Nora ANSELL-SALLES

mercredi 22 juillet 2015

La Fondation de l’Avenir se mobilise sur les assemblées générales de ses partenaires

Echo 409 ; La Fondation de l’'Avenir se mobilise sur les assemblées générales de ses partenaires




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Fondation de l'Avenir : Accélérateur de progrès médical L'écho de la Fondation
16 juillet 2015 - 409
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La Fondation de l’Avenir se mobilise sur les assemblées générales de ses partenaires
Au cours des mois de mai et juin 2015, la Fondation de l’Avenir s'est déployée sur 20 assemblées générales de partenaires, organisées sur tout le territoire.
Cette année, la Fondation a répondu favorablement aux sollicitations de l’Association Française de Cautionnement Mutuel, la Banque Française Mutualiste, la Mutuelle Fonction Publique, la Mutuelle Générale de la Police, la Chambre Française de l’Economie Sociale et Solidaire, la Matmut, l’Ecole Supérieure Montsouris, la Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, la Mutuelle Nationale Territoriale, AMF Assurances, Générations mutualistes, le Groupement Hospitalier de la Mutualité Française, la Mutuelle Civile de la Défense, la Mutuelle Familiale, la Mutuelle du Personnel de la Caisse des Dépôts et Consignations et Harmonie Services Mutualistes.
Par ces participations (représentation, prise de parole institutionnelle ou de chercheurs, stand d'information), la Fondation souligne le lien qui l'unit au mouvement mutualiste. Certaines assemblées générales ont permis de valoriser des projets et de donner une image concrète des avancées en matière de recherche médicale et de pratiques de soins et d'accompagnement, rendues possibles grâce aux soutiens précieux des partenaires.
En photo : Michel Sirven, directeur général délégué de la Fondation de l’Avenir et Jean-Luc Nodenot, président du conseil de surveillance d'AMF Assurances.



Agenda de la Fondation
Retrouvez la Fondation de l’Avenir sur les étapes du GT TOUR 2015 à Magny Cours (26 – 30 août) et au Castellet (23 – 25 octobre)





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MINE D'INFOS: Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Co...

MINE D'INFOS: Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Co...: Quel avenir pour la carte SIM ? Le Financial Times vient de révéler que les grands acteurs de la téléphonie, Apple et Samsung tra...

Avis d’expert - Quel avenir pour la carte SIM ? Condamnée à disparaitre ou à se réinventer ?

Quel avenir pour la carte SIM ?


Le Financial Times vient de révéler que les grands acteurs de la téléphonie, Apple et Samsung travaillaient ensemble pour développer la première « e-SIM », une carte SIM qui permettrait à son détenteur de changer d’opérateur sans changer de carte SIM. Enfin un peu d’innovation dans un secteur qui stagne depuis 1991 !

Pourtant, dans le domaine de l’Internet des Objets, la pérennisation des cartes SIM est un phénomène déjà bien engagé depuis que Frédéric Salles, président de la société MATOOMA, a conçu la première carte SIM universelle, qui capte tous les grands réseaux téléphoniques sans interruption. Ce produit permet donc aux objets de communiquer entre eux en permanence et en toute sécurité !
  • Pourquoi peut-on penser que l’avenir de la carte SIM ne se trouve plus dans un smartphone mais bel et bien sur le marché de l’Internet des Objets ?
  • Quel avenir peut-on envisager pour ces fameuses cartes SIM ?
  • Comment expliquer que le marché de la téléphonie mobile réalise enfin son retard face à celui des objets connectés ? 
  •  
Frédéric Salles, président de Matooma et expert reconnu sur le marché de l’Internet des Objets, apporte sa vision sur ces récentes évolutions du marché.

Contact:
Victoria JOHNSTON
Cabinet ESCAL Consulting
Tel : 01 44 94 95 74
@ESCALCONSULTING



www.escalconsulting.com

mardi 21 juillet 2015

MINE D'INFOS: CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre g...

MINE D'INFOS: CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre g...: Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales ! Rappelons-les aux Caisses Primaires d’Assurance Maladie ...

CP Le CISS : Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales !



Le dispositif « Tiers-payant contre génériques » a des limites légales !



Rappelons-les aux Caisses Primaires d’Assurance Maladie
Une dérogation légale au dispositif du « tiers-payant contre génériques » prévoit de maintenir la dispense d’avance des frais lorsque la prescription indique « non substituable »…

Comme le souligne la CNAMTS dans une réponse adressée au CISS par le directeur de la CNAMTS en mai dernier, la faculté laissée par le Législateur aux prescripteurs d’écarter la substitution du pharmacien en apposant la mention « non substituable » sur l’ordonnance, est un principe qui en l’état des textes, s’impose à l’ensemble des acteurs et doit, de ce point de vue, être respecté. Il en va de même des dérogations législatives au principe du « tiers-payant contre génériques », qui permettent de maintenir la dispense d’avance des frais : elles doivent être respectées par les organismes chargés de mettre en œuvre le remboursement des usagers.

L’entêtement des CPAM à ne pas respecter la loi

Pourtant, certaines CPAM émettent des consignes visant à l’application sans discernement du dispositif du « tiers-payant contre génériques » à l’ensemble des lignes prescrites, y compris pour les médicaments « non substituables ».

Pour exemple, une CPAM de la région Midi-Pyrénées écrit très explicitement à ses assurés que « le bénéfice du tiers-payant est réservé exclusivement à l’acceptation du médicament générique par l’assuré y compris pour les prescriptions médicales comportant la mention " non substituable " » (http://f.info.cpam-albi.fr/o/?s=1484-110cb-1F78-5256e1d-77).

Les patients n’ont pas à faire les frais de la lutte contre les mentions « non substituables » dépourvues de fondement médical

Si c’est à bon droit que l’Assurance maladie veille au respect des critères médicaux qui doivent présider à l’apposition, par les médecins, de la mention « non substituable », il est abusif de sanctionner les patients à qui sont prescrits ces médicaments.

Contrôler le bien-fondé des prescriptions, ce n’est pas prendre des légèretés avec les droits des usagers tels que reconnus dans la loi.

Et si on commençait par faire respecter l’obligation de prescrire en DC pour éviter tout malentendu ?

L'utilisation de la Dénomination Commune (DC) est en principe obligatoire depuis le 1er janvier 2015 pour toutes les prescriptions effectuées par les professionnels de santé habilités à le faire. Cette obligation a été confirmée le 14 novembre dernier par la publication d'un décret.

Ce type de prescription règlerait bien des problèmes aujourd’hui liés à la substitution par les pharmaciens.

Mais là encore, le droit des patients à qui sont prescrits des médicaments de marque pour raisons médicales devra être respecté en vertu de la loi sur le tiers-payant contre générique.
Chargée de veiller au respect des droits de ses assurés, la CNAMTS doit rappeler les limites légales au dispositif de « tiers-payant contre génériques » à l’ensemble de son réseau, et s’assurer de leur respect sur l’ensemble du territoire.
La persistance de telles pratiques donnera lieu, le cas échéant, à des recours de la part du CISS.


Contact presse :Marc Paris, responsable communication, mparis@leciss.org – 01 40 56 94 42 / 06 18 13 66 95

Lien vers le communiqué de presse du CISS