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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 28 novembre 2013
MINE D'INFOS: ASSUREURS: Vous avez dit activisme....
MINE D'INFOS: ASSUREURS: Vous avez dit activisme....: Dans le climat exacerbé actuel, il faut souligner que, pour les philosophes grecs, seule la discussion débouche sur la vérité. L’anathèm...
ASSUREURS: Vous avez dit activisme....
Dans le climat exacerbé actuel, il faut souligner que, pour les
philosophes grecs, seule la discussion débouche sur la vérité.
L’anathème est l’expression de l’ignorance.
Activisme des assureurs
On peut comprendre l’activisme des assureurs face à la généralisation de la couverture complémentaire de santé. Le marché est d’autant plus attractif que l’obligation d’assurance facilite la vente, ce qui mérite d’être mis en parallèle avec le peu d’intérêt manifesté jusqu’ici pour la commercialisation des contrats de prévoyance dans les TPE, sauf pour le dirigeant. Mais il ne faut pas se tromper sur l’avantage dont va bénéficier le salarié.
Lire l'article :
http://www.miroirsocial.com/actualite/9448/les-acteurs-de-la-prevoyance-et-l-interet-economique-general
Libellés :
activisme,
assureurs,
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www.miroirsocial.com
mardi 26 novembre 2013
MINE D'INFOS: Gardasil : point sur la vaccination contre les pap...
MINE D'INFOS: Gardasil : point sur la vaccination contre les pap...: GARDASIL est un vaccin indiqué dans la prévention des lésions précancéreuses et cancéreuses du col de l'utérus dues à certaines infe...
Gardasil : point sur la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV)
GARDASIL
est un vaccin indiqué dans la prévention des lésions précancéreuses et cancéreuses
du col de l'utérus dues à certaines infections à papillomavirus humains (HPV).
Il est disponible en France depuis novembre 2006. Depuis sa mise sur le marché,
ce vaccin fait l'objet d'un suivi national renforcé de pharmacovigilance dans
le cadre d'un plan de gestion de risque (PGR) national qui complète un PGR européen.
L'ANSM rappelle ici les dernières données relatives à cette vaccination.
Rappel
de contexte
Gardasil est un vaccin indiqué
dans la prévention des maladies provoquées par les Papillomavirus Humains (HPV)
de type 6, 11, 16 et 18, telles que les lésions précancéreuses de l'appareil génital
féminin (col du l'utérus, vulve et vagin), le cancer du col de l'utérus, et les
verrues génitales. Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) recommande la
vaccination des jeunes filles entre les âges de 11 et 14 ans avec un rattrapage
jusqu'à 19 ans révolus. Ce vaccin est autorisé par l'Agence européenne des médicaments
[1] depuis septembre 2006 et est commercialisé
en France depuis le 23 novembre 2006.
Depuis sa commercialisation, un Plan de gestion de risque a été mis en
place au niveau national et européen. Il permet de détecter et d'analyser, dans
les conditions réelles d'utilisation, tout nouvel effet indésirable observé par
les professionnels de santé. Dans ce cadre, ce vaccin fait l'objet d'une
surveillance renforcée par ce vaccin est important dans la population recommandée
par le Haut Conseil de Santé Publique dans le calendrier vaccinal en vigueur ».
Données
de surveillance actualisées
Dans le monde, à la fin du mois
de mai 2013 [2], plus de 127 millions de doses de ce vaccin
ont été distribuées. Depuis leur mise à disposition, l'analyse des données de
pharmacovigilance a fait état de 26 675 effets indésirables graves [3] dont 113 cas de sclérose en plaques (SEP). Il est à noter
que les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont des réactions fébriles,
des douleurs au point d'injection, des malaises et des céphalées.
En France, depuis sa mise sur le
marché, plus de 5 millions de doses du vaccin Gardasil ont été distribuées. Sur
cette période, 435 cas d'effets indésirables graves dont 135 de maladies
auto-immunes incluant 15 cas de SEP ont été rapportés au réseau national des
CRPV (centres régionaux de pharmacovigilance) et au laboratoire concerné pour
ce vaccin.
Par ailleurs, les données de la
littérature internationale et française ne montrent pas d'augmentation de
l'incidence des maladies auto-immunes ni plus particulièrement de SEP après une
vaccination par Gardasil. Les données du SNIIRAM [4],
portant sur une cohorte de près de 2 millions de jeunes filles nées entre 1992
et 1996 et suivies sur une période allant de 2008 à 2010, confirment ces résultats.
L'ANSM rappelle que les HPV 16
et 18 sont estimés responsables d'environ 70 % des cancers du col de l'utérus
Le cancer du col de l'utérus est le 10ème cancer chez les femmes en
France. Près de 3 000 nouveaux cas de cancer du col de l'utérus sont
diagnostiqués chaque année en France et le nombre de décès est d'environ 1 000
par an. Dans son avis du 20 mars 2013, « la Haute Autorité de Santé (HAS)
considère que le service médical rendu par ce vaccin est important dans la
population recommandée par le Haut Conseil de Santé Publique dans le calendrier
vaccinal en vigueur ».
L'ANSM rappelle par ailleurs,
que les bénéfices et les risques des vaccins, comme tous les autres médicaments,
font l'objet d'une évaluation tout le long de leur vie, grâce notamment au système
de pharmacovigilance français et européen.
Le rapport bénéfice/risque de ce
vaccin, au regard de l'ensemble de ces données d'efficacité et de sécurité
reste favorable.
Par ailleurs, en plus des
mesures habituelles de surveillance des médicaments, les vaccins font l'objet
d'un contrôle de la qualité de chaque lot avant leur mise sur le marché en
France et en Europe par une autorité indépendante. Ce contrôle indépendant
s'ajoute à ceux réalisés par les laboratoires pharmaceutiques. Ce double contrôle
constitue ainsi une garantie supplémentaire de la maîtrise de la qualité et de
la sécurité des vaccins. Ainsi, l'ANSM contrôle et libère environ 40 % des lots
de vaccins utilisés en Europe et près de 50 % des doses de vaccins administrés
en France, chaque année.
L'ANSM rappelle que les
professionnels de santé doivent déclarer immédiatement tout effet indésirable
suspecté d'être du à un médicament dont ils ont connaissance au centre régional
de pharmacovigilance dont ils dépendent géographiquement.
Les patients et les associations
de patients agréées peuvent également signaler tout effet indésirable.
Pour plus d'informations : déclarer un effet
indésirable
Lire aussi :
[1] L'autorisation de mise sur le
marché a été obtenue par le biais d'une procédure européenne dite centralisée
qui implique une mise à disposition de ce vaccin sur l'ensemble du territoire
européen ainsi qu'une surveillance européenne.
[2] Données issues du dernier « Periodic
Safety Update Report » (PSUR) de mai 2013.
[3] Les critères de gravité au sens
de la pharmacovigilance sont : décès, mise en jeu du pronostic vital,
hospitalisation ou prolongation d'hospitalisation, malformation ou anomalie
congénitale, invalidité ou incapacité importante ou durable, autre situation médicale
grave.
[4] Système national d'information inter-régimes
de l'assurance maladie
NDLR : MGEFI et Vaccination
Grippe saisonnière : se faire vacciner, c’est se protéger soi-même et les autres !
vaccin grippe
En 2013, le nouveau calendrier des vaccinations est plus simple
NDLR : MGEFI et Vaccination
Grippe saisonnière : se faire vacciner, c’est se protéger soi-même et les autres !
MINE D'INFOS: C'est à lire : Selection de 4 ouvrages thématique ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Selection de 4 ouvrages thématique ...: « Quels défis pour le management ? » Sous la direction de Françoise Dupuich - Editions l’Harmattan En quoi l'économie médical...
C'est à lire : Selection de 4 ouvrages thématique Monde du Travail chez L'Harmattan
« Quels défis pour le
management ? »
Sous la direction
de Françoise Dupuich - Editions l’Harmattan
En quoi l'économie médicale et la surconsommation, notamment en France, de services médicaux, participent-elles à la gestion du mal-être au travail ?
En quoi cette surconsommation participe-t-elle à une régulation des
tensions sociales et des rapports salariaux dans l'entreprise moderne ?
L'hypothèse ici faite est que ce phénomène est en relation directe avec la montée
en puissance des risques psychosociaux et notamment des différentes situations
de stress au travail.
de Jean-Marie Gogue
- Editions l’Harmattan
Les conséquences de la crise financière de 2008 ont conduit de nombreuses entreprises à s'interroger sur les diverses techniques de management qui ont été présentées en un quart de siècle comme des moyens d'améliorer la qualité et la productivité pour faire face à la concurrence internationale.
Afin de comprendre cette marche du
management vers un " toujours plus ", l'auteur a exploré différents
courants de pensée qui ont agité le monde patronal depuis la fin du XIIIe siècle
jusqu'à nos jours.
de Cécile Roche
- Editions l’Harmattan
Dans un monde où le changement est la norme, le Lean devient à la mode. Les entreprises qui ont choisi de se transformer en suivant les principes Lean et en investissant d'abord sur les femmes et les hommes ont globalement et sur le long terme des résultats économiques meilleurs.
Ce guide simple et complet, avec des concepts simples et illustrés de
nombreux exemples analyse les idées reçues sur le Lean, en prenant à chaque
fois le point de vue des managers et celui des opérationnels concernés.
de Luce Abrate, Hervé Mathe, Simon Paranthoën, Xavier
Pavie -Editions l’Harmattan
Le propos de ce livre est de comprendre la relation client dans une dimension à la fois stratégique et opérationnelle autour de la notion fondamentale du dialogue.
Cette approche s'appuie sur l'étude approfondie d'organisations telles
qu'EDF, le GHMF, IBM, SFR ou encore Zappos, qui illustrent, chacune selon ses
spécificités, les enjeux de la prise en compte du dialogue avec le client et de
son intégration dans les stratégies organisationnelles des entreprises.
MINE D'INFOS: Les métiers de la Mutualité
MINE D'INFOS: Les métiers de la Mutualité: L'Union des Groupements Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de partenariat avec l'Académie de Par...
Les métiers de la Mutualité
L'Union des Groupements
Employeurs Mutualistes et la Mutualité Française signent un accord de
partenariat avec l'Académie de Paris
Près de 1 000 lycéens étaient réunis vendredi 22 novembre
2013 à la Maison de la Mutualité à Paris pour une matinée de présentation des métiers
de la Mutualité. A cette occasion, Alain Hernandez, Président de l’Union des
Groupements Employeurs Mutualistes (UGEM), Roland Berthilier, Secrétaire Général
de la Mutualité Française, et François Weil, Recteur de l’Académie de Paris,
chancelier des universités, ont signé un accord de partenariat.
Cet accord vise notamment à informer les collégiens et lycéens,
leurs familles, les chefs d’établissement et les personnels enseignants sur les
quatre familles de métiers proposés par la Mutualité :
- la prévention et
la promotion de la santé : animateur de prévention,
- la protection sociale, santé-prévoyance : téléconseiller(ère),
conseiller(ère) mutualiste, spécialiste prestations santé ou chargé(e) d’études
techniques,
- les soins et
l'accompagnement : dentiste, opticien ou audioprothésiste,
- les métiers
supports : contrôleur(euse) interne, juriste.
La Mutualité qui emploie en France 85 000 personnes, dont
15 000 professionnels de santé, prévoit en effet d’embaucher environs 10 000
collaborateurs d’ici 2018*.
L’accord de partenariat signé ce jour décline au niveau
académique l’accord-cadre national signé le 25 juillet 2008 entre le Ministre
de l’Education nationale et le Président de l’UGEM qui prévoyait notamment :
Ø L’orientation des élèves
tout au long de leur cursus secondaire,
Ø un accompagnement à
la formation professionnelle initiale en accueillant les élèves de 5ème
et de 3ème lors de leurs parcours découverte de l’entreprise,
Ø une participation à
la formation des personnels de l’éducation nationale par le biais de stages
dans les entreprises mutualistes,
Ø une réflexion
portant sur l’articulation entre les diplômes de l’enseignement technologique
et professionnel et les besoins en qualification de la branche Mutualité.
Dans le cadre de ce partenariat, un livret ONISEP et un
site internet dédié www.metiers-mutualite.com
présentent les différents métiers de la Mutualité.
*
Sources DADS 2010 et bilan social de branche sur les données 2011 réalisée par
l’Observatoire de l’emploi et des métiers en mutualité.
Libellés :
Académie,
DADS,
Education Nationale,
employeurs,
Groupements,
métiers,
mutualistes,
Mutualité,
Mutualité Française,
Paris,
partenariat,
UGEM,
Union,
www.metiers-mutualite.com
MINE D'INFOS: République Centrafricaine (RCA) : De récents affro...
MINE D'INFOS: République Centrafricaine (RCA) : De récents affro...: MSF- qui travaille dans cette zone - renouvelle son appel à la communauté internationale, et notamment aux agences des Nations Unies,...
République Centrafricaine (RCA) : De récents affrontements conduisent à de nouveaux déplacements de population à Bouca.
MSF- qui
travaille dans cette zone - renouvelle son appel à la communauté
internationale, et notamment aux agences des Nations Unies, pour un déploiement
plus important de l’assistance humanitaire et ce afin de répondre aux besoins
générés par la crise actuelle en RCA.
Paris, le 26 novembre 2013, Suite à de nouveaux affrontements, la semaine dernière, entre des éléments anti-Balaka (groupes d’auto défense armés) et des forces de l'ex-Séléka, une nouvelle vague de déplacements de populations (la deuxième en moins de deux mois) a eu lieu à Bouca, dans le nord de la République centrafricaine (RCA). Pour Médecins Sans Frontières (MSF), ces évènements soulignent, à nouveau, la nécessité de déployer une action humanitaire d'urgence en RCA.
“Les combats de Bouca sont révélateurs de la façon dont la violence touche l’ensemble de la RCA”, déclare Sylvain Groulx, chef de mission MSF. “Nous sommes extrêmement préoccupés par les conditions de vie des populations déplacées, celles regroupées sur des sites surpeuplés, menacées par les épidémies, mais aussi celles qui sont « invisibles », cachées dans la brousse sans accès aux soins, à la nourriture ou à l'eau potable. Beaucoup reste à faire et doit être fait maintenant !"
Les affrontements de la semaine dernière à Bouca, ville qui compte 15 000 habitants, ont fait plusieurs morts et blessés dont certains ont été pris en charge par MSF. Deux patients dans un état critique ont dû être transférés vers l’hôpital de Batangafo, à 100 km de là. L’un d’entre eux est décédé en route.
Cette récente vague de violences fait suite à aux affrontements meurtriers de septembre dernier où environ 100 personnes ont été tuées lors d’attaques menées par des groupes armés à l’encontre de civils (catholiques et musulmans). 700 maisons avaient alors été brûlées et des milliers de personnes avaient été déplacées. Depuis, les populations vivent dans la peur et l'intimidation. Ainsi, un ultimatum ordonnant aux 700 déplacés de quitter l’enceinte de la mission catholique de la ville où elles avaient trouvé refuge leur a été donné mardi dernier. « A la suite de ces menaces, plus de la moitié des déplacés de la mission catholique ont fui » explique Matthieu Amiraux, coordinateur de projet MSF à Bouca. « La situation est très tendue. Les familles musulmanes ont-elles aussi quitté la ville. Les personnes que nous croisons désormais dans les rues sont des hommes armés ».
MSF tient également à rappeler que dans la ville voisine de Bossangoa, où d’importantes violences ont eu lieu en septembre dernier et où 35 000 personnes déplacées ont besoin d’aide, la situation ne s’est guère améliorée depuis. Mi-novembre, MSF avait mis en place des dispensaires mobiles pour pouvoir accéder à ceux qui se cachent en brousse, là où nos équipes constatent les conséquences de cette violence, ainsi que l’absence générale de réponse humanitaire.
Les personnes déplacées de Bouca ou de Bossangoa se rajoutent aux 400 000 personnes (soit 10% de la population) déjà déplacées dans le pays depuis le coup d'Etat de mars dernier.
MSF appelle les Nations Unies et d’autres organisations humanitaires à accroître leur présence afin de répondre aux besoins générés par cette crise. Alors que nous avons dû nous mêmes, à plusieurs reprises, évacuer temporairement nos équipes de différentes localités du pays, nos activités n’ont jamais été interrompues. Depuis décembre 2012, MSF a même accru son volume opérationnel et initié des projets d’urgence.
MSF travaille en RCA depuis 1997. Actuellement nous menons 7 projets « réguliers » à Batangafo, Boguila, Carnot, Kabo, Ndélé, Paoua et Zemio et a initié - depuis mars dernier - des activités d'urgence à Bossangoa, Bouca et Bria. Une équipe d'urgence mobile se tient prête à déployer une assistance dans les zones touchées par les pics de violence comme cela a été le cas à Bouar, Mbaiki et Yaloké.
Contact presse :
Amélie Ketoff amelie.ketoff@paris.msf.org
Charlotte Nouette-Delorme presse-msf@paris.msf.org
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