Nora ANSELL-SALLES

vendredi 17 janvier 2014

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La MGEFI en faits et chiffres


■ Créée le 13 septembre 2007.


■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.


■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.


■ 260 collaborateurs au service des adhérents.


■ Un réseau de 800 militants.


■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya *


■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR


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Très bon week-end à tous

 

jeudi 16 janvier 2014

MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...

MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...: L’Académie nationale de médecine ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de sclérose en plaques par l...

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MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...: L’Académie nationale de médecine ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de sclérose en plaques par l...

MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER

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MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER

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BOUTEILLE A LA MER


AVIS DE RECHERCHE

 

Une mutuelle sociétaire de la Banque Française Mutualiste – BFM

 

Recherche un décompteur de prestations. Poste à plein temps basé en région parisienne.

 

CV est à faire parvenir à : mrosenberger@bfm

 

Merci

de faire suivre l’information dans votre réseau.

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014   Titre : Scor pourrait acheter tout ou ...

mardi 14 janvier 2014

MINE D'INFOS: C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et ...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et ...:   Sous la direction de D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n’e...

C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et de l'adolescent






 
Sous la direction de D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux
Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n’est posé que pour une petite partie d’entre eux. La migraine est pourtant la première cause de céphalées intenses récurrentes chez l’enfant, la plupart des professionnels cherchant vainement une cause, et évoquant « les yeux, une gastro, les sinus ou bien une origine psy… ».
Cet ouvrage a pour double objectif de présenter l’état de la science (épidémiologie, physiopathologie, génétique…) qui s’est largement enrichi ces dix dernières années et d’apporter aux professionnels des outils concrets pour identifier les céphalées et améliorer la prise en charge des enfants et des adolescents migraineux. Les céphalées de tension, les céphalées chroniques, les syndromes épisodiques associés à la migraine sont aussi détaillés.
Vient de paraître !



Illustré de nombreuses vignettes cliniques, cet ouvrage précise les critères diagnostiques, les pièges et les idées fausses ; il décrit comment rechercher les facteurs déclenchants et particulièrement ceux d’origine psychosociale, comment utiliser et combiner les traitements médicamenteux et non médicamenteux (notamment les approches psychothérapeutiques et psychocorporelles).
Ce traité est le fruit de l'expérience d'une équipe multidisciplinaire issue



du seul centre français de référence de la migraine

de l'enfant où plus de 8 000 enfants et adolescents ont été vus en 10 ans
De nombreux cas cliniques permettront d'illustrer la prise en charge quotidienne des ces patients



Telle est l’ambition de ce livre, destiné à tous les professionnels confrontés à des enfants et des adolescents migraineux, mais également accessible en grande partie aux familles.
2014. X, 242 p. Broché.
ISBN 978-2-8178-0234-3 50 €



À propos des auteurs
Le Dr Daniel Annequin est responsable du Centre de référence de la migraine de l’enfant et de l’adolescent de l’hôpital Trousseau à Paris (plus de 8 000 patients y ont été vus) ; il est reconnu comme étant en France l’expert de la douleur de l’enfant, tant au travers de ses multiples publications que de ses responsabilités dans le second « Plan Douleur ».

Le Dr Barbara Tourniaire est pédiatre dans le Centre de la migraine et de la douleur de l’enfant de l’hôpital Trousseau, et est responsable de la commission douleur de la Société française de pédiatrie et de la Société française d’étude et de traitement de la douleur.

Rémy Amouroux est professeur assistant de psychologie clinique à Lausanne, il a travaillé comme psychologue clinicien et comme chercheur auprès d’enfants et d’adolescents douloureux chroniques à Paris et à Brest.

MINE D'INFOS: Libres propos signés José Bovet

MINE D'INFOS: Libres propos signés José Bovet: Le Parlement européen somme la Commission européenne de lutter efficacement contre la fraude alimentaire   Les députés européens ...

Libres propos signés José Bovet


Le Parlement européen somme la Commission européenne de lutter efficacement contre la fraude alimentaire

 

Les députés européens ont voté aujourd'hui en faveur d'un rapport sur la crise alimentaire, la fraude dans la chaîne alimentaire et son contrôle. Alors que les scandales alimentaires se multiplient, le Parlement européen demande une nouvelle loi européenne consacrée à la lutte contre la fraude alimentaire.
 
Pour José Bové, vice-président de la Commission de l’Agriculture au Parlement Européen :
 
«En incluant la lutte contre la fraude dans les missions de l’Office Alimentaire Vétérinaire, l’Union européenne a  enfin compris que la libre circulation des produits agricoles doit s’accompagner de contrôles renforcés. La mise en place de sanctions financières égales au moins au double des profits réalisés par les fraudeurs est un pas dans la bonne direction.
 
Dans une Europe où la viande est devenue une matière brute qui circule de pays en pays pour être transformée, cuisinée ou mise en paquet, aucune faille ne peut être tolérée sur l’origine et la traçabilité des denrées. L’origine des viandes doit être clairement indiquée y compris dans les plats préparés, qui sont les plus susceptibles de contenir du minerai de viande.
 
Les mesures d’austérité ont entraîné le non remplacement d’un nombre important de vétérinaires chargés des contrôles sanitaires. La charge de travail qui pèse sur ceux qui sont encore en place ne leur permet pas d’assurer correctement leur mission.
 
Le gouvernement français doit lutter contre la fraude alimentaire et améliorer rapidement les contrôles en particulier dans les abattoirs pour que de telles fraudes ne se reproduisent pas à l’avenir. La sécurité alimentaire est une priorité pour nos concitoyens. "

MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...

MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...: L’Académie nationale de médecine ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de sclérose en plaques par l...

Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovigilance et d'addictovigilance s'impose


L’Académie nationale de médecine ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de sclérose en plaques par la publicité faite autour d'effets remarquables attribués au Sativex. Cette association de deux principes actifs du chanvre indien/cannabis -  le tétrahydrocannabinol (THC) et le cannabidiol (CBD) -  agit sur des symptômes qui, insuffisamment soulagés par les médicaments disponibles, altèrent gravement la qualité de vie. Toutefois l’Académie met en garde ces patients et les médecins prescripteurs contre les effets adverses avérés du THC, notamment au plan psychique.

 

En effet, l'Académie rappelle qu'en ce qui concerne l’état des connaissances relatives au  cannabis et à  ses constituants, aucun progrès significatif dans le domaine de leurs intérêts thérapeutiques allégués n’est apparu récemment, alors que les connaissances de leurs effets adverses se sont précisées et multipliées.  L’évolution de la législation en faveur de leur inscription comme agents thérapeutiques ne  semble  pas  justifiée pour des raisons pharmaco-thérapeutiques.

 

Non seulement les bénéfices potentiels du THC sont tous modestes, sans exception, mais on dispose de vrais médicaments plus efficaces pour chacun des bénéfices attendus. En revanche, les risques que fait courir le  tétrahydrocannabinol / THC sont très nombreux, souvent graves et incompatibles avec un usage thérapeutique. Toutefois, on peut s'étonner, sur le plan pharmacologique, de voir associés le THC, dans une proportion mal justifiée, et le CBD, au mécanisme d’action incertain, afin d’amoindrir les méfaits du THC.

 

L'Académie précise que, sollicitée pour avis par la Direction Générale de la Santé, le 7 janvier 2013, elle s'était prononcée contre le projet  du décret, néanmoins adopté le 5 juin dernier, ouvrant la possibilité d'une commercialisation en France de médicaments dérivés du cannabis ; son opposition était justifiée  par les raisons suivantes :

 

- Ce décret ne fait aucune distinction entre les très nombreux cannabinoïdes que recèlent, en  proportions très différentes, les diverses variétés de cannabis. Les médicaments modernes évitent justement les extraits de plantes leur préférant un de leurs principes actifs, à condition qu’il présente une supériorité par rapport aux médicaments existants. Le plus documenté, le plus abondant, et le plus puissant des  cannabinoïdes est, de très loin, le tétrahydrocannabinol,(THC). Or, il s’agit d’un agent toxicomanogène, générateur d’une dépendance psychique et physique.

 

- La pharmacocinétique très singulière du  THC est liée à son stockage intense et très durable dans les lipides de l’organisme, en particulier cérébraux, ce qui rend son utilisation complexe parce que ses effets sont prolongés, difficiles à prévoir d’un sujet à un autre,  et qu’ils favorisent  le développement d’une dépendance.

 

-Une dépendance physique  est avérée, quand bien même le syndrome de sevrage n’est pas bruyant, eu égard à la persistance très longue du THC dans l’organisme. Après l’arrêt total d’une consommation régulière de cannabis/THC, il faut attendre près de 8 semaines pour ne plus retrouver de dérivés cannabinoïdes dans les urines du consommateur, ce qui est  une situation  exceptionnelle pour un médicament.

 

- La simultanéité des activités multiples et imbriquées du THC est incompatible avec une logique thérapeutique qui s’efforce de viser un effet unique. L’effet analgésique recherché est de puissance moyenne, nettement inférieure à celle des analgésiques opiacés et opioïdes actuellement disponibles. Il est en outre de longue durée, ce qui facilite le développement d’une tolérance ainsi que d’une addiction, incitant à accroître la dose, inconvénient que n’ont pas les analgésiques les plus récents, sélectionnés pour leurs effets  de courte durée, afin éviter le développement d’une tolérance et d’une toxicomanie.

 

-Des interactions médicamenteuses nombreuses et gênantes.  Le THC potentialise les effets de l’alcool, des benzodiazépines et d’autres sédatifs et/ou hypnotiques, y compris le reliquat matinal de certains de ces derniers. Il est incompatible avec la conduite automobile, qu’il soit administré isolément ou plus encore en association aux agents précédents.

 

- Des effets indésirables graves et créant des situations à risque. Ses relations avec le développement de troubles anxieux et dépressifs, lors d’un usage semi-chronique et plus encore chronique, sont désormais établies et mieux comprises. Son usage chronique aboutit à une diminution marquée des capacités intellectuelles. En effet, la durée prolongée de l'action du THC favorise à court et à long terme le développement de troubles cognitifs. Enfin, il ne faut pas oublier sa responsabilité dans le développement d’un type agressif de cancers du testicule,  la diminution de la testostéronémie qui perturbe la libido, ses effets immunodépresseurs et  cardio-vasculaires, et son implication dans la gestation, avec des risques d'anomalies pour l’enfant à naître.

 

L'Académie de médecine rappelle que l'autorisation de mise sur le marché (AMM) qui vient d'être accordée au Sativex ne constitue nullement une légalisation du cannabis thérapeutique en France. Utiliser la plante dans des préparations magistrales, tout comme fumer la plante (marijuana) pour soulager des douleurs restent interdits.

 

Enfin, l'Académie met en garde contre les risques de détournement d'usage du Sativex, malgré les nombreux garde-fous imposés par l’autorisation de mise sur le marché en matière d'indications et de conditions de prescription. En effet, si le cannabis en spray ne devrait pas intéresser les fumeurs de joints, on peut craindre la multiplication de prescriptions hors AMM à divers usages comme sevrer les toxicomanes,  atténuer les nausées des malades traités par  chimiothérapie, rendre l’appétit aux malades atteints de SIDA, toutes indications largement plébiscitées dans l'opinion, mais dont il convient de rappeler qu'elles ne sont pas  étayées par des études cliniques  indiscutables.

 

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014   Titre : Scor pourrait acheter tout ou ...

La MGEFI dans la presse


Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014

 

Titre : Scor pourrait acheter tout ou partie du capital de MutRé, qu'il détient à parts égales avec la Mutualité Française et la Matmut

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE du 08 JAN 14

 

Titre : Les évènements qui ont marqué 2013

L'OPTICIEN LUNETIER de DEC 13

 

Titre : Les événements qui ont marqué l'année 2013

L'OUIE MAGAZINE de  NOV/DEC 13

 

Titre : L'Argus de l'Assurance - Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

ARGUS ASSURANCE NEWSLETTER du 10 JAN 14  



Titre : Carnet

L'ENA MENSUEL HORS LES MURS de DEC 13


 
 


lundi 13 janvier 2014

Cancer du col de l'utérus ....

La sage-femme dans la campagne de dépistage du cancer du col de l'utérus


10 janvier 2014 |  Communiqué | 

L'UNSSF, Union Nationale et Syndicale des Sages-Femmes, se réjouit que  les sages-femmes soient associées pleinement à la nouvelle campagne sur le dépistage du cancer du col de l'utérus.

A la différence de la dernière campagne et suite à la demande de l'UNSSF, elles sont désormais citées dans la campagne radio.

Rappeler aux femmes tous les professionnels impliqués, c'est permettre l'amélioration de la prise en charge de la santé des femmes, préoccupation majeure de l'UNSSF.

MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle

MINE D'INFOS: Santé : le point sur l'hypetension artérielle: LES MARDIS DE L'ACADEMIE   DE MEDECINE Mardi 14 janvier 2014, 14h30   15h00 « L’hypertension artérielle dans tous ses é...

Santé : le point sur l'hypetension artérielle


LES MARDIS DE L'ACADEMIE  DE MEDECINE

Mardi 14 janvier 2014, 14h30

 

15h00
« L’hypertension artérielle dans tous ses états »

Organisateur : Pierre-François PLOUIN

 

 

Introduction par Pierre-François PLOUIN (Membre correspondant de l’Académie nationale de médecine 

 

Communications

Dénervation rénale dans le traitement de l’hypertension résistante : intérêts, limites et perspectives par Michel AZIZI (Centre d’investigation clinique, Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )

Malgré l'existence de plusieurs classes de traitements antihypertenseurs actifs par voie orale, l'hypertension artérielle résistante (HTAR) reste un problème important de santé publique en 2014. L'échec des approches purement pharmacologiques pour traiter l'HTAR a stimulé l'intérêt pour de nouvelles approches invasives fondées le principe de modulation de l’activité sympathique rénale et centrale. Ainsi la dénervation rénale par voie endovasculaire utilise un courant de radiofréquence ou des ultrasons pour réaliser une ablation des fibres sympathiques afférentes et efférentes qui cheminent dans l’adventice des artères rénales.  À ce jour, cette nouvelle technique a été évaluée dans un petit nombre d’essais randomisés ouverts ou au cours d’études de cohorte qui ont inclus un nombre limité de patients hautement sélectionnés ayant une HTAR, une anatomie artérielle rénale compatible et un débit de filtration glomérulaire > 45 ml/min. Les données disponibles suggèrent un effet tensionnel favorable de la dénervation rénale à court et moyen terme avec une faible incidence de complications locales et endovasculaire immédiates. Cette période de suivi est cependant trop courte pour la détection des événements indésirables rares ou d'apparition tardive (sténose artérielle rénale de novo). Les études publiées à ce jour ont plusieurs limitations inhérentes à leur caractère ouvert avec un risque de bais d’évaluation et de performance compromettant potentiellement leur validité interne. Ainsi, les effets tensionnels de la dénervation rénale évalués par mesure ambulatoire sont de plus faible amplitude que ceux détectés par la mesure clinique de la pression artérielle. Enfin, il est difficile d'extrapoler à l’ensemble des patients souffrant d'HTAR sur la base des résultats des essais qui ont inclus des patients hautement sélectionnés. Dans ce contexte, l’utilisation de cette procédure doit rester contrôlée  car 1) le rapport bénéfice / risque reste mal connu, 2) la réponse tensionnelle à la denervation rénale est très variable d’un individu à l’autre, 3) il n’y a aucun marqueur de succès primaire de la procédure, et 4) le rapport coût - efficacité reste mal connu. En 2014, les indications de la dénervation rénale doivent être celles retenues par la conférence de consensus français (www.sfhta.org). Enfin, le suivi rigoureux des patients après dénervation rénale nécessite au mieux leur inclusion dans les essais cliniques et les registres internationaux.

Hypertension masquée : prévalence, causes et conséquences par Guillaume BOBRIE (Médecine vasculaire et hypertension artérielle, Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )

L’« hypertension masquée » est définie par la constatation de chiffres tensionnels élevés en dehors du milieu médical (mesure ambulatoire ou automesure à domicile) et normaux au cabinet médical. Sa fréquence est élevée, surtout chez les sujets recevant un traitement antihypertenseur sujets ayant une PA normale en mesure. Elle est souvent associée aux autres facteurs de risque cardio-vasculaire. Son pronostic cardio-vasculaire en termes d’atteinte des organes cibles et de complication est plus élevé que celui des sujets étiquetés normo-tendus par toutes les méthodes de mesure et voisin de celui des sujets étiquetés hypertendus par toutes les méthodes de mesure. Son mécanisme physiopathologique n’est pas connu. Aucun essai contrôlé visant à démontrer le bénéfice de son traitement n’a été réalisé.

De nouveaux gènes de prédisposition à une forme rare d'hypertension révèlent des mécanismes communs de régulation du bilan sodé par Xavier JEUNEMAITRE (Département de Génétique. Centre de Référence des Maladies Vasculaires Rares - Hôpital européen Georges Pompidou, Paris )
 

MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...

MINE D'INFOS: VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs :...: L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «   ...

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VOUS et ... vos contraceptifs oestroprogestatifs : Un document destiné aux femmes



L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie aujourd’hui un document destiné aux femmes : «  Vous et… vos contraceptifs oestroprogestatifs » pour les aider à mieux connaître les effets indésirables, les signes évocateurs d’une survenue d’accident thrombotique qui sont rares mais graves, ainsi que les précautions d’emploi pour minimiser les risques liés aux pilules, à l’anneau et au patch contraceptifs oestroprogestatifs. Ce document a été réalisé en collaboration avec la Haute autorité de santé (HAS), les professionnels de santé et les associations de patients.

 

Ce document est diffusé auprès des professionnels de santé qui pourront le remettre à leur patientes, Il est également téléchargeable sur le site Internet de l’ANSM (rubrique Publications >> Dépliants).

 

En contexte : réévaluation au niveau européen

 

En janvier 2013, l’ANSM a initié en une réévaluation du rapport bénéfice/risque des contraceptifs hormonaux combinés (CHC, incluant les pilules, l’anneau vaginal et le patch) contenant des progestatifs dits de 3e et 4e générations (désogestrel, diénogest, gestodène, norgestimate, drospirénone, chlormadinone, nomégestrol, étonogestrel et norelgestromine). Elle a introduit une procédure d’arbitrage auprès des institutions communautaires au niveau européen.

 

En novembre 2013, le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’Agence européenne des médicaments (EMA) a adopté une position finale. Le rapport bénéfices/risques des CHC reste favorable, le risque bien connu de thrombo-embolie veineuse est maintenant mieux pris en considération. La position du CHMP est en cours d’examen par la Commission européenne.

 

Recommandations de l’ANSM aux professionnels et aux femmes

 

L’ANSM rappelle ses recommandations et celles de la HAS sur le bon usage des CHC :
 

Il est recommandé aux femmes et aux prescripteurs d’utiliser préférentiellement des contraceptifs oraux combinés contenant du lévonorgestrel ou de la noréthistérone (ou maintenant du norgestimate) en combinaison avec la dose la plus faible d’estrogène.

Lors de la première prescription de contraceptifs hormonaux combinés, un examen médical attentif et des examens biologiques (cholestérol total, triglycérides, glycémie à jeun) doivent permettre de repérer les facteurs de risque et d’adapter au mieux la contraception à chaque femme, y compris dans le cas de contre-indications, en lui proposant un autre moyen contraceptif adapté.

Il est important d’informer les femmes sous CHC des premiers signes et symptômes d’accident thromboembolique et de la nécessité de consulter un médecin s’ils surviennent.

 

http://ansm.sante.fr/Dossiers/Pilules-estroprogestatives-et-risque-thrombotique/Actualite/(offset)/0

 
 

La Commission Européenne approuve l’évolution de l’indication d’ERBITUX® pour les patients atteints d’un cancer colorectal métastatique avec des tumeurs RAS de type sauvage


L’approbation de la Commission Européenne est basée sur l’avis positif du CHMP

 

L’évolution de l’indication vient en réponse aux nouvelles données sur les biomarqueurs obtenues dans l’étude OPUS

 

Darmstadt, Allemagne, 23 Décembre 2013 – Merck Serono, la division biopharmaceutique de Merck, a annoncé que la Commission Européenne avait approuvé la variation de type II pour amender les informations produit d’ERBITUX®® (cetuximab), mettant à jour l’indication d’ERBITUX®, pour le traitement des patients avec un cancer colorectal métastatique (CCRm) RAS sauvage. L’approbation de la Commission Européenne suit l’avis positif du Comité des Médicaments à Usage Humain (CHMP = Committee for Medicinal Products for Human Use) (délivré en Novembre 2013) et est basée sur la totalité des données récentes concernant le rôle du statut mutationnel RAS dans le CCRm pour le profil bénéfice-risque du produit.

 

L’approbation se réfère tout d’abord aux nouvelles données sur les biomarqueurs de l’étude OPUS (OxaliPlatin and cetUximab in firSt-line treatment of mCRC).1 Dans des analyses récentes des études évaluant les anticorps monoclonaux anti- EGFR comme ERBITUX®, les échantillons tumoraux des patients avec une tumeur KRAS sauvage (exon 2) ont été évalués pour des mutations additionnelles RAS

 

 

Communiqué de presse

 

(définies comme les mutations des exons 3 ou 4 de KRAS et/ou des exons 2, 3 ou 4 de NRAS). Les résultats de ces études indiquent que les patients présentant une tumeur RAS sauvage peuvent bénéficier d’un traitement par ERBITUX®, alors que les patients avec une tumeur RAS muté ne le peuvent pas.

 

“Nous soutenons pleinement cette évolution de l’indication d’ERBITUX® dans le cancer colorectal métastatique, car elle va fournir aux médecins des informations complémentaires pour prendre en charge les patients avec un cancer colorectal,” a déclaré Belén Garijo, Présidente et CEO de Merck Serono. “Nous allons désormais travailler avec les agences réglementaires pour communiquer effectivement les implications des ce changement d’indication pour les professionnels de santé et les patients.”

 

Dans l’information produit mise à jour, ERBITUX® est désormais indiqué pour le traitement des patients atteints d’un CCRm avec gène RAS sauvage exprimant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) en association avec une chimiothérapie à base d’irinotécan, en 1ère ligne en association au Folfox ou en monothérapie chez les patients ayant connu l’échec d’un traitement à base d’oxaliplatine et d’irinotécan, et en cas d’intolérance à l’irinotécan. Dans cette évolution de l’indication, la contre-indication de l’association du produit ERBITUX® à une chimiothérapie contenant de l’oxaliplatine sera étendue pour inclure les patients présentant un CCRm avec une tumeur RAS muté ou dont le statut mutationnel RAS est inconnu.

 

L’information complète d’ERBITUX® pour les patients sera consultable publiquement dans le résumé des caractéristiques produit révisé. Une fois mis à jour, il sera disponible en ligne à l’adresse suivante : www.ema.europa.eu/ema

 

A propos de l’étude OPUS

OPUS (OxaliPlatin and cetUximab in firSt-line treatment of mCRC) est une étude randomisée, contrôlée, de phase II, impliquant 337 patients avec un CCRm dont 179 avec un statut KRAS sauvage (exon 2). Elle a démontré l’efficacité de l’association ERBITUX® + FOLFOX-4 par rapport au FOLFOX-4 seul.2 Les résultats de l’analyse selon le statut mutationnel RAS seront présentés à l’ASCO-GI (Gastrointestinal Cancers Symposium) en janvier 2014 à San Francisco, Californie, U.S.A...

 

A propos du cancer colorectal

Le cancer colorectal (CCR) est le 4ème cancer le plus répandu dans le monde avec une incidence estimée de plus de 1.2 million de cas au total.3 Il provoque environ 608 000 décès chaque année dans le monde, comptant pour 8% du total des morts par cancer et faisant du CCR la 4ème cause la plus commune de décès par cancer.3 Près de 60% des cas surviennent dans les pays développés. Les taux d’incidence et de mortalité sont nettement plus élevés chez les hommes que chez les femmes.3 En Europe seulement, ce sont environ 436 000 personnes qui développent un CCR chaque année et 212 000 personnes qui en décèdent.

 

References

1. Tejpar S, et al. Accepted at 2014 Gastrointestinal Cancers Symposium, January 16–18, 2014.

2. Bokemeyer C, et al. Ann Oncol 2011;22(7):1535–46.

3. Ferlay J, et al. Int J Cancer 2010;127(12):2893–917.

4. Ferlay J, et al. Eu J Cancer 2010;46(4):765–81.

Plus d’informations sur ERBITUX® sur www.globalcancernews.com.

 

A propos d’ERBITUX®

ERBITUX®® est un anticorps monoclonal IgG1, premier de sa catégorie et hautement efficace, ciblant l’EGFR (epidermal growth factor receptor).En tant qu’anticorps monoclonal, le mode d’action d’ERBITUX® est différent des traitements de chimiothérapie standards non sélectifs par le fait qu’il cible et se lie spécifiquement à l’EGFR. Cette liaison inhibe l’activation du récepteur et la voie de signalisation du signal en aval, réduisant ainsi à la fois l’invasion tumorale des tissus sains et l’extension tumorale à de nouveaux sites. Cette liaison d’ERBITUX® à l’EGFR entraînerait aussi une inhibition de la capacité des cellules

tumorales à réparer les lésions dues à la chimiothérapie et à la radiothérapie et une inhibition de la formation de nouveaux vaisseaux sanguins au sein de la tumeur, qui conduirait à une suppression globale de la croissance tumorale.

 

L’effet indésirable le plus souvent reporté avec ERBITUX® est un rash acnéiforme qui semble corrélé avec une bonne réponse au traitement. Pour environ 5% des patients, des réactions d’hypersensibilité peuvent apparaître durant le traitement par ERBITUX®, la moitié d’entre elles étant sévères.

 

ERBITUX® a déjà obtenu une autorisation de mise sur le marché dans 93 pays. Il a été approuvé pour le traitement du cancer colorectal dans 93 pays et dans 91 pays pour le traitement du cancer épidermoïde de la tête et du cou.

 

Merck a obtenu une licence pour la commercialisation d’ERBITUX® en dehors des USA et du Canada de la part d’ImClone LLC, une filiale exclusive d’Eli Lilly and Company, en 1998. Au Japon, ImClone, Bristol- Myers Squibb Company et Merck développe et commercialise ERBITUX® conjointement. Merck a un engagement continu pour l’avancement du traitement en oncologie et est actuellement à la recherche de nouvelles thérapies dans les domaines très ciblés.

 

A propos de Merck Serono

Merck Serono est la division biopharmaceutique de Merck. Merck Serono, dont le siège est à Darmstadt (Allemagne), met à la disposition des patients, dans 150 pays, des médicaments majeurs dans les domaines de l'oncologie, de la sclérose en plaques, de l’infertilité, des troubles endocriniens et métaboliques, ainsi que dans le domaine des maladies cardio-vasculaires. Aux États-Unis et au Canada,

 

EMD Serono opère en tant que filiale juridiquement indépendante de Merck Serono. Merck Serono découvre, développe, produit et commercialise des médicaments de prescription, obtenus par synthèse chimique ou issus de la biotechnologie, dans des indications relevant de spécialistes médicaux. Nous avons pris l'engagement sur le long terme de développer de nouveaux traitements dans nos domaines thérapeutiques cibles que sont l’oncologie, la neurologie et l’immunologie.

 

Plus d’informations sur www.merckserono.com ou www.merckgroup.com

 

A propos de Merck

Merck est un groupe pharmaceutique et chimique de premier plan, dont les ventes se sont élevées à 11,2 milliards d’euros en 2012. Fort d’une histoire qui a commencé en 1668, Merck construit son avenir grâce à environ 38 000 employés répartis dans 66 pays. L’une des clés de sa réussite tient au sens de l’innovation de ses employés. Les activités de Merck sont chapeautées par la société Merck KGaA, dont le capital est détenu à hauteur d’environ 70% par la famille Merck et à hauteur d’environ 30% par des actionnaires extérieurs. L’ancienne filiale américaine Merck & Co. est totalement autonome depuis 1917, et n’a depuis

plus aucun lien avec le groupe Merck.

 

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