Nora ANSELL-SALLES

vendredi 25 janvier 2013

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MINE D'INFOS: Marisol Touraine et Geneviève Fioraso finalisent l...

MINE D'INFOS: Marisol Touraine et Geneviève Fioraso finalisent l...: et poursuivent l’intégration au processus Licence Master Doctorat des professionnels paramédicaux   La Ministre des Affaire...

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MINE D'INFOS: « Libérez nos données ! »

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MINE D'INFOS: 31 janvier et 1er février 2013 - Des représentante...: Michelle Bachelet, ancienne présidente de Chili et actuelle directrice exécutive d’ONU-Femmes, Reta-Jo Lewis, représentante spéciale du D...

31 janvier et 1er février 2013 - Des représentantes de 60 pays à Paris pour la Conférence internationale des femmes élues locales


Michelle Bachelet, ancienne présidente de Chili et actuelle directrice exécutive d’ONU-Femmes, Reta-Jo Lewis, représentante spéciale du Département d’Etat des Etats-Unis d’Amérique, Caroline Tohá, maire de Santiago de Chili (Chili), Fatima Zahra Mansouri, maire de Marrakech (Maroc), Evelyn Uy, maire de Dipolog (Philippines), représentante de la Ligue des Villes Philippines, Fatimetou Mint Abdel Malick, maire de Tevragh-Zeina (Mauritanie), présidente de Réseau des femmes élues d’Afrique (REFELA), Serly Figueroa, conseillère municipale de Cuzco (Pérou), représentante du Réseau des Femmes élues locales d’Amérique Latine (RedLamugol), Hope Tumukunde, première adjointe au maire de Kigali (Rwanda) figurent parmi les 500 femmes de plus de 60 pays qui participeront à la Conférence internationale des femmes élues locales dédiée à l’égalité Femmes-Hommes, une priorité pour le développement mondial à l’Hôtel de Ville de Paris du 30 janvier au 1er février.

 

Organisée à l’initiative de Bertrand Delanoë, Président fondateur d’honneur de l’organisation mondiale des villes Cités et Gouvernements Locaux Unis (CGLU) et d’Anne Hidalgo, présidente de la commission permanente de l’égalité Femmes-Hommes de CGLU, avec les différents réseaux internationaux de femmes élues, le Conseil des Communes et Régions d’Europe et Metropolis, cette conférence a pour but de promouvoir la parité réelle dans les instances exécutives. Elle construira l’Agenda de Paris, feuille de route pragmatique qui définit les prochaines étapes nécessaires pour favoriser la participation des femmes à la prise de décisions dans toutes les sphères de la vie : politique, économique, sociale et culturelle. Ainsi, l’Agenda de Paris entend peser sur la redéfinition post 2015 des Objectifs du Millénaire pour le Développement, dont le 3e est de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.

 

Un partenariat avec l’ONU Femmes, qui parraine cette rencontre, sera signé à cette occasion, lors de la réception à la Gaîté Lyrique le mercredi 30 janvier à 19h, en présence de Lakshmi Puri, sous-secrétaire générale des Nations Unies et directrice exécutive adjointe d'ONU Femmes.

 

La conférence s’organisera autour de quatre axes de réflexion principaux :

- Table ronde d’ouverture sur la participation des femmes dans la prise de décision dans toutes les sphères de la vie : Begoña Lasagabaster, Directrice, Leadership et gouvernance des femmes, ONU Femmes, envoyée spéciale de Mme Michelle Bachelet, Esther Mwaura-Muiru, Fondatrice de Groots Kenya, Représentante de la Commission Huairou, Annemarie Jorritsma, Maire d’Almere (Pays Bas) Présidente de l’Association des Municipalités Néerlandaises (VNG) Co-présidente du CCRE, Anne Lauvergeon…

-  Table ronde 1 sur la participation des femmes dans la prise de décision locale : Karen Leibovici, Conseillère municipale d’Edmonton (Canada), Présidente de la Fédération Canadienne des Municipalités (FCM), Ewa Samuelsson, Adjointe au Maire de Stockholm (Suède), Présidente de la Commission d’égalité des genres du CCRE ; Ayila Serpil Bagriacik, Adjointe au Maire Istanbul (Turquie)…

- Table ronde 2 sur dans l’accès aux services essentiels, aux financements innovants : Pierre Schapira, Adjoint au Maire de Paris chargé des relations internationales, Porte-parole de PLATFORMA, Francina Vila, Conseillère municipale, déléguée aux femmes et aux droits civiques, Barcelone, Espagne, Célestine Ketcha-Courtes, Maire de Bangangté, Cameroun…

- Table ronde 3 sur la construction de villes plus sûres : Daysi Torres, Maire de Managua, Nicaragua, Ibone Bengoetxea, Adjointe au Maire de Bilbao, Présidente de l’Association des Communes Basques, Espagne, Souhayr Belhassen, Présidente de la Fédération Internationale des Ligues des Droits de l’Homme…

 

Les conclusions des quatre tables rondes programmées nourriront l’Agenda de Paris qui sera présenté le 1er février lors de la session de clôture où interviendront notamment Federico Mayor Zaragoza, Ancien Directeur de l’UNESCO, Président de la Fondation Culture de Paix (Espagne), Elisabeth Guigou, Présidente de la Commission des Affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale, Député, ancienne ministre (France), Hauwa Ibrahim, Citoyenne d’honneur de la Ville de Paris, Avocate des Droits humains (Nigéria) ….

 

La conférence débutera jeudi 31 janvier avec une séance d’ouverture où interviendront Bertrand Delanoë, Anne Hidalgo, Michelle Bachelet par message vidéo et Joan Clos, directeur exécutif d’ONU Habitat et secrétaire général adjoint de l’ONU.

 

Merci de bien vouloir confirmer votre présence auprès du service de presse en précisant le jour de votre présence à l’adresse mail suivante : service.presse@paris.fr ou par téléphone au 01 42 76 49 61.

 

 

« Libérez nos données ! »


Depuis plusieurs décennies maintenant des informations de santé sont collectées dans de nombreuses bases de données informatisées. Au premier rang desquelles figure le système national d’information inter-régimes de l’assurance maladie (SNIIRAM).

 

Nous avons besoin de ces données. Non pas des données individuelles nominatives légitimement protégées par la loi, sous le contrôle de la Commission nationale de l’informatique et des libertés. Mais des données collectives anonymes qui constituent un bien commun, de connaissance et de savoirs potentiels, dont nous sommes privés alors que ces données ont été collectées par des services financés par nos impôts et nos cotisations. Nos données nous appartiennent !

 

·         Nous avons besoin de ces données parce que nous en avons tous assez d’attendre un scandale sanitaire pour nous apercevoir que nous aurions pu savoir, et donc l’éviter ou l’atténuer, si on nous avait laissé chercher. Qui peut croire que la dérive des prescriptions du Mediator ou des pilules de 3ème et 4ème générations n’était pas lisible pour qui pouvait et voulait le détecter ? On aurait du nous laisser voir et faire savoir.

 

·         Nous avons besoin de ces données pour plus de démocratie dans les décisions de santé publique car nous en avons assez d’un débat « formaté », sur la base d’analyses publiques contre lesquelles nous ne pouvons produire aucune contre-expertise fondée sur une approche citoyenne des faits. Ceux qui décident critiquent nos sondages et nos témoignages, mais ils ne nous donnent pas l’accès aux bases de données ! Ils ne nous laissent même pas la chance de confronter nos témoignages et notre approche de terrain avec des analyses statistiques en population globale.

 

·         Nous avons besoin de ces données pour gagner nos combats. Récemment encore, le Conseil d’Etat rejetait une requête de notre collectif au motif que nous ne rapportions pas la preuve. Mais nous sommes privés d’un droit au procès équitable dans la mesure où nous sommes privés d’accès aux données publiques pour démonter que nous avons raison. Combien de fois pressentons-nous qu’une mesure décidée en vue de faire des économies et en fait une mesure coûteuse et combien de fois avons-nous été privés de le démontrer. Devant les juges comme devant l’opinion.

 

·         Nous avons besoin de ces données pour faire nos choix dans les prestations de soins, car elles ne sont pas toutes de même qualité. Et elles ne sont pas toutes pertinentes. Cela aussi, nous avons le droit de le savoir. Car nul n’a à être contraint à des soins inutiles. Et nul ne doit payer un prix disproportionné. Il en va de l’accès à des soins de qualité.

 
 
Pour toutes ces raisons, le CISS, qui dispose en théorie d’un accès à certaines données par sa participation à l’Institut des Données de Santé mais pas des moyens de les exploiter, est membre de l’initiative Transparence Santé et appelle à signer son manifeste sur www.opendatasante.com/petition. A suivre aussi sur Twitter : @opendatasante.

 


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ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR

APF - Autisme France - AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - La CSF - Le LIEN - Les Aînés Ruraux - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde - ORGECO

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

 

Dîner de la mode de Sidaction


728 000 € collectés au profit de la lutte contre le sida.

 

Organisé en partenariat avec la Fédération française de la couture, la onzième édition du dîner de la mode a réuni autour de Pierre Bergé et de Line Renaud 700 personnes au Pavillon d’Armenonville à Paris, ce jeudi 24 janvier 2013.

 

Pierre Bergé, et Françoise Barré-Sinoussi, prix Nobel de médecine et co-découvreuse du virus du sida, ont rappelé que l’épidémie de sida n’est pas terminée et que la mobilisation de tous est plus que jamais nécessaire. Avec 34 millions de personnes vivant avec le VIH dans le monde dont 150 000 en France, et 1,7million de morts par an, le combat doit se poursuivre. Line Renaud a rendu hommage à l’univers de la mode et a souligné l’importance de ce dîner pour Sidaction.

 

Les 728 000 euros collectés seront répartis ainsi :

 

50 % à des programmes de recherche et de soins,

50 % à des programmes de prévention et d’aide aux malades en France et dans 29 pays en développement.

 

Sidaction tient à remercier en particulier les partenaires de cet événement qui ont permis de réduire les frais d’organisation : C LAGENCE, Dom Pérignon, Doré Sécurité, Florence Doré, Lomarec, Le Pavillon d’Armenonville, Nicolas Ouchenir, Potel & Chabot, les Domaines Barons de Rothschild-Lafite, Section9, Soft Audiovisuel.

 

Merci à tous les bénévoles de Sidaction et aux membres bénévoles du comité d’organisation du dîner de la mode : Jacques Babando, Eliane de la Béraudière, Pia de Brantes, George Bully, Christophe Carrère, Pauline Chevallier, Dominique Deroche, Pascale Diabaté, Patricia Goldman, Jimmy Pihet, Laetitia Roux, Laurence Sudre-Monnier.

  

Contacts presse :

 

Sidaction :       

Francis Gionti   01 53 26 45 64              f.gionti@sidaction.org

 

Patricia Goldman communication :

Julia Albert       01 47 53 65 65              jalbert@patricia-goldman.com