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lundi 27 mai 2013
MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...
MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES En 2008, Sanofi a créé le Labo...
MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...
MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS : UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES En 2008, Sanofi a créé le Labo...
Contrefaçons de médicaments...
LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS
UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES
En 2008, Sanofi a créé le
Laboratoire Central d’Analyse des Contrefaçons (LCAC) à Tours pour recevoir
tous les produits Sanofi nécessitant une
vérification du caractère contrefaisant.
Son objectif est de détecter les faux médicaments
grâce à une équipe dédiée d’experts et à
des technologies de pointe. Ce laboratoire fait partie de la division Développement Industriel et
Innovation de Sanofi et répond ainsi au
besoin d’anticiper l’innovation dans un domaine en constante évolution.
»
Qui
adresse les produits au laboratoire ?
La plus grande
part des produits reçus par le laboratoire provient de la surveillance
des marchés effectuée par Sanofi : achats tests dans des pays à risque
et sur des produits sensibles, aussi bien sur Internet qu’en pharmacie. L’autre
partie provient des douanes, de la police, des autorités de santé et des
professionnels de santé. Les patients peuvent également signaler un produit suspect
aux filiales.
» Quelles sont les missions
du laboratoire ?
»Procéder
aux examens techniques des emballages et notices ainsi
qu’aux analyses chimiques les plus poussées des échantillons suspects des
produits les plus fréquemment contrefaits.
» Concevoir
des méthodes d’analyse et les diffuser au plan mondial
pour permettre à chaque site industriel du groupe, dans n’importe quelle partie
du monde, d’examiner et d’analyser avec les mêmes critères tous les produits
suspects correspondant à ceux fabriqués par le groupe.
» Centraliser les « cartes d’identité
» correspondant aux contrefaçons répertoriées, au sein d’une
base de données centrale et unique, seule capable d’effectuer les
rapprochements entre les diverses contrefaçons.
Parmi les groupes
pharmaceutiques, le LCAC représente une des formes les plus accomplies. Le
processus mis en place est poussé très loin, notamment avec la constitution des
cartes d’identité. Le LCAC contribue à la formation des douaniers du monde
entier grâce au portail IPM (Interface Public Members) de l’OMD en l’alimentant
en informations utiles aux douaniers pour détecter les contrefaçons des produits.
Cet outil permet aux douaniers de disposer d’éléments concrets sur le terrain
et de mieux détecter les contrefaçons des produits.
»
Comment
détecter un faux en quatre étapes ?
La
traçabilité
Le premier niveau
d’évaluation consiste à effectuer une recherche d’informations dans la base de
données pour savoir si le produit a bien été fabriqué sur un site de Sanofi.
Numéro de lot, date de fabrication, emballage, etc, tous les éléments sont
analysés. Si des erreurs apparaissent, une action est enclenchée.
L’examen
visuel minutieux
Le produit est
détaillé « à la loupe » : polices d’impression,techniques d’impression des
emballages, empreintes de gravure, pattes de collage sur les étuis... font l’objet
de comparaisons basées sur l’imagerie.
L’analyse
chimique générale
L’empreinte
chimique est observée grâce à des techniques de spectroscopie qui permettent d’obtenir
un premier niveau de lecture de la composition du produit et de le comparer aux
caractéristiques des produits de référence, stockées dans les bases de données.
Ces trois étapes
permettent, dans la grande majorité des cas, de dire rapidement s’il s’agit d’un
médicament contrefait ou non.
L’analyse
chimique précise
Si la contrefaçon
est confirmée, la dernière étape est déclenchée. Elle consiste à poursuivre le
niveau d’analyse chimique afin de savoir si le produit contient du principe
actif, des composés toxiques... Cette composition plus fine est recherchée à
travers des techniques de chromatographie, gazeuse ou liquide, qui permettent d’identifier
des composés inconnus à l’état de trace ou en quantités plus importantes.
»
Que
faites-vous des informations collectées ?
Nathalie Tallet
Responsable
du LCAC
En l’espace de
cinq ans, les effectifs du laboratoire ont plus que doublé,
passant de cinq à douze collaborateurs. « Au-delà du volume d’activité, c’est
surtout l’évolution du métier et le développement de nouvelles expertises qui
sont importants. », estime Nathalie Tallet.
« En 2008, lors du
démarrage de l’activité, nous étions plutôt sur des techniques standardisées de
contrôle qualité. Depuis, nous avons développé des expertises plus spécifiques
». Celles-ci permettent par exemple d’être plus rapides, de développer des
techniques pour les grands volumes... Ce n’est donc pas tant le volume que l’expertise
qui nécessite d’avoir des compétences plus variées et des équipes plus
structurées.
Environ 3
000 produits ont été analysés en 2012, pour 200 cas
confirmés de produits falsifiés. Si le nombre des médicaments analysés ne
connaît pas de bouleversement, il n’en est pas de même de la nature des
produits analysés. Nathalie Tallet insiste sur la nécessité pour le laboratoire
d’être à la pointe des techniques pour être en mesure de répondre aux enjeux de
la diversité croissante des produits : « toutes les classes thérapeutiques sont
concernées par la falsification. Le portefeuille de produits analysés devient
très vaste ».
De nouvelles
formes pharmaceutiques sont également touchées par la contrefaçon. Si, en 2008,
les formes sèches étaient largement concernées, de plus en plus de produits
injectables (traitant les cancers des pathologies lourdes) sont désormais
touchés par ce fléau.
“Depuis 2008, le Laboratoire
a analysé environ 20 000 produits suspects.”
MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans
MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans: L’Institut Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins En avril, l’Institut Curie a ouvert l’u...
Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans
L’Institut
Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs
besoins
En avril, l’Institut Curie a ouvert l’unité Adolescents Jeunes Adultes (AJA), qui accueille désormais en hospitalisation les patients âgés de 15 à 25 ans. Cette nouvelle structure permet d’adapter la prise en charge du jeune patient à la spécificité de cette période de sa vie, marquée par la construction identitaire, la transformation du corps et l'acquisition de l'autonomie. Elle est l’aboutissement de plusieurs années de travail collaboratif entre les équipes qui traitent les adultes et celles qui soignent les enfants.
En avril, l’Institut Curie a ouvert l’unité Adolescents Jeunes Adultes (AJA), qui accueille désormais en hospitalisation les patients âgés de 15 à 25 ans. Cette nouvelle structure permet d’adapter la prise en charge du jeune patient à la spécificité de cette période de sa vie, marquée par la construction identitaire, la transformation du corps et l'acquisition de l'autonomie. Elle est l’aboutissement de plusieurs années de travail collaboratif entre les équipes qui traitent les adultes et celles qui soignent les enfants.
Vous trouverez en cliquant sur
le lien ci-dessous un communiqué de presse relatif à la prise en charge des
adolescents et jeunes adultes en cancérologie à l’Institut Curie.
http://curie.fr/sites/default/files/cp-cancers-adolescents-24mai2013.pdf
http://curie.fr/sites/default/files/cp-cancers-adolescents-24mai2013.pdf
MINE D'INFOS: Enquête PACE : les Français face aux cancers Labor...
MINE D'INFOS: Enquête PACE : les Français face aux cancers Labor...: Une satisfaction globale des progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes en termes d’accessibilité aux...
Enquête PACE : les Français face aux cancers Laboratoires Lilly
Une satisfaction globale des
progrès réalisés dans la lutte contre le cancer mais des attentes très fortes
en termes d’accessibilité aux nouveaux traitements
Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.
Quelles avancées dans la recherche contre le cancer ont été fructueuses ces vingt dernières années ? Combien coûte le développement d’un produit innovant en oncologie ? Quel est le délai requis pour sa commercialisation ? Une vaste enquête d’opinion appelée PACE1 (Patient Access and Cancer Care Excellence) a été menée dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France – par les laboratoires Lilly avec GfK1 pour déterminer le niveau de connaissances de la population générale, des patients et du personnel soignant sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.
En France, lesprincipaux résultats
de l’enquête révèlent que 59% de la population sont satisfaits des avancées
effectuées ces vingt dernières années dans la lutte contre le cancer¹. En
revanche, 60% regrettent la lenteur de la mise à disposition des molécules
innovantes aux patients¹. Deux perceptions partagées par l’ensemble des
personnes auditées dans le monde.
Le cancer est à l’origine de 7,6
millions de morts en 2008, soit environ13% de la mortalité mondiale2.
En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2011 à 147 5003.
Une
bonne connaissance générale en oncologie mais des idées reçues persistantes
Les résultats de l’enquête PACE
soulignent la bonne compréhension en oncologie de la population générale. A l’image
des 5 autres pays interrogés, près d’1 Français sur 2 (48%)¹ considère que l’annonce
du diagnostic n’est plus synonyme de mort assurée (contre 65% des Américains)¹.
Cet optimisme relatif est partagé par les patients (67%)¹ et les personnels
soignants (56%)¹.
34% des Français estiment également
que le taux de mortalité par cancer a diminué¹. En effet, le taux de décès
attribué au cancer a baissé de 22 % chez l'homme et de 14 % chez la femme, en
vingt ans, en France¹.
Cependant, certains clichés
persistent chez les Français interrogés :
® 46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
® 70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.
® 46% pensent que le cancer est une seule et même pathologie¹ sévissant dans toutes les parties du corps. Les chercheurs ont pourtant recensé plus de 200 types de cancers d’origines différentes (environnementales, génétiques ou biologiques)¹
® 70% estiment que la Recherche est menée par le secteur public¹ tandis que 58% voient les laboratoires comme un acteur majeur de la Recherche en France¹.
« Le niveau de
connaissance est relativement faible car on est en face d’un paradoxe.
On a une maladie qui tue près de 150 000 personnes par an en France, et nos
concitoyens veulent à la fois qu’on les guérisse mais ne veulent pas trop en
savoir et surtout ne pas savoir s’ils ont eux-mêmes une conduite à risque »
explique le Professeur Philippe Rougier, ex-Chef de service Oncologie
Digestive à Hôpital Européen Georges Pompidou. « Le niveau de connaissance
varie en fonction des niveaux socio-économiques, des expériences personnelles
et des âges : il augmente brutalement quand l’individu ou un de ses proches est
atteint d’un cancer » affirme-t-il.
« Au-delà de l’envie du malade d’en
savoir plus ou non et de son niveau socioculturel, le niveau de connaissance
sur la maladie dépend aussi de la qualité de l’information disponible » ajoute Bernard Delcour, Président de l’Association
Française des Malades du Myélome Multiple (AF3M).
60% des Français pointent du
doigt le délai d’attente trop long pour l’accessibilité des patients aux molécules
innovantes¹
59% de la
population estiment que les progrès en oncologie ont été remarquables ces vingt
dernières années¹ ; la moitié des Français interrogés se dit d’ailleurs
satisfaite du financement de la lutte contre le cancer¹. Un point de vue
que ne partagent pas les 74% des patients¹ et 81 % des personnels soignants¹
qui attendent davantage de financement. Ce manque d’investissement est aussi dénoncé
par une bonne majorité de la population des cinq autres pays participant à l’enquête
PACE¹.
Autre
point important soulevé par 60% de la population française¹ : le temps d’attente
beaucoup trop long des patients pour accéder aux produits innovants. En effet,
les patients sont 86% à se plaindre de ce délai¹ contre 65% des personnels
soignants¹. Pour la recherche et le développement de nouveaux produits
innovants, 77% des Français attendent plus de coopérations au niveau
international¹. Et 3 personnes sur 4 souhaitent une meilleure collaboration
entre les différents acteurs de la lutte contre le cancer¹, à savoir les
pouvoirs publics, les ONG, les institutions académiques et les entreprises du médicament,
afin d’accélérer les progrès en oncologie.
« Avant d’être autorisées sur le
marché français, toutes les molécules innovantes sont souvent autorisées bien
avant aux Etats-Unis. En France, le volet réglementaire a pris le dessus. On
cherche avant tout à se couvrir des risques d’image, financiers et sanitaires. Une
telle approche très réglementée est antinomique avec une démarche d’innovation.
La prise d’initiative doit être primordiale. Il faut viser une démarche plus
globale qui prenne mieux en compte la qualité de vie des malades, développer
des approches projets qui garantissent un haut niveau de sécurité sanitaire
tout en simplifiant les processus et en réduisant les délais. Tout cela
convergera vers une meilleure maîtrise des coûts » souligne Bernard Delcour.
« Le public n’a pas conscience
de la rigidité des critères qui s’appliquent à l’industrie et de la notion de «
service médical rendu », c’est-à-dire du fait qu’un produit est jugé à la fois
sur son efficacité et sur sa tolérance » ajoute le
Professeur Philippe Rougier.
Optimiser l’accès des patients
aux essais cliniques pour leur faire bénéficier des traitements innovants et
faire avancer la recherche
Les résultats
de l’enquête PACE mettent en avant que 72% des Français souhaitent que les
patients puissent participer à des essais cliniques¹. En effet, 56% de la
population générale¹ considèrent que les essais cliniques offrent aux patients
l’opportunité de faire progresser la recherche mais aussi de recevoir un
traitement meilleur. Actuellement, seulement 15% des patients en France
ont déjà participé à un essai clinique¹ ; 68% des patients affirment n’avoir
jamais abordé ce sujet avec leur médecin¹.
« Le rôle des médecins pour
optimiser l’accès des patients aux essais cliniques est très important. Cela
demande une certaine discipline parce qu’il existe beaucoup d’essais de types différents
: les essais cliniques peuvent être menés par
les industriels, en particulier pour évaluer les nouveaux produits, ces essais ne pouvant
inclure qu’un nombre limité de patients ; ceux qui sont soutenus par le
gouvernement à travers les programmes
hospitaliers de recherche clinique (PHRC) et ceux menés par les sociétés
savantes » précise le Professeur Rougier.
Enfin, 89% de la population française
ne verraient aucune objection à ce que les médecins et les chercheurs
exploitent leurs données médicales pour améliorer la recherche en oncologie¹.
Près de 9 patients sur 10 en feraient de même pour aider les autres malades¹.
« Le cancer n’attend pas, les malades non plus ! »
MINE D'INFOS: Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs...
MINE D'INFOS: Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs...: Dans le cadre de sa contribution à la régulation par la qualité et l'efficience, la HAS mène des travaux d'évaluation ...
Evaluation de l'efficience : les antihypertenseurs sont-ils équivalents au regard de leur efficacité et de leur coût ?
Dans le
cadre de sa contribution à la régulation par la qualité et l'efficience, la HAS
mène des travaux d'évaluation médico-économique. Dans cette logique, la HAS a
procédé à l'évaluation des différentes classes d'antihypertenseurs en
s'appuyant notamment sur un modèle médico-économique innovant. L'évaluation menée
par la HAS a révélé des disparités
de prix non justifiées entre les différents traitements au regard de leurs bénéfices
cliniques. A partir de cette
expertise, la HAS aujourd'hui fournit aux
décideurs des éléments pour conduire une harmonisation du
prix des différents traitements.
L'hypertension artérielle (HTA)*
est un facteur de risque d'accidents cardiovasculaires et d'accidents
vasculaires cérébraux. Elle concerne plus de 14 millions d'adultes en France
avec 1,2 million de nouveaux cas par an. Selon l'Organisation Mondiale de la
Santé, l'HTA aurait été responsable de 18% des décès dans les pays riches en
2004 et de 45% des décès d'origine cardiovasculaire. Il existe des traitements
médicamenteux et non médicamenteux pour éviter ces événements. Le coût pour
l'Assurance maladie des traitements médicamenteux de l'HTA a été estimé à plus
de 2 milliards d'euros par an en France.
A la demande du Ministère de la
santé, la Haute Autorité de Santé (HAS) a été chargée d'examiner les stratégies
thérapeutiques médicamenteuses les plus efficientes dans la prise en charge de
l'hypertension artérielle (HTA). Dans la suite des évaluations menées depuis
2008 comme la réévaluation des stents ou l'évaluation des statines, la HAS a
mené une évaluation médico-économique, comparant les 5 principales classes d'antihypertenseurs sur le critère de l'efficience,
qui met en regard des dimensions cliniques (efficacité, tolérance et
persistance**) et des dimensions économiques (coûts du traitement médicamenteux
et de la prise en charge des événements associés notamment cérébro et cardiovasculaires).
Les 5 classes médicamenteuses évaluées
sont celles qui ont démontré leur efficacité en termes de morbi-mortalité cérébro
et cardiovasculaire :
· les diurétiques thiazidiques
(DIUth),
· les bêtabloquants (BB),
· les inhibiteurs calciques (ICa),
· les inhibiteurs de l'enzyme de
conversion (IEC),
MINE D'INFOS: C'est à lire : un livre bien utile pour décryper l...
MINE D'INFOS: C'est à lire : un livre bien utile pour décryper l...: « Décrypter les ÉTIQUETTES » de Rachel Frély – Editions Larousse Les étiquettes alimentaires à la loupe. À l’heure où il est...
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