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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
vendredi 19 octobre 2012
MINE D'INFOS: Prix Marcel Dassault
MINE D'INFOS: Prix Marcel Dassault: Autisme : exploration d’une nouvelle voie thérapeutique Troubles Bipolaires : rôle et impact des gènes impliqués sur le comportement ...
MINE D'INFOS: “NON, LES TRANSSEXUELS NE SONT PAS MALADES!”
MINE D'INFOS: “NON, LES TRANSSEXUELS NE SONT PAS MALADES!”: DES DIZAINES DE MILLIERS DE PERSONNES S’ADRESSENT, VIA CHANGE.ORG, À L’ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) · La ...
MINE D'INFOS: Assemblée nationale: conférence de presse - discri...
MINE D'INFOS: Assemblée nationale: conférence de presse - discri...: Présentation du rapport d’Alain Tourret sur la lutte contre les discriminations dans la fonction publique Jeudi 25 octobre 2012 à...
Assemblée nationale: conférence de presse - discriminations dans la fonction publique (Alain Tourret) - 25 octobre 14h
Présentation du
rapport d’Alain Tourret
sur la lutte contre les discriminations dans la fonction publique
sur la lutte contre les discriminations dans la fonction publique
Jeudi 25 octobre
2012 à 14 heures
Le 25 octobre prochain, M.
Alain Tourret (RRDP, Calvados) présentera en commission un rapport sur la
lutte contre les discriminations dans la fonction publique.
Déposé dans le cadre de l’examen
du projet de loi de finances pour 2013 – dont M. Alain Tourret est rapporteur
pour avis au nom de la commission des lois –, ce rapport dresse un état des
lieux des phénomènes de discriminations dans la fonction publique et fait le
bilan des politiques engagées en la matière, ces dernières années.
Des sujets comme ceux du harcèlement
moral et sexuel ou des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes y
sont plus particulièrement abordés. Le rapport traite également de la haute
fonction publique, notamment au travers de la question de la parité entre les
femmes et les hommes dans les postes de direction.
M. Alain Tourret présentera ce rapport aux
journalistes, ainsi que les préconisations qu’il formule, lors d’une conférence
de presse le :
Jeudi 25 octobre
2012
à 14 heures
2ème Bureau (Palais-Bourbon)
(Entrée des journalistes par
le 33, quai d’Orsay 75007 Paris)
à 14 heures
2ème Bureau (Palais-Bourbon)
(Entrée des journalistes par
le 33, quai d’Orsay 75007 Paris)
“NON, LES TRANSSEXUELS NE SONT PAS MALADES!”
DES DIZAINES DE MILLIERS DE
PERSONNES S’ADRESSENT, VIA CHANGE.ORG,
À L’ORGANISATION MONDIALE DE LA
SANTÉ (OMS)
·
La transsexualité fait toujours
partie de la liste des maladies malades de l’OMS. L'homosexualité n’y figure
plus depuis 1990.
·
Une pétition
sur Change.org appelle l’OMS à : “Arrêter de considérer la
transsexualité comme une maladie”.
·
Près de 40.000 personnes en
seulement deux semaines ont signé pour retirer la transsexualité de cette liste
de maladies mentales de l’OMS.
·
Samedi 20 octobre est la Journée
Mondiale d'Action pour la Dépathologisation Trans’
·
Paris, le 19
octobre 2012 - Près de 40.000
personnes du monde entier ont signé sur Change.org une pétition pour que
l'Organisation Mondiale de la Santé supprime la transsexualité de sa liste des
maladies mentales.
La campagne “Je ne suis pas malade, je vais même très bien!”,
est portée en France par Rochelle Grégorie, actrice transsexuelle emblématique.
La campagne a été initiée en Espagne par Carla Antonelli de la Fédération
nationale des Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels (FELGTB). La pétition
est maintenant portée par six personnes, en cinq langues et relayée par les équipes
de Change.org à travers le monde.
Le 20 octobre est la journée Mondiale d'Action pour la Dépathologisation
Trans. À cette occasion, et alors que l’OMS est en train de réviser la liste de
ces maladies (International Classification of Diseases - ICD-11),
les pétionnaires souhaitent que comme pour l’homosexualité en 1990, la
transsexualité soit rayée à son tour du listing.
Dans une vidéo,
en 5 langues, differentes personnalités soulignent le message de la pétition: “Considérer
les personnes trans comme mentalement malade sert seulement à contribuer à leur
discrimination.” La pétition
sur Change.org rappelle également que de nombreux pays ont déjà
demandé à l'OMS de retirer la transsexualité de cette liste et que le Parlement
européen a adopté en septembre 2011 une résolution en ce sens.
"C’est
fascinant de voir que des milliers de personnes signent à travers le monde”,
affirme Benjamin des Gachons, Directeur des campagnes de Change.org France: “C'est
exactement pour cela que Change.org existe: pour offrir une plateforme ouverte à
tous et partout, et leur permettre de gagner des campagnes sur toute question
qui leur tiennent à coeur, et qui changent la vie de millions de citoyens à
travers le monde.”
Vivez en direct le
total des signatures de la pétition sur Change.org:
http://www.change.org/jenesuispasmalade
http://www.change.org/jenesuispasmalade
Hashtag pour Twitter = #Notsick
Prix Marcel Dassault
Autisme : exploration d’une nouvelle voie
thérapeutique
Troubles Bipolaires : rôle et impact des gènes
impliqués sur le comportement
Deux chercheurs de la Fondation FondaMental
impliqués dans
la recherche sur l’autisme et les troubles
bipolaires reçoivent
le Prix Marcel
Dassault pour la recherche sur les maladies mentales
Outre la souffrance vécue, être atteint d’une
maladie mentale c’est être soumis à une double peine : celle de la
stigmatisation, qui prend racine dans les
fantasmes et les peurs qui entourent ces maladies complexes, et celle de
l’indifférence, comme l’illustre le retard de la recherche, pourtant nécessaire
pour mieux comprendre et mieux traiter ces pathologies « comme les autres ».
Parce qu’elles frappent 1 Français sur 5 et
touchent le jeune adulte, ces maladies posent un défi d’avenir. Les innovations
à l’oeuvre dans le champ de la psychiatrie sont annonciatrices de réels progrès
et doivent être soutenues.
La Fondation Fondamental et le Groupe Dassault
ont uni leurs forces en 2012, 2013 et 2014 pour accélérer la recherche en
psychiatrie, valoriser ses réussites et soutenir les projets les plus attractifs
au sein du réseau de la Fondation FondaMental (80 équipes hospitalières ou de
recherche). Le Prix Marcel Dassault pour la recherche sur les maladies
mentales, doté à 150.000€, distingue deux catégories: la catégorie "Chercheur
de l'année" (15.000€), qui récompense une personnalité scientifique
française pour l'importance comme pour la qualité de ses travaux de recherche
en psychiatrie; la catégorie "Projet d'innovation" (135.000€),
qui soutient le projet porté par une équipe de recherche.
Les candidatures reçues ont été étudiées par
deux comités. Le Comité de recherche de la Fondation FondaMental a
examiné l’éligibilité des candidatures. Le Conseil scientifique
international de la fondation, présidé par le Pr David Kupfer (Institut de
Psychiatrie de Pittsburgh, Etats-Unis d’Amérique), a procédé au classement des
dossiers sur la base de leur excellence scientifique.
La première édition du Prix Marcel Dassault pour la
recherche sur les maladies mentales inauguré jeudi 18 octobre 2012 soutient
deux chercheurs de la Fondation FondaMental impliqués dans la recherche sur
l’autisme et les troubles bipolaires.
3 Dossier de presse, 18 octobre 2012 – Prix
Marcel Dassault pour la recherche sur les maladies mentales
Les deux lauréats
du Prix 2012 sont le Professeur Angela SIRIGU et le Docteur Stéphane JAMAIN.
Le Professeur Angela SIRIGU, Directeur du groupe « neuropsychologie de
l’action » à l’Institut des Sciences Cognitives de Lyon, est lauréate de la
catégorie « Chercheur de l’année » du Prix Marcel Dassault 2012 pour l’importance de ses travaux de recherche et sa contribution
majeure dans le champ de l’autisme. Elle s’intéresse particulièrement aux
effets d’une hormone, l’ocytocine, dans la régulation des interactions sociales
chez les sujets sains et chez les sujets avec autisme. Ainsi, elle a démontré
le rôle de l’ocytocine dans l’amélioration des capacités des personnes
souffrant d’autisme à interagir avec les autres personnes, ouvrant ainsi
l’exploration d’une nouvelle voie thérapeutique.
Le Docteur
Stéphane JAMAIN, chercheur au sein de l’équipe « Psychiatrie génétique »,
Inserm U955 à l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale, Université Paris-Est Créteil, est lauréat de la catégorie « Projet
d’innovation » pour son projet sur l’implication du mécanisme de fusion
vésiculaire dans la vulnérabilité aux troubles bipolaires. En effet, de
récentes études génétiques sur des personnes atteintes de troubles bipolaires à
début précoce ont mis en cause des mutations génétiques intervenant sur le
mécanisme de libération des neurotransmetteurs dans les neurones. Son projet a
pour ambition de mieux comprendre le rôle des gènes impliqués, leur impact
fonctionnel au niveau cellulaire comme leur impact sur le comportement.
Le combat de la Fondation FondaMental : faire
des maladies mentales des « maladies comme les autres »
La Fondation FondaMental est une fondation de
coopération scientifique créée en juin 2007 par décret du Ministère de
l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, dans le cadre de la mise en place
des Réseaux Thématiques de Recherche et de Soins (RTRS). Elle réunit un réseau
médical et scientifique d’excellence et travaille en particulier autour des
pathologies considérées parmi les plus invalidantes : la schizophrénie, les
troubles bipolaires, l’autisme de haut niveau (syndrome d’Asperger), la
dépression résistante, les conduites suicidaires et le stress post-traumatique.
Pour relever les défis posés par ces
pathologies, la Fondation FondaMental s’est donnée quatre missions :
> Favoriser le diagnostic précoce à travers l’ouverture d’un réseau national de Centres Experts ;
> Accélérer la recherche en psychiatrie en France ;
> Former les professionnels de santé et l’ensemble des acteurs impliqués ;
> Informer le grand public pour changer le
regard sur les maladies mentales.
Un mécénat au coeur des Valeurs du Groupe
Dassault
Le Groupe Dassault mène depuis de nombreuses
années une politique de mécénat et développe sa démarche citoyenne afin de
faire vivre ses valeurs fondatrices - Passion, Innovation, Excellence,
Engagement - et les perpétuer par des actions concrètes.
Les actions solidaires du Groupe Dassault
s’articulent selon deux axes bien définis qui reflètent la culture de
l’entreprise : la recherche scientifique et des projets d’initiatives sociales.
Ces dernières années, la solidarité est ainsi devenue le fil conducteur de
toutes ses actions, focalisées sur la santé et l’intégration sociale, dont
notamment celle des jeunes.
L’engagement du Groupe s’inscrit dans la continuité
d’autres initiatives menées à titre personnel par le Président telle que la
Fondation Serge Dassault pour adultes en situation de handicap mental.
« S’engager dans
le mécénat et aider la recherche n’est pas un devoir, c’est un choix : celui de
la raison, certes, mais surtout celui du coeur. » Serge Dassault
Conférence de rentrée CCMSA
Communiqué ainsi que le dossier de presse
diffusé lors de la conférence de presse de messieurs Pelhâte et Brault, président
et directeur général de la Caisse centrale de la MSA.
Össur et Gibaud, une aventure humaine et technologique remarquable
Fondée en 1971, la société Össur de
nationalité islandaise a su développer ses activités et son expertise dans le
domaine de l’orthopédie non invasive, de l’innovation technologique de pointe à
la vente de produits adaptés aux besoins des patients.
Ôssur est aujourd’hui un des
leaders mondiaux dans son secteur grâce à une expansion organique rapide et à
la mise en place d’une stratégie d'acquisition d’expertises complémentaires sur
plusieurs continents.
L'entreprise emploie environ 1700
personnes dans 14 sites stratégiques sur les continents américain, européen et
asiatique, avec un grand nombre de distributeurs sur les autres marchés.
La société doit son nom à Össur
Kristinsson, un prothésiste islandais qui, au début des années 1970, s’est
focalisé sur la conception d'une meilleure interface pour les emboîtures
prothétiques. Son invention allait aider des milliers d'amputés à travers le
monde à fixer leurs prothèses de manière beaucoup plus efficace et plus
confortable que jamais.
Depuis la fin de l'année 2006 Össur
c'est aussi Gibaud. En effet, dans son développement mondial, Össur a intégré
cette société d’origine française reconnue depuis des décennies pour ses
compétences dans les domaines complexes de l’orthopédie, la traumatologie, la
rhumatologie et la phlébologie.
Plus de la moitié du chiffre
d’affaires d’Össur concerne les dispositifs médicaux (ceintures lombaires,
orthèses de poignets ou de chevilles, genouillères et dispositifs de
compression médicale élastique…) l’autre moitié étant réalisée sur le marché
des prothèses non invasives et utilisant la Technologie Bionique Össur
révolutionnaire (le genou bionique ou le premier pied prothétique
intelligent au monde).
Le chiffre d’affaires d’Ôssur pour
2011 était de 401 Millions de dollars. Gibaud représentant environ 15% du CA
total. L’entreprise Gibaud est implantée en France et dans plus de 50 pays
dans le monde (filiales et distributeurs). Gibaud est une entreprise
médicale qui s’appuie sur une équipe scientifique composée de médecins,
pharmaciens, orthopédistes et ergothérapeutes. Elle développe en partenariat
avec les professionnels de santé référents et les organismes de recherche, des
produits qui répondent à des stratégies thérapeutiques innovantes et dont les
objectifs sont de favoriser le bon usage et la qualité de vie du patient.
Les produits Gibaud sont des
dispositifs médicaux remboursés sur prescription médicale, ils sont distribués
en pharmacies, magasins d’orthopédie et hôpitaux.
Gibaud emploie en France 370
personnes et dispose de deux centres de production :
- une usine et un centre de
recherche pour les dispositifs de compression élastique à Trévoux (Ain)
- le siège social de Saint Etienne
(Loire) comprenant le centre de recherche orthopédie, le centre de production
et la plateforme de distribution.
Gibaud et Össur, leaders dans leurs
domaines, partagent les mêmes valeurs, basées sur l'innovation, un grand
savoir-faire technologique et médical ainsi que l'écoute attentive de leurs
patients.
Contacts GIBAUD
Dr Frédéric GIRARD – Rachel FERRAND
rferrand@gibaud.com
www.gibaud.com
Dépassements d'honnoraires
Lutte contre les dépassements d’honoraires
ou privatisation de l’Assurance maladie
?
Une autre partie est-elle en train de se jouer sous la table de la négociation
conventionnelle ? On sait que la ministre des Affaires sociales et de la Santé
réclame un accord sur la limitation des dépassements d’honoraires. C’est tout
autre chose qui semble se profiler …
Rappel : du côté des usagers, sur qui repose directement la charge des dépassements
d’honoraires, la négociation en cours doit impérativement déboucher sur un accord garantissant à tous l’accès aux soins
aux tarifs opposables, sans dépassements d’honoraires.
§ Nous avons déjà dit que la solution passait par la
revalorisation du secteur 1.
§ Pour le reste, rêver à un accord national sur les dépassements
d’honoraires paraît illusoire : trop de spécialités médicales seraient à
exclure des options de plafonnement systématique, trop de villes présenteraient
des particularités rendant inapplicables un accord national…
§ Trop d’usagers renoncent à se faire soigner en raison des dépassements
d’honoraires, et pas seulement parce que certains praticiens appliquent des
tarifs prohibitifs ici ou là mais aussi à cause des dépassements « ordinaires »,
10 ou 15 €, à chaque consultation. Le risque est grand donc d’avoir dans deux
ans un rapport de l’IGAS ou de la Cour des comptes stigmatisant des dépassements
d’honoraires à près de 3 milliards d’euros !
Voici cependant que les complémentaires, mutuelles ou
assurances, entendent tirer parti des faibles marges de manœuvre de l’Assurance
maladie et proposent pour certaines d’entre elles de mettre près de 175
millions d’euros sur la table pour prendre en charge les revalorisations des
tarifs opposables que l’Assurance maladie n’a pas vraiment les moyens de
financer. Etonnant tout de même.
§ Les complémentaires qui, il y a quelques mois, se
plaignaient de devoir augmenter les cotisations auraient donc fait 175 millions
d’excédents. C’est qu’ils n’avaient nul besoin d’augmenter les cotisations.
§ Plus sévèrement : c’est la voie ouverte à une explosion des
cotisations pour la couverture complémentaire, alors que 5 millions de Français
n’ont pas de complémentaires.
§ Plus grave encore : c’est la privatisation de l’Assurance
maladie. Un tel choix ne se fait pas entre négociateurs, mais devant la Nation
: au Parlement. Et nulle part ailleurs.
Lutter contre les dépassements d’honoraires,
résolument ! Privatiser l’Assurance
maladie, sûrement pas !
Le CISS rendra public, à l’occasion d’une journée de mobilisation
contre les dépassements d’honoraires le 26 octobre prochain, une enquête d’opinion
portant sur la perception des Français sur le contenu de l’accord, conclu,
faut-il le rappeler, sans les représentants des usagers
Monoxyde de carbone (CO) : l'hiver de tous les dangers
Avec la chute des températures, les chauffages
sont remis en route à la va-vite. Au risque de faire des victimes, comme chaque
hiver. Car, hélas, l'arrivée du froid est aussi synonyme de drames domestiques.
Le coupable : le monoxyde de carbone (CO). Solution : installer un détecteur de monoxyde de carbone permet d'être averti de la
présence de ce gaz et ainsi limiter les conséquences dramatiques de
l'intoxication.
1ère cause
de mortalité par intoxication
Saviez-vous que le monoxyde de
carbone est, en effet, la première cause de mortalité par intoxication en
France. Ce gaz incolore et inodore est responsable d'une centaine de décès par
an en France ainsi que de plusieurs milliers d'intoxications entraînant arrêts
de travail, hospitalisations et dans un certains nombre de cas, séquelles irréversibles.
D'ailleurs, insérée dans la loi
de santé publique du 9 août 2004 (objectif n° 23), la lutte contre la mortalité
liée au monoxyde de carbone est devenue une des priorités nationales en santé
environnementale (source INVS). Un risque domestique d'autant plus tragique que
dans le cadre de son propre logement, on a tendance à se sentir protégé.
Or le monoxyde de carbone
(CO) est un gaz indétectable : invisible, inodore, asphyxiant. Il se
diffuse très vite dans l'environnement, provoque une « asphyxie » des cellules
du sang, en prenant la place de l'oxygène et peut s'avérer mortel en moins d'1
heure (source : INPES).
Les symptômes sont toujours les
mêmes : maux de tête, nausées, vomissements, fatigue, confusion, battements
rapides du cœur, jusqu'à un état inconscient, des convulsions et une défaillance
cardiorespiratoire conduisant au décès en cas de forte exposition.
Appareils
à combustion ou chauffages d'appoint en cause
L'émanation de monoxyde de
carbone (CO) est très souvent lié à un mauvais entretien des installations
domestiques ou à des négligences. Il est produit par des appareils ou des véhicules
qui brûlent des combustibles tels que du charbon, de l'huile, du gaz naturel/en
bonbonne, de la paraffine, du bois, de l'essence, du diesel, etc... Les
principaux responsables sont les appareils à combustion ou les chauffages d'appoint
mal installés ou fonctionnant dans des pièces qui ne sont pas correctement aérées.
Ainsi, ils deviennent très dangereux, surtout l'hiver, du fait que l'on pousse
leur fonctionnement en continu.
Par
exemple, lorsque le détecteur de monoxyde de carbone (CO) d'Avidsen détecte des
niveaux anormaux de monoxyde de carbone (CO) (supérieurs à 50 ppm de CO) le témoin
rouge clignote immédiatement avant le retentissement d'une puissante alarme
sonore. Car de nombreux cas d'intoxication au monoxyde de carbone signalés
indiquent que même si les victimes sont conscientes qu'elles ne se sentent pas
bien, elles sont tellement désorientées qu'elles sont incapables de réagir
d'elles-mêmes en quittant l'habitation ou en appelant à l'aide. Les petits
enfants et les animaux domestiques sont d'ailleurs les premiers touchés.
Un détecteur de monoxyde de
carbone (CO) se révèle donc indispensable pour les maisons mais aussi les
garages où, une tondeuse ou une voiture, qui tourne dans un espace confiné,
peut engendrer également des niveaux dangereux de monoxyde de carbone (CO). Or
la détection précoce des expositions au monoxyde de carbone est capitale. En Amérique du Nord (Canada, États-Unis), par exemple, l'installation des
détecteurs de monoxyde de carbone (CO) dans les logements est fréquente et les épidémiologistes
ont mesuré que la généralisation de ce type d'équipement a permis de sauver
des vies.
Alors pourquoi continuer à
courir un tel risque en France ?
A propos d'Avidsen
PME française
basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise
des systèmes électroniques et numériques innovants, simples d'utilisation pour la maison connectée.
Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la
motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est
devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le secteur de la domotique et de la confortique
en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques
distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également
la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité
(alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la
marque Thomson.
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