Nora ANSELL-SALLES

mardi 21 janvier 2014

Actes du 11e Colloque professionnel Ipse – 22 novembre 2013



Intervention de Serge Brichet

Président de la Mgefi

11e Colloque professionnel Ipse – 22 novembre 2013

« Généralisation de la complémentaire santé : quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires »

 

 

Je voudrais dans un premier temps formuler un certain nombre de remarques préalables, notamment suite au discours de Monsieur Chadelat qui a taclé les assureurs complémentaires, dont je fais partie en tant que mutuelle.

Il convient de noter que les assureurs mutualistes complémentaires, que nous représentons ici, sont des assureurs paradoxaux, dans la mesure où plutôt que de défendre leur pré carré et leurs chiffres d’affaires, ils se battent d’abord et avant tout pour la défense du régime obligatoire. Dans le même temps, nous sommes des assureurs complémentaires pragmatiques qui avons bien conscience que le régime obligatoire ne suffit pas pour accéder aux soins de qualité ; de ce fait, il nous faut proposer une couverture complémentaire digne de ce nom.

Par ailleurs, nous estimons à la Mgefi et à la MFP que la généralisation introduite par l’ANI a été faite dans le mauvais sens : il aurait d’abord fallu définir le contenu du contrat solidaire et responsable avant d’envisager une généralisation - qui n’en est pas une d’ailleurs et qui va surtout transférer partiellement des contrats individuels vers des contrats collectifs.

Un des problèmes qui se pose derrière est qu’il restera toujours sur la route des catégories de la populations qui ne seront jamais aidés fiscalement pour accéder à une couverture complémentaire : les étudiants, les chômeurs, les retraités… et j’ajouterai même modestement les fonctionnaires. Aujourd’hui, 50% de la population, qui comme toute la population doit disposer d’une complémentaire pour accéder à des soins de qualité, ne bénéficie d’aucune incitation fiscale pour pouvoir accéder à cette couverture complémentaire santé. Je connais personnellement dans la fiscalité un certain nombre de dispositifs pour « aider à », mais quel dispositif existe-t-il aujourd’hui pour aider à quelque chose d’aussi essentiel que la complémentaire santé, en tout cas pour la moitié de la population de ce pays ?

 

Concernant l’articulation régime obligatoire et régimes complémentaires, je dirais qu’elle est indispensable, à condition que celle-ci ne soit pas un contrat léonin, c'est-à-dire qu’il ‘y ait pas un acteur qui impose à un autre ce qu’il ne veut pas prendre en charge. De notre point de vue, s’il y a une articulation, une coopération, un partenariat – on met le mot que l’on veut – il faut que cette articulation se définisse d’abord et avant tout dans une logique de prise en charge de la santé plus que les soins, c'est-à-dire en amont, pendant et en aval du risque. Un partenariat intelligent entre régime obligatoire et régime complémentaire consiste à expertiser et financer ensemble autant des démarches de préventions que des démarches de soins et des démarches plus lourdes lorsqu’on est dans l’accompagnement de la santé, notamment en fin de vie.

Je comprends bien que l’on se place ici sur un débat essentiellement sur la santé. Mais si l’on veut faire bénéficier à nos concitoyens d’une bonne couverture sociale, nous devons aussi opter pour une une définition de la santé dans sa conception la plus large : nous devons y inclure non seulement le soin, mais aussi la prévention et les risques lourds. Les textes de loi jamais aboutis sur la prise en charge de la perte d’autonomie doivent nous rappeler aussi à cette réalité. Il y a un lien très étroit entre soins, santé, prise en charge de la perte d’autonomie, et c’est bien une réflexion globale sur ces questions qu’appelle de ses vœux la MFP.

 


En tant que mutuelle de fonctionnaires, il me tient à cœur de souligner que les fonctionnaires ne sont en aucun cas des privilégiés en matière de prise charge de soins et de santé. Peut être le sont-il en matière de stabilité de l’emploi, c’est un autre débat, mais certainement pas en matière de soins : ils sont comme tous les assurés sociaux de ce pays. L’employeur qu’est l’Etat n’aide en aucun cas à assurer cette protection et la plupart des fonctionnaires se retrouvent ainsi avec des couvertures facultatives, dont ils organisent eux même les solidarités.

Les questions que j’aimerais poser au travers de ce constat et de l’accord sur la généralisation : quels sont les risques aujourd’hui pour cette population de fonctionnaires? L’ANI représente pour nous un risque de siphonage de nos populations au travers les contrats collectifs et familiaux. Il y a aujourd’hui des fonctionnaires qui organisent librement leur protection et leur solidarité dans un cadre facultatif et qui peuvent être captés par un contrat collectif et familial. A un moment toutefois, la question des ruptures des contrats doit être posée. Que se passe-t-il quand un fonctionnaire est conjoint d’un salarié du privé bénéficiant d’un contrat collectifs – que je ne conteste pas –, que le contrat collectif s’arrête et que le fonctionnaire a été attiré par des dispositifs qui aujourd’hui risquent d’être redoutables pour des mutuelles de fonctionnaires si l’on n’est pas protégés ? Les solidarités ne se décrètent pas, elles s’organisent et se financent.

Quand Monsieur Chadelat se demande quand les complémentaires maladie vont enfin être utiles efficaces et responsables, je pense que nous avons en effet des leçons à apprendre et des actions à mener ; mais l’assurance maladie obligatoire se doit aussi d’être efficace, responsable et utile. Quand l’AMO cessera-t-elle de prendre en charge des médicaments qui ne sont pas utiles sans imposer pour autant aux complémentaires santé de prendre le relais ? La Mgefi a pour sa part décidé d’être responsable en ne prenant pas en charge les médicaments qui ne sont pas utiles.

Enfin, j’aimerais souligner que nous risquons d’entrer dans une grave crise sociale supplémentaire si nous ne prenons pas soins d’organiser une solidarité entre les générations, de l’actif vers le retraité, mais également une solidarité vers les plus jeunes populations. Il nous faut aujourd’hui inverser la solidarité intergénérationnelle ou bien la situation risque de devenir très difficile dans notre pays.


Télécharger le PDF du 11e Colloque Professionnel Ipse :  http://www.euroipse.org/11e-colloque-professionnel-ipse/

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VOEUX A LA PRESSE :Texte du discours du 1er ministre


Hôtel de Matignon

Lundi 20 janvier 2014

Seul le prononcé fait foi
Mesdames et Messieurs,

Merci à vous d’être présents aussi nombreux ce soir, et merci à vous,  pour les voeux que vous m’avez présentés au nom de l’association de la presse ministérielle.

Recevez en retour mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année. Pour vous, pour ceux qui vous sont chers et pour tous ceux qui suivent au quotidien l’activité du Gouvernement et de Matignon, avec une pensée évidemment pour vos collègues actuellement retenus en otages.

C’est un rôle exigeant que le vôtre, et ce rôle porte en lui une responsabilité vis-à-vis de nos concitoyens. Cela mérite le respect des responsables publics, et je ne crois pas m’être écarté à aucun moment de cette ligne de conduite, contrairement à certains de mes prédécesseurs. J’ai pu, effectivement, avoir à me plaindre d’une certaine forme de « bashing », mais je l’ai dit : ce n’est pas le Ayrault-bashing qui me préoccupe, c’est le « France-bashing » que je n’accepte pas, parce que notre pays mérite mieux que ces critiques erronées et injustes.

2013, vous le savez, n’a pas été une année facile. La presse, vous l’avez dit, n’a pas été épargnée par ces difficultés. Elle connaît de profondes mutations et doit, elle aussi, accomplir un effort considérable d’adaptation. De nombreux médias, dont chacun est un gardien de la liberté d’expression, sont aujourd’hui fragilisés. Ce sont d’ailleurs des sujets sur lesquels nous avons travaillé, et nous continuerons à le faire. Tout récemment encore, la TVA à taux super réduit pour la presse en ligne a été l’illustration.

Mais au-delà du cas spécifique de la presse, c’est bien la situation économique générale du pays qui est en cause, et c’est dans tous les domaines de la vie de la Nation qu’il a fallu agir vite et prendre des mesures fortes. Je ne vous en ferai pas la liste ce soir, pas à vous qui la connaissez bien. Je souhaite plus simplement – et comme c’est, je crois, le sens d’un échange de voeux - partager avec vous un constat et une conviction.
Le constat, c’est que la France est aujourd’hui en passe de s’en sortir. Elle est officiellement sortie de la récession, après cinq ans de croissance zéro en moyenne qui nous fait retrouver à peine aujourd’hui le niveau de richesse du pays en 2008. Les observateurs extérieurs comme les organisations internationales prévoient désormais une poursuite de la reprise, avec une croissance de l’ordre de 1% en 2014, et plus ensuite.




C’est évidemment une bonne nouvelle pour le pays, qui vient de traverser la plus longue crise de l’après-guerre, mais c’est surtout un encouragement car il reste beaucoup à faire.

La croissance et l’emploi sont en effet la clé de tout. C’est grâce à l’un et à l’autre que nous pourrons améliorer la situation de nos concitoyens. C’est donc à ce double objectif que le Président de la République m’a chargé, ainsi que tous les membres de mon Gouvernement, de consacrer toute notre énergie depuis le premier jour.

La situation reste encore difficile pour beaucoup de Français, et notre premier devoir est de penser à ceux de nos concitoyens qui continuent à souffrir de la crise. Car si les choses vont déjà mieux pour certains secteurs, certaines catégories ou certaines régions, pour d’autres, la crise est encore là et elle frappe durement. Cette situation contribue fortement à cliver les attentes de la société, et certains de nos concitoyens subissent la tentation du repli sur soi et de l’individualisme. C’est une vraie menace sur la confiance de nos concitoyens dans leur avenir et dans leur pays. Parce qu’aux yeux des Français, il ne peut y avoir qu’une France, et la promesse républicaine doit être la même pour tous et partout. C’est la meilleure réponse à toutes les formes de populisme qui prospèrent sur le sentiment d’abandon et le découragement.

Vous m’avez demandé ce qu’était devenu le nouveau modèle français un an après – et je vous remercie de vous en préoccuper. Eh bien rassurez-vous, il est là, au coeur de toute notre politique de remise en marche de la France, qui est exigeante mais indispensable.

Il ne s’agit pas en effet seulement de restaurer la compétitivité du pays, mais de le faire tout en préservant un modèle social auquel les Français sont profondément attachés.

Il ne s’agit pas seulement d’assainir notre situation financière, mais de le faire tout en finançant nos priorités, que sont l’emploi, l’éducation, la sécurité ou encore la santé.

Il ne s’agit pas seulement de réformer ce qui fait le moteur même du pays : l’école, la formation ou les entreprises, mais de le faire au service de l’emploi, pour que chaque Français ait sa chance, tout au long de sa vie.

Certains de nos voisins européens, à qui on nous compare souvent, ont fait un choix somme toute plus facile, celui de financer leurs économies budgétaires par des coupes brutales dans la protection sociale et les services publics rendus aux citoyens.

Telle n’est pas ma conception de la réforme, ni l’esprit de la politique que nous menons. Nous prouvons que la modernisation, ce doit être aussi des droits nouveaux pour les salariés, et non pas systématiquement des droits en moins. Nous prouvons qu’on peut être rigoureux dans la gestion publique et en même temps volontariste dès qu’il s’agit du progrès social. Nous prouvons que notre pays peut se réformer dans le dialogue, y compris sur des sujets sensibles comme les retraites, et sans trahir ce qui fait son modèle et ses valeurs.

Nous travaillons avec les partenaires sociaux –et je les recevrai ici-même à Matignon le 27 janvier. Nous faisons confiance à la majorité parlementaire. Et le résultat, c’est qu’en un an, un nombre considérable de réformes ont été menées, y compris sur des sujets où rien n’était joué d’avance.
Il suffit d’ailleurs de voir à quel point les critiques qui nous sont adressées ont évolué pour mesurer le chemin parcouru. Il ne se trouve par exemple plus grand monde pour écrire, comme il y a un an, que le Gouvernement fait complètement fausse route et que la sanction 3 Hôtel de Matignon - 57, rue de Varenne - 75007 PARIS



des marchés va tomber très vite. La situation du pays s’améliore à nouveau, le Gouvernement travaille et la majorité fait bloc autour des grandes réformes.

Non, aujourd’hui, la tonalité est plus raisonnable : on se dit –ou en tout cas on se disait avant la conférence de presse du Président- que « c’est trop peu », que « cela ne va pas assez vite » et qu’il faudrait « aller beaucoup plus loin ». Je le prends comme un encouragement, car l’essentiel, à mes yeux, c’est que les choses avancent, c’est que les réformes se fassent, parce que la France en a besoin. La seule issue, c’est l’action, toujours l’action.

Les chantiers engagés seront amplifiés en 2014, et le Président l’a dit avec force lors de ses voeux aux Français et à l’occasion de sa conférence de presse.

Il a confirmé la priorité donnée à l’emploi et à la croissance, à la compétitivité et au dialogue social. C’est la base du pacte de responsabilité qu’il a annoncé.

Il a confirmé l’objectif de réduction de la dépense publique, avec au moins 50 milliards d’économies entre 2015 et 2017.

Il a confirmé aussi la nécessité d’une remise à plat de la fiscalité et des dépenses.

Et il a confirmé enfin l’objectif de baisse des prélèvements obligatoires.

Cela supposera évidemment de continuer à mener des réformes de structure, dans l’Etat, mais aussi dans les collectivités locales et la protection sociale, pour faire mieux avec moins, pour pérenniser notre modèle et doter la France d’un Etat et d’un service public plus justes, plus simples et plus efficaces.

Mais qui s’en étonnera ? Cet objectif a toujours été celui de la gauche. C’est ce que les Français retiennent de son histoire et c’est ce qu’ils attendent de nous : non pas toujours plus de dépenses comme on le croit trop souvent, et à tort, mais des réformes de structure pour démocratiser, moderniser le service public, porter des droits nouveaux en faveur de l’égalité des chances, de l’intégration républicaine, conforter la protection sociale ou encore sécuriser l’emploi sur le marché du travail.

C’est ce type de réformes qui ont forgé la société dans laquelle nous vivons, c’est là que la gauche a toujours consacré le meilleur de son énergie, c’est là qu’elle s’est montrée à la hauteur de sa mission, qui est de porter une vision de l’avenir. Et 2014 sera résolument tournée vers l’avenir.

Ce sera une année européenne, avec un scrutin majeur pour l’avenir de l’Union et la poursuite, par le Président de la République, de ses initiatives en faveur de la réorientation de l’Europe.

Ce sera l’année de la transition énergétique, qui constitue un levier fondamental de transformation de notre modèle économique et social.

Ce sera l’année de la décentralisation, avec pour objectif le développement économique de nos territoires et la maîtrise des dépenses publiques.
Ce sera aussi l’année de la simplification pour les entreprises et pour les citoyens, l’année de la réforme pénale pour s’attaquer, enfin, aux racines de la récidive dans notre pays, l’année aussi d’une grande loi de solidarité sur l’autonomie.



Bref, ce sera une année de modernisation, qui mobilisera l’Etat autour de projets d’avenir, fondateurs et porteurs d’une dynamique de changement et de progrès pour tous.

Ce sont là de grands défis pour le pays, et nous avons tous ici une responsabilité, qui est d’éclairer les choix de nos concitoyens, de tenir un langage de vérité et de faire vivre une démocratie exigeante. C’est la condition pour que la France retrouve confiance dans sa force et dans son avenir. C’est le cap que le Président de la République a fixé, c’est ma feuille de route et celle du Gouvernement, et vous me trouverez, cette année encore, entièrement dévoués à ma mission.

Bonne année à vous, bonne année à tous vos proches, et bien sûr à tous vos médias.

lundi 20 janvier 2014

MINE D'INFOS: Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi...

MINE D'INFOS: Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi...: Ce dimanche, le Journal officiel a publié la liste des nouveaux membres du collège de la Haute autorité de santé. Le président de la Rép...

MINE D'INFOS: Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi...

MINE D'INFOS: Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi...: Ce dimanche, le Journal officiel a publié la liste des nouveaux membres du collège de la Haute autorité de santé. Le président de la Rép...

Libres propos : La Haute autorité de « l’entre soi » au masculin…


Ce dimanche, le Journal officiel a publié la liste des nouveaux membres du collège de la Haute autorité de santé. Le président de la République a donc renoncé à « réexaminer » les propositions des présidents de l’Assemblée nationale et du Sénat. Ainsi, quatre hommes, tous issus du monde  hospitalier ( !), viennent compléter un collège qui, sur huit membres, ne comporte désormais plus de femme et toujours aucun représentant des usagers.

 

Un camouflet pour la démocratie comme pour la parité

 

Dans la courte histoire des autorités indépendantes en France, c’est du jamais vu. En dehors d’un médecin libéral, la totalité des membres du collège vient du monde hospitalier. Ça ne gêne aucun de nos décideurs publics. Pourtant, c’est comme si tous les membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) étaient journalistes issus de France Télévision, ou tous les membres de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) professeurs de droit ! Ce n’est évidemment pas le cas. Et vu sous l’angle de la diversité, il se trouve même que le président du CSA dispose d’un collège au deux tiers composé de femmes…

 

Un affront à la politique publique

 

Alors, que les héritiers de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades sont maintenant à la présidence de la République, de l’Assemblée nationale, du Sénat et chef du Gouvernement, comment comprendre que l’on en arrive là ? Comment construire la confiance dans une politique publique qui a inscrit la démocratie sanitaire comme troisième pilier de la stratégie nationale de santé et qui joue l’exclusion de la société civile ?

 

Une humiliation pour la société civile

 

Tout l’enjeu de la Haute autorité de santé tourne autour de la régulation du système de santé par la qualité. Qui ne l’a pas compris ? Et qui peut penser que cela peut se faire sans que les usagers du système de santé en soient, au plus haut niveau de l’instance, partie prenante ? Comment a-t-on pu imaginer que seuls des médecins et des directeurs d’hôpitaux pouvaient incarner à eux seuls l’expression des préférences collectives ?

 

Une inévitable réforme

 

Puisque décidément, les vieux mâles blancs doivent être contraints par la loi que l’on met en chantier à ce que des femmes soient désignées à parité avec les hommes dans les conseils chargés de donner des avis aux pouvoirs publics, il faut aussi qu’ils soient contraints à désigner un représentant des usagers au collège de la HAS.

 

 

La prochaine loi de santé doit impérativement comporter un article élargissant le collège de la Haute autorité de santé à un membre représentant les usagers du système de santé, qui pourrait être désigné par le président du Conseil économique, social et environnemental.

 


 

ADMD - AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies Rares - ANDAR - APF - Autisme France

AVIAM - Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH - France Alzheimer

France Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le Cancer - Médecins du Monde

SOS Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP - UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH

 

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Qui sont les citoyens mystères du Baromètre AFNOR 2014 ?


Qui sont les citoyens mystères du Baromètre AFNOR 2014 ?


 

Baromètre AFNOR 2014 de l’Accueil et de la Relation aux usagers

L’enquête qui s’étend sur plusieurs mois est réalisée par des citoyens mystères, une méthode adoptée par de plus en plus de collectivités

Leur mission consiste à tester dans le plus strict anonymat, et de façon inopinée, les services des communes et des institutions de l’intercommunalité candidates

Le Groupe AFNOR initie son troisième Baromètre avec des citoyens mystères.

En France, ils sont plusieurs dizaines de milliers d’enquêteurs mystères professionnels. Qu’ils interviennent pour les grandes enseignes de la distribution, les entreprises et maintenant de plus en plus souvent auprès des collectivités territoriales, les clients ou citoyens mystères sont partout et apportent un éclairage très concret aux équipes. Ils fournissent des pistes fiables en vue d’améliorer au final la satisfaction de tous les usagers.  

Citoyens mystères : qui sont-ils et comment enquêtent-ils ?

Le citoyen mystère, est un enquêteur professionnel, natif ou résidant dans la commune ayant pour mission d’auditer différents services de la Mairie et de mesurer en situation réelle la Qualité de l’Accueil et du Service. Dans le cadre de sa mission Baromètre AFNOR, le citoyen mystère va entrer en relation avec sa Mairie de multiples façons : la visite du site internet, l’envoi d’un e-mail, l’envoi d’un courrier, un appel téléphonique et bien entendu une visite en Mairie pour évaluer le contact en face-à-face.

Pour chaque mode de contact, il va tester les principaux services proposés en Mairie selon différents scénarios prédéfinis, en demandant des renseignements bien précis, en effectuant des démarches administratives, en cherchant à obtenir un acte d’état civil ou encore en émettant une réclamation. L’objectif est de reproduire les demandes les plus courantes des citoyens et de mesurer de façon objective le traitement de leurs demandes et la qualité du service rendu en Mairie.

A chaque étape, il remplira un questionnaire détaillé et factuel pour décrire l’accueil qui lui a été réservé, la prise en charge de sa demande, la qualité et le délai de la réponse obtenue, le respect des engagements… Au total, près de 150 critères incontournables seront évalués par le citoyen mystère. Sur une même ville, plusieurs citoyens mystères sont mobilisés afin d’avoir une évaluation la plus complète possible.

Tout au long de sa mission de citoyen mystère, rien n’est laissé au hasard. En amont et afin de valider sa participation, l’enquêteur aura lui-même été testé sur ses capacités d’observation ; il aura reçu au préalable une formation spécifique, il devra suivre à la lettre les consignes d’enquête élaborées par la société PRESENCE, leader français des enquêtes mystères et partenaire du Groupe AFNOR sur cette étude.

Au final, le citoyen mystère devra fournir la preuve de ses différents contacts avec la Mairie et saisir un questionnaire reprenant tous les éléments attendus. Son évaluation sera ensuite passée au crible par une équipe de contrôleurs qualité avant validation définitive ou relance d’une contre-visite si nécessaire. Il s’agit donc bien d’un véritable audit-mystère nécessitant sens de l’observation, impartialité, neutralité, capacité à mémoriser, professionnalisme… et avoir le goût du service bien fait !

Les chiffres du Baromètre 2012 / 2013

La satisfaction des citoyens, c’est en effet le principal enjeu des Mairies participant au Baromètre de l’Accueil et de la Relation aux usagers, lancé il y a 2 ans par le Groupe AFNOR. Ce programme rencontre un franc succès auprès des Mairies. Après plus de 80 Mairies inscrites en 2012 lors de sa première édition, près de 200 Mairies ont adhéré en 2013. Pour l’édition 2014, les inscriptions ont déjà commencé.


Pour recevoir le dossier de demande de participation au baromètre AFNOR « Qualité – Accueil & Relation Usagers », écrire à barometre-accueil-collectivites@afnor.org

*Les résultats du baromètre 2013 sont disponibles sur demande.

A propos d’AFNOR

L'association AFNOR et ses filiales constituent un groupe international au service de l'intérêt général et du développement économique. Il conçoit et déploie des solutions fondées sur les normes, sources de progrès et de confiance. Les missions d'intérêt général sont assurées par l'association dans le cadre d'un décret qui lui confère l'animation et la coordination du système français de normalisation, la représentation des intérêts français dans les instances européennes et internationales de normalisation, l'élaboration et la diffusion des normes. Ses filiales - formation, évaluation et certification, réseau international - quant à elles, exercent des activités de marché dans un environnement concurrentiel et en respectent strictement les règles. La direction générale du Groupe est assurée par Olivier Peyrat. Pour en savoir plus : www.afnor.org

Pour toute interview, n'hésitez pas à nous contacter. Suivez l’actualité d’AFNOR dédiée à la presse sur Twitter : @AFNOR_RP




MGEFI et AFNOR
http://pressentinelle2.blogspot.fr/2013/07/a-lire-dans-miroir-social-propos-de-la.html
 
 

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Quels défis pour la protection sociale des agents publics ?


Sous l’égide de la MFP, les Mutuelles de la Fonction publique, les Employeurs publics, les agents et leurs représentants syndicaux s’interrogent sur l’avenir de la protection sociale des fonctionnaires alors même que le Gouvernement décide de généraliser la complémentaire santé obligatoire en entreprise.

 

Objectifs du colloque :

- Rappeler les particularités des dispositifs de protection sociale spécifiques aux agents publics actifs et retraités,


- Présenter les préconisations communes Mutuelles et Organisations syndicales de fonctionnaires en matière de protection sociale complémentaire,


- Proposer et débattre autour d’un modèle de protection sociale innovant et solidaire dédié aux agents des trois versants de la Fonction publique,


- Dialoguer avec les employeurs publics sur leurs préoccupations en matière de protection sociale des agents et sur les enjeux de demain.

 

COUP DE PROJECTEUR SUR LE PROGRAMME

9_H_00_-_Ouverture_du_Colloque_: Alain ARNAUD, Président de la Mutualité Fonction Publique

 

__LES_ENSEIGNEMENTS_DES_ACTUELS_DISPOSITIFS_DE_PROTECTION_SOCIALE_ COMPLÉMENTAIRE_DES_AGENTS_PUBLICS_

 

• Interviews de représentants syndicaux, de mutualistes et d'employeurs publics :

 

_ Côté_Organisations_syndicales_:

Christian GROLIER, Secrétaire général FGF-FO

Guy BARBIER, Secrétaire général UNSA Fonction publique

Thi-Trinh LESCURE, Déléguée générale Solidaires Fonction publique

Denis LEFEBVRE, Secrétaire général CFTC-FAE

_ Côté_Mutuelles_:

 Pascal BEAUBAT, Président INTÉRIALE (ou son représentant)

Serge BRICHET, Président MGEFI (ou son représentant)

David OLLIVIER-LANNUZEL, Président général MCDEF (ou son représentant)

Hubert BORDERIE, Président général MGET (ou son représentant)

 

_ Côté_Employeurs_publics_:

Marie-Anne LEVEQUE, Directrice Générale DGAFP (sous réserve)

Serge MORVAN, Directeur général DGCL (sous réserve)

Jean DEBEAUPUIS, Directeur général DGOS (sous réserve)

 

• Table ronde :

 Thierry BEAUDET, Président MGEN (ou son représentant)

Gérard VUIDEPOT, Président MNH (ou son représentant)

Alain GIANAZZA, Président général MNT (ou son représentant)

Brigitte JUMEL, Secrétaire générale CFDT Fonction publique

Jean-Marc CANON, Secrétaire général UGFF-CGT

Bernadette GROISON, Secrétaire générale FSU

Ange HELMRICH, Secrétaire national Fédération UNSA Territoriaux

 

_QUELS_ENJEUX_ET_QUELS_CHOIX_POUR_DEMAIN_?

 

_ • L’expertise juridique : comment maintenir un modèle solidaire de protection sociale aux agents publics ?

 

_ Intervenant_:

 Didier JEAN-PIERRE, Avocat, Directeur du Pôle Fonction publique Bureau Francis Lefebvre Lyon

 

• Les préconisations partagées par les Mutuelles et les Organisations syndicales de fonctionnaires ;

 

_ Intervenants_:

 Alain ARNAUD, Président MFP

Serge BRICHET, Vice-président MFP

Denis ENGELMANN, Vice-président MFP

 

__QUEL_SYSTÈME_IDÉAL_DE_PROTECTION_SOCIALE_POUR_LES_AGENTS_DE_LA_FONCTION_PUBLIQUE_?

 

_ • Regards sur :

 

- la gestion du régime obligatoire des fonctionnaires : Marc TRANCHAT, Secrétaire général MFP

 

_ _ - l'accompagnement des agents : Dominique COMBE, Présidente MASFIP

• Échanges entre mutuelles, organisations syndicales et employeurs publics :

_ Interviews_:


 
Christian GROLIER, Secrétaire général FGF-FO
Guy BARBIER, Secrétaire général UNSA Fonction publique

Thi-Trinh LESCURE, Déléguée générale Solidaires Fonction publique

Denis LEFEBVRE, Secrétaire général CFTC-FAE

Pascal BEAUBAT, Président INTÉRIALE (ou son représentant)

Serge BRICHET, Président MGEFI (ou son représentant)

David OLLIVIER-LANNUZEL, Président général MCDEF (ou son représentant)

Hubert BORDERIE, Président général MGET (ou son représentant)

Marie-Anne LEVEQUE, Directrice Générale DGAFP (sous réserve)

Serge MORVAN, Directeur général DGCL (sous réserve)

Jean DEBEAUPUIS, Directeur général DGOS (sous réserve)

 

Table_ronde_:

Marc TRANCHAT, Secrétaire général MFP

Dominique COMBE, Présidente MASFIP

Eric MARAZANOFF, Président MNFCT

Brigitte JUMEL, Secrétaire générale CFDT Fonction publique

Jean-Marc CANON, Secrétaire général UGFF-CGT

Bernadette GROISON, Secrétaire générale FSU

Ange HELMRICH, Secrétaire national Fédération UNSA Territoriaux

 

Grand témoin : Philippe LAURENT, Président du CSFPT.Débat avec la salle

 

13_H_30_-_Clôture_de_la_matinée_: Alain ARNAUD, Président MFP

Marylise LEBRANCHU, Ministre de la Réforme de l’État, de la décentralisation et de la Fonction publique (sous réserve)

En savoir plus :
13 février 2014 de 9h00 à 13h30 - Colloque de la Mutualité Fonction Publique  Amphithéâtre de la MGEN - 3 square Max Hymans, 75015 Paris
Inscriptions et renseignements par courriel à colloqueMFP2014@mfp.fr

 

 

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MINE D'INFOS: La FAF lance sa grande campagne pour l'emploi des ...:   Aveugles : un calendrier pour alerter l’opinion publique ! « Changez de point de vue : embauchez un aveugle ! » : C’est la thématique...

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13 / 02 /2014: Quels défis pour la protection sociale des agents publics ?

Colloque MFP du 13 février 2014 : Pré-Programme et Coupon réponse - 12/12/2013

Quels défis pour la protection sociale des agents publics ? 

Colloque de la Mutualité Fonction Publique 
Amphithéâtre de la MGEN - 3 square Max Hymans, 75015 Paris 

Le 13 février 2014 de 9h00 à 13h30 


Sous l’égide de la MFP, les Mutuelles de la Fonction publique, les Employeurs publics, les agents et leurs représentants syndicaux s’interrogent sur l’avenir de la protection sociale des fonctionnaires alors même que le Gouvernement décide de généraliser la complémentaire santé obligatoire en entreprise.


Objectifs du colloque :
- Rappeler les particularités des dispositifs de protection sociale spécifiques aux agents publics actifs et retraités,
- Présenter les préconisations communes Mutuelles et Organisations syndicales de fonctionnaires en matière de protection sociale complémentaire,
- Proposer et débattre autour d’un modèle de protection sociale innovant et solidaire dédié aux agents des trois versants de la Fonction publique,
- Dialoguer avec les employeurs publics sur leurs préoccupations en matière de protection sociale des agents et sur les enjeux de demain.

Inscriptions et renseignements par courriel à colloqueMFP2014@mfp.fr  
en indiquant vos Nom / Prénom / Email / Adresse 

 

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La FAF lance sa grande campagne pour l'emploi des personnes handicapées visuelles : Embauchezunaveugle.com !

 
Aveugles : un calendrier pour alerter l’opinion publique !

« Changez de point de vue : embauchez un aveugle ! » : C’est la thématique de la campagne menée par la Fédération des Aveugles et Handicapés Visuels de France, FAF, depuis plusieurs mois qui trouve écho dans son nouveau calendrier 2014.




Parce qu’aujourd’hui un aveugle sur deux est au chômage, cette campagne a un double objectif : d’une part alerter l’opinion publique sur la situation, toujours plus inacceptable, des citoyens malvoyants et aveugles de notre pays ; d’autre part sensibiliser le monde de l’entreprise sur ce véritable manquement au devoir d’égalité des chances !

« Une nouvelle fois, et toujours pour la bonne cause, nous avons détourné l’image de certaines personnalités politiques ou célébrités, toujours à leur insu. Tout devient de plus en plus difficile chaque jour pour les personnes privées de la vue. Les maux qui rongent le « peuple de la nuit » rendent ses conditions de vie de plus en plus inacceptables : chômage, scolarisation difficile, transports, voierie, et plus généralement vie de la cité difficilement accessible, voire inaccessible. Dans quelle société voulons-nous vivre ? Celle du vivre ensemble ou celle qui écrase les plus faibles ? », s’interroge Vincent MICHEL, président de la FAF.

La sortie de l’édition 2014 de son calendrier est aussi pour la FAF l’occasion de
lancer une vaste campagne de sensibilisation en faveur de l’accès à l’emploi des personnes handicapées visuelles, relayée par un site dédié www.embauchezunaveugle.fr


Mais la FAF ne se contente pas de dénoncer. Elle crée des outils concrets qui ont pour seul objectif de rendre cette inclusion professionnelle possible. Elle lancera donc officiellement dans le courant du 1er trimestre 2014 sa hotline informatique dédiée aux personnes déficientes visuelles utilisant les nouvelles technologies, notamment grâce au partenariat signé avec le Groupe Randstad le 22 octobre dernier, en présence de Madame la ministre en charge des personnes handicapées, Marie-Arlette Carlotti, qui fait de ce groupe le premier partenaire de ce projet innovant.


Ce calendrier marque le début d’une campagne intense de la FAF en 2014 pour faire entendre les droits des personnes aveugles et handicapées visuelles.

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MINE D'INFOS: Bouteille à la mer ....: RECHERCHE DE STAGE   Récemment diplômé d'une licence S ciences et T echniques des A ctivités P hysiques et S portives (STAPS) ...