MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 12 octobre 2012
MINE D'INFOS: Trois fois plus de cas de palu en 2012 au Soudan d...
MINE D'INFOS: Trois fois plus de cas de palu en 2012 au Soudan d...: Depuis mai dernier, les équipes MSF d’Aweil, dans le Nord Bahr el Ghazal, au Soudan du Sud, font face à un important pic de paludisme e...
MINE D'INFOS: PREMIER CENTRE FRANCAIS DE NAISSANCE AQUATIQUE, GU...
MINE D'INFOS: PREMIER CENTRE FRANCAIS DE NAISSANCE AQUATIQUE, GU...: L' A.F.N.A., Association française de naissance aquatique, maintient ses " 4èmes Journées françaises de naissance aquatique " les 17 et...
MINE D'INFOS: Sésame - Café littéraire le 17 novembre 2012
MINE D'INFOS: Sésame - Café littéraire le 17 novembre 2012: Le prochain café littéraire organisé par l'association Sésame aura lieu le 17 novembre 2012 dans les salons du François Coppée, bouleva...
MINE D'INFOS: La Fondation de l’Avenir au 40e Congrès de la Mutu...
MINE D'INFOS: La Fondation de l’Avenir au 40e Congrès de la Mutu...: La Fondation de l’Avenir partagera un stand avec le GHMF et l’Ecole Supérieure Montsouris, durant le 40e congrès de la Mutualité França...
MINE D'INFOS: Le médicament, un abcès de fixation ?
MINE D'INFOS: Le médicament, un abcès de fixation ?: Les médicaments sont aujourd’hui sévèrement critiqués. Non sans raison : les prescriptions sont trop abondantes et parfois mal fondées c...
MINE D'INFOS: Congrès AFU 2012
MINE D'INFOS: Congrès AFU 2012: Le congrès de l'Association Française d'Urologie se tiendra du 21 au 24 novembre 2012 au Palais des Congrès de Paris. Cette année, le ra...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Ces chirurgies de la vue qui change...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Ces chirurgies de la vue qui change...: « Ces chirurgies de la vue qui changent la vie » du Docteur Jean-Marc Ancel - Éditions des Rosiers Le nouveau guide prati...
C'est à lire : Ces chirurgies de la vue qui changent la vie
« Ces chirurgies de la vue qui changent la vie » du Docteur Jean-Marc Ancel - Éditions des Rosiers
Le nouveau guide pratique pour comprendre l’essentiel
de la chirurgie réfractive
Ces 20 dernières années, la chirurgie
ophtalmologique a connu de réels progrès avec des avancées technologiques
majeures notamment dans le domaine de la chirurgie réfractive.
On entend par chirurgie réfractive l’ensemble des
techniques chirurgicales qui permettent de corriger les défauts de la vision
(myopie, hypermétropie, astigmatisme et presbytie). Elle comprend
principalement deux techniques :
les techniques par laser et les techniques par implants.
Les techniques de correction des troubles visuels sont
désormais considérées comme de la technologie de pointe avec des appareils de
mesure ultra-précis et des outils de correction performants, fiables et sûrs.
La chirurgie réfractive permet désormais de corriger tous
les troubles visuels (myopie, hypermétropie, astigmatisme, presbytie) qui
nécessitent le port de lunettes ou de lentilles et ce de presque tous les
candidats (4% de contre indications environ).
Pour la moitié de la population française qui souffre de
troubles visuels, il est parfois difficile de comprendre simplement et de se
faire une opinion objective sur les récentes techniques qui permettent de bien
voir sans correction optique (lunettes ou lentilles).
Après avoir conseillé et opéré des milliers de patients, le
docteur Jean-Marc Ancel, chirurgien ophtalmologiste, propose aux personnes qui
souhaitent retrouver liberté et confort et ne plus dépendre de leur correction,
un ouvrage livrant des clés et l’essentiel de tout ce qui faut savoir sur la
chirurgie réfractive : les troubles de la vue, les techniques, les
indications, les éventuelles complications et les contre-indications.
« Ces chirurgies de la vue qui changent la vie » est
un guide pratique, accessible et simple, destiné au grand public et à tous
candidats à la chirurgie réfractive pour comprendre ces interventions qui
corrigent les troubles de la vue.
Congrès AFU 2012
Le congrès de l'Association Française
d'Urologie se tiendra du 21 au 24 novembre 2012 au Palais des Congrès de Paris.
Cette année, le rapport du congrès est
dédié à la médecine sexuelle, l'occasion de faire le point sur 15 ans d'avancées
scientifiques et médicales dans le champ de cette discipline émergente, qui
participe de la qualité de vie.
La conférence de presse de présentation
du congrès, située en amont de l'événement, le vendredi 16 novembre 2012 à 10
heures (lire le
save-the-date joint) vous permettra de faire le point avec les experts de l'AFU
sur cette thématique, mais aussi sur :
·
la matériovigilance,
·
la pénurie de greffe d'organes
·
le traitement des calculs rénaux (lithiase)
·
les nouveaux traitements de l'hypertrophie bénigne
de la prostate.
Le médicament, un abcès de fixation ?
Les médicaments
sont aujourd’hui sévèrement critiqués. Non sans raison : les prescriptions sont
trop abondantes et parfois mal fondées comme l’a montré l’affaire récente du Mediator
; le médicament occupe une place centrale dans le dialogue médecin-malade au détriment
de l’éducation à la santé tout aussi nécessaire ; les accidents iatrogènes sont
toujours trop élevés malgré les efforts pour les réduire.
Pourtant 15 millions de Français ont une maladie chronique
et conduisent donc le plus souvent leur vie quotidienne avec le soutien d’un ou
de plusieurs médicaments. Pour leur bénéfice, même si les effets secondaires,
les impasses thérapeutiques et les risques inhérents à ces thérapeutiques amènent
parfois à relativiser les gains. Cependant, qui peut nier que les médicaments
permettent aujourd’hui de poursuivre des vies qui hier se seraient interrompues
beaucoup plus tôt ?
Or, malgré la récente loi de renforcement de la sécurité du
médicament, les polémiques continuent. Preuve sans doute qu’au pays de la loi,
expression de la volonté générale, le coup d’épée a fini dans l’eau.
Nous n’en serions pas là si conjoncturellement, les
gardiens du temple que sont la Haute autorité de santé et l’Agence nationale de
sécurité du médicament, pourtant refaite de bas en haut, faisaient connaître
conjointement leur avis aux patients tentés d’arrêter spontanément leurs
traitements sur la base des allégations de l’ouvrage publié par Messieurs Debré
et Even.
Nous n’en serions pas là non plus si structurellement :
- l’éducation à la santé, qui comprend le rapport de l’individu
au système de soins, était au cœur de la stratégie nationale de santé de notre
pays ;
- la relation médecin-malade s’inscrivait dans un parcours de
soins dont les tenants et aboutissants étaient identifiés par chaque patient ;
- l’information du patient relevait d’une institution unique
plutôt que d’émetteurs multiples sans lisibilité globale, et se déployait dans
des modes de compréhension accessibles au plus grand nombre ;
- la pharmacovigilance trouvait un relais naturel,
raisonnablement promu auprès des patients et de leurs organisations ;
- les actions d’accompagnement des patients, pourtant prévues
par la loi, trouvaient un cadre favorable permettant notamment aux associations
de patients de prendre leur part de responsabilité dans l’éducation thérapeutique
;
- les associations de patients et d’usagers du système de
santé étaient représentées dans les lieux où se prennent les décisions
relatives au médicament : l’unique organe de coopération interassociatif
regroupant les usagers n’a pas été intégré à l’ANSM, sera-t-il demain présent
dans le collège de la HAS et dans ses commissions réglementées ainsi qu’au
comité économique des produits de santé ? Aucun signe, et c’est bien
regrettable, ne le laisse penser.
Plus que jamais, une stratégie
nationale de santé s’impose… nous l’attendons de pied ferme. Tombera-t-elle d’en
haut, où procédera-t-elle de constats et de formulations de préférences
collectives partagées par tous ? Sur la nécessité d’une information
patient-centrée, par exemple !
La Fondation de l’Avenir au 40e Congrès de la Mutualité Française.
La Fondation de l’Avenir partagera un stand avec le GHMF et
l’Ecole Supérieure Montsouris, durant le 40e congrès de la Mutualité Française,
qui se déroulera du 18 au 20 octobre au palais des congrès de Nice.
La Fondation de l’Avenir divulguera les résultats de son enquête « Les
français sont-ils prêts pour la télémédecine ? » à cette
occasion. La restitution de cette enquête, menée en partenariat avec la Banque
Fédérale Mutualiste, aura lieu le jeudi 18 octobre à 18h sur le stand 02
(espace Rhodes, niveau 2).
NDRL : La Fondation de l’Avenir
et la BFM –Banque fédérale mutualiste sont tous deux des partenaires de la MGEFI.
Sésame - Café littéraire le 17 novembre 2012
Le prochain café
littéraire organisé par l'association Sésame aura lieu le 17 novembre 2012 dans
les salons du François Coppée, boulevard du Montparnasse. A cette occasion, le
Livre Sésame 2012 sera proclamé.
Plus de renseignements sur l'association : http://www.bibliosesame.fr
PREMIER CENTRE FRANCAIS DE NAISSANCE AQUATIQUE, GUINGAMP: LA PARTIE CONTINUE...
L' A.F.N.A., Association française
de naissance aquatique, maintient ses "4èmes Journées françaises de naissance aquatique" les 17 et
18 Novembre 2012, lors de l' inauguration du Centre Semmelweis à Guingamp, Côtes
d' Armor.
L’ensemble du
programme et les modalités d' inscription sont sur "le blog du président"
sur notre site: accouchement-dans-leau.com
Par contre, nous,
l' A.F.N.A, devant la menace de l' A.R.S. sur la liberté du choix de la
naissance pour les futures mamans qui ont décidé de faire confiance en cette
structure innovante pour notre pays retardé dans ce domaine, lancons un pétition
pour contribuer à l' éclosion de ce projet sociétal.
Par ailleurs, l'
A.F.N.A. lance une souscription pour l' ouverture du Centre Semmelweis en
raison des besoins financiers inhérents à une réponse juridique efficace à ce
diktat archaique de fermture immédiate du centre de naissance aquatique par l'
A.R.S.
Celle-ci, d' un
montant de 50 000 Euros, peut être soit un don à notre association soit sous la
forme d' un capital risque pour cette " start up obstétricale", rémunéré,
comme tout capital risque à hauteur de 15%.
Pour signer la pétition
de soutien ou les inscriptions aux "Journées françaises ..." ou pour
la souscription: cela est possible via l' intermédiaire de notre site ou par
mail: morpheas64@yahoo.fr
Dollo Catherine
Site : www.accouchement-dans-leau.com
Email : morpheas64@yahoo.fr
tél : 02 96 44 04 39
Adresse : AFNA 2 rue Neuve du Collège 22200 GUINGAMP
Trois fois plus de cas de palu en 2012 au Soudan du Sud - MSF répond à l'urgence
Depuis mai dernier, les équipes
MSF d’Aweil, dans le Nord Bahr el Ghazal, au Soudan du Sud, font face à un
important pic de paludisme et à une multiplication par trois du nombre de cas sévères
en un an. Une explosion qui fait suite à un accroissement régulier - depuis
2010 - du nombre d'admissions.
Depuis 2008, MSF travaille à l’hôpital d’Aweil, structure de référence pour tout le Bahr el Ghazal, Entre mars et août 2012, nos équipes ont hospitalisé plus de 1 000 enfants atteints du paludisme, soit trois fois plus que l'année précédente à la même période. Entre juillet et aujourd'hui, la mortalité parmi les cas de paludisme dans le service pédiatrique où nous travaillons a explosé en raison du manque de traitements et des consultations trop tardives des patients gravement malades ; ce qui a conduit, début septembre, à un taux exceptionnel de mortalité de 8%.
Depuis 2008, MSF travaille à l’hôpital d’Aweil, structure de référence pour tout le Bahr el Ghazal, Entre mars et août 2012, nos équipes ont hospitalisé plus de 1 000 enfants atteints du paludisme, soit trois fois plus que l'année précédente à la même période. Entre juillet et aujourd'hui, la mortalité parmi les cas de paludisme dans le service pédiatrique où nous travaillons a explosé en raison du manque de traitements et des consultations trop tardives des patients gravement malades ; ce qui a conduit, début septembre, à un taux exceptionnel de mortalité de 8%.
MSF a accru ses capacités d'hospitalisation, mis en place des dispensaires mobiles et apporté son soutien - médical, matériel, humain et logistique - au ministère de la Santé ainsi qu'à d'autres organisations impliquées dans la lutte contre ce pic de paludisme. Nous avons pu faire diminuer la mortalité globale (adultes et enfants) à environ 5%, ce qui est " raisonnable" dans un tel contexte épidémique. Mais, si le niveau de nos activités a tendance à baisser actuellement, il reste tout de même supérieur aux années précédentes et il en sera probablement ainsi jusqu’en décembre.
Le poids sanitaire du paludisme est très lourd pour un système de Santé et pour une population. En ce qui concerne le Soudan du Sud, MSF souhaite que les bailleurs de fonds, le ministère de la Santé et les ONG soient davantage sensibilisés à ce problème majeur de Santé publique, qu'ils se mobilisent et se préparent à affronter le pic à venir en 2013 dont on peut craindre qu’il soit encore conséquent l’an prochain.
Prix Nobel de la Paix
Jean-Marc
Ayrault, Premier ministre, salue la décision du comité Nobel d’attribuer le
prix Nobel de la paix à l'Union européenne.
Cette distinction vient couronner cinq
décennies consacrées à la promotion inlassable des valeurs communes qui font la
force de l’Union européenne et de ses Etats membres : respect des droits de
l’Homme et de la dignité humaine, liberté, égalité, démocratie et solidarité.
Il s’agit d’un immense honneur pour tous ceux qui ont contribué à ce projet
inédit, pour tous les citoyens européens et pour tous les Français.
Ce prix est un encouragement à la poursuite de
l’entreprise visionnaire des Pères fondateurs. L'Union européenne demeure une
construction originale fondée sur le dialogue et l’union dans la diversité des
peuples et des Etats qui a fait de la paix, un acquis dont la fragilité ne doit
jamais être oubliée.
En bâtissant sur cet acquis,
notre responsabilité est aujourd’hui de faire en sorte que l’Union européenne
continue à répondre aux aspirations de nos citoyens à une Europe toujours plus
unie, prospère et solidaire. Tel est l’engagement du gouvernement français.
Mondial Assistance lance Téléconseil santé, un service de santé à distance
Résultats de l'enquête Mondial Assistance sur la santé à
distance et présentation de sa nouvelle offre téléconseil santé
Mondial Assistance innove dans la santé et lance Téléconseil
santé, un service de santé à distance
Selon un sondage TNS-Sofres pour
Mondial Assistance :
· 1
Français sur 4 (28 %) s’est déjà dit après coup que la consultation
chez le médecin n’était pas nécessaire.
· Pour
58 % des Français, il est rassurant d’avoir une réponse immédiate à
tout moment face à un problème de santé.
· 60 %
des Français s’autogèrent face à un symptôme - un recours à l’automédication réalisé
parfois sous contrainte, en raison de problèmes d’accès au médecin pour 39 % d’entre
eux.
· 62 %
pensent que le service conseil médical à distance pourrait dans certains cas
remplacer une consultation avec le médecin.
· 79 % des
Français plébiscitent le second avis médical en cas de doute face à une
prescription ou un diagnostic.
Parce que les Français ont de plus en plus de mal à avoir
accès à un médecin, Mondial Assistance lance Téléconseil Santé, un
service de conseil santé par téléphone s’appuyant sur une équipe
pluridisciplinaire de médecins.
L'assistance médicale partout dans le monde est au cœur de
l'activité de Mondial Assistance.
C'est donc naturellement que l’assisteur met en œuvre un service de santé innovant, réalisé à distance pour aider les patients. Il s’agit d’une première en France pour Mondial Assistance qui a déjà fait la preuve de son expertise dans le domaine de la télésanté dans d’autres pays d’Europe, tels que la Suisse et la Grande-Bretagne où cette pratique rencontre un vif succès.
C'est donc naturellement que l’assisteur met en œuvre un service de santé innovant, réalisé à distance pour aider les patients. Il s’agit d’une première en France pour Mondial Assistance qui a déjà fait la preuve de son expertise dans le domaine de la télésanté dans d’autres pays d’Europe, tels que la Suisse et la Grande-Bretagne où cette pratique rencontre un vif succès.
« Nous sommes face aujourd’hui à
une population vieillissante, à la raréfaction des médecins généralistes et à
un budget santé en baisse pour beaucoup de Français, qui impose des arbitrages
au niveau des garanties », explique le docteur Laurent Goldstein, Directeur Santé de Mondial
Assistance. « La télésanté répond à un besoin de réassurance rapide et précis
clairement exprimé par les Français. C’est dans ce contexte que nous lançons Téléconseil
Santé, dont le but est de faciliter et d’optimiser l’accès au système de
santé en France, le résultat pour le patient étant une meilleure qualité de
soin ».
Téléconseil Santé : faciliter le
quotidien des Français en matière de santé
Le service Téléconseil Santé de Mondial Assistance
est un service de conseil médical par téléphone, joignable de 8h à 20h du lundi
au vendredi. Il suffit d’appeler le numéro fourni par la complémentaire santé
ou l’assurance pour être mis en relation avec les docteurs en médecine.
Trois services à distance
indissociables
1. Information
médicale au quotidien : le médecin oriente, rassure et apporte son soutien
professionnel. Il donne des réponses confidentielles et personnalisées.
Exemple : vous souhaitez savoir si les différents
médicaments que vous prenez sont bien compatibles. Le médecin de Téléconseil
Santé pourra vous aider à mieux comprendre votre ordonnance.
2. Automédication
: face à un symptôme ou en cas d’absence du médecin traitant, le service permet
d’entrer en contact avec un médecin ou une infirmière de Mondial Assistance qui
pourra aider le patient en fonction des symptômes.
Exemple : votre enfant a de la fièvre,
il est 19 heures et vous souhaitez savoir si vous pouvez lui donner un médicament
présent dans votre pharmacie ; l’équipe médicale de Mondial Assistance vous
conseillera sur la conduite à tenir.
3. Orientation pour un deuxième avis médical
: ce service permet de bénéficier d’un rendez-vous afin d’obtenir un second
avis médical en cas de doute. Les patients sont orientés vers l’un des centres
de référence dont la liste complète de spécialistes est régulièrement mise à
jour.
Exemple : vous souffrez d’un grave
problème de hanche, le rhumatologue que vous avez consulté vous recommande une
opération et vous souhaitez obtenir un deuxième avis médical. Le médecin de Téléconseil
Santé vous donnera les coordonnées d’un spécialiste dans un centre de référence
pour ce type d’intervention.
Téléconseil Santé s’inscrit dans le cadre du décret
de télémédecine et de la loi HPST (Hôpital, patients, santé et territoires) définissant
les contours juridiques de la télémédecine en France.
Grâce à cette nouvelle solution, Mondial Assistance apporte
une réponse complémentaire aux services d’urgence existants, permettant l’accès
à un professionnel de santé sur des horaires élargis.
Disponible dès aujourd’hui, le service Téléconseil Santé
de Mondial Assistance sera accessible dans un premier temps via l’assurance
ou la complémentaire santé du patient.
Méthodologie de l’étude :
L’étude a été réalisée par TNS Sofres, du 25 avril au 3 mai
2012, auprès d’un échantillon de 1006 personnes représentatives de la
population française, âgées de 18 à 75 ans.
Lien pour télécharger l’étude : https://www.rp-net.com/downloader.php?id=1075
A propos de Mondial Assistance
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MINE D'INFOS: Réglementer la profession d'optométriste c'est 500...
MINE D'INFOS: Réglementer la profession d'optométriste c'est 500...: C’est courant Juillet que les 5808 médecins ophtalmologistes français ont reçu ce courrier de l’Association des Optométristes de France...
Réglementer la profession d'optométriste c'est 500 millions d'euros d'économies pour la Sécurité Sociale
C’est courant Juillet que les 5808 médecins
ophtalmologistes français ont reçu ce courrier
de l’Association des Optométristes de France.
Rappelant les compétences d’un
opticien-optométriste, telles que l’examen visuel, la contactologie, et la détection
d'états oculaires anormaux, l’AOF ouvre (une nouvelle fois) la porte à la
collaboration inter-professionnelle.
Pour éviter la création de déserts
ophtalmologiques, comme il se produit actuellement dans plusieurs régions de
France, l’AOF propose de discuter pour restructurer la filière visuelle française,
rapidement et efficacement :
. Rapidement, car près de 3000
professionnels opticiens-optométristes sont formés, et exercent déjà leur
activité professionnelle, bien que non règlementée à ce jour,
. Efficacement, car à l’image
des autres pays, incluant l’optométriste en professionnel de santé oculaire,
les services et les soins visuels sont assurés en toute sécurité, et en bonne
entente avec les autres professionnels de santé.
La
pratique de l’optométrie assure un service visuel optique fonctionnel, avec une
recommandation de différentes solutions ( lunettes, lentilles de contact, équipements
optiques spécifiques, conseils en ergonomie ) , tout en recherchant si une
anomalie oculaire est présente, auquel cas une consultation chez l’ophtalmologiste
suivra.
L’ophtalmologiste ensuite
diagnostiquera, traitera, et assurera le suivi de ces patients. C’est le modèle
de santé visuelle recommandé par l’OMS, suivi dans la plupart des pays d’Europe
et du Monde. Ce système ne rencontre pas les difficultés liées à un long délai
de prise en charge, de plus, il apparaît moins coûteux pour l’économie française.
jeudi 11 octobre 2012
MINE D'INFOS: Nouvelle campagne de communication sur l'accès aux...
MINE D'INFOS: Nouvelle campagne de communication sur l'accès aux...: "Sans mutuelle, la santé devient hors de prix." En amont de son 40e Congrès, la Mutualité Française alerte de nouveau les institu...
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MINE D'INFOS: La Mutualité Française dans les médias : découvrez...: La Mutualité Française dans les médias : découvrez les dernières analyses mensuelles Pour tout savoir sur « L’actualité de la Mutua...
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MINE D'INFOS: Des journées de prévention à destination des étudi...: Rencontres Santé : UNIVERSANTE-NUTRISPORT Des journées de prévention à destination des étudiants du Nord-Pas-de-Calais ...
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MINE D'INFOS: Edilivre passe la barre des 5 000 auteurs et lance...: L’éditeur continue de séduire de nouveaux auteurs en franchissant un cap symbolique et porte à 22 le nombre de ses Clubs Auteur...
MINE D'INFOS: Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en ...
MINE D'INFOS: Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en ...: l’absence d’organisation nationale nuit à la prise en charge des troubles de l’audition et des maladies rares associée...
MINE D'INFOS: Agir pour les jeunes filles favorise le développem...
MINE D'INFOS: Agir pour les jeunes filles favorise le développem...: COMMUNIQUE DE CATHERINE COUTELLE, DEPUTEE, PRESIDENTE DE LA DELEGATION AUX DROITS DES FEMMES ET A L’EGALITE DES CHANCES ENTRE...
C'est à lire : « Cannashop Story » de Frédéric Martineau
Franck IF quadragénaire
est interviewé par une journaliste. Il est présélectionné pour l'élection du «
Manager de l'année ». C'est une surprise dans la mesure où il fait commerce de
cannabis !
Des troupes d'élite de la Nation aux terrains de golf, des
banlieues difficiles aux quartiers chics de Paris, de la Suisse au Maroc,
Franck a côtoyé la substance illicite tout au long de sa brève existence
jusqu'au jour où l'État français lui a demandé d'en organiser la distribution !
Il déroule le fil de ses souvenirs et retrace l'histoire de sa success-story...
Frédéric Martineau mélange les personnages de fiction et la
réalité politique et sociale du cannabis pour défendre l’impérieuse nécessité
de mettre en place un système de gestion rationnelle. Il va plus loin que les
revendications de dépénalisation qui réduisent le débat à sa dimension
juridique. Pour lutter contre la délinquance et limiter le risque sanitaire, il
défend l’idée d’une filière encadrée et contrôlée par les pouvoirs publics.
Aux racines vendéennes, est né en 1966 à Mulhouse. Son
premier roman, en partie autobiographique, emprunte des anecdotes réelles aux
usagers pour, sans faire de prosélytisme, défendre l’impérieuse nécessité de
changer le dispositif sociolégislatif qui encadre cette réalité sociétale
concernant des millions de Français. Lors de sa première sortie en 2003, il a
tenté de sensibiliser les politiques de tout bord (Jean-Louis Borloo, François
Hollande, Nicolas Sarkozy…) en leur adressant un exemplaire dédicacé d’un
quatrain.
« Vous avez su évoquer
avec inventivité, pertinence et souvent humour un sujet de société grave, qui
préoccupe fortement nos concitoyens » Dominique de Villepin
Agir pour les jeunes filles favorise le développement
COMMUNIQUE DE CATHERINE
COUTELLE,
DEPUTEE, PRESIDENTE DE LA
DELEGATION AUX DROITS DES FEMMES
ET A L’EGALITE DES CHANCES ENTRE
LES HOMMES ET LES FEMMES
DE L’ASSEMBLEE NATIONALE
11 octobre, 1ère
journée internationale des filles
Agir pour les jeunes
filles favorise le développement
Le 11 octobre 2012, première « Journée internationale des
filles », à l’initiative de l’ONU : la Délégation aux droits des
femmes et à l’égalité des chances entre les Hommes et les Femmes de l’Assemblée
Nationale présidée par Catherine Coutelle, Députée, entend à cette occasion
affirmer sa solidarité avec les actions en faveur des jeunes filles, et attire
l’attention de l’opinion sur la persistance des graves discriminations et des
très fortes inégalités dont elles pâtissent à travers le monde.
Il est important d’avoir conscience que, particulièrement dans les pays en
développement, le risque reste très fort qu’elles soient les premières victimes
de toutes sortes de violences, d’être obligées au mariage, de subir des mutilations,
d’être victimes de guerre, ou encore qu’elles subissent la pauvreté de façon
plus appuyée que les garçons.
La formation de la jeunesse joue un rôle essentiel : investir dans l’éducation des jeunes filles
contribue à libérer leur potentiel, donc collectivement celui des sociétés dans
lesquelles elles vivent, et par conséquent d’améliorer également la santé et le
niveau de vie de la prochaine génération. Aujourd’hui encore, 75 millions
de filles en âge d’être scolarisées n’ont pas accès à l’éducation[1].
De plus, 96 millions de jeunes femmes (contre 57 millions de jeunes hommes) âgées
de 15 à 24 ans ne savent ni lire ni écrire[2].
Or une année de plus d’école primaire augmente leurs revenus futurs de 10 à
20%, une année en plus d’école secondaire de 15 à 25%.
Les programmes internationaux pour le développement jouent un rôle majeur
dans la promotion de l’éducation, de la contraception et des luttes contre les
violences faites aux jeunes filles. L’effort doit être soutenu, la période qui
s’ouvre sera déterminante : elle sera marquée par la perspective des 20
ans de la conférence internationale sur la « population et le développement »
en 2014, et par la renégociation des Objectifs du Millénaire post 2015. Ces
programmes doivent permettre une meilleure prise en compte des besoins
spécifiques des jeunes filles dans les aides au développement, et aussi de
faire de la coopération internationale un réel outil de lutte contre les
inégalités femmes - hommes.
Le 11 octobre, « journée internationale des filles », nous rappelle
que la lutte pour l’égalité entre les sexes se joue dès le plus jeune âge. Il
faut penser les actions en termes combinés d’éducation, de travail, de santé,
mais aussi de changement des représentations de la féminité et de la
masculinité. En France, le gouvernement de Jean-Marc Ayrault, et tout
particulièrement Laurent Fabius à l’international et Najat Vallaud-Belkacem sur
le territoire national, y travaillent, mettant en œuvre les engagements de François
Hollande. La Délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre
les hommes et les femmes salue les avancées nationales et internationales en la
matière, avec le souhait appuyé et permanent de veiller à l’effectivité des
droits.
Contact : Jérôme Picaud 01 40 63
65 61 / 05 49 47 47 87
Dépistage néonatal de la surdité, la SFORL met en garde
l’absence d’organisation nationale nuit à la prise en
charge des troubles de l’audition
et des maladies rares associées
|
La surdité est
une pathologie fréquente, qui concerne 1 enfant sur 1 000 à la naissance (lire le tableau Epidémiologie des
différents types de surdité). Si de nombreux pays ont organisé le dépistage
néonatal des troubles de l’audition, la France est longtemps restée en marge,
affichant un taux de détection de ces troubles de l’ordre de 25 %, contre, par
exemple, 98 % au Danemark (lire l’encadré : Le dépistage néonatal de la
surdité, le retard français).
Le 23 avril 2012, un
arrêté1 faisant suite à la loi
votée en décembre 2010, a rendu obligatoire le dépistage de la surdité
néonatale permanente. Cet arrêté précise que le programme doit être « mis en
oeuvre par les agences régionales de santé conformément à un cahier des charges
national établi par arrêté des ministres chargés de la santé et de la
protection sociale » (article 4).
La rédaction du cahier des charges devrait associer professionnels de la
santé, représentants de toutes les associations de patients, quelle que soit
leur position sur le dépistage néonatal, et les instances chargées de la mise
en oeuvre du programme.
En l’attente de la rédaction du cahier des
charges, le dépistage n’est toujours pas organisé dans les maternités, à
l’échelle de tout le territoire2 : elle
dépend des initiatives ponctuelles de certains établissements ou encore des
centres experts vers lesquels les pédiatres orientent les parents, avec deux
conséquences :
Ø La mise à mal de
l’égalité d’accès aux soins, chère à la Ministre Marisol Touraine ;
Ø L’engorgement des centres
experts qui ont du mal à faire face à la demande consécutive à la publication
de l’arrêté du 23 avril 2012.
1http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000025794966&dateTexte=&categorieLien=id
2 Des régions comme la Haute-Normandie, la Basse-Normandie, la région
Champagne-Ardenne et l’Alsace ont ainsi bénéficié de programmes pilotes de
dépistages systématiques.
Le professeur Françoise Denoyelle (service d’ORL
pédiatrique de l’hôpital Trousseau, Paris) alerte : «Avec la publication de
l’arrêté, le dépistage néonatal de la surdité est devenu obligatoire. Mais
comme rien n’est organisé à l’échelle nationale dans les maternités, les
pédiatres adressent les enfants aux centres experts qui sont débordés. Nous
ne pouvons pas assumer le dépistage pour les 800 000 naissances annuelles ».
Et si les centres sont débordés, c’est que les enjeux du
dépistage néonatal de la surdité sont importants :
Ø En effet, l’acquisition du langage se joue durant les deux
premières années de l’enfant. A cet âge, c’est en entendant sa famille et son
entourage lui parler que l’enfant commence son apprentissage de la langue
maternelle. Et s’il n’entend pas, il ne parlera pas. S’il entend mal, la
qualité de son langage s’en trouvera affectée. Ces difficultés retentissent
directement sur ses capacités à communiquer et à s’intégrer en collectivité, avec
parfois pour conséquences, des troubles psychologiques importants,
préjudiciables à son développement et à l’équilibre de toute la famille. Mais
en l’absence de dépistage, la surdité est difficile à détecter, car les enfants
sourds babillent comme les autres, et réagissent aux vibrations provoquées par
les bruits forts (porte qui claque).
ØPar ailleurs, dans près d’un
tiers de cas, la surdité est associée à d’autres troubles qu’elle permet
d’identifier : contamination intra-utérine au cytomégalovirus (à l’origine
de 10 à 15 % des surdités profondes), troubles de l’équilibre, maladie rare à
l’origine d’anomalies du coeur, des yeux ou de la thyroïde, dont les
conséquences peuvent être très graves si elles ne sont pas détectées. Le
dépistage néonatal de la surdité et le bilan précoce évaluant les causes de
celle-ci permettent aussi de repérer ces maladies et de les prendre en charge.
Son intérêt dépasse donc les seuls bénéfices en termes d’audition.
Le dépistage néonatal de la surdité est inclus dans un
dispositif global qui met l’accent sur l’accompagnement et l’information des
familles : ce sont elles qui décident de la prise en charge des troubles de
l’audition. De fait, le dépistage de la surdité n’aboutit pas nécessairement
à la mise en œuvre d’une réhabilitation auditive, si tel n’est pas le souhait
de la famille.
Concrètement, comment le dépistage se passe-t-il ?
Le dépistage consiste en un test d’audition objectif,
automatisé, indolore et non-opérateur dépendant, reposant
sur deux examens :
ØLa mesure du potentiel auditif
évoqué, c’est-à-dire l’enregistrement, grâce à des électrodes, des réactions du
tronc cérébral aux sons ;
ØLa mesure des otoémissions
acoustiques, c’est-à-dire du bruit provoqué par les contractions des cellules
de l’oreille interne, qui témoignent de l’audition.
Dans 98 à 99 cas sur 100, la réponse au test est normale.
Dans 1 à 2 cas sur 100, elle évoque la possibilité d’une surdité, mais celle-ci
peut être transitoire, l’audition du nouveau-né se trouvant parfois affectée
par la persistance de liquide amniotique dans le conduit auditif.
Les parents sont donc informés qu’il n’est pas possible de
conclure au vu de ces premiers tests, et on leur propose de réaliser des tests
auditifs complémentaires après 2 ou 3 semaines.
Les seconds tests permettent de confirmer la surdité dans 1
cas sur 10.
Dans ce cas :
Øun bilan complet est réalisé,
afin de comprendre l’origine de la surdité, et de détecter d’éventuels troubles
ou anomalies associées ;
Øune prise en charge globale de
la famille est organisée : durant plusieurs semaines, médecins, psychologues,
orthophonistes, psychomotriciens3, infirmières, accompagnent les parents, le temps nécessaire à
l’acceptation du diagnostic et à l’information sur tous les modes de
communication possibles (langage des signes compris), comme sur les
possibilités de réhabilitation de l’audition.
Epidémiologie des différents types de surdité
Surdité moyenne
|
Surdité sévère
|
Surdité profonde à totale
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Déficit de 40 à 70 décibels (dB)
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Déficit de 70 à 90 (dB)
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Déficit supérieur à 90 (dB)
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40 % des enfants dépistés
|
20 % des enfants dépistés
|
40 % des enfants dépistés
|
L’enfant est capable d’entendre une voix de
forte intensité.
Ses difficultés d’audition ralentissent
l’acquisition du langage.
|
L’enfant entend quelques bruits mais ne
distingue pas la voix humaine.
|
Seuls les bruits très intenses sont entendus
: à titre d’exemple, un marteau-piqueur correspond à l’émission de 100 dB.
L'enfant n'a aucune perception de la voix et
aucune idée de la parole.
|
Au terme de cette première étape, la plupart
des parents choisissent de s’engager dans une réhabilitation de l’audition.
L’enfant est alors appareillé, dans un premier temps.
Dans un second temps, en cas de surdité sévère ou profonde,
et si les parents souhaitent s’engager dans un projet d’acquisition du langage
oral, il pourra être envisagé de réaliser un implant qui, accompagné d’un
suivi orthophonique adapté, optimisera les chances de développement d’un
langage oral de qualité.
3Les psychomotriciens sont
impliqués dans la gestion des troubles de l’équilibre parfois associés à la
surdité.
Selon un consensus international, la prise en charge de
la surdité durant les deux premières années de la vie chez un enfant qui ne
comporte pas de troubles ou de handicaps associés, permet l’intégration de
l’enfant dans un milieu scolaire ordinaire à l’entrée en cours préparatoire.
Le dépistage néonatal de la surdité Le retard
français
Ainsi, en 2011 …
Ø 10 pays européens disposaient
d’une loi rendant obligatoire le dépistage néonatal de la surdité.
Ø 16 pays disposaient de fortes
recommandations en faveur du dépistage.
Ø Dans 13 pays, la couverture du
dépistage était de l’ordre de 90 %.
Au Danemark, la surdité permanente néonatale
est dépistée dans 98 % des cas quelques jours après la naissance (contre 25 %
en France). C’est également le cas depuis plus de dix ans, en Suisse, en
Belgique, en Grande-Bretagne, au Canada, et dans une majorité d’états des
Etats-Unis.