Nora ANSELL-SALLES

mardi 27 novembre 2012

Otpiciens mutualistes : Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS


Réseaux optiques - Résultats de l'enquête IPSOS auprès des utilisateurs de réseaux - Une satisfaction globalement plus élevée et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l'opticien agréé

 

Convaincue que l'organisation en réseaux d'opticiens agréés est une réponse à la diminution du reste à charge en optique pour les ménages, la Mutualité Française a fait réaliser une enquête par IPSOS pour cerner les attentes et les opinions des Français qui ont récemment acheté des lunettes correctrices chez un opticien appartenant à un réseau agréé : niveau de remboursement, qualité des prestations et comportements d'achats en optique.

 

Une satisfaction globalement élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, et une priorité donnée au reste à charge dans le choix de l’opticien agréé

 

Constat :: Un accès aux soins difficile, notamment dans le secteur de l’optique

 

La difficulté d’accès aux soins, notamment pour les catégories sociales les plus modestes, est un constat partagé par tous. Actuellement en France, plus de 15% des Français déclarent renoncer à se soigner, et 25% d’entre eux pour des raisons financières, ou retardent des soins1.

 

Les contraintes financières se concentrent sur deux postes de dépenses en particulier : les soins dentaires et les soins optiques, devant les consultations de médecins généralistes et spécialistes2.

 

Concernant les soins optiques, plus de 2 millions de Français y renoncent ou les reportent chaque année pour des raisons financières.

 

En effet, l’optique coûte cher. Il s’agit d’un secteur très faiblement remboursé par la Sécurité sociale, de l’ordre de 4% de la dépense facturée. Les complémentaires santé prennent en charge 66% de la dépense et les ménages 29% en moyenne3. Le prix moyen d’un équipement d’optique est quant à lui de 277 euros pour des verres unifocaux, et de 591 euros pour des verres progressifs.

 

 

2 Français sur 3 portent des lunettes correctrices.

Plus de 4 porteurs de lunettes sur 10 ont acheté des lunettes correctrices au cours des 12 derniers mois. Enquête IPSOS « Les Français et l’optique », septembre 2012.

 

Le renoncement aux soins optiques est principalement lié à un reste à charge important pour les assurés du fait du désengagement de la Sécurité sociale du secteur de l’optique.

 

 

 

Enquête auprès d’’utiilliisateurs de réseaux d’’optiiciiens agréés par lles mutuelllles :: Les principaux résultats de l’enquête IPSOS4

 

Cette enquête porte sur les attentes et les opinions des Français ayant récemment acheté une paire de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle.

 

Elle montre une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles, notamment liée au rapport qualité/prix des verres (93%). Et la satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau pour une partie d’entre eux. Elle révèle aussi des comportements exigeants et des achats éclairés avec des critères de choix de l’opticien agréé très centrés sur le reste à charge.

 

Des comportements exigeants et des achats éclairés

 

Comme pour les porteurs de lunettes en population générale, les acheteurs de lunettes correctrices auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé s’intéressent au coût de l’équipement avant d’acheter, 65% :

 

46% ont fait établir un ou plusieurs devis par des opticiens,

 

44% ont calculé et comparé le montant des dépenses qui resterait à leur

charge,

 

26% ont comparé les prix et les prestations chez plusieurs opticiens,

 

35% se sont également renseignés auprès de leur complémentaire.

 

Les critères de choix de l’opticien agréé sont très centrés sur le reste à charge :

 

74% des acheteurs de lunettes ont choisi leur opticien agréé pour le tiers payant et/ou le montant du remboursement,

 

71% ont pris en compte le rapport qualité-prix des verres et/ou des montures proposés.

 

Ces acheteurs ont également des exigences élevées quant à la qualité de l’ensemble des prestations proposées : ainsi, la proximité du point de vente pour 70%, la disponibilité pour 68% et la qualité d‘écoute pour 68% ont été des critères de choix importants.

 

 

Une satisfaction globalement plus élevée pour les acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé par les mutuelles

 

81% des acheteurs auprès d’opticiens membres d’un réseau agréé se sont déclarés satisfaits de leur dernier achat, vs 71% de l’ensemble des porteurs de lunettes.

 

Les différences portent principalement sur la satisfaction quant :

 

· au rapport qualité /prix des verres, 93% vs 88%,

 

 

· au tiers-payant proposé, 91% de satisfaits vs 79% pour les porteurs de lunettes correctrices en population générale,

 

· aux services/offres proposés, 87% vs 79%,

 

· au montant du remboursement, 83% vs 72%.

 

 

La satisfaction augmente avec le renouvellement de l’achat en réseau : 22% des acheteurs chez un opticien agréé sont plus satisfaits que lors de leur achat précédent, 70% sont autant satisfaits.

 

 

Un réseau d’’optiiciiens agréés,, c’’est quoii ? Quels sont les avantages en matière de coût et de qualité ?

 

Depuis le désengagement de la Sécurité sociale et pour faciliter l’accès aux soins des patients, les mutuelles ont pris le relais dans le secteur de l’optique.

 

Pour cela, elles ont créé des réseaux d’opticiens agréés. Ces réseaux ont pour double objectif de réguler le prix des lunettes et d’améliorer la qualité générale des prestations proposées en optique, pour au final maîtriser le montant des cotisations des mutuelles et les restes à charge de leurs adhérents.

 

Le principe du réseau

 

Régulièrement les mutuelles mettent en concurrence tous les opticiens qui le souhaitent sur des critères transparents de prix, de qualité, de service et de conseil, en tenant compte des conditions de mise en place des appels d’offres des réseaux de professionnels de santé agréés définis par l’autorité de la concurrence dans un avis de septembre 2009. Elles sélectionnent ensuite les offres, qui répondent à ces critères, des opticiens qui souhaitent faire partie d’un réseau. Et tout en laissant le libre choix de leur opticien à leurs adhérents, elles les orientent, sans aucune obligation, vers des opticiens agréés, pour qu’ils bénéficient de meilleurs prix et d’engagements de qualité et de services contractés, comme la dispense d’avance de frais ou la garantie d’une prise en charge par des opticiens professionnels et qualifiés.

 

En créant des réseaux, les mutuelles jouent un rôle de négociateur entre l’offre et la demande pour le compte de leurs adhérents, qu’elles représentent. Elles régulent ainsi le secteur de l’optique, qui sans leur intervention serait inflationniste, et elles évitent la mise en place d’une économie de rente pour certains professionnels qui pourraient être tentés d’ajuster leurs tarifs sur le niveau de remboursement de la mutuelle et non sur la réalité du  besoin en équipement.

 

Aujourd’hui, 7 700 opticiens sont membres des réseaux d’optique créés par les mutuelles sur environ 12 000 opticiens en France.

 

Lutter contre un système inflationniste

 

A titre d’exemple, le panier moyen, observé par les mutuelles gestionnaires de réseaux, d’un adhérent d’une mutuelle pour un équipement optique acheté au sein d’un réseau est en moyenne inférieur de 17,5% au prix moyen constaté hors réseaux.

 

Par ailleurs, pour un équipement acheté en dehors d’un réseau, le reste à charge pour le patient est en moyenne 40% supérieur.

 

Investir dans la qualité

 

En mettant en place des réseaux d’opticiens agréés, les mutuelles ne cherchent pas seulement à réguler un secteur inflationniste.

 

Sélectionnés sur des critères transparents de qualité et de prestations telles que la garantie anticasse, l’échange, l’adaptation…, les 7 700 opticiens membres des réseaux d’optique mutualistes induisent, par leurs pratiques, une hausse qualitative générale des prestations proposées dans le secteur de l’optique.

 

Leur engagement à offrir les prestations au meilleur rapport qualité – prix à leurs adhérents permet aux mutuelles d’investir de façon continue dans l’offre de santé, de manière bénéfique pour les patients comme pour le secteur de l’optique.

 

Ainsi, de 2008 à 2010, les organismes d’assurance maladie complémentaire ont constaté une augmentation des prestations versées au titre des remboursements en optique de 14%. D’autre part, les mutuelles qui s’appuient sur un réseau d’opticiens agréés constatent que le nombre d’adhérents équipés augmente. De même, elles améliorent le niveau de leurs prises en charge, sans inflation globale pour autant sur le poste des prestations d’optique. Le reste à charge est réduit à zéro pour nombre d’adhérents et leur satisfaction est accrue.

 

 

Les réseaux d’opticiens agréés :: pour lutter contre les idées reçues

 

 

Avec les réseaux, les adhérents n’ont plus la liberté de choisir leur opticien.

 

FAUX - La mutuelle n’impose d’aucune façon à l’adhérent le choix de son

opticien.

 

Quel que soit l’opticien choisi, au sein d’un réseau ou non, l’adhérent conserve le bénéfice du remboursement de sa mutuelle.

 

En revanche, si l’adhérent fait le choix d’un opticien agréé, sa garantie mutualiste lui permet de renforcer son accès aux soins au plus juste coût. Il va alors bénéficier de plusieurs avantages comme la dispense d’avance de frais grâce au tiers payant et la qualité des produits définis conventionnellement avec les opticiens agréés.

 

L’adhérent bénéficie d’une prise en charge de ses frais, qu’il se rende ou pas dans le réseau d’opticiens agréés.

 

 

Les réseaux permettent aux mutuelles d’augmenter leurs marges et de réduire leurs prestations.

 

FAUX - Les réseaux permettent un meilleur contrôle des prix au bénéfice des

adhérents.

 

La part de l’optique dans le total des prestations des mutuelles (Organisme Complémentaire d’Assurance Maladie) a augmenté de 14% entre 2008 et 2010. Les mutuelles continuent donc à rembourser massivement leurs adhérents dans un secteur délaissé par la Sécurité sociale.

 

Les réseaux d’optique permettent aux mutuelles de jouer un rôle de régulateur des prix dans un secteur très inflationniste. Depuis le désengagement de la Sécurité sociale, elles sont aujourd’hui les seules à pouvoir jouer ce rôle et éviter une économie de rente pour certains professionnels de santé.

 

Il est donc faux de dire que les mutuelles cherchent à réduire leurs prestations par la mise en place d’opticiens agréés. Les réseaux permettent au contraire aux mutuelles d’investir dans la qualité et d’améliorer les prestations rendues à l’adhérent.

 

Les mutuelles investissent massivement dans le secteur de l’optique tout en jouant un rôle de régulateur des prix nécessaire dans un secteur inflationniste.

 

3. Les réseaux baissent la qualité et réduisent l’accès aux différents types d’équipement optique.

 

FAUX - Les réseaux proposent toutes les gammes d’équipement optique.

 

La qualité ainsi que la sécurité des actes et prestations au sein des réseaux relèvent des pouvoirs publics. Les autorités sanitaires continuent à fixer les règles de fabrication, de délivrance et autres caractéristiques des produits de santé.

 

Les mutuelles définissent des critères qualité qui s’ajoutent à ceux qui relèvent des pouvoirs publics pour le bénéfice de l’adhérent (ex : conditions de service après-vente).

 

 

Les réseaux permettent d’accéder à des produits « entrée de gamme », « milieu de gamme » ainsi

qu’à des produits dits « haut de gamme ».

 

Les réseaux permettent au contraire une hausse qualitative des prestations proposées par les opticiens et définies contractuellement entre les mutuelles et leurs réseaux.

 

4. Les réseaux agréés ne sont pas accessibles partout sur le territoire.

 

FAUX - Les réseaux sont conçus en fonction de la couverture du territoire.

 

La couverture du territoire est l’un des principaux critères de sélection des opticiens agréés par les mutuelles.

 

Ainsi, les mutuelles ont pour objectif de s’assurer que tous les adhérents aient un opticien agréé à proximité de leur domicile.

 

Les mutuelles ont aussi pour objectif de s’assurer que leur réseau d’opticiens maille l’ensemble du territoire, en fonction de la présence de leurs adhérents, et sur des critères précis et mesurables.

 

 

Seules les grandes enseignes peuvent être agréées par les mutuelles.

 

FAUX - Les réseaux sont ouverts à tous sur des appels d’offres libres et transparents.

 

Les réseaux mis en place par les mutuelles accueillent indifféremment tous les offreurs de santé demandeurs qui remplissent les conditions définies conventionnellement : tarifs, qualité, gamme de produits, etc.

 

Les réseaux d’opticiens agréés accueillent donc indifféremment des opticiens indépendants ou sous enseignes qui remplissent des critères de prix et de qualité définis conventionnellement.

 

 

6. Les réseaux de soins détruisent l’industrie optique française.

 

FAUX - Il existe autant de ‘’Made in France’’ dans les réseaux qu’ailleurs.

 

Les opticiens agréés, tout comme les opticiens non agréés, se regroupent en centrales d’achat. La quasi-totalité des fabricants de verres correcteurs présents sur le territoire national est référencée au sein des réseaux.

 

Par ailleurs, la part de verres ‘’made in France’’ chez les opticiens agréés est identique à celle des opticiens non agréés.

 

1 IRDES, Questions d’économie de la Santé – enquête sur le renoncement aux soins, 2011.

2 E tude de l’Institut de Recherche et de Documentation en Economie de la Santé (IRDES), novembre 2011.

3 DRESS, Comptes nationaux de la santé - Le 1% manquant correspond aux prestations versées au titre de la CMUC pour les

bénéficiaires gérés par les organismes de base.

4 Cette enquête a été réalisée du 24 au 29 octobre 2012 pour la Mutualité Française par IPSOS. Elle s’est effectuée par téléphone auprès d’un échantillon de 503 acheteurs de lunettes correctrices chez un opticien membre d’un réseau agréé par une mutuelle. L’échantillon est représentatif des acheteurs de lunettes correctrices au cours des mois de mai et juin 2012, selon la structure des fichiers d’acheteurs fournis par la Mutualité Française, sur les critères de sexe, âges, mutuelle, réseau agréé par les mutuelles, région et catégorie d’agglomération.

 

Recevoir les éléments : nansellsalles@mgefi.fr / www.mutualite.fr

 

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MINE D'INFOS: C'est à lire : BIENVENUE - VOLUME 2 » de Marguer...: Bienvenue, étudiante aux Beaux-Arts , collectionne les galères : elle est sans-le-sou, sa garde d’enfants tourne court, son prof la harc...

C'est à lire : BIENVENUE - VOLUME 2 » de Marguerite Abouet et Singeon – Editons Gallimard jeunesse


Bienvenue, étudiante aux Beaux-Arts, collectionne les galères : elle est sans-le-sou, sa garde d’enfants tourne court, son prof la harcèle pour qu’elle rende un devoir, son père revient dans sa vie… Mais c’est finalement les problèmes de ses voisins qui lui donnent le plus de fil à retordre car, en bonne Samaritaine, elle se retrouve toujours au coeur de leurs histoires. Et quand est-ce qu’elle a le temps de s’occuper de sa vie amoureuse.

 

 LES AUTEURS

 

 Marguerite Abouet naît à Abidjan en 1971. Arrivée en région parisienne en 1983, elle se lance dans l’écriture tout en exerçant divers métiers. Son premier livre, Aya de Yopougon, paraît en 2005. Marguerite Abouet vit en région parisienne.

 

 Marguerite Abouet naît à Abidjan en 1971. Arrivée en région parisienne en 1983, elle se lance dans l’écriture tout en exerçant divers métiers. Son premier livre, Aya de Yopougon, paraît en 2005. Marguerite Abouet vit en région parisienne.

 

 DE LA MÊME SCÉNARISTE

 

Aya de Yopougon  dessin de Clément Oubrerie (six volumes)  Akissi  dessin de Mathieu Sapin (trois volumes)

 

Aya de Yopougon

 

• Plus de 500 000 exemplaires vendus (Sodis)

• Prix du Premier album, Angoulême 2006

• Prix de la meilleure BD du Point, 2007

• Traduit en 16 langues

• Le film en avril 2013

 

 Singeon naît dans les Caraïbes au début des années 1980. Après un bac littéraire, il s’installe en métropole en 1999, puis oeuvre pour diverses revues de bande dessinée. Il est diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2009. Chez Cornélius il publie en 2010 Sauvetages, un re­cueil de ses dessins. Singeon vit à Paris.

Une belle idée cadeau pour les fêtes…

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LES MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE- Mardi 27 novembre 2012, 14h30 : Les toxi infections alimentaires collectives (TIAC)


Séance commune

Académie vétérinaire de France – Académie nationale de médecine

 

Les toxi infections alimentaires collectives

(TIAC)

Organisateurs : Vincent Carlier, Jeanne Brugère-Picoux, François Denis

 

Introduction

Définition des toxi-infections alimentaires collectives et présentation de la séance

Vincent CARLIER - ENVA (vcarlier@vet-alfort.fr)

Communications

Epidémiologie des toxi infections d’origine alimentaire (TIA)

Henriette de VALK – INVS (h.devalk@invs.sante.fr)

Contamination initiale

Catherine MAGRAS – ENVN (catherine.magras@oniris-nantes.fr)

Maîtrise des agents pathogènes dans la filière alimentaire et leur environnement

Gilles SALVAT – Anses ( gilles.salvat@anses.fr)

Diagnostic et contrôle en médecine humaine

François DENIS - Académie nationale de médecine (francois.denis@unilim.fr)

Conclusion

Patrick BERCHE - Académie nationale de médecine (patrick.berche@univ-paris5.fr)



Nicole Priollaud
Chargée de la communication
01 45 25 33 17 / 06 09 48 50 38

 

 

La France leader européen de la recherche sur les maladies rares


Depuis 2 004 et le 1er Plan maladies rares, ces maladies sont entrées dans la modernité d’une recherche clinique et fondamentale qui ne peut que conduire à l’amélioration de leur prise en charge. Les centres de référence se sont imposés progressivement comme les interlocuteurs des médecins et des patients.

                        

7 000 maladies rares identifiées 

 

La France  leader européen de la recherche sur les maladies rares

 

132 centres de référence et 50 centres de compétences labellisés

 

La neurologie en pointe

 

·         19 centres labellisés au titre des maladies neurologiques rares de l’adulte ou de l’enfant ;

·         12 autres au titre des maladies neuromusculaires ;

·         6 au titre des maladies du développement embryonnaire d’origine génétique et des maladies héréditaires du métabolisme touchant le système nerveux.

La quasi majorité des départements hospitalo-universitaires de neurologie en France ont pu bénéficier de cette mesure qui a radicalement changé la prise en charge de ces maladies, permis le recrutement de praticiens hospitaliers spécialisés dans ces pathologies et le développement de réseaux de recherche clinique.

 

 

Le deuxième plan maladies rares (2011-2014) est-il menacé ?

 

·         De nouveaux Protocoles Nationaux de Soins (PNDS) tardent à être créés et certains, par:mi ceux d'origine, mériteraient d'être actualisés;

·         L’évolution des centres de maladies rares n’est pas encore clairement définie et l'évaluation des centres labellisés attend d'être validée par le Comité de suivi et de prospection du plan national maladies rares.

·         Les centres de compétence souffrent d'un manque de financement,  ce qui limite forcément leur action de recherche et leur participation à l’enrichissement des bases de données et à l’abondement des biothèques.

 

 

« Maladies rares en neurologie »

 

En avant-première de la

JOURNEE DU PRESIDENT

organisée le vendredi 30 novembre 2012 au ministère de la santé

sous le parrainage du Secrétaire d'Etat en charge de la Santé

 

 

Jean-Marc LEGER,

 président de la Société Française de neurologie

 co-responsable du « centre national de référence des maladies neuromusculaires rares Paris Est ».

 

vous convie à un

 

POINT PRESSE

 

 Jeudi  29 novembre  2012  - 11h30

Amphithéâtre Babinski

Institut de myologie - RDC Haut

Pitié-Salpêtrière, Paris 13 (plan joint)

 

avec la participation des professeurs :

 

Loïc GUILLEVIN,  président de la  Société de médecine interne , chef de service de médecine interne - hôpital Cochin – Centre de référence Maladies Systémiques et Auto-immunes Rares « Vascularites et Sclérodermie », membre du Comité national consultatif de labellisation des centres de référence de maladies rares (CNCL) puis du Comité de suivi et de prospective du plan national maladies rares 2011-2014.

Jean POUGET , vice-président de la SFN,  chef de service de neurologie – CHU de la Timone, Marseille - Responsable du centre de référence des maladies neuromusculaires et SLA de Marseille.

 

Contact presse : Nicole Priollaud / 06 09 48 50 38 / nicole.priollaud@wanadoo.fr

 

ACADEMIE DE MEDECINE : lanceurs d'alerte ?


L'Académie nationale de médecine a pris connaissance de la proposition de loi déposée au Sénat en vue de créer un « statut » de lanceur d'alerte1. Tout en adhérant à la demande de nos concitoyens en faveur de davantage de débat public et de transparence dans la décision en santé publique élargie aux questions environnementales, l'Académie tient à formuler des réserves sur une telle initiative dans le contexte actuel de l'information en matière de santé en France.

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MINE D'INFOS: La MGEFI soutient la journée de lutte contre le si...: A l'initiative du secrétariat général des Ministères Economique et Financier, une campagne de sensibilisation auprès des agents des diffé...

La MGEFI soutient la journée de lutte contre le sida


A l'initiative du secrétariat général des Ministères Economique et Financier, une campagne de sensibilisation auprès des agents des différentes administrations est organisée à l'occasion de la journée mondiale de lutte contre le sida, le 1er décembre 2012.

La Mutuelle Générale de l'Economie et des Finances (MGEFI) s'associe à cette campagne "Objectif zéro"et s'engage dans la promotion des outils de prévention.

Parce que être mieux informés permet de mieux lutter, la MGEFI invite ses adhérents à tester leurs connaissances sur le sida, à poser leurs questions à des experts ou encore à télécharger des informations spécifiques sur son site internet du 26 novembre au 10 décembre 2012.

 

MINE D'INFOS: On parle de la MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: On parle de la MGEFI dans la presse: L'économie sociale et solidaire peut-elle démocratiser l'entreprise?   A lui seul, le secteur de l'économie sociale et solidaire n...

On parle de la MGEFI dans la presse


L'économie sociale et solidaire peut-elle démocratiser l'entreprise?

 

A lui seul, le secteur de l'économie sociale et solidaire ne représente pas moins de 800.000 entreprises, 10% de l'emploi salarié et 8% du PIB. Méconnu mais vaste, il suscite un regain d'intérêt en temps de crise. Et si la "moralisation du capitalisme" passait par là?

…/…

 

C'est le cas des fédérations du Crédit Mutuel qui revendiquent 7,2 millions de "sociétaires" pouvant participer chaque année à 2000 assemblées locales. Ou des mutuelles d'assurance et de santé -comme la Macif, la Maif, MGEN, MGEFI , etc.-, dont les fonds proviennent des cotisations des membres.

 

Lire l’article : www.lexpress.fr du 22 novembre 2012

 

Baromètre santé des fonctionnaires : l’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI

Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services * (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.

Cette étude est la première pierre d’un projet plus ambitieux encore : « prévention horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI



Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45 %. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé


 

Lire l’article : www.miroirsocial.com ( 21 novembre 2012 )