lundi 6 juin 2016

Violence faites aux femmes : coup de blues !

En 2015, plus de 112 000 femmes victimes
ont été accompagnées par l’INAVEM

  • Depuis 30 ans 4,5 millions de Victimes aidées par aujourd’hui 130 associations et 1400 professionnels qui, à plein temps, soutiennent toutes les victimes, tous les jours, discrètement, gratuitement. L’INAVEM (Fédération Nationale d'Aides aux Victimes et de Médiation) poursuit sa mission de service public financée en grande partie par le Ministère de la Justice. Nous sommes en quelque sorte le pendant humaniste de notre Etat de droit. 

    Le sujet de la violence faite aux femmes est très délicat, comme tout ce qui touche à l’aide aux victimes. Il nécessite souvent un accompagnement au long court. Toutes les victimes en général ont besoin d’identifier la personne ou la structure qui peut les aider à proximité, où qu'elles se trouvent. Nous sommes présents sur tout le territoire de la République, Outre-Mer compris, et nous avons besoin de vous pour répercuter cette info, vitale malheureusement pour certaines d'entre elles en détresse.

  • Le 8 juin, L’INAVEM vous convie dans le cadre de son colloque national organisé à la Mairie de Paris à un point un presse à 17H30, qui aura lieu dans la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville. Merci de faire savoir votre présence par retour de mail.

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  • L’INAVEM intervient auprès des femmes victimes sous différentes formes et élabore au quotidien un travail de réflexion et met en place des actions dans le but d’améliorer et de renforcer la protection des victimes de violence. Nous pouvons prendre à titre d’exemples :
    - La plate-forme 08VICTIMES
    Premier maillon de l’aide proposée. Elle accueille au téléphone les personnes en souffrance, les écoute et les rassure, établit un lien de confiance pour les orienter vers l’association la plus proche qui intervient selon les situations avec un accompagnement personnalisé, au rythme de la personne.
    - Le dispositif « Téléphone Grave Danger » (TGD) :
    Dispositif d’alerte permettant aux victimes (violences conjugales et viol) d’accéder au service de police et de gendarmerie en vue de provoquer leur intervention sans délai en cas de danger, grâce à l’attribution d’un téléphone fonctionnant sur la base d’une télé assistance.
    - Le dispositif d’évaluation personnalisée des victimes (EVVI)
    Son but est d’identifier les victimes qui, en raison notamment de l’infraction subie ou de leur caractéristique personnelle, sont particulièrement exposées à des risques de représailles ou d’intimidation de la part de l’auteur des faits, ainsi qu’à des risques de victimisation secondaire.
    Les associations peuvent être amenées à proposer des solutions de prise en charge complémentaires via des actions spécifiques qu’elles mènent en interne ou avec des partenaires extérieurs (groupes de parole, art-thérapie, psychoboxe...).

    en savoir plus

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