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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 22 octobre 2013
MINE D'INFOS: STOPORISK : une application à installer d'urgence ...
MINE D'INFOS: STOPORISK : une application à installer d'urgence ...: Les Français sont mauvais élèves en matière de secourisme, mais cela pourrait changer... L'application STOPORISK permet un apprentis...
STOPORISK : une application à installer d'urgence sur tous les iPhones et iPads
Les Français sont
mauvais élèves en matière de secourisme, mais cela pourrait changer...
L'application STOPORISK permet un apprentissage rapide, simple et ludique des gestes
qui sauvent.
Dans sa note d'analyse de février 2013, le Centre d'analyse stratégique
s'alerte : « Alors que 95 % des Norvégiens et 80 % des Autrichiens
ont été initiés aux gestes qui sauvent, les Français, dans leur grande majorité,
ne les maîtrisent pas et sont démunis en cas d'accident ».
Et il y a effectivement de quoi s'inquiéter... En France, moins d'une personne sur cinq, témoin d'un arrêt cardiaque, pratique les gestes de premiers secours (source : projet européen EuReCa). L'étude réalisée en septembre 2013 par l'institut Opinion Way conclut que la plupart des Français ne sauraient pas quoi faire s'ils étaient victimes ou témoins d'un accident de la route.... et que dire des accidents de la vie courante (chutes, brûlures, asphyxie...), responsables de 11 millions de blessés et 19 000 morts par an en France, soit presque cinq fois plus que les morts sur la route ?
Et il y a effectivement de quoi s'inquiéter... En France, moins d'une personne sur cinq, témoin d'un arrêt cardiaque, pratique les gestes de premiers secours (source : projet européen EuReCa). L'étude réalisée en septembre 2013 par l'institut Opinion Way conclut que la plupart des Français ne sauraient pas quoi faire s'ils étaient victimes ou témoins d'un accident de la route.... et que dire des accidents de la vie courante (chutes, brûlures, asphyxie...), responsables de 11 millions de blessés et 19 000 morts par an en France, soit presque cinq fois plus que les morts sur la route ?
Et vous, seriez-vous capable de porter secours à une personne en cas d'accident ou de malaise ?
[youtube width="690" height="388" video_id="AXUOTsiqjpw"]
Parce que l'initiation aux gestes qui sauvent n'est ni inscrite aux programmes scolaires, ni obligatoire pour l'obtention du permis de conduire, tout est question de volonté et d'initiative. C'est pourquoi la société Stoporisk, organisme de conseil en prévention des risques professionnels a conçu l'application STOPORISK.
Parallèlement à une indispensable politique de prévention, nous sommes convaincus que l'enseignement à la pratique des gestes de premiers secours pourrait largement contribuer à faire baisser ces dramatiques statistiques.
Julien Guillon, dirigeant de Spotorisk
L'application offre un apprentissage rapide, simple et ludique du secourisme. Les utilisateurs découvrent au fil des quizz, les connaissances essentielles à savoir en fonction de l'incident et de sa victime.
Avec STOPORISK, tout le monde peut apprendre comment pratiquer les bons gestes de premiers secours sans faire d'erreur.?
Infos pratiques
Taille : 12.0 Mo
Langues : Français, Anglais
Compatibilité : Nécessite iOS 5.0 ou une version ultérieure. Compatible avec l'iPhone, l'iPad et l'iPod touch. Cette app est optimisée pour l'iPhone 5.
Tarif : 0,89 €
Pour télécharger l'application : https://itunes.apple.com/fr/app/stoporisk/id578884 528?mt=8
A propos de STOPORISK
Ancien pompier, Julien Guillon a toujours perçu la
formation comme un enjeu majeur dans la prévention des risques. Il décide donc
de créer en janvier 2012. STOPORISK, un organisme de conseil en
prévention des risques professionnels qui propose de l'Audit, de la formation,
toujours basée sur une pédagogie ludique, et de l'équipement en matière de
sécurité pour les entreprises, centres de formation et collectivités.
Afin de permettre à un plus large public de s'initier aux gestes qui sauvent,
la société a conçue l'application STOPORISK.
Facebook : http://www.facebook.com/pages/Stoporisk/1007990833
88618
Lire le communiqué de presse sur Internet :
http://www.relations-publiques.pro/9602/stoporisk-
une-application-a-installer-durgence-sur-tous-les-iphones-et-ipads.
html?camp=886225_0
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MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse
MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Bien manger, bien vivre L'EVEIL DE LA HAUTE LOIRE du 18 /10/213 Titre : « L'action sociale permet la...
La MGEFI dans la presse
Titre : Bien manger, bien vivre
L'EVEIL DE LA HAUTE
LOIRE du 18 /10/213
Titre : « L'action sociale permet la différenciation mutualiste »
ESPACE SOCIAL EUROPEEN
du 18 OCT/05 NOV 13
lundi 21 octobre 2013
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi: Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter l'hécatombe Le Centre international de recherc...
LIBRES PROPOS signés Michèle Rivasi
Pollution de l'air et cancers : il y a des solutions pour éviter
l'hécatombe
Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC)
de l’Organisation mondiale de la santé vient de classer la pollution atmosphérique
comme cancérigène certain. En effet, les scientifiques disposent de preuves
suffisantes pour affirmer que l'exposition à la pollution de l'air extérieur
provoque le cancer du poumon notamment.
Michèle Rivasi, députée européenne EELV, rappelle qu'avec
42.000 morts prématurées par an en France, la pollution de l’air extérieur,
notamment due aux particules fines du diesel (classé lui aussi cancérigène en
2012), au dioxyde de soufre (SO2), monoxyde
d’azote (NO) ou encore à l'ozone (O3) "pèse particulièrement sur notre
santé, et sur notre système de sécurité sociale. Je rappelle par
ailleurs que la France est actuellement en contentieux européen pour non
respect des seuils d’exposition des populations aux particules fines : elle
encourt de très lourdes pénalités financières si elle ne se met pas rapidement
en conformité avec la réglementation européenne".
Pour la députée écologiste, "il est indispensable d’orienter
le crédit impôt compétitivité destiné aux industries automobiles vers la création
de véhicules consommant deux litres d’essence aux 100 kilomètres. D'autre part,
les associations agréées de surveillance de la qualité de l’air (AASQA) ont vu
leur financement baisser et le principe des zones d'actions prioritaires pour
l'air (Zapa) a été abandonné car aucun dossier n'a été déposé par les villes
candidates : l’absence de volonté politique gouvernementale sur ce sujet est déplorable".
En tant que présidente du Comité territorial Drôme-Ardèche
d’AIR Rhône-Alpes (qui est une ASQAA) je suggère quelques solutions simples, à
appliquer au niveau des villes pour permettre
de réduire l’exposition des habitants à cette pollution, notamment :
- En
matière d’urbanisme, les écoles, maisons de retraites et équipements sportifs
de plein air devraient majoritairement être implantées loin des grands axes
routiers ;
- Les
parkings relais avec navettes gratuites pour rejoindre le centre ville doivent être
multipliés ;
- Les poids lourds ne doivent plus se
retrouver en ville, et les livraisons en ville pourraient se faire à partir de
plateformes logistiques à l’extérieur des villes, en camion électrique.
Enfin, les enjeux sanitaires liés à la pollution atmosphérique
ne doivent pas occulter un autre sujet tout aussi préoccupant, à savoir la
pollution de l'air intérieur. "La fumée de tabac environnementale, l’amiante,
le radon, le benzène, le formaldéhyde (formol), plus le dioxyde de carbone
(CO2), souvent imputable à une mauvaise ventilation peuvent provoquer l’apparition de certains
cancers".
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MINE D'INFOS: Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoi...
MINE D'INFOS: Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoi...: La Mutualité Française publie aujourd’hui l’édition 2013 du "Mémento Médicament". Celui-ci fournit une analyse des principales ...
Mémento du Médicament édition 2013 pour tout savoir sur le marché du médicament
La Mutualité Française
publie aujourd’hui l’édition 2013 du "Mémento Médicament". Celui-ci fournit
une analyse des principales données de ce marché et de son financement en
direction des décideurs mutualistes et des acteurs de la politique du médicament.
Cette nouvelle édition se penche plus particulièrement sur les prescriptions et
les médicaments génériques comme levier d’amélioration de la qualité des soins.
Le paracétamol et les
antiasthmatiques, premières molécules remboursées par les mutuelles, mais non génériquées
!
Le paracétamol est, en France, la molécule la plus remboursée
par les mutuelles. En 2012, elles ont consacré 117 millions d’euros aux
remboursements de cet antalgique, en progression de +17,5% par rapport à 2011.
Le paracétamol, mais aussi l’acide acétylsalicylique(1), sont toujours exclus du champ
du répertoire des génériques en France, alors qu’une disposition législative de
2007 ouvre la possibilité réglementaire de créer des groupes génériques sans spécialité
de référence.
Les antiasthmatiques administrés par voie respiratoire
arrivent en deuxième position des remboursements des médicaments par les
mutuelles. Or contrairement aux autres pays européens, les formes
pharmaceutiques administrées par voie respiratoire ne peuvent pas être
inscrites au répertoire des génériques.
La Mutualité Française demande donc l’élargissement du
champ du répertoire des génériques aux molécules comme le paracétamol et l’acide acétylsalicylique, mais aussi aux
antiasthmatiques, ainsi qu’une meilleure cohérence dans la politique de prix de
ces molécules.
961 millions d’euros d’économies
auraient pu être réalisées en 2012 si l’acceptation des médicaments génériques
avait été totale, sans compter les gisements d’économies qui pourraient être réalisées
avec l’élargissement du répertoire, de l’ordre de 400 millions d’euros.
Les prescriptions d’origine
hospitalière comme frein au développement
des génériques
En 2012, les prescriptions d’origine hospitalière exécutées
en ville ont représenté
5,8 milliards d’euros, soit 22,3% des remboursements de médicaments. En augmentation depuis plusieurs années, la majorité de ces prescriptions rédigées à l’hôpital concernent des médicaments sous brevet, notamment du fait d’un processus de référencement, avec pour conséquence la limitation du développement des génériques.
5,8 milliards d’euros, soit 22,3% des remboursements de médicaments. En augmentation depuis plusieurs années, la majorité de ces prescriptions rédigées à l’hôpital concernent des médicaments sous brevet, notamment du fait d’un processus de référencement, avec pour conséquence la limitation du développement des génériques.
A ce sujet, la Mutualité Française demande le développement
des mécanismes de régulation des dépenses hospitalières exécutées en ville,
avec la mise en place de logiciels hospitaliers d’aide à la prescription
permettant l’usage plus important des médicaments génériques.
La prescription en dénomination
commune internationale (DCI): encore un trop faible recours
Malgré les
obligations réglementaires(2) et alors que l’usage de la DCI est un
facteur clé de la sécurité sanitaire pour les patients, en France, seulement
12,3% des prescriptions des médecins sont libellés en DCI. C’est également une
voie d’amélioration des pratiques des prescripteurs. Les marges de progression
sont importantes notamment pour les médecins spécialistes qui réalisent en
moyenne 6,9% de prescriptions en DCI contre 13,5% pour les généralistes.
Pour la Mutualité Française, prescrire en DCI permet d’améliorer
la qualité des soins et leur efficience dans l’intérêt des patients, de
diminuer les risques de surdosages, d’interactions médicamenteuses et d’allergies
aux médicaments. Et comme l’a récemment souligné le sénateur Yves Daudigny dans
son rapport parlementaire(3) rendu public le 17 octobre dernier, le
développement de la prescription en DCI favorisera également la délivrance de médicaments
génériques, aussi efficaces que les médicaments de marque et dont le coût est
moins élevé pour la collectivité. La Mutualité Française préconise le
renforcement de l’enseignement universitaire de la DCI et de ses nombreux
avantages en matière de santé publique auprès des futurs médecins.
Vous trouverez, ci-joint, l’édition
2013 du « Mémento Médicament ».
Ce dépliant, accompagné de son
commentaire détaillé est également disponible sur www.mutualite.fr,
espace presse ou auprès du service de presse.
(1) Dénomination
commune internationale (DCI) du nom de marque d'origine aspirine. La DCI mise en place par l’Organisation
mondiale de la santé, désigne la substance active ou molécule contenue dans le
médicament. C’est le vrai nom du médicament, contrairement à son nom de marque.
(2)Article 19 de la loi relative au
renforcement de la sécurité sanitaire du médicament adoptée, le 19 décembre
2011 qui prévoit que les prescriptions des médecins devront la mentionner d’ici
le 1er janvier 2015.
(3) « Les médicaments génériques :
des médicaments comme les autres », rapport déposé le 26 septembre 2013.
A propos de la Mutualité Française
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère
la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français
sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de
38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses
de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif,
des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le
code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical
et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation
sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement
mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres
dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux
personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour
accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes
de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le
service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions
de santé.
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à
la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses
services de soins et d’accompagnement.
NDLR :
MGEFI et Mutualité Française
La MGEFI et son environnement
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MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...
MINE D'INFOS: « Hypertendus : prenez vos consultations en main !...: Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension artérielle Mercredi 18 décembre 2013 A l’occasion de la Journée ...
« Hypertendus : prenez vos consultations en main ! »
Journée Nationale de Lutte contre
l’hypertension artérielle
Mercredi 18 décembre 2013
A
l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’hypertension Artérielle
(HTA), le 18 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension
Artérielle (CFLHTA) lance sa nouvelle campagne « Hypertendus : prenez vos consultations en main ! ». Un livret
d’information téléchargeable gratuitement sur le site www.comitehta.org révèle
aux patients les différents types de consultations qu’ils sont amenés à suivre
tout au long de leur vie : consultations
de dépistage, d’annonce, d’adaptation du traitement, de suivi à long terme…
La prise en charge de
l’hypertension artérielle (HTA) est le premier motif de consultation en
médecine générale1 et nécessite des visites régulières chez le médecin
portant à plus de 41 millions le nombre de consultations annuelles concernées
par l’HTA en France2. « Une personne souffrant d’HTA consulte son médecin
généraliste 6 à 10 fois par an, soit pour renouveler son ordonnance,
soit pour soigner les maladies fréquemment associées à l’hypertension »
précise le Pr Jean-Jacques Mourad, cardiologue à l'hôpital Avicenne (Bobigny).
« Ces instants de rencontre entre médecin et patient sont les éléments
fondateurs de la réussite de la prise en charge d’une maladie chronique comme
l’HTA. Malheureusement, ils sont encore trop souvent source de non-dits et
d’incompréhension mutuelle » explique le Docteur Bernard Vaïsse,
Président du CFLHTA, cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. Cette
brochure a l’ambition de permettre aux patients de comprendre l’intérêt des
consultations d’hypertension, de bien les préparer et de les appréhender
sereinement pour une optimisation de leur prise en charge.
Aujourd’hui, « près de
12 millions de Français souffrent d’HTA ; près de 3 millions supplémentaires
l’ignorent. Elle est la maladie la plus fréquente en France » indique le Pr
Xavier Girerd, cardiologue (CHU Pitié-Salpêtrière, Paris). Pour 2015, le CFLHTA
avec plusieurs sociétés savantes3 impliquées dans l’hypertension artérielle se
sont fixés, avec la Direction Générale de la Santé (DGS), l’objectif de traiter
et de contrôler 70 % des patients hypertendus.
« Hypertendus
: prenez vos consultations en main ! »
Rendez-vous à
partir du 18 décembre sur le site www.comitehta.org
pour télécharger
gratuitement le nouveau livret édité par le CFLHTA
A propos du Comité Français de Lutte contre l’Hypertension
Artérielle (CFLHTA)
Créé en 1972, le CFLHTA est
une association régie par la loi de 1901. Ses missions sont de :
■
mieux
faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et,
plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique
■ entreprendre toutes les actions de formation et
d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées
parle reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension
Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie ainsi que sur les travaux de
la Fondation pour la Recherche en HTA et de la Ligue Mondiale contre
l’Hypertension.
Libellés :
artérielle,
CFLHTA,
connsultations,
contre,
Docteur Bernard Vaïsse,
en main,
HTA,
Hypertendus,
Hypertension,
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