Nora ANSELL-SALLES

mercredi 5 septembre 2012

Commmuniqué de la BMF vers les adhérents MGEFI

C’est la rentrée !

Lancement de la Campagne Jeunes 2012, qui se déroule cette année du 1er septembre au 31 octobre 2012.
Le guide jeunes actifs BFM est désormais disponible sur le site internet BFM. L’internaute peut désormais :
Consulter, imprimer ou commander un exemplaire papier de ce document
Accéder au simulateur de prêt ou contacter la BFM
Rappel
Depuis le  16 juillet 2012 :
- Le Prêt Spécial Démarrage (réservé aux moins de 35 ans) devient le Prêt BFM Energie.
- Le Prêt Mutualité (adossé au Livret BFM Avenir) devient le Prêt BFM Avenir.
Découvrez l’offre et les services de la Banque Fédérale Mutualiste sur le site www.bfm.fr

mardi 4 septembre 2012

La Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) organise du lundi 1er au dimanche 7 octobre 2012, ses Journées nationales

La Fondation pour la Recherche Médicale (FRM) organise du lundi 1er au dimanche 7 octobre 2012, ses Journées nationales pour sensibiliser le public à la nécessité de soutenir la recherche médicale, afin qu’elle bénéficie à tous les malades. Cette semaine de mobilisation et d’appel aux dons permettra aux donateurs d’être solidaires envers tous ceux qui souffrent, quelle que soit leur maladie. Les sommes collectées seront attribuées aux recherches les plus innovantes et les plus prometteuses. Et cela dans tous les domaines de la santé.
Des Journées qui répondent aux attentes des donateurs :
Les donateurs sont nombreux à exprimer leur difficulté à choisir, considérant que toutes les maladies doivent être combattues. Même s’ils ont eux-mêmes été touchés de près par une maladie, ils savent combien il est important que chacun puisse profiter des progrès de la médecine.

De plus, les donateurs ne connaissent ni les besoins réels des chercheurs ni les urgences auxquelles il faut faire face.
Les Journées de la Fondation pour la Recherche Médicale leur permettront d’exprimer leur volonté de soutenir la lutte contre toutes les maladies - cancers, maladies du cerveau, maladies cardiovasculaires, maladies infectieuses, maladies rares…-  en ayant la certitude que leur don sera efficacement utilisé.
Des dons attribués aux meilleurs projets de recherche :
Les dons collectés seront attribués, après appels à projets auprès de l’ensemble des chercheurs français, tous domaines médicaux confondus, par le Conseil scientifique de la Fondation. Ce dernier sélectionnera les chercheurs bénéficiaires en tenant compte du caractère innovant de leurs recherches, de leur capacité à apporter des progrès médicaux majeurs et de la qualité de l’équipe impliquée dans la recherche.
Le relais des médias :
La Fondation sollicite toutes les rédactions et les émissions TV et radios, pour qu’elles relaient l’opération, notamment en invitant les chercheurs, Thierry Lhermitte et Virginie Efira, parrain et marraine de la FRM. La Fondation sera présente sur RTL pour une Journée Spéciale le lundi 1er octobre, sur M6, sur France Inter, le réseau France Bleu…
Pour Thierry Lhermitte et Virginie Efira, toutes les maladies doivent bénéficier de la recherche. « Il n’y a pas de petites ou de grandes souffrances, mais il y a des malades qui méritent l’attention de tous. »
Une campagne publicitaire du 26 septembre au 10 octobre :
Conçue par l’agence de communication Cheil France, cette campagne vise à souligner qu’il est impossible d’établir une hiérarchie entre les malades et de déterminer ceux qui ont le plus besoin de la recherche. La campagne sera diffusée gracieusement en presse, affichage, TV et radio. Elle sera relayée sur le site www.frm.org à partir du 24 septembre.
Une campagne de collecte sur internet :
Chaque Internaute pourra créer – à partir du site www.frm.org – sa page personnelle de collecte et mobiliser ses amis, ses collègues, sa famille très simplement pour faire un don grâce à des moyens de paiement sécurisés.
La FRM, une position unique au cœur de la recherche :
La Fondation pour la Recherche Médicale est la seule organisation caritative engagée dans tous les secteurs de la recherche médicale : maladies neurologiques, maladies infectieuses, maladies cardiovasculaires, les cancers… Elle a pour ambition de développer une recherche de pointe au service de la santé de tous. Chaque année, plus de 750 équipes de recherche bénéficient du soutien de la Fondation. La FRM est reconnue d’utilité publique et membre du Comité de la Charte du don en confiance. Elle agit en toute indépendance grâce au soutien régulier de près de 450 000 donateurs. Pour faire un don : www.frm.org

Art et Saveurs Nature : Des ateliers "Plaisir" pour réveiller l'imaginaire

2012 est l'année européenne du vieillissement actif. Les personnes âgées seront dans les prochaines décennies de plus en plus nombreuses et de plus en plus âgées. Vieillir en bonne santé est un défi que notre société doit aujourd'hui relever. Comment ? En maintenant les capacités physiques et cognitives des personnes âgées le plus longtemps possible, notamment grâce à une alimentation adaptée et de qualité. C'est dans ce contexte que la Fondation Louis-Bonduelle développe des actions de terrain auprès de ces publics au travers d'un partenariat avec la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées.

Au sein de l'Union européenne, on recensait, en 2011, 96 millions de personnes âgées de 50 à 64 ans (soit 19,1%), entre 64 millions âgées de 65 et 79 ans (soit 12,7 % de la population totale) et 24 millions de plus de 80 ans (soit 4,7 %)1. Selon différentes prévisions, le vieillissement de la population va se poursuivre dans les décennies à venir. Stimuler les capacités physiques et cognitives des personnes âgées dans un objectif de prévention de la dépendance et de recul de certaines pathologies est un défi de grande ampleur pour la société.

Paradoxalement, on observe chez les personnes âgées une diminution des prises alimentaires alors même que leurs besoins nutritionnels sont équivalents, voir supérieurs avec l’âge. Comment expliquer ces comportements alimentaires et cette diminution de la densité nutritionnelle ? Plusieurs facteurs sont en cause : réduction des ressources financières, isolement et solitude, difficultés techniques pour s’alimenter seul, altération de la dentition et des capacités sensorielles… Or ces facteurs concourent à une diminution du plaisir de manger, et peuvent avoir pour conséquence un déséquilibre nutritionnel, voir une dénutrition protéino-énergétique. 5 à 10% des personnes âgées vivant à domicile et 30% de ceux en institution seraient touchés ainsi par la dénutrition2.

Face à ce constat, la Fondation Louis-Bonduelle*, qui a acquis depuis sa création en 2004 une expertise dans les actions de terrain dans le domaine de la nutrition et des comportements alimentaires, s'est associée à la Fédération Nationale des Maisons d'Accueil Rurales pour Personnes Agées**.

Une grande attention est en effet portée dans les Marpa à l’équilibre alimentaire et au plaisir des résidents lors de la conception des repas, à laquelle ils sont associés. L’agencement architectural et l’organisation favorisent la convivialité et la socialisation. Tous les repas sont confectionnés à la Marpa et servis sur place. Le personnel polyvalent prend ses repas avec les résidents, ce qui leur permet d’être attentif aux souhaits des personnes et de les stimuler si nécessaire.

Une opération innovante destinée aux résidents des MARPA et d'envergure nationale est née de ce partenariat. Elle a pour objectif de développer l'expression, la socialisation et le plaisir autour des légumes. A partir du mois de juin, les MARPA de tout le territoire pourront commencer à réaliser des animations autour du monde végétal.

* www.fondation-louisbonduelle.org

1Eurostat statistic Focus 23/2011
2Programme National pour l’Alimentation. Programme interministériel piloté par le Ministère de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité. Février 2011

Le partenariat entre la Fondation Louis-Bonduelle et La FNMARPA

En quoi consiste cette opération ?

Une alimentation de bonne qualité nutritionnelle, où fruits, légumes et protéines ont une place privilégiée dans le menu, contribue au bien vieillir. Mais  manger est également un acte social et les conditions dans lesquelles se déroulent les repas sont essentielles. La Fondation Louis-Bonduelle a déjà mis en évidence cet aspect de l'alimentation dans ses études sur les comportements alimentaires. Elle a élaboré des outils de sensibilisation et des actions de terrains innovants pour répondre à ces problématiques. Des problématiques que vivent au quotidien les professionnels des Maisons d'Accueil Rurale pour Personnes Agées (MARPA).  

C'est ainsi qu'un partenariat a été noué entre la Fondation Louis-Bonduelle et la Fédération Nationale des MARPA. Partenariat qui a donné naissance à un programme destiné aux résidents des MARPA. Valoriser la personne âgée, éveiller la curiosité, ouvrir l’imaginaire, stimuler le goût et l’odorat, partager un moment convivial, communiquer ses connaissances culinaires, favoriser le sentiment de bien-être, maintenir ou créer des liens sociaux et intergénérationnels… sont les objectifs ambitieux de ce programme inédit.

Testé en 2011 et au printemps 2012 dans trois MARPA pilotes, le projet s’étendra en France à partir du mois de juin grâce à l'envoi de kits dans toutes les Marpa du réseau national. Développés par la Fondation Louis-Bonduelle avec l'aide de la spécialiste en jeux ludo-éducatifs Brigitte Cicchini, ces kits contiennent à la fois des outils pratiques et théoriques. Les outils pratiques, comme le matériel de cuisine ou de petits ustensiles spécifiques à l'animation tel un bandeau pour couvrir les yeux, permettent de mener l'animation. Les outils théoriques, comprenant un dossier pédagogique et des fiches, sont destinés aux animateurs et personnels de la structure qui pourront ainsi s'approprier les ateliers. A chaque fois qu'elle met en place une action de terrain(voir encadré), la Fondation Louis-Bonduelle tient en effet via un référentiel le plus complet possible à permettre aux structures une véritable autonomie dans la réalisation des animations.
Chaque structure peut organiser l'animation quand et comme elle l'entend .Par exemple elle peut dissocier les deux ateliers, ce qui permet d'assurer la pérennité de cette opération.

Les Marpa, des lieux de vie à taille humaine

Les Marpa accueillent comme à domicile, dans le confort et la sécurité, des personnes âgées fragilisées, autonomes ou en perte  d’autonomie, qui ne peuvent ou ne désirent plus rester chez elles. Au sein d'une petite unité de vie, qui ne compte jamais plus de 24 résidents, les personnes âgées disposent de logements indépendants de plein-pied avec une entrée privative. En somme, elles sont véritablement chez elles et mènent la vie qu'elles désirent.

Les résidents des MARPA viennent des environs ou bien se rapprochent de leur famille. Ce sont des personnes à la recherche de structures à taille humaine où l'autonomie et le bien être de chaque résident sont au centre du projet de vie pour une «vieillesse heureuse».

Comment fonctionne une Marpa ?

Le maître mot est la... liberté. Voici des lieux où les services sont facultatifs mais l'accompagnement permanent. Une équipe de professionnels qualifiés accompagne de manière personnalisée les résidents et leurs proches. Les Marpa sont des structures non médicalisées en interne. Les résidents font appel en ce sens au médecin et infirmiers de leur choix.
Structure ouverte sur l'extérieur, la Marpa offre la possibilité aux résidents de participer à la vie sociale, économique et culturelle locale. Des enfants de la commune peuvent venir se faire aider pour leurs devoirs par exemple.

Et les repas ?

Chaque logement possède un coin cuisine. Mais une salle à manger collective permet aussi aux résidents de partager les repas dans une ambiance conviviale. Chacun peut apporter sa contribution : qui pour le ravitaillement, qui pour mettre la table, qui pour la préparation d'une sauce ou encore l'épluchage des légumes … Ce principe de cuisine ouverte et d'aide au personnel qui prépare les repas apporte de la gaité à ces moments de partage.

Où trouve-t-on des Marpa ?

En moyenne chaque année, 10 nouvelles Marpa ouvrent leurs portes et viennent enrichir le réseau qui compte aujourd'hui près de 162maisons. On trouve des Marpa sur tout le territoire français .Le mode de gestion est publique ou associatif

Plongée au cœur de l'opération

Atelier « art nature »
L’animation artistique a été testée auprès des résidents de trois Marpa pilotes: la Marpa Arc-en-ciel à Saint Mesmin près de Cholet en Vendée, la Marpa Nova Villa à Neuville saint Vaast près d’Arras dans le Pas-de-Calais et la Marpa Cœur Lauragais à Auriac sur Vendinelle près de Toulouse en Haute-Garonne.
En quoi consiste cet atelier ? Mené par un artiste de jardin ,Marc Pouyet ,cet atelier a pour but de mettre en scène les légumes associés à d’autres végétaux et d'en faire des créations artistiques. Carottes, choux, poireaux, radis roses et consorts, découpés en petits morceaux et sculptés puis disposés avec soin, deviennent des tableaux végétaux. Dans un des ateliers pilotes, les légumes se sont transformés en... chapeaux pour les résidentes ! C'est le règne de l'imaginaire. Avec un avantage précieux : aucune connaissance préalable n'est nécessaire.
D'une durée moyenne d'une heure et demie, l'atelier «art nature» peut s'organiser autour d'une grande table. Certains se lancent dans la création en solo quand d'autres préfèrent former des tandems. Dans les trois ateliers pilotes, la bonne ambiance et le plaisir partagé ont été au rendez-vous.
Et les légumes se sont révélés du matériel de choix grâce à leur variété de formes, de couleurs mais aussi leur diversité en fonction des saisons. Mais surtout, les résidents n'ont pas hésité à tailler les légumes car rien n'est perdu : les morceaux délaissés par  l'artiste sont utilisés pour... la soupe !
Marc Pouyet /MARPA/Fondation Louis-Bonduelle

Atelier « cuisine »

Cet atelier, mené par un chef cuisinier, Julie Coppé, se divise en deux temps : un temps de stimulation des sens et un temps de pratique culinaire.

Tout commence par un jeu autour de l’odorat etdu goût. Ils vont être sollicités de façon originale pendant une vingtaine de minutes. Les résidents installés autour d'une table devront reconnaître différents aliments, provenant soit d'une mallette créée par la Fondation Louis-Bonduelle soit des cuisines de la Marpa, grâce à leurs sens. Café, chocolat noir, fromage, clémentine, banane, eau de fleur d’oranger, saucisson, cornichons, betterave rouge, rhum, guimauve, qui saura les débusquer ? Pas forcément évident quand on a les yeux bandés !

En quoi consiste cette opération ?

Une alimentation de bonne qualité nutritionnelle, où fruits, légumes et protéines ont une place privilégiée dans le menu, contribue au bien vieillir. Mais  manger est également un acte social et les conditions dans lesquelles se déroulent les repas sont essentielles. La Fondation Louis-Bonduelle a déjà mis en évidence cet aspect de l'alimentation dans ses études sur les comportements alimentaires. Elle a élaboré des outils de sensibilisation et des actions de terrains innovants pour répondre à ces problématiques. Des problématiques que vivent au quotidien les professionnels des Maisons d'Accueil Rurale pour Personnes Agées (MARPA).

C'est ainsi qu'un partenariat a été noué entre la Fondation Louis-Bonduelle et la Fédération Nationale des MARPA. Partenariat qui a donné naissance à un programme destiné aux résidents des MARPA. Valoriser la personne âgée, éveiller la curiosité, ouvrir l’imaginaire, stimuler le goût et l’odorat, partager un moment convivial, communiquer ses connaissances culinaires, favoriser le sentiment de bien-être, maintenir ou créer des liens sociaux et intergénérationnels… sont les objectifs ambitieux de ce programme inédit.

Testé en 2011 et au printemps 2012 dans trois MARPA pilotes, le projet s’étendra en Franc e à partir du mois de juin grâce à l'envoi de kits dans toutes les Marpa du réseau national. Développés par la Fondation Louis-Bonduelle avec l'aide de la spécialiste en jeux ludo-éducatifs Brigitte Cicchini, ces kits contiennent à la fois des outils pratiques et théoriques. Les outils pratiques, comme le matériel de cuisine ou de petits ustensiles spécifiques à l'animation tel un bandeau pour couvrir les yeux, permettent de mener l'animation. Les outils théoriques, comprenant un dossier pédagogique et des fiches, sont destinés aux animateurs et personnels de la structure qui pourront ainsi s'approprier les ateliers. A chaque fois qu'elle met en place une action de terrain (voir encadré), la Fondation Louis-Bonduelle tient en effet via un référentiel le plus complet possible à permettre aux structures une véritable autonomie dans la réalisation des animations.
Chaque structure peut organiser l'animation quand et comme elle l'entend .Par exemple elle peut dissocier les deux ateliers, ce qui permet d'assurer la pérennité de cette opération.

Les Marpa, des lieux de vie à taille humaine

Les Marpa accueillent comme à domicile, dans le confort et la sécurité, des personnes âgées fragilisées, autonomes ou en perte  d’autonomie, qui ne peuvent ou ne désirent plus rester chez elles. Au sein d'une petite unité de vie, qui ne compte jamais plus de 24 résidents, les personnes âgées disposent de logements indépendants de plein-pied avec une entrée privative. En somme, elles sont véritablement chez elles et mènent la vie qu'elles désirent.

La Fondation Louis-Bonduelle sur le terrain

Depuis 2004, la Fondation Louis-Bonduelle contribue à faire évoluer durablement les comportements alimentaires en plaçant les légumes et leurs bienfaits au centre de son action. Son programme s’articule autour de trois piliers : informer et sensibiliser, soutenir et aider la recherche, agir sur le terrain.
La Fondation Louis-Bonduelle apporte son expertise nutrition à un réseau national qui s'adresse à des publics cibles.

les enfants : on compte plusieurs opérations à leur destination comme «Les robins du potager» en France, «Het Groente & Fruit Lab»au Benelux, «Orto in Condotta»en Italie

 les jeunes adultes : l’opération «Légumes2000»a permis de faire évoluer les comportements des étudiants face aux légumes grâce à des outils adaptés, au ton décalé.

 les populations précaires : l'opération «La ronde des légumes», lancée par le Secours populaire français et la Fondation Louis-Bonduelle, consiste en une série d’ateliers ludo pédagogiques conçus pour faire découvrir aux familles en difficulté comment manger davantage de légumes sans grever son budget, sans bouleverser ses habitudes alimentaires et en se faisant plaisir.

www.fondation-louisbonduelle.org

« Assurance santé 2012-20117: quelle nouvelle place pour les complémentaires »

La 10 ème édition des rencontres de l'assurance placée sous le haut patronage  du Ministère des Affaires sociales et de la Santé,se déroulera le 13 novembre prochain au Pavillon d’Armenonville à Paris  avec la participation de Serge Brichet  Pdt  de la MGEFI ; Pierre François DG Swisslife Prévoyance et santé ; Catherine Kerrével DG La Banque postale Assurance Santé ; Michel Regereau Pdt CNAM.
Désengagements de la Sécurité sociale, dépassements d’honoraires, frais de gestion… la santé fait la Une de l’actualité. Dans la perspective d’une réforme en profondeur du système de santé, les mesures prévues dans le PLFSS 2013 - afin notamment de limiter la hausse des dépenses d’assurance maladie - devraient redéfinir une nouvelle fois le périmètre d’actions des complémentaires.

L’amélioration de l’accès au soin des plus défavorisés est l’autre enjeu majeur du moment. Pour faire face au renoncement au soin et au phénomène – encore limité – de désassurance, les réflexions sur la création d’offres dites « économiques » se multiplient. Ainsi, sur un marché de plus
en plus concurrentiel, faut-il privilégier le low cost ou se différencier par l’innovation ?

• Articulation RO-RC, dépassements d’honoraires, hausse des taxes…
quelles réponses des complémentaires

• Low cost ou différenciation : quelle stratégie choisir

• Hôpital / optique / dentaire : comment faire face à la progression des dépenses

Pour en débattre et célébrer les 10 ans de sa conférence ASSURANCE SANTÉ, L’Argus de l’assurance donne rendez-vous à Paris le 13 novembre 2012 ! Une édition événement à ne pas manquer, pendant laquelle organisateurs et  intervenants reviendrons, sur les évolutions du secteur ces dix dernières années.


Agenda :

Afin de maîtriser toute l’actualité du secteur, l'Argus de l'assurance propose également  deux sessions de formation :

Le 12 novembre, « Réseau de prestataires en santé : mettre en place, animer et faire vivre votre réseau au quotidien » ;

Les 14 & 15 novembre, « Assurance complémentaire santé : quelles conséquences de l’actualité sur la gestion et la création de vos produits »

Programme complet et inscriptions : http://evenements.infopro.fr/argus/ Contact : Lamina Allliat : lalilat@infopro.fr  Tél :  01 77 92 99 06
Contact presse  Serge Brichet  : Nora Ansell-Salles : nansellsalles@mgefi.fr  Tél : 06 70 74 15 42
Un compte-rendu des travaux paraîtra dans un prochain numéro de l'Argus de Assurances.

lundi 3 septembre 2012

Médecins généralistes et pharmaciens : développer les génériques en respectant chaque professionnel

Notre pays qui affronte de graves difficultés économiques a choisi de développer les médicaments génériques. Ce choix, inscrit dans la loi, permet de dégager des marges de manœuvre indispensables à la rénovation de notre système de santé.

En cette fin du mois d'août, cinq semaines seulement après la mise en place par l'Assurance–Maladie du contrat tiers - payant contre génériques, le taux de substitution moyen dépasse 78 % et le taux de pénétration des génériques progresse de 7 points, soit la moitié de l’objectif fixé à 85 %.
Ce contrat produit ses effets mais médecins et pharmaciens doivent pouvoir travailler sereinement :
-          Les généralistes ne veulent pas que leurs patients reviennent leur demander de modifier leur prescription sur proposition de leur pharmacien.
-          Les pharmaciens ne peuvent délivrer les médicaments génériques souhaités que si le médecin prescrit dans le répertoire des génériques.
Médecins et pharmaciens veulent régler ces difficultés pour améliorer un dispositif qui doit garantir au patient la qualité des soins en maintenant un haut niveau de remboursement.
Médecins et pharmaciens réaffirment en conséquence que :
-          Chaque fois qu’elle est possible, conformément à la réglementation, la prescription par le médecin se fait dans le répertoire des génériques et en DCI.
-          En aucun cas le pharmacien ne doit renvoyer des patients vers le médecin pour une demande de mention non substituable, celle-ci étant strictement encadrée par la réglementation, de la seule initiative du prescripteur, et doit rester l’exception.
Les pharmaciens dispensent les médicaments génériques en facilitant la compréhension des patients sur leur traitement et en évitant les changements de marques pour les personnes âgées.
Cette dynamique sera renforcée par un accord conventionnel tripartite entre syndicats de médecins et de pharmaciens et Assurance-Maladie.
Ce premier accord entre nos deux professions sera relayé par des réunions locales pour conforter ce mécanisme, communiquer auprès des patients et renforcer ainsi la coopération entre professionnels de santé de proximité.

Octobre rose

L’institut National du Cancer (INCa), partenaire de la Mutualité Française, mène comme chaque année
en octobre une vaste campagne de mobilisation « Octobre rose», pour sensibiliser les femmes
de 50 à 74 ans à l’importance du dépistage : "A partir de 50 ans, la mammographie, c’est tous les
deux ans. Participez au dépistage organisé du cancer du sein."

Cancer du sein : une campagne d’information pour le dépistage

C'est à lire !

« Mixité sociale et progrès humain - Au centre, la personne   de Serge Dalla Piazza - Harmatheque

Cet ouvrage aborde la question de la vie sociale, qui consiste à attribuer des espaces à des activités et à des populations, en montrant que la variété, la diversité, le mélange, la mixité peuvent devenir des principes organisateurs d'une certaine "urbanité" : être urbain, afficher une certaine courtoisie, une capacité à rendre service, coopérer ; autant d'éléments qui permettent d'établir des relations sociales et un bien-vivre ensemble. Toute société est mixte par définition, les frottements entre les différents groupes apportent toujours d'énormes richesses.

C'est à lire !

« Lire la musique en un clin d’œil » Alain Stoffen éditeur

« Lire la musique en un clin d’œil » est bien plus qu’une simple méthode pour apprendre à lire les notes. C’est une aventure passionnante à la découverte de l’écriture musicale telle que vous ne l’avez jamais connue auparavant
Une méthode qui donne le "la" et sonne le glas du solfège rébarbatif !
Solfège, vous avez dit solfège ? Dans l’esprit de bon nombre d’apprentis musiciens, la poésie de ce doux vocable s’arrête aux rimes de « galère » et de « misère » ! Et pourtant, lire une partition sans trébucher à chaque mesure n’est pas une utopie. Alors, si vous vous y remettiez, cette fois-ci, le cœur léger et en retirant de l’exercice un vrai plaisir. C’est le défi que vous invite à relever Alain Stoffen, auteur d’une méthode inédite et innovante : « Lire la musique en un clin d’œil ». Fort d’une expérience de plus de 25 ans dans le domaine de la pédagogie musicale, ce professeur de piano vient en effet de publier un ouvrage dans lequel il réinvente l’apprentissage du solfège – un concept d’initiation à la lecture des notes qui va littéralement en révolutionner l’approche.
Déchiffrer les notes en découvrant la « pierre de Rosette » du solfège…
Dans une première partie, et ce grâce à une pédagogie vivante, innovante, Alain Stoffen vous embarque à la manière d’un conteur dans un voyage captivant à la recherche de l’origine de l’écriture musicale, afin de percer les secrets bien gardés du solfège. Une fois ces secrets dévoilés, vous serez enfin en possession des bonnes clés qui transformeront, comme par enchantement, l’apprentissage des notes, bien trop souvent vécu comme rébarbatif et fastidieux, en un sujet facilement accessible et source de plaisir.
Dans la deuxième partie du livre, vous allez pouvoir apprivoiser pas à pas et avec grande facilité ce bataillon de notes qui semblait jusque-là indomptable, sans plus jamais vous empêtrer dans les lignes et les interlignes de la portée. Un véritable jeu d’enfant.
Pratiqués en lecture accompagnée pour les plus jeunes (-10/12ans), en autodidacte pour les plus volontaires ou sous la direction d’un professeur de musique, cinq à dix minutes d’exercices quotidiens suffiront alors pour, qu’enfin, les partitions ne soient plus des murs, mais des portes grandes ouvertes sur la musique que vous avez toujours rêvé de jouer.
Conçu initialement dans le cadre de l’apprentissage du piano, cette méthode s’adresse à tous les apprentis musiciens, quel que soit l’instrument pratiqué (instruments notés en clé de sol et clé de fa 4e ligne).

2 évènements presse à noter dans vos agendas

Conférence de presse de rentrée
« La qualité au cœur de la régulation et des parcours de soins
:  la HAS présente un état d'avancement de ses travaux  »
mardi 18 septembre à 8h45
à l'hôtel Intercontinental - 2 rue Scribe 75009 Paris


Petit-déjeuner de presse
« Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées »
mardi 25 septembre à 8h45
à la maison des Centraliens - 8 rue Goujon 75008 PARIS


En savoir plus : www.has-sante.fr

Consommation d’antidépresseurs et risque d’accident de la route :

Une vigilance particulière est requise lors de l’initiation ou de la modification du traitement

Un nouveau volet de l’étude CESIR-A, évaluant l’impact de la consommation de médicaments sur le risque d’accident de la route, vient d’être publié dans Journal of Clinical Psychiatry.1 Des analyses récentes apportent un éclairage sur la question des antidépresseurs et montrent qu’une attention toute particulière doit être portée aux périodes d’initiation ou de modification du traitement. Celles-ci sont en effet associées à une vulnérabilité accrue des patients conducteurs.

Ces travaux, coordonnés par l’équipe INSERM « Prévention et Prise en Charge des Traumatismes », s’inscrivent dans le cadre des activités de surveillance, d’évaluation et d’information sur les risques liés à l’utilisation de produits de santé de l’ANSM. Ils permettent de préciser les messages de prévention tels que ceux présents sur les boîtes de médicaments et signalés par des pictogrammes.

 Afin d’évaluer l’impact de la consommation de médicaments sur le risque de survenue d’accidents de la circulation, l’étude CESIR-A met en regard les données de remboursement des médicaments de l’Assurance Maladie et les données relatives aux accidents recueillies par les forces de l’Ordre. Cet observatoire épidémiologique de grande envergure est le fruit d’une collaboration entre les principaux acteurs institutionnels concernés : l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), l’Institut national de la santé et la recherche médicale (INSERM), la Caisse Nationale d’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) et l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (IFSTTAR). Les résultats de cette étude portent déjà sur plus de 70 000 conducteurs, chacun impliqué dans un accident survenu entre 2005 et 2008.

Les premières analyses avaient mis en évidence la pertinence du système d’information des usagers sous forme de trois pictogrammes de couleurs différentes apposés sur le conditionnement des médicaments présentant un risque potentiel. Elles démontraient notamment que la prise de médicaments comportant un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 augmente le risque d’accident et que celui-ci est accru avec le nombre de médicaments potentiellement dangereux consommés. L’étude avait aussi permis d’estimer à près de 3 % la proportion d’accidents attribuables à une consommation de médicaments.2

Si diverses études expérimentales chez des volontaires sains ont bien établi une altération des capacités de conduite sous certains traitements antidépresseurs, les résultats des études épidémiologiques étaient, jusqu’à présent, peu probants. C’est la raison pour laquelle de nouvelles analyses des données de l’étude CESIR-A ont été menées.

Leurs résultats montrent que :
- la prise d’antidépresseurs entraîne une augmentation significative du risque d’être responsable d’un accident de la route ;
- ce risque est accru à certaines étapes clés du traitement, telles que les périodes d’initiation ou de modification du traitement (changement de posologie, de molécule...).

Les patients doivent donc être informés du risque que présente cette classe de médicaments sur leurs capacités de conduite, notamment lorsque le traitement est initié ou modifié. Le pictogramme orange, présent en France sur la boîte de tous les médicaments antidépresseurs, participe à la mise en garde des usagers et devrait favoriser le dialogue avec les professionnels de santé, que ce soit au moment de la prescription, de l’administration ou de la délivrance.


1 Orriols L, Queinec R, Philip P et al. Risk of Injurious Road Traffic Crash after Prescription of Antidepressants. J Clin Psychiatry 2012; 73(8):1088-1094.
2 Orriols L, Delorme B, Gadegbeku B et al. Prescription Medicines and the Risk of Road Traffic Crashes: A French Registry-Based Study. PLoS Med 2010; 7(11): e1000366. doi:10.1371/journal.pmed.1000366.

Un défi pour les patients, un défi de santé publique :

Mardi 13 novembre 2012 de 9h à 13h, au Sénat

 « BPCO, une épidémie moderne. Un défi pour les patients, un défi de santé publique »,

tel est le nouveau colloque organisée par l’Association BPCO, présidée par le docteur Yves Grillet.

En France, la BPCO touche 3 à 4 millions de personnes, soit 6 à 8 % de la population adulte. C’est la 3e cause de mortalité en France, beaucoup de souffrance et un grand handicap pour les personnes atteintes. La BPCO est devenue ainsi une des pathologies chroniques qui, depuis quelques années,  conduit nos décideurs à repenser le modèle de prise en charge et l’organisation des soins.

Le colloque permettra de faire un bilan 7 ans après le plan national BPCO. Il ouvrira le débat sur les grands sujets d’actualité : l’éducation thérapeutique, le parcours de soins, la pertinence de la prise en charge, le rôle des ARS dans la prise en charge de la maladie, les positionnements de la CNAM et des mutuelles sur ce même sujet.
Il permettra enfin de confronter le parcours de soin à l’épreuve du terrain, grâce à une table ronde réunissant l’ensemble des acteurs terrain, au centre desquels les patients.
Le programme détaillé vous sera envoyé très prochainement.

VACANCIEL: réductions 8-15% + offres 1ères minutes- Hiver 2013

Bonne nouvelle si vous êtes adhérents à la MGEFI Vous trouverez  prochainement sur la page Actu  l’intranet de votre mutuelle le tableau de réductions hiver 2013, de 8 à 15%, dont  vous pouvez peuvent bénéficier tout au long de cette saison.
L’ouverture des ventes hiver au grand public est fixée le 3/9/12.

Ÿ Comme l’an dernier, vous  pouvez profiter de offres premières minutes pour la saison hiver 2013, soit jusqu’à 250€ de réduction sur leurs vacances à la neige : voir détails de l’offre sur la page Actu  du site intranet  MGEFI.

Du chocolat comme anticariogène ? Un résumé des études

La carie dentaire est une des maladies infectieuses chroniques parmi les plus répandue dans le monde. Sa prévention et son traitement sont importants pour éviter des dégâts locaux et des complications systémiques. En effet, comme dans d’autres états inflammatoires de bas grade, il existe une relation entre l’incidence des caries et la survenue de maladies cardiovasculaires.

L’une des pistes est d’éradiquer l’agent infectieux principal appartenant au groupe des streptocoques par des antiseptiques. L’autre consiste à privilégier une alimentation non cariogène susceptible de modifier la flore bactérienne… Quelle place du chocolat ?

Le forfait « Vitalia » hors la loi !

Il y a quelque mois (communiqué du 27 mars 2012) le Ciss dénoncait l’« impôt privé » levé par le groupe Vitalia dans les cliniques du groupe sous la forme d’un forfait dit « d’assistance aux démarches administratives » d’un montant variant de 9 à 14 euros (depuis sa création au 1er février 2002). Il était destiné selon Vitalia à couvrir des prestations simples proposées aux patients telles que la mise à jour de la carte Vitale, le lien avec l’assureur complémentaire, la mise en place du tiers-payant, les facilités de paiement, la réservation de taxi ou d’ambulance à la sortie de la clinique… alors même qu’il existe déjà, prévus par la loi, un forfait hospitalier (article L. 174-4 du code de la sécurité sociale), le supplément pour chambre individuelle (article R. 162-32-2 du même code) et les dépassements d’honoraires (prévus par la convention médicale) !

Saisie par le CISS, dès le 29 mars 2012, sur le bien-fondé de cette pratique, la Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), qui ne s’en était guère émue, vient de communiquer au CISS les termes du rappel à la loi qu’elle vient d’adresser au groupe Vitalia : « (…) le forfait d’assistance aux démarches administratives ne pourrait être facturé que s’il est destiné à financer une exigence particulière de chaque patient. Cette exigence doit faire l’objet d’une demande écrite et ne doit pas déjà être couverte par le tarif du GHS (…) Le  caractère systématique de la facturation dudit forfait fait douter de la licéité de la pratique. Dans ces conditions, vous n’êtes pas en droit d’exiger des assurés une telle participation.»

Dans son courrier, le directeur de la CNAMTS fait connaître au CISS qu’il demande au groupe Vitalia de mettre un terme à « cette pratique illicite ».


Après ce rappel, le CISS, qui se félicite de ce que la CNAMTS joue le rôle de régulateur que lui a confié le législateur, reste vigilant quant au respect de cette injonction sur le terrain.

En savoir plus

Le courrier adressé par la CNAMTS au CISS en réponse à notre saisine est téléchargeable en cliquant ici

Mutuelle Conseil lance un comparateur d'assurances habitation

Leader de la comparaison de mutuelles sur Internet en France, Mutuelle Conseil diversifie son offre en lançant un comparateur d'assurances habitation en ligne.

Bien que spécialiste dans le domaine de l'assurance santé, Mutuelle Conseil propose désormais aux internautes d'accéder à une offre assurancielle en ligne plus large et de comparer directement sur son site les offres de diverses assurances habitation. Un outil idéal pour trouver l'assurance habitation qui convient le mieux aux besoins de l'assuré.

En seulement quelques clics, les internautes peuvent demander gratuitement un devis et découvrir immédiatement quelles économies ils vont réaliser sur leur budget assurance habitation.
En élargissant son offre, Mutuelle Conseil s'adapte ainsi aux attentes des internautes qui cherchent sur ce comparateur de qualité des comparatifs d'assurances supplémentaires, autres que ceux destinés à la santé.

La MAE tire un signal d'alarme

Comme tous les ans, il sera également question d'assurance scolaire.
En tant que numéro 1 de l'assurance scolaire, la MAE tire aujourd'hui un signal d'alarme : beaucoup de parents pensent que l'assurance habitation remplace l'assurance scolaire pour protéger leurs enfants. C'est faux !
C'est parce que certaines publicités sont trompeuses qu'il est urgent d'alerter sur ce sujet.
Avec seulement la responsabilité civile (incluse dans l'assurance habitation) les parents sont couverts financièrement si leurs enfants causent un dommage mais les enfants ne sont absolument pas protégés s'ils sont victimes d'un accident.
Lorsque l'on sait que la MAE traite environ 200 000 sinistres par an parmi lesquels 5 000 dossiers sont déclarés au titre d'une invalidité, on comprend à quel point la question de l'assurance scolaire est essentielle.