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MINE D'INFOS: Nos vieux sont heureux !

MINE D'INFOS: Nos vieux sont heureux !: Nos vieux sont heureux !     Paris, le 30 septembre – La 3 e vague de « l’Observatoire de l’âge », réalisée par Viavoi...

Nos vieux sont heureux !

 

 

Paris, le 30 septembre – La 3^e vague de « l’Observatoire de l’âge », réalisée par Viavoice pour Harmonie Mutuelle, L’Express et France Inter fait le point sur les seniors et leur rapport au bonheur. Qu’ils vivent à domicile ou en Ehpad, quel que soit leur niveau de revenu, une très grande majorité  se déclare « heureux ».

Que veut dire « être heureux » lorsqu’on devient âgé ? Quels sont les chemins pour accéder au bonheur ? Des interrogations qui concernent les seniors de plus de 70 ans mais également les plus jeunes. Des réponses pleines d’enseignement dans ce nouvel « Observatoire de l’âge ».

Une véritable leçon de vie donnée par nos aînés

À l’heure où la vieillesse n’est évoquée que sous l’angle de la fin de vie ou de la dépendance, cette étude montre que 84 % des personnes de 70 ans et plus se déclarent « heureuses ». Elles sont 72 % à le penser lorsqu’elles résident en Ehpad.

Mais au-delà de ce chiffre, les seniors se révèlent, à travers cette étude, porteurs d’un message particulièrement encourageant : loin des déterminismes (sociaux, économiques, psychologiques) qui permettraient à certains d’être toujours heureux et condamneraient d’autres à ne pas l’être, nos aînés considèrent en effet que le bonheur n’arrive pas par hasard, à un seul instant, mais qu’il est bien quelque chose qui s’apprend tout à au long de la vie.

Les 3 chemins qui mènent au bonheur 

Cette étude permet de tracer plus généralement 3 chemins vers le bonheur :

Le premier chemin serait, pour nos aînés, celui du « bien-être » : qu’il s’agisse des seniors en général ou des résidents en Ehpad, l’entourage exerce un rôle essentiel. Ce bien-être tient à la présence du conjoint pour les résidents à leur domicile (44 %) ou bien simplement au fait de voir régulièrement des proches pour les résidents en Ehpad  de fait – plus isolés – (67 %).

Le second chemin serait celui du « bien-vieillir » : au-delà de l’importance de la famille et des proches, « avoir toujours une personne à qui parler » est essentiel pour les seniors (respectivement 36 % et 53 %), tout comme « bénéficier d’un bon suivi médical » (41 % et 51 %), ou encore « être à proximité des centres médicaux » (29 %) enfin  avoir une bonne mutuelle est également important à 92 %.

Enfin, ils sont convaincus pour eux-mêmes mais aussi pour les autres, que les « petits bonheurs du quotidien » contribuent à une vie heureuse. Ainsi, « vivre le moment présent » est, de façon spontanée, cité le plus souvent comme « ingrédient » du bonheur. À la différence des deux premiers chemins, il s’agit ici d’un hédonisme du quotidien.

Le bonheur, un art qui s’apprend

Pour nos aînés, le bonheur n’est pas tant un « état de fait » qu’un processus. En effet, les scores sont massifs : pour 84 % des seniors et 62 % des résidents en Ehpad interrogés, le bonheur est quelque chose qui peut s’apprendre tout au long de la vie, bien que l’avancée vers un âge où l’on devient plus dépendant limite cette progression.

-          Un quart des seniors (25 %) estiment que « plus on avance en âge, plus on est heureux ».

-          Un quart également (24 %) que « plus on avance en âge, plus on est heureux mais cela s’estompe arrivé à un certain âge ».

-          Et près un d’un tiers (31 %) pensent que « plus on avance en âge, moins on est heureux ».

Par ces témoignages et retours d’expériences de vie, les seniors nous envoient un message encourageant, une invitation à vieillir… vers le bonheur.

Retrouvez l’étude de l’Observatoire de l’âge ici

Cette nouvelle vague de « L’Observatoire de l’âge » réalisée par Viavoice pour Harmonie Mutuelle, L’Express et France Inter complète la vague 1 effectuée en 2013 à l’occasion des dix ans de la canicule de 2003 (état des lieux du « Grand âge ») et la vague 2 conduite en 2014 (intégration du « Grand âge » dans la société).

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[1] Sondage réalisé du 6 au 22 juillet 2015 par des entretiens menés en face-à-face auprès de 100 résidents en Ehpad au sein de 14 services de soins et d’accompagnement mutualistes d’Harmonie

En direct de Bercy la Conférence de presse

Retour sur la présentation du #PLF2016 par #MichelSapin et @CECKERT56 : la vidéo ici http://bit.ly/1LiSbzY

Une tragédie sanitaire se jourait à Mayotte selon le Dr Michel RAMI

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"L'hôpital de Mamoudzou est aux normes françaises, mais dimensionné pour 200.000 habitants, alors qu'il y a environ autant de clandestins. Les urgences font la queue parfois 2 jours avant de passer au bloc car il faudrait doubler les salles d'opération."

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MINE D'INFOS: Octobre Rose : L’Institut de cancérologie Marseill...: 11 ème EDITION D’OCTOBRE ROSE L’Institut de cancérologie Marseille Provence se mobilise pour le dépistage du cancer du sein ...

Octobre Rose : L’Institut de cancérologie Marseille Provence se mobilise pour le dépistage du cancer du sein

11^ème EDITION D’OCTOBRE ROSE

L’Institut de cancérologie Marseille Provence

se mobilise pour le dépistage du cancer du sein

du 12 au 22 octobre 2015

Le mois d’octobre est chaque année le rendez-vous d’une vaste campagne de mobilisation pour la lutte contre le cancer du sein à travers le monde. L’Institut de cancérologie Marseille Provence – qui réunit les hôpitaux privés Clairval et Résidence du Parc – soutient cette année encore la campagne à travers diverses activités et animations pédagogiques. A l’occasion de cette nouvelle édition, l’association Onco-Partage organisera pour la première fois une conférence intitulée « Je vois la vie en Octobre rose » au sein de l’Hôpital Privé Clairval.

Première cause de décès par cancer chez les femmes, le cancer du sein touche aujourd’hui 1 femme sur 8. Ainsi, il est recommandé aux femmes de plus de 50 ans d’effectuer un dépistage tous les deux ans. Dans les Bouches-du-Rhône, le taux de participation au dépistage organisé du cancer du sein atteint seulement 37.7 %*, or, si le cancer est décelé tôt il peut être guéri dans 9 cas sur 10.

L’Institut de Cancérologie Marseille Provenceorganise au sein de l’Hôpital Privé Clairval une campagne de sensibilisation ouverte aux patients, personnel et visiteurs dans le but de favoriser les diagnostics précoces et ainsi augmenter les chances de guérison des personnes atteintes.

" Aujourd’hui, toutes les femmes bénéficient des progrès considérables du Dépistage Organisé grâce à la qualité des mammographies (le numérique a remplacé l'analogique) et à la formation des acteurs (radiologues et manipulateurs). Le dépistage du cancer du sein permet d'individualiser les femmes à risque, de détecter des cancers du sein de meilleur pronostic et d'homogénéiser la qualité des pratiques dont profitent toutes les femmes ", déclare le Dr François Amalric, Onco Radiothérapeute au sein de l’Hôpital Privé Clairval.

AU PROGRAMME :

Maryze Zacharias et Aurélie Martinez, coordinatrices du parcours de soin, animeront tout au long de la mobilisation un stand Rose Info’ dédié à la prévention.

- Lundi 12 octobre, Hôpital Privé Clairval

Conférence “Je vois la vie en Octobre Rose”, organisée par l’Association Onco-Partage de l’Institut de Cancérologie Marseille Provence, avec au programme : Oncogénétique, dépistage, traitements, rôle de l’activité physique adaptée dans la prévention…

- Mardi 13 octobre et Jeudi 15 octobre, au sein de l’Hôpital Privé Clairval,

et Jeudi 22 octobre, au sein de l’Hôpital Privé Résidence du Parc :

« Café rose » de 14h à 17h : stand de manucure « Octobre rose », distribution de brochures de prévention et échange entre les patients, professionnels et visiteurs.

- Jeudi 15 octobre, Hôpital Privé Clairval

« Octobre en tête ! » de 14h à 17h : animation proposée par Any d’Avray en partenariat avec l’Association Onco-Partage : démonstration de foulards, essai de la perruque “Octobre Rose” et photographies.

L’Institut sera également représenté lors des Régates « Rose » organisées par l’association SOS Cancer du sein le 10 octobre prochain à Marseille.

Une prise en charge pluridisciplinaire

La mobilisation des équipes de l’Institut de cancérologie Marseille Provence à l’occasion de ce mois dédié au dépistage du cancer du sein, s’inscrit naturellement dans l’engagement de Ramsay Générale de Santé, dans la lutte contre le cancer.

 

Cet engagement de longue date a été conforté en septembre 2012 par la création parmi les centres de références en cancérologie de Ramsay Générale de Santé du label «Institut de cancérologie » du Groupe, qui réunit toutes les compétences sur un même site (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie).

 

L’Institut de cancérologie Marseille Provence bénéficie ainsi d’une pluridisciplinarité qui lui permet d’intervenir sur la totalité du parcours de soins du patient, du dépistage jusqu’à l’après-cancer.

 

Il dispose de l’ensemble des équipements nécessaires aux examens pour le dépistage et le diagnostic ainsi que d’une offre de soins complète : chimiothérapie et thérapies ciblées, radiothérapie, radiochirurgie stéréotaxique et curiethérapie.

 

Toujours dans la recherche de l’excellence, l’Institut continue de développer ses différents pôles de référence avec de nouvelles innovations. Celui-ci propose l’accès à des traitements innovants, notamment via les essais cliniques. Depuis la fin de l’année 2014, L’Institut de cancérologie est également équipé d’un CYBERKNIFE® dernière génération, installé au sein de l’Hôpital Privé Clairval. Il est le système de radiothérapie stéréotaxique le plus innovant à ce jour.

 

" Avec l'ensemble de l'équipe du service de radiothérapie, nous avons mis au point et développé une technique de radiothérapie "mono-isocentrique" plus précise, plus sure, qui limite la durée des séances de traitement, et améliore le confort des patientes", Dr Jean-baptiste Paoli, Radiothérapeute au sein de l’Hôpital Privé Clairval.

 

" Aujourd’hui on ne traite pas qu’un cancer, on traite une patiente qui a un cancer. Ce qui signifie que la qualité de vie de la patiente ainsi que le résultat esthétique de sa chirurgie sont très importants ", précise le Dr Guillaume Pollet, Chirurgien mammaire oncologique et reconstructrice au sein de l’Hôpital Privé Clairval.

Partenaire de l’événement, L’Institut de cancérologie Marseille Provence sera présent à l’occasion du point presse de lancement de la campagne Octobre Rose organisé par Arcades ce mercredi 30 septembre à l’Hôtel la Résidence du Vieux Port.

* Taux de participation au programme national de dépistage organisé du cancer du sein en 2013. Source http://lesdonnees.e-cancer.fr

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MINE D'INFOS: Libres propos signé le CISS - Antibiotiques : soyo...: Communiqué : Antibiotiques : soyons tous résistants ! Un effrayant diagnostic partagé Le rapport du groupe de travail...

Libres propos signé le CISS - Antibiotiques : soyons tous résistants !

Communiqué : Antibiotiques : soyons tous résistants !

Un effrayant diagnostic partagé

Le rapport du groupe de travail spécial sur la préservation des antibiotiques, présidé par le Dr Jean CARLET, établit un bilan alarmant et malheureusement très réaliste des dégâts sur la population des infections à bactéries multirésistantes aux antibiotiques. Ainsi, chaque année, 160 000 personnes en sont gravement atteintes et 13 000 victimes décèdent en raison d’échecs thérapeutiques : c’est-à-dire qu’aucun antibiotique aujourd’hui existant n’a pu les sauver face à des infections dont la plupart auraient été soignées sans problème il y a encore quelques années. Aujourd’hui une tuberculose ou une simple cystite peuvent tuer.

Une urgence de santé publique

§ Surconsommation d’antibiotiques et développement de la résistance des bactéries est scientifiquement établi.

§ La France figure parmi les pays où cette surconsommation d’antibiotiques est plus importante que la moyenne. Ce sont des millions de prescriptions d’antibiotiques inutiles qui dégradent la santé des patients et l’efficacité thérapeutiques des antibiotiques, en gaspillant de surcoît les ressources de l’assurance maladie.

Choisissons avec soin !

§ Les antibiotiques ne sont VRAIMENT pas automatiques !!!

§ Ils ne sont efficaces que sur les bactéries, et sont donc inutiles sur les virus.

§ L’antibiotique est adapté à une bactérie donnée : il faut donc faire précéder sa prescription par un dépistage par test rapide chaque fois que cela est possible.

Pour des infections aussi fréquentes que les angines par exemple, il existe des tests de dépistage rapide qui permettent de s’assurer que la prescription d’antibiotiques est bien nécessaire… c’est-à-dire que l’angine en question est bien d’origine bactérienne, et qu’il ne s’agit pas d’une atteinte virale. Ces tests peuvent être faits gratuitement dans le cabinet de votre médecin, l’Assurance maladie les mettant à sa disposition. Il ne faut pas hésiter à demander un test lorsqu’on vous prescrit des antibiotiques.

Evaluons ce changement

Le plan national d’alerte sur les antibiotiques prévoit que la prescription devra maintenant être systématiquement réévaluée par le médecin au bout de 7 jours, avant toute poursuite du traitement. C’est un élément décisif de la politique publique de lutte contre l’antibiorésistance. C’est une bonne nouvelle que le futur comité interministériel de la santé soit chargé de l’évaluer.

Jouons collectif ! Chacun de nous peut aider son médecin à prendre conscience de la gravité de la situation : la prescription d’antibiotiques est un acte médicalement lourd, tous les patients doivent maintenant en être convaincus pour contribuer à la juste prescription.

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