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mercredi 6 février 2013
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...: Afflelou se lance dans l’audition… Mais il est fou Afflelou ? En 2011 déjà, Alain Afflelou annonçait avec ambition son lancement de l’e...
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...: Afflelou se lance dans l’audition… Mais il est fou Afflelou ? En 2011 déjà, Alain Afflelou annonçait avec ambition son lancement de l’e...
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...
MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Peti...: Afflelou se lance dans l’audition… Mais il est fou Afflelou ? En 2011 déjà, Alain Afflelou annonçait avec ambition son lancement de l’e...
LIBRES PROPOS SIGNES Louis Blohorn et Maxence Petit, fondateurs de SONALTO
Afflelou se lance dans l’audition… Mais il est fou Afflelou ?
En 2011 déjà, Alain Afflelou annonçait avec ambition son lancement de l’enseigne Afflelou Acousticien dédiée à la délivrance de prothèses auditives. 80 magasins devaient naître dès la première année…
Deux années ont passé et le réseau compte difficilement une quarantaine de centres dont la plupart sont des centres historiques Afflelou Opticien. Les recettes du géant de l’optique ne seraient-elles pas applicables à l’audition ? Loin s’en faut, les raisons sont ailleurs. Afflelou met les pieds sur un marché dont les pratiques et l’immobilisme sont comparables à ce que le monde de l’optique connaissait il y a trente ans : pratiques commerciales opaques, attaques permanentes des historiques du secteur qui refusent la progression, celle-ci leur étant présupposée comme défavorable, organisation d’une pénurie de professionnels grâce au numerus clausus de formation des audioprothésistes fixé par les syndicats eux-mêmes. Et c’est ce dernier point qui handicape grandement le développement de la nouvelle enseigne.
L’annonce de l’offre Tchin-Tchin adaptée à l’audition est une très bonne nouvelle pour les malentendants et pour ceux qui militent pour un meilleur taux d’équipement des français, en queue de peloton des pays occidentaux.
Sonalto souhaite la bienvenue à Afflelou et se réjouit de voir le marché de l’audition évoluer malgré les réticences systématiques et donc souvent ridicules de ces mêmes syndicats. L’UNSAF qui représente une partie des audioprothésistes indépendants se fendait d’un communiqué de presse il y a quelques jours dont la teneur laisse songeur : « Cette forme de cynisme commercial (ndlr l’offre TchinTchin) visant à faire des affaires à n’importe quel prix inquiète l’UNSAF car elle est totalement incompatible avec les impératifs de santé publique et d’exercice de la profession d’audioprothésiste. » On se demande alors qui tient la corde en termes de cynisme… Pourtant, du point de vue du grand public, on ne peut que se réjouir de l’arrivée de ce nouvel acteur…
Nous nous permettons d’alerter une nouvelle fois le grand public et les pouvoirs publics sur les pratiques ultra conservatrices de la profession qui cherche à défendre les intérêts financiers de moins de 2 500 professionnels au détriment de la liberté de commerce, de l’innovation et donc du consommateur.
Dès 2011, l’UNSAF réagissait avec une virulence non contenue à l’arrivée de l’assistant d’écoute Octave de Sonalto
, première solution sérieuse de confort auditif accessible en libre service, en cherchant par tout moyen à étendre son monopole de distribution à une solution qui pourtant ne nécessite pas d’adaptation.
2012 était l’année de la guerre contre les complémentaires santés
qui, lassées de justifier auprès de leurs adhérents le prix très élevé des prothèses, décidaient de lancer leur propre offre en partenariat avec les audioprothésistes les plus volontaires pour permettre une meilleure accessibilité aux soins devenue indispensable compte tenu du très faible taux d’équipement des français.
2013 commence sous des hospices tout aussi hostiles.
C’est donc au tour d’Alain Afflelou de subir les foudres de la profession qui tente maintenant d’expliquer que ce travail d’adaptation des prothèses ne pourrait se faire à des prix raisonnables…
En ces temps de Vendée Globe, ils devraient comprendre que cela ne sert à rien de naviguer contre le vent… si ce n’est pour reculer.
Louis Blohorn et Maxence Petit, fondateurs de SONALTO
C'est à lire : « Clés du savoir être interculturel » de Laurent Goulvestre - Editions AFNOR
Réussir à l’international ? Tous les hommes d’affaires, expatriés, cadres et capitaines d’industrie en rêvent. Pourtant, peu sont réellement préparés et font du business comme avec des français.
Laurent Goulvestre décline, dans ce livre, bonnes pratiques et clés de compréhension pour faire des affaires à l’export sereinement. A mettre d’urgence dans la valise de tous les hommes d’affaires, ce livre donne les sésames de la réussite professionnelle à l’étranger dans sept pays clefs que sont le Japon, la Chine, les USA, l’Inde, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la Russie.
Petit tour d’horizon international ?
Savoir gérer le temps au Japon
: Les Japonais ont une conception du temps linéaire extrêmement rigide. Arriver à l’heure, c’est déjà être en retard. 15 minutes en avance, c’est le bon temps…
L’art subtil du cadeau avec les chinois.
Bien que cela soit une tradition bien ancrée, offrir un cadeau en Chine engage celui qui l’accepte à rendre l’équivalent sous une forme ou sous une autre. Le cadeau n’est pas là pour faire plaisir mais pour sceller une relation ...
Aux Etats-Unis
, vraie ou fausse décontraction ? Ils vous appelleront rapidement par votre prénom en vous tutoyant et porteront une tenue vestimentaire décontractée. Attention, ces apparences sont trompeuses et il ne faudra jamais sous-estimer la position hiérarchique du partenaire américain sur la seule base de son attitude.
En Inde, alors c’est oui ou c’est non ?
Quand on communique avec un Indien, il a tendance à faire un signe de tête en forme de huit horizontal que l’on traduit aisément par un « je vous ai compris » mais en aucun cas à la validation des propos évoqués. Ce signe de la tête est très perturbant car notre cerveau voit quelque chose de négatif qui ne doit pas être interprété comme tel.
Au Royaume-Uni, d’abord de la diplomatie
. Dans les affaires, les britanniques n’aiment pas froisser leurs interlocuteurs et ils utilisent souvent la diplomatie dans leurs relations et cela , ce qui irrite forcément leurs partenaires. Ce qui est apparemment pris pour de l’hypocrisie ou du snobisme « à la British », n’est en fait qu’une volonté de ne pas froisser l’autre.
Les allemands clairs, précis et rigoureux.
Ils adoptent naturellement un mode de fonctionnement communautaire, avec une recherche permanente du consensus. Ils sont réceptifs à un argumentaire solide et motivé et cherchent en permanence une cohérence et une précision dans les propos.
En Russie, aller droit au but.
Lors des réunions, allez droit au but et alignez chiffres et arguments. Les Russes ne prêtent pas beaucoup d’attention aux longues présentations… En Russie, on achète plus à une personne qu’à une entreprise. La relation est avant tout basée sur la confiance et les promesses doivent être tenues même si elles ne sont que verbales.
L’atout de ce livre : il est le seul sur le marché à faire des perceptions croisées entre les 7 pays et les 7 cultures proposées. Ce que pense un Russe d’un Japonais, ou encore un Américain d’une Chinois... L’auteur analyse les valeurs, les attitudes et les comportements associés à ces 7 pays et ainsi dépasse les clichés.
Les clés du savoir être interculturel
est disponible sur la
Réf. : 3465387 - ISBN: 978-2-12-465387-4
A propos d’AFNOR Editions
AFNOR Editions a publié, en 2012, 50 ouvrages d’experts reconnus, qui abordent 14 thèmes de l’économie et les préoccupations des professionnels et des particuliers : efficacité professionnelle, construction, agroalimentaire, gestion des risques, management, relations et négociation internationales… Pour un public plus averti, AFNOR Editions publie des recueils (format livre et CD) qui réunissent un ensemble de normes et réglementations sur des thématiques sectorielles ou d’actualité. L'association AFNOR et ses filiales constituent un groupe international au service de l'intérêt général et du développement économique. Il conçoit et déploie des solutions fondées sur les normes, sources de progrès et de confiance.
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Performances des entreprises, et si ça passait par la qualité de vie au travail ?
La Confédération organise une table ronde intitulée "Performances des entreprises, et si ça passait par la qualité de vie au travail ?" jeudi 28 février 2013, de 14 heures à 18 heures, à la Maison de la CFE-CGC :
Cette rencontre, animée par Carole Couvert, secrétaire générale de la CFE-CGC, s'articule autour de deux parties :
- 14h/15h30 : "Dans quelle mesure la qualité de vie au travail est un moyen pour agir sur la performance de l'entreprise ?"
avec François Dubreuil, directeur de projets à Entreprise&Personnel et Jean Kaspar, consultant en Stratégies Sociales.
- 15h30/16h00 : pause
- 16h00/17h30 : "De façon concrète, comment améliorer la qualité de vie dans l'entreprise ?"
avec William Dab, professeur de la chaire "Hygiène et sécurité" du CNAM et coordinateur du Réseau francophone de formation en santé au travail , François Dupuy, auteur de "Lost in management" et Jean-Christophe Sciberras, président de l'Association Nationale des DRH (ANDRH).
La Confédération est représentée par Bernard Salengro, secrétaire national CFE-CGC
avec François Dubreuil, directeur de projets à Entreprise&Personnel et Jean Kaspar, consultant en Stratégies Sociales.
- 15h30/16h00 : pause
- 16h00/17h30 : "De façon concrète, comment améliorer la qualité de vie dans l'entreprise ?"
avec William Dab, professeur de la chaire "Hygiène et sécurité" du CNAM et coordinateur du Réseau francophone de formation en santé au travail , François Dupuy, auteur de "Lost in management" et Jean-Christophe Sciberras, président de l'Association Nationale des DRH (ANDRH).
La Confédération est représentée par Bernard Salengro, secrétaire national CFE-CGC
en charge des Conditions de travail, du Handicap et de la Santé.
Pour télécharger l’invitation :
http://www.cfecgc.org/content/externals/docs.php?action=open&id=1194
Pour télécharger l’invitation :
http://www.cfecgc.org/content/externals/docs.php?action=open&id=1194
N'hésitez donc pas à vous inscrire dès maintenant.
La Ville de Paris lance la première plateforme « Soyez net sur Net »dédiée à l’e-réputation des jeunes
A l’initiative d’Isabelle Gachet, adjointe chargée de la jeunesse, la Ville de Paris
inaugure un outil inédit lié à l’e-réputation : la plateforme « Soyez Net sur le Net ».
Ce lancement intervient alors même que le « Safer Internet Day », qui débute, invite les
jeunes et les acteurs du web à se mobiliser autour de la question des droits et des
responsabilités des mineurs en ligne.
Paris devient ainsi la première collectivité à proposer un test interactif en ligne pour
évaluer l’e-réputation et pour accompagner ainsi de manière positive et ludique les jeunes
dans leur utilisation quotidienne des réseaux sociaux, et plus particulièrement de
Facebook.
La plateforme en ligne propose plusieurs services.
-
L’évaluation interactive de l’E-réputation des jeunes, avec la mise à disposition
d’un test inédit en ligne
.
-
Des fiches pratiques pour apprendre à paramétrer un compte sur les réseaux
sociaux.
- Une présentation et
des liens vers les différentes institutions et services de l’Etat
http://ereputation.paris.fr/
à même de traiter les problèmes que chacun peut rencontrer sur le net. (Gendarmerie,
Police, CNIL, Préfecture de Police etc…)
Cette première version, réalisée en lien avec l’entreprise
Reputation Squad, spécialiste
des questions d’e-réputation, a été conçue avant tout comme un outil en direction des
jeunes, afin de les sensibiliser à un usage responsable et conscient des réseaux sociaux.
Compte tenu des profils variés des utilisateurs entre 13 et 30 ans, l’utilisation de la
plateforme « Soyez Net sur le Net » pourra être proposée par la municipalité dans les
mois qui viennent dans le cadre de différents dispositifs à destination des jeunes
Parisiens, et auprès de publics variés : collégiens, étudiants, familles.
La plateforme dans sa version grand public est en ligne sur Paris.fr :
http://ereputation.paris.fr/
MINE D'INFOS: Salles de consommation contrôlée de drogues (« sal...
MINE D'INFOS: Salles de consommation contrôlée de drogues (« sal...: L’Académie de médecine réitère son opposition au projet d’expérimentation En janvier 2011, l'Académie Nationale de Médecine 1 ,...
MINE D'INFOS: Salles de consommation contrôlée de drogues (« sal...
MINE D'INFOS: Salles de consommation contrôlée de drogues (« sal...: L’Académie de médecine réitère son opposition au projet d’expérimentation En janvier 2011, l'Académie Nationale de Médecine 1 ,...
Salles de consommation contrôlée de drogues (« salles d’injection »)
L’Académie de
médecine réitère son opposition au
projet d’expérimentation
En janvier
2011, l'Académie Nationale de Médecine1, après plusieurs réunions,
auditions d’experts et analyse des résultats des expériences à l’étranger, a
indiqué son opposition à la création de
salles de consommation contrôlée de drogues telles qu’elles sont actuellement
définies. Cet avis s'est appuyé sur plusieurs arguments au premier rang
desquels :
-
les addictions aux substances psycho-actives créent un état
de maladie qu'il convient de traiter et non d'entretenir : priorité doit donc
être donnée aux actions visant à aider le sujet dépendant à retrouver la
liberté que la drogue lui a ôtée ;
-
notre pays est doté de structures de soins aux toxicomanes
facilement accessibles et en outre susceptibles de délivrer des produits de
substitution à l’héroïne : l’efficacité de la politique de réduction des
risques mise en œuvre en France (distribution de seringues, traitements de
substitution) est attestée par une réduction massive de la contamination des
usagers de drogues par le virus HIV (moins de 2% des nouvelles contaminations concernent
des toxicomanes).
En France
140 000 personnes reçoivent un traitement de substitution par voie orale :
notre pays est au premier rang concernant cette offre2.
Selon le
rapport INSERM3 de 2010 ayant trait aux modalités de réduction des
risques, 8 pays se sont dotés de salles d’injection contrôlée dans des
contextes sanitaires et de politique de réduction des risques très différents
des nôtres. Il n'est pas établi que les salles d’injection contrôlée aient un
impact sur la consommation de drogues des usagers ou de la communauté.
L’Académie
Nationale de Médecine souligne que la mise en place expérimentale de salles
d’injection contrôlée serait d’un coût élevé : un tel projet ne devrait
pas se faire au détriment des actions déjà entreprises et du soutien aux
associations de bénévoles œuvrant contre les toxicomanies.
Regrettant
que son avis de janvier 2011 n’ait pas été entendu puisque les pouvoirs publics
affirment vouloir persister dans leur projet d'expérimenter la mise en place de
salles d'injection contrôlée des drogues, l'Académie nationale de médecine
redit avec netteté les obstacles à la mise en place d’un tel projet.
1) L'organisation
de salles d'injection contrôlée de drogues ne saurait se concevoir sans les
conditions de sécurité sanitaire nécessaires à tout acte d’injection :
a. identification
du produit injecté ;
b. garantie
d’asepsie ;
c. disponibilité
des moyens de réponse aux urgences vitales consécutives à l’injection.
2) Une telle
expérimentation imposerait de satisfaire
à certaines exigences éthiques et juridiques :
a. Toute
expérimentation suppose une méthodologie, des critères d’évaluation et un
calendrier définis à l’avance ;
b. la personne
admise dans un protocole expérimental devrait bénéficier d’une information
éclairée sur les risques encourus et il faudrait recueillir l’expression
de son consentement ;
c. les
responsabilités des pouvoirs publics et des professionnels en cas de
complication médicale voire d’acte délictueux commis sous l’emprise de la
drogue devraient être définies ;
d. le risque
de recours consécutif à l’injection de substances non inscrites à la
pharmacopée ou à des posologies non répertoriées voire illégales devrait être
pris en compte.
L’Académie de médecine réitère donc son opposition au
projet d’expérimentation de salles de consommation contrôlée des drogues.
Groupe de travail :
J.F. Allilaire, J. Costentin, J.P. Goullé, M. Hamon, X. Laqueille, M. Lejoyeux,
M.C. Mouren, J.P. Olié (rapporteur), R. Nordmann, J.P. Tillement (Commissions 2, 5 et 6)
1 - Nordmann R. A propos d’un projet de
création en France de « salles d’injection pour toxicomanes », Bull.
Acad. Nle Med, 2011, 195, 203-204 en ligne dans http://www.academie-medecine.fr
2 - New Developments, trends and in-depth
information on selected issues. National report to the EMCDDA by the Reitox National Focal Point
France (2007 data). Office Européen des Drogues et
toxicomanies, 2008: 100p
3 - INSERM Expertise collective. Réduction des
risques infectieux chez les usagers de drogues, Les éditions INSERM, Paris,
2010 : 573
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