Nora ANSELL-SALLES

lundi 10 décembre 2012

Adhérent MGEFI cette info vous concerne


Contrats spécifiques

 

Un numéro de téléphone unique

Depuis le 1er décembre, la cellule en charge

de la gestion des contrats spécifiques est accessible

par téléphone via un numéro unique.

Pour toute question relative à la gestion des dossiers :

- CMU-C,

- ACS,

- Contrats groupe (FMIN/A.G.R.A.F, FMP Collaborateurs

MGEFI...),

- Soins à l'étranger, TOM et Mayotte,

les adhérents doivent composer le 0810.11.20.77

du lundi au vendredi de 9 h 00 à 12 h 30.

Ce numéro est géré par un serveur contact multi

canal (CMC) qui oriente les adhérents en fonction

de la nature de leur contrat et l'objet de leur appel.

Leurs demandes peuvent être également transmises

par courriel à : contratsspecifiques@mgefi.fr

 

Adhérent MGEFI cette info vous concerne


PUBLICATIONS 2013

Afin de pouvoir répondre aux besoins des adhérents de la MGEFI dès le 1er janvier 2013,

les services de la DOQ et de la communication ont travaillé conjointement sur la mise à

jour des publications indispensables au réseau des conseillers mutualistes.

Les brochures suivantes sont d'ores et déjà disponibles :

Offres santé : Vita, Prémi, Multi

3 couvertures en toute liberté

7 bonnes raisons de les rejoindre

Vivez pleinement votre retraite

Vos démarches sécu et Mutuelle

Une couverture adaptée à votre santé ( livret contractuel)

La mise à jour d' autres supports est déjà planifiée pour début 2013.

Le chiffre MGEFI


281 207

C'est le nombre de plis envoyés dans le cadre du renouvellement au 7/12/2012

 

Indiscrétion…. Adhérent MGEFI cette info vous concerne


Bouchardon : lancement des travaux

La société DUMEZ, filiale du groupe VINCI, a été choisie comme Entreprise Générale pour

gérer l’ensemble des travaux des nouveaux locaux de la MGEFI de la rue Bouchardon.

Elle a pour mission de sélectionner les prestataires des différents corps de métier, de coordonner

et suivre l’ensemble des travaux et de respecter le délai de 12 mois prévu pour ce chantier.

La livraison des locaux est prévue fin octobre 2013 et le déménagement est envisagé avant la

fin de cette même année .

L'arrivée des premières équipes sur le chantier est intervenue dès le début décembre.

En activité maximale, ce sont près de 100 professionnels du bâtiment qui seront en action

sur le terrain.

Cependant, afin de limiter les nuisances sonores pour le voisinage, des outils adaptés seront

employés par les ouvriers.

CREDIT D’IMPOT COMPETITIVITE ET EMPLOI


 
La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

 

 

 

 

La Mutualité Française, acteur de l’économie sociale et solidaire, a pris connaissance du débat sur le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) dans le cadre du projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012.

 

Elle déplore que le dispositif, adopté par l’Assemblée nationale la semaine dernière, ait fortement restreint le nombre des entreprises de l’économie sociale et solidaire qui devraient toutes pouvoir bénéficier de ce crédit d’impôt.

 

Dans le cadre de la suite de la discussion parlementaire, la Mutualité Française demande que ce dispositif soit revu de façon à ce que les mutuelles puissent continuer à jouer sur l’ensemble du territoire un rôle de cohésion sociale en permettant l’accès de tous à des soins de qualité.

 

Elle pense notamment à de nombreux services de soins et d’accompagnement gérés par les mutuelles qui favorisent l’accès à des soins de qualité à des tarifs maîtrisés, l’innovation sociale et la régulation des dépenses de santé : centres de santé, établissements hospitaliers, établissements et services pour la petite enfance, les personnes âgées ou en situation de handicap…

 

Le mouvement mutualiste et l’ensemble du secteur non lucratif, participent aussi à l’effort de croissance et de compétitivité. Ainsi les entreprises de l’économie sociale et solidaire représentent 10% de l’emploi en France. Plus de 2 millions de Français en sont salariés, avec une hausse du nombre de salariés de 23% en dix ans. Elles doivent donc pouvoir bénéficier des mêmes avantages que les entreprises du secteur lucratif.

 

 

LIBRES PROPOS


La confiance ne se décrète pas. En revanche, la défiance se répand de façon

inquiétante. L’exemple de l’hôpital Saint-Malo est éloquent. La justice a dû intervenir pour arrêter les intrusions violant le secret médical d’un cabinet d’expertise au sein des activités médico-chirurgicales de cet établissement.

L’attitude de ces « experts » préfigure une solution à laquelle nos technocrates sanitaires devraient songer pour rendre règlementaires et efficientes ces enquêtes : la définition de nouvelles fonctionnalités dans nos établissements hospitaliers avec la création de deux nouveaux métiers, les inspecteurs et commissaires hospitaliers. Allant par paire, munis d’une casquette et d’un badge portant leur numéro d’immatriculation, les premiers seraient chargés de suivre chaque praticien dans son activité, et de noter ses moindres faits et gestes (pour les gardes, on prévoirait un dispositif allégé, permettant néanmoins d’assurer une surveillance constante).

Les inspecteurs hospitaliers rendraient compte quotidiennement de leur mission à leur supérieur hiérarchique au sein de l’hôpital, le commissaire hospitalier, rattaché directement à la direction. Le corps des commissaires d’ARS serait institué au niveau régional. Pour l’Assistance publique – hôpitaux de Paris, l’Assistance publique – hôpitaux de Marseille et les Hospices civils de Lyon, il faudrait prévoir un échelon intermédiaire, appelé commissaire central, chargé de coordonner l’ensemble des commissaires hospitaliers de ces grands groupes.

Les commissaires d’ARS se réuniraient une fois par mois au ministère de la Santé pour faire un rapport circonstancié au sein de la direction de la surveillance des praticiens (DSP), dont le directeur aurait rang de commissaire général. L’Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et
médico-sociaux (la célèbre ANAP) serait chargée d’évaluer l’ensemble de ce dispositif innovant, et espérons-le, pérenne. Pour cela, elle ferait appel à un cabinet-conseil, sur appel d’offre. Cela assurerait enfin une transparence totale des activités médicales au sein des hôpitaux et pourrait être aisément financé par la suppression de personnels soignants.

 

Bernard Granger.


NDLF : pour recevoir la contribution de Frédéric Pain aux travaux du groupe 3 du pacte de confiance. Merci de contacter en direct Bernard Granger ou Fréderic Pain

 
Réagissez en direct sur le blog

Cadeaux : Pourquoi pas un bijou personnalisé !


D’influence retro vintage, les bijoux Pulp Creation allient féminité et délicatesse. : Boucles d’oreilles, bracelets, colliers sont créés à la main -par les soins de la jeune artiste-et proposés en de nombreuses nuances pour que chacun trouve toujours un bijou retro vintage assorti à sa tenue, ses envies...

 

Chaque bijou est personnalisable pour permettre d’offrir ou de s’offrir un bijou unique…

 

En manque d’idée... : la créatrice propose des visuels, fruits sa création graphique, ou issus de tableaux anciens.

 

 

En savoir plus :

 
Découvrir l’univers de l’artiste: http://www.alittlemarket.com/boutique/pulpcreation

Le site de la boutique est actualisé chaque jour.

 

 

C'est à écouter : « Julie et les sortilèges » sur l'AppStore


Découvrir la musique par le biais du conte, d’autres l’ont déjà fait, ce n’est pas nouveau….ce qui est nouveau c’est le parti-pris d’écrire des histoires inspirées de musiques souvent inconnues des enfants malgré leur potentiel éminemment ludique !

 

Peut être connaissez vous déjà les Editions Anacrouse qui proposent depuis plusieurs années une collection de contes musicaux pour les enfants, de la naissance à pas d'âge?

Si ce n'est pas le cas, profitez de la sortie de l'application IPhone, "Julie et les sortilèges" pour entamer une petite promenade musicale à travers nos histoires...

A l'approche de noël les éditions Anacrouse mettent à disposition sur APP Store une application IPhone gratuite réalisée sur le thème de leur dernière parution "Julie et les sortilèges"

Vous découvrirez les magnifiques illustrations réalisées par Marion Meert et Jean-Charles Debroize à partager avec vos enfants...

En savoir plus


La  collection est en vente chez tous les libraires ainsi que la FNAC, www.fnac.com, AMAZON et sur le site www.anacrouse.net.

OPHTA POINT VISION fête ses un an,


 ou quand un modèle innovant rencontre le succès

 

Proposer un rendez-vous et un bilan ophtalmologique complet en moins de 48

heures, dans le respect des tarifs de la sécurité sociale, c’est le pari gagné pour

OPHTA POINT VISION qui a ouvert depuis le début de l’année deux centres

modèles à Paris et à Lyon.

 

Près de six Français sur dix ont déjà renoncé à voir un spécialiste en raison des délais trop

longs pour obtenir un rendez vous. L’ophtalmologie est la spécialité où la pénurie se fait

ressentir le plus durement et dans certains départements, l’attente peut atteindre six mois à

un an. Pour remédier à celà, OPHTA POINT VISION offre aux patients un modèle économique

innovant imaginé par ses fondateurs (1). Leur défi est aujourd’hui relevé grâce à une

rationalisation des pratiques médicales et à un regroupement d’expertises

complémentaires.

Le nouveau modèle organisationnel d’OPHTA POINT VISION permet de prendre en charge

deux fois plus de patients tout en garantissant la qualité des actes médicaux (traitement de

40 000 patients par an et par centre avec une prise de rendez-vous directement sur internet

ou par téléphone). D’après le Professeur Gérard de Pouvourville à la Chaire ESSEC Santé,

Paris, « OPHTA POINT VISION est un exemple parfait de ce que l'initiative entrepreneuriale

libérale peut apporter comme solution innovante en matière d'accès aux soins, dans le

respect du cadre conventionnel et avec une haute qualité de service».

Ainsi, à Paris comme à Lyon et dans les futurs centres, les équipes sont pluridisciplinaires.

Concrètement, lors d’une même consultation qui dure entre 10 et 20 minutes, l’orthoptiste

effectue les premiers contrôles (mesures ophtalmologiques, réfraction, détection des

anomalies de la vision binoculaire) à l’aide d'un plateau technique de pointe. Le patient

est ensuite pris en charge par l’ophtalmologiste qui analyse les résultats de l’examen

liminaire, fait son diagnostic, délivre une ordonnance si nécessaire et rédige un compterendu

de l’examen. Outre l’ophtalmologie dite de « premier recours » et les bilans complets,

les centres proposent également la chirurgie de la cataracte, la contactologie et la chirurgie

réfractive.

OPHTA POINT VISION prévoit de développer une cinquantaine de centres dans les sept

prochaines années sur le territoire français. Les dirigeants souhaitent recruter de jeunes

ophtalmologistes qui démarrent leur activité libérale dans un environnement « clé en main »

ainsi que de jeunes retraités désirant poursuivre une activité salariée à temps partiel.

OPHTA POINT VISION fête aujourd’hui un anniversaire exemplaire pour l’offre de soins en


 

ANNEXE

 

(1)  Les fondateurs d'OPHTA POINT VISION

 

François PELEN

Président du Conseil d'Administration – OPHTA POINT VISION

Ophtalmologiste, diplômé d'HEC, François PELEN praticien attaché en ophtalmologie de

l'Hôpital Henri Mondor, membre de la Société française d'ophtalmologie et de l'American

Academy of Ophthalmology. Il a commencé sa carrière dans l'industrie pharmaceutique, de

Sanofi à Pfizer où il exerçait jusqu'à une date récente des fonctions de

vice-président, en charge du customer marketing.

Ayant développé un concept original d'organisation des soins en ophtalmologie de premier

recours, il décide de quitter l'industrie pharmaceutique pour créer la société OPHTA POINT

VISION en 2011 et rejoint l'incubateur public Agoranov-Institut de la Vision, en compagnie

de ses associés fondateurs Patrice Pouts et Raphaël Schnitzer.

 

Patrice POUTS

Président OPHTA POINT VISION

Né en septembre 1972, Patrice POUTS est diplômé d'HEC Executive MBA, de The Anderson

School of Management (Los Angeles) et titulaire d'un mastère spécialisé en achats

internationaux (Ecole de Management-Bordeaux).

Après une carrière dans les achats dans de grands groupes internationaux (Valeo, General

Electric HealthCare), Patrice Pouts a rejoint le laboratoire Pharmaceutique Pfizer en 2000 en

tant que Directeur des Achats et par la suite Directeur des Opérations Cliniques jusqu'en

2011. Ses différentes responsabilités lui ont permis d'acquérir une approche

organisationnelle et de développer une solide expertise dans la santé.

En 2011, avec ses associés, il créait la société OPHTA POINT VISION avec comme objectif de

mettre en place un réseau national de centres d'ophtalmologie de premier recours pour

prendre en charge la prescription de lunettes et de faire un bilan oculaire complet avec la

promesse d'un rendez-vous assuré dans les 48 heures, sans dépassement d'honoraires.

 

Raphaël SCHNITZER

Directeur du développement et des Affaires juridiques d'OPHTA POINT VISION, Raphaël

SCHNITZER est juriste de formation, MS HEC. Il a une expérience au sein de cabinets

juridiques internationaux.

OPHTA POINT VISION fête ses un an,


ou quand un modèle innovant rencontre le succès

 

Proposer un rendez-vous et un bilan ophtalmologique complet en moins de 48

heures, dans le respect des tarifs de la sécurité sociale, c’est le pari gagné pour

OPHTA POINT VISION qui a ouvert depuis le début de l’année deux centres

modèles à Paris et à Lyon.

Près de six Français sur dix ont déjà renoncé à voir un spécialiste en raison des délais trop

longs pour obtenir un rendez vous. L’ophtalmologie est la spécialité où la pénurie se fait

ressentir le plus durement et dans certains départements, l’attente peut atteindre six mois à

un an. Pour remédier à celà, OPHTA POINT VISION offre aux patients un modèle économique

innovant imaginé par ses fondateurs (1). Leur défi est aujourd’hui relevé grâce à une

rationalisation des pratiques médicales et à un regroupement d’expertises

complémentaires.

Le nouveau modèle organisationnel d’OPHTA POINT VISION permet de prendre en charge

deux fois plus de patients tout en garantissant la qualité des actes médicaux (traitement de

40 000 patients par an et par centre avec une prise de rendez-vous directement sur internet

ou par téléphone). D’après le Professeur Gérard de Pouvourville à la Chaire ESSEC Santé,

Paris, « OPHTA POINT VISION est un exemple parfait de ce que l'initiative entrepreneuriale

libérale peut apporter comme solution innovante en matière d'accès aux soins, dans le

respect du cadre conventionnel et avec une haute qualité de service».

Ainsi, à Paris comme à Lyon et dans les futurs centres, les équipes sont pluridisciplinaires.

Concrètement, lors d’une même consultation qui dure entre 10 et 20 minutes, l’orthoptiste

effectue les premiers contrôles (mesures ophtalmologiques, réfraction, détection des

anomalies de la vision binoculaire) à l’aide d'un plateau technique de pointe. Le patient

est ensuite pris en charge par l’ophtalmologiste qui analyse les résultats de l’examen

liminaire, fait son diagnostic, délivre une ordonnance si nécessaire et rédige un compterendu

de l’examen. Outre l’ophtalmologie dite de « premier recours » et les bilans complets,

les centres proposent également la chirurgie de la cataracte, la contactologie et la chirurgie

réfractive.

OPHTA POINT VISION prévoit de développer une cinquantaine de centres dans les sept

prochaines années sur le territoire français. Les dirigeants souhaitent recruter de jeunes

ophtalmologistes qui démarrent leur activité libérale dans un environnement « clé en main »

ainsi que de jeunes retraités désirant poursuivre une activité salariée à temps partiel.

OPHTA POINT VISION fête aujourd’hui un anniversaire exemplaire pour l’offre de soins en


 

ANNEXE

(1) Les fondateurs d'OPHTA POINT VISION

François PELEN

Président du Conseil d'Administration – OPHTA POINT VISION

Ophtalmologiste, diplômé d'HEC, François PELEN praticien attaché en ophtalmologie de

l'Hôpital Henri Mondor, membre de la Société française d'ophtalmologie et de l'American

Academy of Ophthalmology. Il a commencé sa carrière dans l'industrie pharmaceutique, de

Sanofi à Pfizer où il exerçait jusqu'à une date récente des fonctions de

vice-président, en charge du customer marketing.

Ayant développé un concept original d'organisation des soins en ophtalmologie de premier

recours, il décide de quitter l'industrie pharmaceutique pour créer la société OPHTA POINT

VISION en 2011 et rejoint l'incubateur public Agoranov-Institut de la Vision, en compagnie

de ses associés fondateurs Patrice Pouts et Raphaël Schnitzer.

Patrice POUTS

Président OPHTA POINT VISION

Né en septembre 1972, Patrice POUTS est diplômé d'HEC Executive MBA, de The Anderson

School of Management (Los Angeles) et titulaire d'un mastère spécialisé en achats

internationaux (Ecole de Management-Bordeaux).

Après une carrière dans les achats dans de grands groupes internationaux (Valeo, General

Electric HealthCare), Patrice Pouts a rejoint le laboratoire Pharmaceutique Pfizer en 2000 en

tant que Directeur des Achats et par la suite Directeur des Opérations Cliniques jusqu'en

2011. Ses différentes responsabilités lui ont permis d'acquérir une approche

organisationnelle et de développer une solide expertise dans la santé.

En 2011, avec ses associés, il créait la société OPHTA POINT VISION avec comme objectif de

mettre en place un réseau national de centres d'ophtalmologie de premier recours pour

prendre en charge la prescription de lunettes et de faire un bilan oculaire complet avec la

promesse d'un rendez-vous assuré dans les 48 heures, sans dépassement d'honoraires.

Raphaël SCHNITZER

Directeur du développement et des Affaires juridiques d'OPHTA POINT VISION, Raphaël

SCHNITZER est juriste de formation, MS HEC. Il a une expérience au sein de cabinets

juridiques internationaux.