Nora ANSELL-SALLES

mardi 23 janvier 2018

Cameroun : Bernard Muna

bernard muna

Mises à jour quotidiennes ⋅ 23 janvier 2018

ACTUALITÉS

Maitre Lavoisier Tsapy sur Radio Equinoxe: «Nous souhaitons que Ni John Fru Ndi reste à la tête ...

Cameroon-info.net

En 1992, il avait déjà affronté le bâtonnier Bernard Muna, en 1997, il a affronté Noucti Tchokouango et encore Bernard Muna. Ça voudrait dire qu'à chaque fois, il y a eu une compétition dans le SDF pour désigner le candidat à l'élection présidentielle. Il y a de cela une semaine, certains militants au sein ...


Rencontre au Sénat

 

 

 

PRÉSIDENCE DU SÉNATCommuniqué de presse

 

 

Paris, le 23 janvier 2018

 

 

Rencontre entre le Président du Sénat, le Président du Conseil exécutif de Corse

et le Président de l’Assemblée de Corse

 

 

 

Le Président du Sénat, Gérard Larcher, a reçu ce jour MM. Gilles Simeoni, Président du Conseil exécutif de Corse, et Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblée de Corse, afin d’évoquer la situation de la Corse après les élections territoriales de décembre dernier.

 

Gérard Larcher a réaffirmé la position du Sénat : « Si la spécificité insulaire de la Corse et son identité doivent être prises en considération, la République est une et indivisible. Le Sénat sera à la fois garant de l’unité nationale et initiateur de libertés nouvelles accordées à nos territoires ».

 

La Corse a connu une évolution majeure de sa gouvernance territoriale, avec la fusion des deux départements et de la collectivité territoriale préexistante pour former une collectivité territoriale unique à statut particulier. Conscient de l’importance de cette évolution, le Sénat suivra avec attention les travaux du Conseil exécutif, de l’Assemblée de Corse ainsi que ceux de la Chambre des Territoires de Bastia.

 

La loi du 22 janvier 2002 relative à la Corse permettait à la collectivité territoriale de Corse de faire des propositions d’adaptation des lois et règlements : ce mécanisme n’a pas fonctionné. Bien que l'Assemblée de Corse ait usé à de nombreuses reprises de sa faculté de proposition d'évolutions législatives et réglementaires, ses propositions, dans leur majorité, n'ont pas été prises en compte. Cette loi, sa mise en œuvre, doivent faire l’objet d’une évaluation. Lespropositions en matière d’adaptation législative et réglementaire doivent pouvoir obtenir une réponse.

 

Le Sénat est en faveur des démarches d’expérimentation, d’adaptation et de différenciation qui partent des réalités du terrain.

 

Aussi examinera-t-il avec attention, pour les collectivités à statut particulier comme la collectivité de Corse, la Ville de Paris ou la métropole de Lyon, les propositions tendant à modifier l’article 72 de la Constitution pour permettre un exercice différencié des compétences qui leur sont dévolues.

 

Différents sujets ont par ailleurs été abordés au cours de cet entretien et notamment les transferts de compétences et la situation d’éloignement des prisonniers.

 

Le Président du Sénat a réaffirmé son opposition au statut de résident et à la co-officialité de la langue corse.

 

 

 

Libres propos

COMMUNIQUE DE PRESSE

Mardi 23 janvier 2018 

Michèle RIVASI

(députée européenne écologiste, normalienne et agrégée en biologie, auteure du racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir)

SUITE A MA RENCONTRE AVEC LA DIRECTION DE LA SURVEILLANCE DE L'ANSM : renforcer la pharmacovigilance pour éviter de nouveaux scandales sanitaires

 

J'ai rencontré la semaine dernière le directeur de la surveillance à l'ANSM, la présidente du comité technique de l'ANSM et la présidente de l'association des Centres régionaux de pharmacovigilance.

 

Cet échange fut fort intéressant. J'ai pu questionner l'agence nationale sur sa coopération avec d'autres agences nationales de surveillance des produits de santé en terme de remontées de signaux.

 

J'en tire plusieurs recommandations pour améliorer notre système de surveillance des produits de santé :

 

·   Les moyens de la pharmacovigilance doivent être renforcés(l'ANSM ne dispose que de 28 évaluateurs et les centres régionaux de 3 à 6 temps plein) : unemenace pèse aujourd'hui sur les centres régionaux de pharmacovigilance qui pourraient être réduit en nombre alors que ce sont des vigies indispensables à la remontée de signaux émanant du terrain par leur proximité et leur ancrage dans les CHU. Il faudrait mettre en place en plus de la plateforme nationale de signalement, des consultations en région pour les patients victimes d'effets secondaires. La direction de la surveillance devrait être suivie quand elle émet des alertes sérieuses et ce n'est pas toujours le cas. Le blocage vient souvent de l'EMA et du Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) qui ne retire qu'exceptionnellement un médicament une fois l'AMM donné. On l'a vu il y a 2 ans avec le Mysimba® qui, grâce à une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne est arrivé sur le marché contre l'avis de l'agence française du médicament, alors qu'il présente un rapport bénéfices-risques défavorable. La France ne pouvait pas empêcher sa commercialisation, elle pouvait seulement s'opposer à son remboursement. Du coup, les agences nationales ont tendance à biaiser enjouent sur le taux de remboursement via la HAS et la commission de transparence ou en émettant de la communication publique comme elle l'a fait en décembre en supprimant la publicité pour lesmédicaments anti-rhume à base de pseudoéphédrine : Dolirhume, Fervex… Il faut donc renforcer la coopération entre agences nationales et les coalitions avec celles faisant remonter le plus de signaux (je pense notamment aux agences scandinaves).

·   Le manque de moyens pour la pharmacovigilance en France et la baisse des effectifs dans les centres régionaux est inquiétante à l'heure de l'extension de l'obligation vaccinale à 11 vaccins et alors même que la Ministre s'était engagée à renforcer la surveillance et les études concernant les vaccins rendus obligatoires.

·   Il faudrait aussi que la France s'inspire de l'Allemagne qui réduit de 20 points le taux de remboursement des médicaments en cas de déficit d'informations relatifs aux essais cliniques réalisés par les laboratoires pharmaceutiques et de la Belgiqueconcernant l'information au patients (cf. crise du Levothyrox) et qui finance sa surveillance des médicaments par une taxe prélevée sur les produits de santé.

·   J'alerte les pouvoirs publics sur la carence de surveillance des dispositifs médicaux(au nombre de 2 millions environ) qui ne dispose via Matériaux vigilanced'aucune remontée de terrain via des antennes locales.

·   La crise du Levothyrox et celui de la Depakine pour les femmes enceintes soulèvent les failles des autorités de santé en termes de veille, d'identification et de gestion des situationsde crise. L'ANSM a mis trop de temps à réagir et à reconnaître ces dysfonctionnements. Il faut une meilleure exploitation des réseaux sociaux (à l'instar de ce que fait la start-up Kap Codequi via son logiciel Detec't entend relever le niveau de pharmacovigilance dans l'Hexagone grâce aux réseaux sociaux comme nouvelle sourced'information scientifique), une nouvelle méthodologie de traitement des signalements massivement reçus sur leur portailinternet sans confondre pharmacovigilance et épidémiologie et enfin des moyens renforcés et décentralisés pour gérer les situations de crise.

·   J'estime aussi que des progrès doivent être accomplis et une recherche menée sur le couple « sexe / médicaments ». En effet, les derniers scandales sanitaires concernent souvent les femmes majoritairement (Essure, Diane 35, Levothyrox…). Il y a souvent un déni des mandarins de la médecine relatif aux effets secondaires dont elles sont victimes. On l'a vu avec la thèse du « nocebo » par rapport aux effets secondaires ressentis par des milliers de victimes de la nouvelle formule du Levothyrox.

Ainsi, comme le dit Catherine Hill (épidémiologiste à l'Hôpital Gustave Roussy), il faut repenser la pharmacovigilance car"aujourd'hui, on voit bien que l'industriel s'abrite derrière l'ANSM, qui s'abrite derrière les prescripteurs, qui s'abritent derrière l'efficacité du médicament et leur respect des règles édictées par l'ANSM et l'industriel, bouclant ainsi la boucle … le fond du problème est simple : en cas de doute, c'est le patient qu'il faut protéger et non l'industriel".

Il convient de recréer une pharmacovigilance basée sur la confiance, notamment grâce à une vraie communication à destination des prescripteurs et des usagers et l'intérêt général et non le profit.

Il faut également que la pharmacovigilance devienne une filière universitaire attractive, qui forme des experts indépendants évaluant les produits de santé sans lien avec l'industrie pharmaceutique.

La pharmacovigilance touche à la question de la démocratie sanitaire et de sortie d'un modèle paternaliste où le malade écoute sans se poser de question son médecin et où les effets secondaires sont mis sous le tapis pour étouffer les scandales
 

3ème âge et chutes....

Communiqué de presse

Paris, le 23 janvier 2018

Pour voir cet email, cliquez ici.

 

Le saviez-vous ? Les spécialistes estiment que plus de 2 millions de personnes âgées de plus de 65 ans subissent une chute tous les ans

D’après une étude menée par MSI, portant sur le marché de la Téléassistance pour le maintien à domicile en France, chez les plus de 80 ans, le risque de chute augmente de 50%. Parmi les accidents de la vie courante, les chutes sont la cause la plus fréquente de décès chez les personnes âgées : entre 4000 et 4500 décès chaque année.

 

De plus, tous les ans, les cas d’Alzheimer en France augmentent. En 2016, c’est près de 900 000 cas qui ont été identifiés dans l’Hexagone. Ce chiffre ne cesse d’augmenter (20 000 cas supplémentaires détectés tous les ans à l’échelle nationale).

 

Conscient de ces enjeux à la fois sociétaux et économiques, le spécialiste de la santé connectée Zembro annonce le lancement de Zembro Plus : une montre d’alarme personnelle permettant la détection d’égarement via géolocalisation. En intégrant à sa montre des fonctionnalités innovantes pour ne plus se perdre et alerter les secours, Zembro apporte une solution aux seniors et aux personnes atteintes de pathologies telles qu’Alzheimerou de démence.

 

Cette montre permet aux soignants et à la famille de rester connectés à chaque instant avec la personne qui la porte et d’intervenir si besoin.

 

Zembro Plus intègre les fonctionnalités suivantes pour plus de sérénité :

 

- un système anti-égarement : une alarme est déclenchée sur le smartphone de l’aidant ou sur le plateau de surveillance lorsque l’utilisateur sort de la zone de vie paramétrée en amont. En effet, les patients atteints de troubles cognitifs peuvent facilement se perdre, et l’arrivée de l’hiver peut se révéler être un facteur dangereux pour leur santé ;

 

- la géolocalisation intra-muros : des balises de sécurité Bluetooth, à répartir dans la zone de vie, permettent une géolocalisation plus précise, plus rapide et moins énergivore du porteur de la montre. Ainsi, si celui-ci déclenche une alerte, la montre notifiera à l’aidant sa situationgéographique exacte lui permettant ainsi d’intervenir rapidement ;

 

- un fermoir sécurisé : aucun risque de perte ou d’oubli, la montre reste bien accrochée !

 

- la détection d’absence de mouvement : pour s’assurer du bon port de la montre, 3 capteurs de mouvements déclencheront une alerte après un certain délais si aucun mouvement n’est constaté ;

 

- le service d’alerte Professionnel 24/7 : la plateforme d’écoute Zembro est disponible 24/7 en cas de besoin.

 

 

A propos de Zembro :

Créée en 2015, la startup belge Zembro propose sur le marché de la Santé Connectée la 1ère solution connectée d’alarme personnelle fonctionnant dans toute l’Europe. Liant l’utile à l’agréable, la montre Zembro se distingue par son design, sa praticité et se positionne comme LA montre qui reconnecte les générations entre elles pour faire face à un enjeu sociétal répandu : l’isolement et la perte d’autonomiedes personnes âgées. Etanche, géolocalisation intégrée, batterie de 10 jours…, la montre Zembro permet aux aidants comme aux aidés d’être connectés 24/7.





 

lundi 22 janvier 2018

NetUgem

Découvrez le Tweet de @NetUgem : https://twitter.com/NetUgem/status/955472460308246528?s=09

Découvertes sur la maladie d' Alzheimer

De nouvelles découvertes sur la maladie d’Alzheimer

 

Une équipe dirigée par Stéphanie Daumas, chercheuse à l’Institut de biologie Paris-Seine (IBPS : Sorbonne Université/CNRS/Inserm) et Salah El Mestikawy de l’institut universitaire en santé mentale Douglas de Montréal, remet en question le dogme qui associe la maladie d’Alzheimer à d’importantes pertes neuronales et synaptiques. Leur étude internationale menée sur plus de 170 sujets souffrant de la maladie d’Alzheimer à des stades divers est publiée dans Scientific Reports le 17 janvier.

 

Vous trouverez le communiqué de presse complet en pièce jointe.

 

Bien cordialement,

 

Sophie Poirée

Chargée de communication éditoriale

Direction de la communication

Sorbonne Université

01 44 27 24 53

 

dimanche 21 janvier 2018

Plus que quelques jours...

Pour adresser vos voeux.
C'est le moment d'ouvrir votre carnet d'adresses pour vérifier que vous n'avez oublié personne!

Nota : le début d'année est aussi traditionnellement la période des bonnes résolutions.

Pour ma part j'ai pris celle de relayer largement les actualités du Mouvement mutualiste.

Un homme une voix. Chaque vote compte. Participez à vos assemblées générales de 2018

samedi 20 janvier 2018

Philippe Croizon

Découvrez le Tweet de @Avec_Thierry : https://twitter.com/Avec_Thierry/status/954701311995514881?s=09

vendredi 19 janvier 2018

Mgefi : vous avez la parole

mgefi

Mises à jour quotidiennes ⋅ 16 janvier 2018

WEB

MGEFI ou une autre ? dans Concours commun d'agent administratif de catégorie C

Devenez-fonctionnaire.fr

Effectivement! Je viens enfin de piger l'truc J'ai regardé un peu les infos sur leur site et effectivement, il s'agit d'une offre globale, donc si on prend la mutuelle, PREMUO 022 est indissociable. Et à côté de cette prévoyance statutaire, il y a des offres facultatives: perte de revenus, capital avantages, ...

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dans Concours commun d'agent administratif de catégorie C

Devenez-fonctionnaire.fr

Merci pour vos réponses Mooti et Loban!

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Financement de la politique du handicap

 

 

POINT PRESSE

Paris, le 18 janvier 2018

 

FINANCEMENT DE LA PRISE EN CHARGE DES PERSONNES HANDICAPEES :
LANCEMENT D’UN GROUPE DE TRAVAIL AU SÉNAT

 

Alain Milon, président de la Commission des affaires sociales du Sénat, vous prie d’assister au point presse  

 

du 25 janvier 2018 à 9 heures 30 
Restaurant du Sénat - 15 terrue de Vaugirard - 75006 Paris

 

au cours duquel Philippe Mouiller (Les Républicains – Deux-Sèvres), président du groupe de travail et Alain Milon (Les Républicains - Vaucluse) 
présenteront le groupe de travail de la commission des affaires sociale sur le financement de la prise en charge des personnes handicapées

en présence de Sophie Cluzel, secrétaire d’État chargée des personnes handicapées

 

DIRECTION DE LA COMMUNICATION 
Juliette Élie • presse@senat.fr • +(33) 1 42 34 25 03