Nora ANSELL-SALLES

vendredi 1 mars 2013

MINE D'INFOS: C'est à lire : « Livre noir de la poste » de Thoma...

MINE D'INFOS: C'est à lire : « Livre noir de la poste » de Thoma...:  Suicide et précarité à la poste  En effet, le 15 février dernier une jeune postière avait mis fin à ses jours suite aux condi...

C'est à lire : « Livre noir de la poste » de Thomas Barba


 Suicide et précarité à la poste 

En effet, le 15 février dernier une jeune postière avait mis fin à ses jours suite aux conditions de travail et le 25 février, un cadre s'est également suicidé dans cette institution, aujourd'hui premier employeur de France.

Un problème de précarité et de conditions de travail est donc à dénoncer aujourd'hui.
Thomas Barba, dans son Livre Noir de la Poste met en lumière à travers de nombreux témoignages ce problème de précarité, de CDD à répétition et de harcèlement.
Ce dernier a défendu plus de 150 cas devant les prud'hommes à ce jour et maîtrise parfaitement son sujet.

Semaine nationale du Rein


Du 23 au 30 mars 2013

8ème Semaine Nationale du Rein

 

Pour sa huitième édition, la Semaine Nationale du Rein se déroulera au mois de mars (et non plus en octobre). Elle coïncide désormais avec la Journée Mondiale du Rein, promue et animée par la Fondation du Rein. Cette journée, et tous les événements qui l’entourent, sont placés sous le haut patronage de Monsieur François Hollande, Président de la République. Ce changement de date inaugure un partenariat plus étroit entre la FNAIR (Fédération Nationale d’Aide aux Insuffisants Rénaux) et la Fondation du Rein, dont le Conseil scientifique décide de l’allocation de subventions de recherche. Ainsi, le 20 mars 2013, la FNAIR remettra une bourse de 40 000 euros à l’occasion du gala de la Fondation, à la Sorbonne. Notre objectif : rendre encore plus visible cette semaine d’information et de prévention du grand public autour des maladies rénales

L’insuffisance rénale, un fléau


Près de 500 millions d'individus dans le monde, dont 3 millions en France, sont atteints d'une maladie rénale. La maladie rénale est une affection sans symptôme, qui progresse à bas bruit. Chaque année en France, près de 10 000 personnes apprennent qu’ils souffrent d’une insuffisance rénale chronique (IRC)… C’est souvent trop tard. Pour plus d’un tiers d’entre elles, le diagnostic est posé au dernier moment ; ils doivent alors être dialysés en urgence. Un dépistage précoce aurait pourtant permis de retarder et de préparer cette mise en dialyse, voire de l’éviter, notamment par un traitement de la maladie rénale, ou en cas d’IRC au stade ultime, en proposant une greffe préemptive).


L’insuffisance rénale chronique en chiffres*

En France, 39 183
personnes sont dialysées

31 139
personnes sont porteurs d’un greffon rénal

9 030
patients sont en attente d’une greffe de rein.



* Chiffres du registre REIN au 31 décembre 2011 sur 25 régions françaises



La Semaine Nationale du Rein


• Des lieux de dépistage dans toute la France

Les opérations de sensibilisation et de dépistage
anonyme et gratuit se dérouleront comme depuis 8 ans au sein d’établissements de santé (hôpitaux, cliniques et centres de dialyse qui proposeront un test de dépistage de protéinurie et d’hématurie par bandelette urinaire). Près de 300 établissements et 1500 laboratoires d’analyse étaient partenaires de la FNAIR lors de la dernière édition de la Semaine Nationale du
Rein.

• Deux grands thèmes à l’honneur


A l’occasion de la Semaine du Rein, la FNAIR a décidé d’apporter un éclairage sur deux thématiques qui conditionnent très largement la qualité de soins et de vie des personnes en insuffisance rénale chronique : l’autonomie en dialyse et le suivi de l’insuffisance rénale aiguë. Ces deux thèmes feront l’objet de colloques à travers toute la France, grâce aux 24 associations régionales que fédère la FNAIR.


Plus d’informations sur : www.semainedurein.fr

Relations Presse : Romain Bonfillon : romain.bonfillon@fnair.asso.fr

 

C'est à lire : « Coutumes et droit héraldiques de l’église» de Bruno Bernard Heim


Quand les blasons en disent beaucoup sur l'Église.


Tout savoir sur le "marketing pontifical". La Montagne du 26 février 2013

L'image du pape, ce sont ses armoiries. Le pape ne choisit pas son portrait, ni ses vêtements liturgiques, très codifiés. Il choisit en revanche son blason, dans les premières heures de son pontificat. Jean-Paul II avait des armoiries polonaises (couleurs, et disposition) et mariales (le M de Marie au pied de la croix décentrée). Benoît XVI a des armoiries à la fois bavaroises (ours de saint Corbinien et tête de Maure de l'archevêché de Munich-Freising) et augustiniennes (coquille avec laquelle l'enfant essaie de mettre la mer dans un trou : projet aussi immense que d'essayer de connaître Dieu).

 Les observateurs seront attentifs aux armoiries choisies par le prochain pape en mars 2013 : timbrées d'une mitre ou d'une tiare, elles seront le programme, la "marque" de son pontificat. Mais il faut des clefs pour comprendre ce code. Or les éditions Beauchesne viennent de republier un ouvrage devenu classique mais introuvable, "Coutumes et droit héraldiques de l'Église", dû à la plume Mgr Bruno Bernard Heim. Après une éclipse (au moins en France) depuis la fin des années 1960, le blason ecclésiastique connaît un regain d’intérêt logique dans une société où l’image et la marque revêtent une grande importance. À la fois canoniste et artiste, Mgr Heim se fait ici à la fois descriptif et prescriptif ; l’ouvrage s’adresse donc aux historiens, aux amateurs de blason, d’art et d’histoire ecclésiastiques comme aux clercs de toutes confessions chrétiennes désireux d’imaginer des armoiries adaptées aux besoins de communication du XXIe siècle, mais composées dans les règles de l’art.


Cette réédition est précédée d'un texte d'Édouard Bouyé, spécialiste de l'héraldique ecclésiastique, intitulé "L'Église en armes". Ce texte donne des clefs pour décrypter l'héraldique actuelle des papes et des cardinaux, vrai "marketing pontifical".

 

Mgr Bruno-Bernard HEIM, né en Suisse en 1911, soutint à Rome en 1947 une thèse de droit canon sur les coutumes héraldiques dans l’Église catholique. Publié en français en 1949, ce classique a fait de ce diplomate du Saint-Siège, mort en 2003, le spécialiste du blason ecclésiastique dans la seconde moitié du XXe siècle.

 

C'est à lire : « Les grandes plaidoiries des ténors du barreau » Quand les mots peuvent tout changer

 
 tome 2 - de Matthieu Aron – Editions Jacob-Duvernet

« Plaider aujourd’hui, c’est souvent partir au combat au nom d’un individu, mais aussi de la collectivité ou de l’intérêt général.»

Ils s’appellent Bourdon, Garbarini, Lemaire, Malka, Mécary, Mignard, Morice, Moser, Saint-Pierre, Soulez Larivière ; leurs noms claquent dans les prétoires et y résonneront encore longtemps, comme ces mots qu¹ils savent si bien ciseler pour défendre une cause ou réveiller les consciences.


Matthieu Aron fait revivre leurs plaidoiries dans ce deuxième tome des Grandes plaidoiries des ténors du barreau. Il s’agit d’une retranscription unique. Dans la justice, la procédure étant orale, les débats ne sont pratiquement jamais enregistrés et les mots s’envolent. L’auteur, chroniqueur judiciaire depuis près de 20 ans, a pu, en s’appuyant sur ses notes d’audiences, reconstituer les plaidoyers vibrants de ces ténors du barreau.

Plaider en 2013, c’est être au cœur du monde, au cœur de la société, de ses bouleversements, de ses évolutions, de ses drames. C’est l’obligation pour les avocats d’adopter une argumentation qui dépasse largement les normes juridiques, qui bouscule les inerties et les blocages politiques ou culturels.

Matthieu Aron, journaliste, est directeur de la rédaction de France Inter. Il est spécialisé dans la couverture des grandes enquêtes criminelles et judicaires.


EXTRAIT

« […] De quoi nous parle-t-on ici ? Du sacré, de la religion et des objets de vénération. J’ai tout à coup l’impression d’être transporté au Vatican devant un tribunal ecclésiastique, je vais me reconvertir et faire du droit canon. Comment peut-on demander à un tribunal républicain qu’il instaure une protection pour le sacré, le religieux, les objets de vénération cultuelle ? Cela voudrait dire quoi ? Cela voudrait dire que plus jamais nous ne pourrions faire une caricature de Mahomet, plus jamais une caricature de Dieu ! Vous êtes les Messieurs Jourdain du blasphème, vous demandez son rétablissement sans le savoir. C’est la définition même du blasphème : l’interdiction de la critique de la religion. […] ».


Extrait de la plaidoirie prononcée par Richard Malka, avocat de Charlie Hebdo, lors du procès des caricatures.

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jeudi 28 février 2013

MINE D'INFOS: Groupe Istya - ANI

MINE D'INFOS: Groupe Istya - ANI: Le groupe Istya considère que la priorité des politiques publiques en matière de complémentaire santé doit être de permettre un accès équi...

Groupe Istya - ANI

Le groupe Istya considère que la priorité des politiques publiques en matière de complémentaire santé doit être de permettre un accès équitable de tous aux soins. A ce titre, il souhaite que des modifications du texte de l’Accord national interprofessionnel concernant la généralisation des couvertures complémentaires soient inscrites dans le projet de loi qui le mettra en application et fait quatre propositions concrètes.
 


 NDLR : MGEFI et Groupe Istya
La Mutuelle générale de l’Economie,  des Finances e t de l’Industrie –MGEFI a intégrée le groupe Istya au 1er janvier 2013

 www.mgefi.fr

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