ou de la noréthistérone (ou maintenant du norgestimate) en combinaison avec la dose la plus faible d’estrogène.

Lors de la première prescription de contraceptifs hormonaux combinés, un examen médical attentif et des examens biologiques (cholestérol total, triglycérides, glycémie à jeun) doivent permettre de repérer les facteurs de risque et d’adapter au mieux la contraception à chaque femme, y compris dans le cas de contre-indications, en lui proposant un autre moyen contraceptif adapté.

Il est important d’informer les femmes sous CHC des premiers signes et symptômes d’accident thromboembolique et de la nécessité de consulter un médecin s’ils surviennent.

 

http://ansm.sante.fr/Dossiers/Pilules-estroprogestatives-et-risque-thrombotique/Actualite/(offset)/0