Nora ANSELL-SALLES

vendredi 21 juin 2013

C'est à lire : Guide Evolu’son


Lancement de la 3ème édition

 

Le réseau Audition Mutualiste, qui regroupe les centres d’audition de la Mutualité Française, distribue depuis le mois d’avril dans ses 350 centres, la 3ème édition de son guide des solutions auditives « Evolu’son » (2013/2014). Ce guide a pour objectif de présenter aux patients une sélection d’aides auditives adaptées à leurs besoins.

 

Le guide « Evolu’son » présente de manière détaillée et descriptive une déclinaison de quatre gammes de solutions auditives, « Evolu’son Essentiel », « Evolu’son Confort », « Evolu’son Excellence » et « Evolu’son Prestige », qui correspondent à des profils auditifs distincts, associés :

 

- aux principales utilisations de l’appareil auditif : à la maison, en milieu professionnel, à l’extérieur...,

- au style de vie du patient : calme, dynamique ou intense,

- au cadre de vie du patient : environnement calme ou bruyant.

 

Pour chaque gamme, les patients trouveront des informations précises et complètes sur les modèles disponibles, leurs caractéristiques, la fourchette des tarifs ainsi qu’une sélection d’appareils auditifs réalisée par les experts du réseau.

 

Avec ce guide, les patients pourront découvrir les accessoires auditifs, proposés au sein du réseau Audition Mutualiste, permettant d’améliorer leur quotidien. Ce guide répertorie également les questions les plus fréquemment posées sur l’audition avec les réponses des experts. Il contient enfin un lexique des termes liés à l’audition, une présentation de l’enseigne et un listing téléphonique des centres.

 

Evolu’son n’est ni une marque, ni un label.

 

MINE D'INFOS: Presse médicale : la HAS apporte sa contribution a...

MINE D'INFOS: Presse médicale : la HAS apporte sa contribution a...: Alors que le secteur de la santé est confronté à la nécessité de garantir plus de transparence et de réaffirmer sa fiabilité, la presse ...

MINE D'INFOS: Presse médicale : la HAS apporte sa contribution a...

MINE D'INFOS: Presse médicale : la HAS apporte sa contribution a...: Alors que le secteur de la santé est confronté à la nécessité de garantir plus de transparence et de réaffirmer sa fiabilité, la presse ...

Presse médicale : la HAS apporte sa contribution au débat en matière d'amélioration des pratiques éditoriales


Alors que le secteur de la santé est confronté à la nécessité de garantir plus de transparence et de réaffirmer sa fiabilité, la presse médicale elle aussi, connaît une période de mutation profonde : érosion de la presse écrite et expansion du numérique, chute du marché publicitaire des industriels du médicament, remise en cause de la loyauté des informations diffusées ... Dans le cadre de son rôle d'information des professionnels de santé et du grand public et dans un contexte marqué par la loi relative au renforcement de la sécurité sanitaire du médicament, la HAS a souhaité contribuer à la réflexion sur la qualité de la presse médicale. Elle publie ce jour un document proposant des bonnes pratiques et des critères qualité, à l'attention de la presse comme des lecteurs. 

 

Près de 200 titres de la presse médicale, c'est-à-dire journaux d'informations médicales et professionnelles, revues de formation médicale continue ou revues académiques de recherche concourent aux besoins d'information, de formation, de publication scientifique des différents acteurs de la santé. Or, cette presse médicale est soumise à un environnement en mutation et doit répondre à une exigence de qualité qui devient un enjeu partagé par l'ensemble des acteurs du secteur (lecteurs et chercheurs, rédactions, agences sanitaires et acteurs publics, professionnels de santé).

 

De nombreux dispositifs de régulation mais des pratiques non homogènes

 

Plusieurs dispositifs de régulation existent qu'ils soient spécifiques ou non à la presse médicale : lois, règlements, chartes et engagements volontaires pour les éditeurs, les annonceurs, les rédacteurs ou les auteurs.

 

En dépit de leur existence, la HAS constate des pratiques non homogènes : manque de fiabilité des chiffres de diffusion, porosité potentielle entre annonceurs et contenu rédactionnel, non-déclaration des liens d'intérêts, absence fréquente d'affichage des procédures de fonctionnement et des chartes éditoriales ...

 

Pour guider les bonnes pratiques, la HAS propose des outils et critères organisés autour de 3 grands axes :

 

- la transparence :

·        affichage systématique des déclarations d'intérêt des auteurs, des comités de rédaction, de toute personne ayant une responsabilité éditoriale,

·        transparence des procédures éditoriales en particulier les modalités de relecture des articles,

·        transparence des sources de financement des recherches publiées ;

 

- l'indépendance éditoriale de la rédaction par rapport aux influences possibles des annonceurs mais également indépendance par rapport notamment aux éditeurs ;

 

- l'éthique éditoriale, c'est-à-dire le respect de certaines règles de publication (citation des sources, qualité d'auteur, ...) et de l'expression des courants de pensée, l'engagement à respecter les recommandations internationales existantes en la matière : ICMJE [1], codes du COPE [2], documents disponibles en français.

 

La liste des critères identifiés par la HAS est accessible dans le rapport complet et dans sa synthèse de 4 pages.

 

Plus d'informations sur le site de la HAS en cliquant ici

 

 

MINE D'INFOS: Statut de la mutuelle européenne

MINE D'INFOS: Statut de la mutuelle européenne: La Mutualité Française demande à la Commission européenne la reconnaissance légale du modèle mutualiste et un « concept juridique clai...

Statut de la mutuelle européenne

La Mutualité Française demande à la Commission européenne


la reconnaissance légale du modèle mutualiste et un « concept juridique clair »


Dans sa réponse à la consultation de la Commission européenne sur l’opportunité d’un statut de mutuelle européenne, qui a pris fin le 14 juin 2013, la Mutualité Française demande la reconnaissance légale du modèle mutualiste et un « concept juridique clair »(1). Par cette revendication, le mouvement mutualiste souhaite que les mutuelles, au même titre que les sociétés de capitaux, puissent agir à l’échelle européenne, et notamment mener des activités transfrontalières, étendre le modèle mutualiste à toute l’Europe et constituer des groupes mutualistes européens.

 

En effet, si les activités des mutuelles sont reconnues, elles sont cependant entravées dans leurs développements faute d’un statut juridique approprié. Suite à la consultation lancée par la Commission européenne le 11 mars dernier, la Mutualité Française a donc élaboré une réponse socle(2). Cette consultation a fait l’objet d’une forte mobilisation tant en France qu’en Europe et des contributions des familles françaises de l’économie sociale et des associations européennes ont également été adressées à la Commission européenne.

 

Le gouvernement français est aussi fortement mobilisé. A l’occasion du dernier Congrès de la Mutualité Française en octobre 2012, Benoit Hamon, Ministre délégué à l'Économie sociale et solidaire et à la Consommation, a dit son engagement en faveur du statut de la mutuelle européenne. Le 17 avril dernier, Thierry Repentin, Ministre délégué aux Affaires européennes, a reçu Etienne Caniard, Président de la Mutualité Française, l’assurant du grand intérêt qu’il portait à ce dossier. Chacun de ces ministères doit se rapprocher de ses homologues européens pour les inciter à répondre favorablement au statut de la mutuelle européenne. La réponse du gouvernement français, et celles des autres Etats membres sont primordiales pour la Commission européenne.

 

(1) Termes de la Commission dans la consultation

(2) Ce document se trouve, en pièce-jointe. Il s’agit de la consultation de la Commission européenne datée du 8 mars avec les réponses de la Mutualité Française en bleues.

  

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.
 



 

 

 



 

 

 

MINE D'INFOS: 22 juin 2013 : Journée nationale de réflexion sur...

MINE D'INFOS: 22 juin 2013 : Journée nationale de réflexion sur...: Pour une reconnaissance par la société française des personnes donnant de leur vivant un organe   Depuis deux ans, la Journée nationa...

22 juin 2013 : Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe, et de reconnaissance aux donneurs

Pour une reconnaissance par la société française des personnes donnant de leur vivant un organe
 


Depuis deux ans, la Journée nationale du don d’organes du 22 juin est

devenue « la Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe, et de reconnaissance aux donneurs ». Cet accent mis sur ces personnes est fortement soutenu par la FNAIR afin de rappeler que ces citoyens prennent un risque - qui peut s’avérer dissuasif - au niveau de leurs revenus. Une indemnisation véritable et une reconnaissance officielle faite par l’Etat serait une action simple et décisive pour encourager le don du vivant, lutter contre la  pénurie de greffons et diminuer le nombre de personnes dialysées en attente de greffes.
Grâce aux progrès de la médecine, le don d’organes de son vivant est devenu un acte peu dangereux pour le donneur. Plusieurs études ont même montré que les personnes qui ont donné leur rein avaient, 20 ans après l’opération, un meilleur état de santé que la population générale. Aujourd’hui, s’il existe un risque pour un donneur, il est essentiellement financier en lien avec le risque de perdre son travail en raison du temps des soins que le don d’organe implique. Mais le sujet est tabou. Lorsque les associations de patients parlent d’« indemnisation », les décideurs politiques entendent « rémunération », et agitent le spectre d’un possible trafic d’organes. La nuance entre les deux termes est pourtant de taille.
 

L'article 16-1 du Code civil stipule que « le corps humain, ses éléments et ses produits ne peuvent faire l'objet d'un droit patrimonial », en somme que l’on ne peut pas en faire commerce. Mais cela n’interdit pas l’indemnisation. Cette indemnisation est même prévue de longue date par la loi. L’article 34 de la loi n° 84-16

du 11 janvier 1984 prévoit en effet des dispositions pour les fonctionnaires qui ont subi un prélèvement d’organes au bénéfice d’une tierce personne : ils relèvent, en effet, de l’une des clauses prévues à l’article 27 du code de pensions civiles, à savoir le fait d’exposer « ses jours pour sauver la vie d’une ou plusieurs personnes ». Aussi, les fonctionnaires conservent dans ce cas l’intégralité de leur salaire jusqu’à ce qu’ils
 

soient en mesure de reprendre leur service et jusqu’à leur mise à la retraite.
 

La fonction publique dépend aujourd’hui d’un régime spécifique qui préserve pour les titulaires, et pour les contractuels sous conditions, une rémunération pleine pour une durée variable selon le type de congés (Congés maladie ordinaire, Congés longue maladie et Congés longue durée). Dans un souci d’équité envers l’ensemble de la population désirant accomplir un don de son vivant, la FNAIR demande à l’Etat de prendre des dispositions identiques pour l’ensemble des régimes de l’assurance maladie.
 

 
Cette égalité de traitement, inscrite dans le droit, témoignerait de la reconnaissance de la société envers toutes celles et ceux qui, font le geste du don de vie, du don de soi.

Aujourd’hui, l'établissement de santé qui réalise le prélèvement, prend en charge les frais de santé occasionnés et rembourse tous les frais engagés par le donneur d'organe, sur présentation des justificatifs de dépenses. Mais ces indemnités ne suffisent pas à rendre l’acte de don financièrement neutre pour le patrimoine et les revenus du donneur. Certes, le risque assurantiel a été prévu par la loi de bioéthique de juillet 2011 (« toute discrimination directe ou indirecte fondée sur la prise en compte d'un don d'organes comme facteur de refus de contrat d'assurances ou dans le calcul des primes et des prestations au donneur

ayant pour effet des différences en matière de primes et de prestations est interdite »). Mais quid de l’effectivité de cette loi ? Quid également du risque de perte de salaires pris par le donneur en cas de complications médicales ? Prévoir des situations difficiles qui dissuadent encore beaucoup de personnes de franchir le cap du don du vivant ne ressemble en rien à une rémunération.
 
Ce que demande la FNAIR à l’Etat est simplement de ne pas pénaliser les citoyens et leurs familles qui accomplissent un geste motivé par la générosité, en leur accordant une reconnaissance légitime et une promesse de sécurité économique.
 


 


 
 
 

 
 
 
 




 

 

 

 

 

 
 

 

 

 



 

 
 
 

 




 

 

 
 
 
 
 
 

 

 

 




 
  

 



 

 
 

 




 

 

 

 
 
 

MINE D'INFOS: Fête de la musique : vendredi 21 juin 2013

MINE D'INFOS: Fête de la musique : vendredi 21 juin 2013: Pour les 31 ans de la fête de la Musique, « la voix » sera à l’honneur à l’Hôtel de Matignon avec quatre concerts gratuits. A 17 h...

Fête de la musique : vendredi 21 juin 2013



Pour les 31 ans de la fête de la Musique, « la voix » sera à l’honneur à l’Hôtel de Matignon avec quatre concerts gratuits.


A 17 heures 45, La maîtrise de Radio France, Paris et Bondy, un chœur d’enfants et de jeunes filles, mettra en valeur le répertoire français et la création contemporaine.

A 18 heures 35, Mesparrow explorera diverses frontières musicales.

A 19 heures 30, Emel Mathlouthi, auteur-compositeur tunisienne s’exprimera dans la grande lignée des songwriters des années 70.

Enfin à 20 heures 25, Juliette comme grande héritière de la chanson française séduira avec la truculence de ses mots.

 
 
 
 
 
 
La cour d’honneur de l’Hôtel de Matignon sera ouverte au public le vendredi 21 juin à partir de 17h30. L’entrée se fera par le 57, rue de Varenne (Paris 7ème)