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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 15 février 2013
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MINE D'INFOS: À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’San...: m-santé : quelles sont les attentes des médecins généralistes ? La santé n’échappe pas à la croissance du marché des smartphone...
À lire dans le N°6 du 12 février 2013 de ID’Santé La lettre d’info des médias de l’éducation santé
m-santé :
quelles sont les attentes des médecins généralistes ?
La santé n’échappe pas à la croissance du marché des smartphones et des tablettes. Très développée dans les pays émergents où elle se révèle chaque jour un peu plus indispensable, la m-santé ou santé mobile cherche toujours sa voie sur le vieux continent.
Son avenir en France passera par le développement d’applications mobiles réellement utiles aux patients et suffisamment validées pour que les médecins puissent les recommander.
IDS Santé a confié à l’institut d’études MediQual Research le soin de faire le point avec les médecins généralistes sur leurs attentes vis-à-vis de la m-santé (janvier 2013).
Son avenir en France passera par le développement d’applications mobiles réellement utiles aux patients et suffisamment validées pour que les médecins puissent les recommander.
IDS Santé a confié à l’institut d’études MediQual Research le soin de faire le point avec les médecins généralistes sur leurs attentes vis-à-vis de la m-santé (janvier 2013).
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Relation médecin-patient :
les brochures font tomber les tabous
Selon une récente étude réalisée par l’institut MédiQual Research auprès d’un échantillon de 306 médecins généralistes, les brochures d’information mises à disposition des patients dans la salle d’attente facilitent le dialogue sur les sujets sensibles.
Troubles de l’érection, IST, mycoses, incontinence, herpès ou halitose : autant de sujets tabous, dont les patients n’osent toujours pas parler à leurs médecins.
Troubles de l’érection, IST, mycoses, incontinence, herpès ou halitose : autant de sujets tabous, dont les patients n’osent toujours pas parler à leurs médecins.
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Diabète de type 2 :
Quand et quels médicaments prescrire pour le contrôle glycémique ?
En 2009, 2,7 millions de personnes étaient traitées
par médicament pour un diabète de type 2, soit environ 4,6% de la population française. Mal ou non soigné, le diabète de type 2 peut entraîner des complications graves et coûteuses. Le contrôle de la glycémie (sucre dans le sang), un accompagnement et un traitement adaptés permettent d'éviter ou de retarder ces complications. La Haute Autorité de Santé (HAS) et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) diffusent ce jour une recommandation de bonne pratique pour aider les professionnels de santé à définir la stratégie médicamenteuse la plus adaptée pour le contrôle glycémique de leurs patients.
La Haute Autorité de Santé (HAS)
et l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publient ce jour une recommandation de bonne pratique sur le traitement médicamenteux du contrôle glycémique dans le diabète de type 2 pour aider les professionnels de santé à définir la prise en charge la plus adaptée à leurs patients. Afin de faciliter la diffusion de cette recommandation, la HAS met en ligne sur son site une vidéo grand public reprenant les principaux messages de la recommandation ainsi qu'un lien vers un arbre décisionnel informatisé destiné aux médecins.
Un objectif glycémique à adapter selon le profil du patient
L'objectif glycémique cible (taux d' HbA1C* à atteindre) sera adapté par le médecin au profil du patient et évoluera donc au cours du temps. Pour la plupart des diabétiques de type 2, l'objectif glycémique cible doit être inférieur ou égal à 7%.
Les mesures hygiéno-diététiques, base de toute prise en charge
Adopter une alimentation saine et équilibrée et pratiquer régulièrement une activité physique ou sportive même modérée seront les clés pour réussir à atteindre l'objectif glycémique cible ou encore à le stabiliser. En effet, faire perdre du poids au patient peut aider à baisser la glycémie (près de 80% des diabétiques sont en surpoids ou obèses).
L'objectif : pratiquer au moins 2h30 d'activité physique d'intensité modérée par semaine et conserver durablement les habitudes alimentaires.
Si les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas ou plus pour atteindre l'objectif glycémique cible, le médecin, en concertation avec son patient, prescrira un traitement médicamenteux.
La metformine, traitement de première intention
La HAS recommande de prescrire la metformine seule
en première intention. Si le traitement par metformine ne permet plus d'atteindre l'objectif glycémique cible, une bithérapie puis éventuellement une trithérapie pourra être envisagée sur la base d'une association de metformine et de sulfamide hypoglycémiant. L'insuline est le traitement de choix lorsque les traitements oraux et non insuliniques ne permettent pas d'atteindre l'objectif glycémique.
Du fait d'une efficacité moindre, d'un manque de recul sur leur sécurité à moyen et long terme et/ou d'un coût supérieur, les autres traitements
doivent être réservés aux situations dans lesquelles les traitements recommandés en première intention ne peuvent pas être prescrits.
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C'est à lire : « Objectif l’Éternité – La Clairstidée » de Serge France - Éditions Livredit
Des apprentis sorciers sans
vergogne découvrent le substitut de la cellule souche. Quel lourd tribut
payeront-ils pour offrir la jeunesse éternelle ?
Le 17 septembre 2012, Alain Tier reçoit une photo de son
fils Robert disparu depuis plus de huit ans ainsi que l’annonce d’un héritage
providentiel.
Le même jour, à la
même heure, Carla Corbota octogénaire en léthargie depuis cinquante et un ans
se réveille. La mémoire de la vieille dame et les mésaventures de Tier s’entrecroisent
pour les amener à côtoyer l’inconcevable.
Des femmes sans mémoire,
des enfants et des hommes sans âges. Des apprentis sorciers sans vergogne en quête
de l’inaccessible. Une organisation aux ramifications allant jusqu’au plus haut
de l’appareil de l’état. L’apparition d’une menace planétaire…
Carla et Alain
vivront vingt jours intemporels où s’opposeront les extrêmes. Le réel et le
chimérique, la beauté et l’horreur, l’amour et la haine. La vie, la mort et
au-delà… l’éternité
Les Auteurs :
Quand France (chef
de projet en informatique) et Serge (gradué en kinésithérapie) se rencontrent,
il ressort rapidement de leur conversation un fort attrait pour l’irréel. Au gré
des jours, l’aventure se découvre, alimentée chaque fois par des débats colorés
et enthousiastes. Sans s’en rendre vraiment compte, une parfaite cohésion de
pensées les amène à l’incontournable complicité dans leur prose. Serge France
devient réalité, quand s’inscrit leur nom en signature d’auteurs d’un premier
roman.
Disponible Formats Kindle et broché : Amazon.fr www.livredit.be
Les lecteurs en
parlent :
Un style
accessible et tout en finesse.
C'est aussi cela que j'ai aimé dans ce roman, c'est que le style d'écriture est accessible. Mais on sent une recherche des mots et des phrases qui vous donnent envie de creuser derrière. Et je pense que je risque de le relire en fin de compte, car je suis sûre que j'ai loupé des trucs. Mais il y'a là une fine alliance de biologie, de médecine, de savants fous, de chimères, de légendes, de voyage... C'est très dense, mais en même temps, vous avez envie de continuer, de savoir ce qu'est cette Clairstidée, comment cela fonctionne.
C'est aussi cela que j'ai aimé dans ce roman, c'est que le style d'écriture est accessible. Mais on sent une recherche des mots et des phrases qui vous donnent envie de creuser derrière. Et je pense que je risque de le relire en fin de compte, car je suis sûre que j'ai loupé des trucs. Mais il y'a là une fine alliance de biologie, de médecine, de savants fous, de chimères, de légendes, de voyage... C'est très dense, mais en même temps, vous avez envie de continuer, de savoir ce qu'est cette Clairstidée, comment cela fonctionne.
On s'étonne à la lecture de vouloir se rassurer en s'appuyant sur l'aspect fiction et puis on s'affole à réaliser une possible proximité appuyée par une éthique bien réelle, on se retrouve à flirter entre réel et subjectif.
On ne sait plus et pourtant on ne lâche pas le récit, on croit imaginer avoir trouvé l'issue, mais elle n'est jamais celle que l'on a imaginée.
J'ai tout aimé dans ce livre, l'histoire, les personnages, la façon dont l'intrigue est menée tout m'a plu. On va de surprise en surprise au fur et à mesure de notre lecture.
Je ne peux pas quitter ces lignes sans être profondément marquée ! Le suspense reprend.
Je m’habitue aux personnages. Je m’installe dans le confort d’une histoire qui me trimbale à un rythme soutenu dans différentes directions. Je pensais avoir tout décelé, c’est alors que le récit se retourne complètement. Les auteurs s’ingénient sans cesse à surprendre. Ils y réussissent bien, je le resterai jusqu’au mot "Fin", qui me laisse pantoise.
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Journée Internationale du cancer de l’enfant
La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
My Child Matters pour trois ans
- 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -
Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013
- A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.
Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.
«
Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »
Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.
«
Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »
Plus de 175 000
* enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.
Le programme
My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2
et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.
Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.
* Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/
A propos de l’UICC
L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.
A propos de la Fondation Sanofi Espoir
La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com
Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters
Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).
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C'est à lire : « Plantes toxiques à usage médicinal du pourtour méditerranéen »
de V. Hammiche, R. Merad, M. Azzouz – Editions Springer
L’intérêt nouveau pour les remèdes naturels
engendre un retour en force du végétal, mais on a parfois oublié que la nature,
grande pourvoyeuse d’aliments et de remèdes, constitue aussi un réservoir
redoutable de poisons. Ainsi, les services hospitaliers de réanimation
enregistrent-ils chaque année des centaines de cas d’intoxications, parfois
mortelles, suite à l’usage impropre ou inconsidéré de certains végétaux. Et,
malgré les progrès réalisés dans les investigations toxicologiques, il arrive,
encore, que médecins et SAMU soient déroutés face à certains tableaux toxiques,
ne sachant quel traitement mettre en place, par méconnaissance des végétaux
pouvant être à l’origine des empoisonnements observés.
L’objectif de cet ouvrage est de présenter les
données éparses existant aussi bien dans les archives des centres antipoison,
des établissements hospitaliers et des laboratoires universitaires que dans la
littérature internationale afin de présenter une documentation sur les plantes
vénéneuses du Maghreb et, plus largement, du pourtour méditerranéen. Il se veut
un outil commode, à destination des praticiens cliniciens et analystes, à travers
des fiches de synthèse résumant les principales données botaniques,
toxicologiques et analytiques. C’est également une aide au diagnostic de ces
intoxications destinée aux urgentistes et aux spécialistes des laboratoires de
toxicologie d’urgence notamment, ceux de la rive Nord de la Méditerranée
pouvant être confrontés à des cas liés aux plantes importées par la population
immigrée.
Cette synthèse permet d’informer les
professionnels comme les profanes, des dangers pouvant résulter d’un mauvais
usage des plantes et des intoxications qu’elles peuvent provoquer. Elle donne
les moyens d’identifier les plantes incriminées à travers un descriptif
botanique simple accessible au personnel des structures d’urgence. Une aide
supplémentaire est apportée par les tableaux récapitulant les noms
vernaculaires d’usage courant. Les auteurs, pharmaciens toxicologues et
botaniste, réunissent les compétences botaniques, chimiques et médicales
donnant à cet ouvrage une véritable caution scientifique.
Victoria Hammiche a exercé en tant que pharmacien, professeure en botanique Médicale à
l’université d’Alger, chef de service de la Pharmacie au CHU Mustapha – Centre
Pierre et Marie Curie (CPMC) d’ Alger. Rachida Merad a été professeure
en Toxicologie à l’université d’Alger, chef de service de Toxicologie et du
Centre anti-poisons d’Alger au CHU Mustapha, CHU Bab El Oued d’Alger. Mohamed
Azzouz est pharmacien, professeur en toxicologie à l’université d’Alger. Il
a été chef d’unité de Toxicologie, service de toxicologie au CHU Bab El Oued,
et est actuellement chef d’unité de toxicologie, Service de
Biologie-Toxicologie à l’EHS Ait Idir à Alger.
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En primeur sur Couleurs MGEFI
Questions fréquentes
L’optique comme le dentaire représentent des budgets importants pour
les familles et suscitent de nombreuses interrogations sur leur prise en charge
par les mutuelles.
En 2013, puis-je bénéficier de remboursements
pour deux équipements différents car je porte des lunettes mais aussi des
lentilles ?
Avec la garantie
Vita Santé ou la garantie Multi Santé, les deux forfaits sont cumulables pour
une même année civile. Vous bénéficiez donc de remboursements à la fois pour les
lunettes mais également pour les lentilles.
Si mon enfant change de correction visuelle
en cours d’année, puis-je bénéficier d’un second remboursement ?
Quelle que soit la
garantie, le forfait annuel n’est pas applicable aux enfants de moins de 18
ans. Vous pouvez donc bénéficier pour
votre enfant d’un second remboursement sur une même année.
Pour la pose d’un bridge, mon dentiste me
posera des couronnes provisoires. Puis-je bénéficier d’un remboursement
couvrant à la fois les dents provisoires et les trois couronnes fixes ?
Si vous consultez
un dentiste conventionné CNSD (Confédération Nationale des Syndicats
Dentaires), le remboursement des couronnes provisoires est inclus dans la
prestation versée pour les dents visibles : incisives, canines et prémolaires.
Avec la garantie
Vita Santé ou la garantie Multi Santé, le montant total du remboursement s’élève
à 473,20 € par dent, soit pour un bridge (3 éléments) à 1 419,60 €.
Si le praticien n’est
pas conventionné, une prise en charge par la MGEFI est également prévue pour
les couronnes provisoires sur dents visibles.
Dans ce cas, le
montant s’élève à 30,49 € par couronne provisoire et à 244,50 € par couronne fixe.
Depuis la
mise en place du
Réseau
Optistya, le 1er janvier 2013, la MGEFI vous offre la possibilité de
calculer votre remboursement Sécurité sociale et Mutuelle sur son site internet depuis l’espace
adhérent : http://www.mgefi .fr
E-mail
Afin n de
faciliter vos démarches, nous vous invitons à nous communiquer une adresse
électronique sur laquelle vous souhaiteriez recevoir vos informations
mutualistes. Vous pouvez nous la préciser sur : email@mgefi .fr
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MINE D'INFOS: Première Journée Internationale du Syndrome d'Ange...
MINE D'INFOS: Première Journée Internationale du Syndrome d'Ange...: Le 15 février sera la première journée internationale du Syndrome d’Angelman. L’Association Française du Syndrome d’Angelman représen...
Première Journée Internationale du Syndrome d'Angelman : aujourd'hui, 15 février !
Le 15 février sera la première
journée internationale du Syndrome d’Angelman. L’Association Française du
Syndrome d’Angelman représente les
personnes touchées par cette maladie génétique rare, cause de déficience
intellectuelle sévère chez l'enfant et chez l’adulte. L’association travaille
avec les professionnels de santé, du médico-social, de la recherche et
accompagne plus de 400 familles dans leur quotidien et leur combat contre la
maladie. L’AFSA est membre du Collectif DI (Déficience Intellectuelle) représentant
les centres de référence des déficiences intellectuelles de causes rares et 13
associations de patients atteints de maladies rares dans la DI.
Denise Laporte, Présidente de l’Association, a présenté a nile,
en quelques mots la spécificité de la maladie et de sa prise en charge, le
regard de la société sur cette forme rare de handicap ainsi que les projets
novateurs que l’Association a développé depuis plusieurs années.
Retrouvez cette présentation en cliquant sur la vidéo
ci-dessous : http://youtu.be/1CsiU-zLWSs
nile soutiendra l’AFSA tout au long de cette année.
jeudi 14 février 2013
MINE D'INFOS: «Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pa...
MINE D'INFOS: «Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pa...: Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loi...
«Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien »
Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loire (49) après avoir trompé la vigilance du personnel. Un nouveau drame symptomatique des dangereuses errances des malades d'Alzheimer qui préoccupent les pouvoirs publics. Plus d'une dizaine de malades errent chaque jour en France, selon l'association France Alzheimer. Ainsi, Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées vient de lancer une réflexion sur les dispositifs de géolocalisation.
«
Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien des personnes dépendantes, comme une chute, un robinet laissé ouvert ou une prise de médicaments oubliée,... », explique Alexandre Chaverot, Président d'Avidsen, spécialiste des objets connectés pour l'habitat.
«
Les progrès de la domotique et des objets connectés, enfin accessibles au plus grand nombre, ouvrent des perspectives bien plus innovantes et intéressantes qu'un simple « mouchard » pour prévenir dès aujourd'hui ce genre de drame en particulier, et permettre, en général, à toute personne en perte d'autonomie de continuer à vivre dans son cadre habituel, en toute sécurité. », ajoute-t-il.
Le vieillissement de la population française conduira dans les années à venir à une augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes : 1 200 000 personnes seront dépendantes en 2040, contre 800 000 actuellement (source : INSEE). Mais, d'une part, personne ne peut prédire quelle sera l'évolution de la prise en charge de la dépendance à l'avenir par les pouvoirs publics. D'autre part, la solidarité familiale pourrait diminuer du fait de la baisse du nombre d'enfants par famille et de l'éclatement géographique des familles. Or, de nombreuses études, notamment l'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance), montrent bien que le rôle du conjoint, des enfants et même des petits enfants, est primordial dans la réussite du maintien à domicile des personnes âgées dépendantes.
La maison connectée, une vraie solution pour "bien vieillir"
Ainsi, la maison connectée avec ses objets intelligents, capteurs, outils de contrôle et de communication à distance apparaît désormais comme une solution incontournable pour bien vieillir.
« Avec une box domotique et des objets connectés appropriés, c'est l'habitat qui s'adapte à chacun et non plus l'inverse. Vous créez ainsi, très simplement, selon des scénarios de vie sur mesure, les conditions indispensables pour faciliter, dans la maison et à distance, le quotidien des personnes en perte d'autonomie et leur maintien à domicile en toute sécurité. », explique Alexandre Chaverot.
Par exemple, pour les malades d'Alzheimer, une sortie inopinée, une absence prolongée ou l'absence d'ouverture de l'armoire à pharmacie, sont automatiquement détectées et signalées par SMS. Il est possible aussi d'installer des détecteurs de gaz ou de fuite d'eau qui alertent l'occupant, ou son entourage à distance.
Pour les personnes à mobilité réduite, des commandes centralisées pour la fermeture de volets, de portes... peuvent être mises en place afin de limiter les déplacements.
Pour éviter les risques de chutes, des chemins lumineux peuvent s'activer avec un seul et même interrupteur.
Une box domotique permet en effet de commander tous les équipements de la maison (éclairages, motorisations...) via des interfaces simples et intuitives, à partir d'un ordinateur, un smartphone ou une tablette tactile, où que l'on soit géographiquement, via Internet.
Elle permet également de contrôler les accès au domicile (interphones) et de tout visualiser à distance où que l'on soit (caméras de vidéosurveillance) et même d'enregistrer ces séquences vidéo.
La box domotique permet, en outre, grâce à des systèmes d'alarme, des caméras, des détecteurs d'incidents domestiques ou médaillon pour appel d'urgence, d'être informé en temps réel de l'état de la maison (incendie, inondation, fuites...) et de la santé des proches (inactivité, malaise, chute...) qui y résident en recevant une alerte SMS, un appel vocal ou un e-mail. Un système qui permet également de visualiser la personne et de rentrer en communication avec elle.
Les nouvelles technologies de la communication et de la domotique se révèlent ainsi une chance, aujourd'hui, pour soulager les aidants des malades d'Alzheimer et permettre, d'une manière générale, aux seniors en situation de perte d'autonomie, demain, de conserver dignité et qualité de vie en toute sécurité.
A propos d'Avidsen :
PME française basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants, simples d'utilisation pour la maison connectée.
Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le secteur de la domotique et des objets connectés en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité (alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la marque Thomson.
Enquête Famille et Logements 2011 : L'Ined et l'Insee présentent trois premières études
Enquête Famille et Logements 2011 :
L'Ined et l'Insee présentent trois premières études
Les situations familiales sont de plus en plus diverses et en perpétuelle évolution : familles recomposées, couples pacsés, conjoints de même sexe, mode de garde des enfants, lieux de vie au sein d'une même famille, etc.
L'enquête Famille et Logements (EFL), permet de connaître plus précisément les familles d'aujourd'hui et leurs lieux de vie. De premiers résultats sont présentés aujourd'hui au travers de trois études sur les couples et les modes de cohabitation :
- Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ? (Ined)
- Le couple dans tous ses états (Insee)
- Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple (Insee Île-de-France)
Réalisée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) en collaboration avec l'Institut national d'études démographiques (Ined), cette enquête a bénéficié de l'appui scientifique ou financier de nombreux partenaires1 .
Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ?
Les couples hétérosexuels souhaitant une reconnaissance civile de leur union ont le choix entre le pacs et le mariage en France depuis 1999. En quoi ceux ayant choisi le pacs se distinguent-ils des mariés ? Les pionniers qui se sont pacsés peu de temps après l'instauration de la loi sont-ils différents des pacsés plus récents ? Analysant l'enquête Famille et logements, Estelle Bailly et Wilfried Rault, de l'Institut national d'études démographiques, montrent que les pacsés sont plus fréquemment sans enfant que les mariés, mais moins souvent que les personnes en union libre. Ils sont plus diplômés que les mariés, plus souvent cadres ou membres de professions intermédiaires, et exercent plus souvent une activité dans le secteur public. Les écarts entre pacsés et mariés se sont amoindris ces dernières années. Ayant connu un grand succès et s'étant diffusé dans des milieux sociaux qui s'en étaient peu emparés à ces débuts, le pacs s'est « démocratisé ».
Ined : Population & Sociétés n° 497 - service-presse@ined.fr
Le couple dans tous ses états
Début 2011, en France métropolitaine, 32 millions de personnes majeures déclarent être en couple, 72 % d'entre elles sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent. 7 millions sont en union libre et 1,4 million sont pacsées.
Parmi les adultes qui se déclarent en couple, 4 % indiquent par ailleurs que leur conjoint ne vit pas dans le logement. Plus de la moitié d'entre eux a moins de 30 ans. Entre 30 et 59 ans, une personne en couple sur dix ne réside pas avec son conjoint en l'absence d'enfant commun. La non-cohabitation concerne surtout des personnes en union libre.
200 000 personnes sont en couple avec une personne du même sexe, dont 16 % avec une personne ne vivant pas sous le même toit. Six sur dix sont des hommes. 43 % sont pacsées, cette proportion atteignant 55 % après 35 ans. Environ 10 % déclarent vivre au moins une partie du temps avec un enfant, généralement né avant l'union actuelle ; il s'agit avant tout de femmes.
Insee : Insee Première n° 1435 - Contact : bureau-de-presse@insee.fr
______________
1 Agence nationale de la recherche (ANR), Atelier parisien d'urbanisme (Apur), Caisses d'allocations familiales d'Île de France, Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP), Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France (IAU-ÎDF) , Mairie de Paris, Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), Plan urbanisme construction architecture (Puca).
Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple
En 2011, le mariage reste le statut majoritaire des personnes adultes vivant en couple en Ile-de-France (71 %). Avant 25 ans, les personnes en couple vivent essentiellement en union libre, tandis qu'après 35 ans, le mariage prédomine. Le pacs, dans un cas sur deux, est choisi par une personne de 25 à 34 ans. A Paris, les personnes en couple sont davantage en union libre.
Insee IDF : Faits et chiffres n° 302 - Contact : eric.bonnefoi@insee.fr
L'enquête Famille et Logements 2011
L'information démographique en France provient de deux sources principales. Le recensement fournit des données sur l'état de la population à une date donnée, l'état civil renseigne sur les naissances, mariages et décès. Mais ces deux sources ne sont pas suffisantes pour éclairer les histoires et situations familiales des personnes vivant en France (nombre d'enfants, calendrier des naissances, types d'union, etc.).
Régulièrement associée aux enquêtes de recensement depuis 1954, l'enquête Famille permet de décrire plus en détail la diversité des situations familiales. Avec un échantillon de 360 000 adultes répondants en 2011, répartis dans 1400 communes, l'enquête Famille et Logements permet en particulier de quantifier des situations très minoritaires, ce qui n'est pas possible dans les enquêtes habituelles de taille plus réduite.
Douze ans après la dernière édition, l'enquête Famille et Logements 2011 intègre de nouveaux thèmes : le pacs, la vie en couple non cohabitant ou avec une personne de même sexe, les familles recomposées, les modes de garde d'enfants. Elle aborde également les thèmes de la multirésidence et du déploiement géographique des familles, et, comme les précédentes enquêtes, permet d'étudier la fécondité ou les familles sur trois générations.
Trois premières études portant sur les couples et les modes de cohabitation sont publiées aujourd'hui. Elles seront complétées par la suite par des publications sur les autres thématiques abordées par l'enquête.
L'Ined et l'Insee présentent trois premières études
Les situations familiales sont de plus en plus diverses et en perpétuelle évolution : familles recomposées, couples pacsés, conjoints de même sexe, mode de garde des enfants, lieux de vie au sein d'une même famille, etc.
L'enquête Famille et Logements (EFL), permet de connaître plus précisément les familles d'aujourd'hui et leurs lieux de vie. De premiers résultats sont présentés aujourd'hui au travers de trois études sur les couples et les modes de cohabitation :
- Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ? (Ined)
- Le couple dans tous ses états (Insee)
- Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple (Insee Île-de-France)
Réalisée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) en collaboration avec l'Institut national d'études démographiques (Ined), cette enquête a bénéficié de l'appui scientifique ou financier de nombreux partenaires1 .
Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ?
Les couples hétérosexuels souhaitant une reconnaissance civile de leur union ont le choix entre le pacs et le mariage en France depuis 1999. En quoi ceux ayant choisi le pacs se distinguent-ils des mariés ? Les pionniers qui se sont pacsés peu de temps après l'instauration de la loi sont-ils différents des pacsés plus récents ? Analysant l'enquête Famille et logements, Estelle Bailly et Wilfried Rault, de l'Institut national d'études démographiques, montrent que les pacsés sont plus fréquemment sans enfant que les mariés, mais moins souvent que les personnes en union libre. Ils sont plus diplômés que les mariés, plus souvent cadres ou membres de professions intermédiaires, et exercent plus souvent une activité dans le secteur public. Les écarts entre pacsés et mariés se sont amoindris ces dernières années. Ayant connu un grand succès et s'étant diffusé dans des milieux sociaux qui s'en étaient peu emparés à ces débuts, le pacs s'est « démocratisé ».
Ined : Population & Sociétés n° 497 - service-presse@ined.fr
Le couple dans tous ses états
Début 2011, en France métropolitaine, 32 millions de personnes majeures déclarent être en couple, 72 % d'entre elles sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent. 7 millions sont en union libre et 1,4 million sont pacsées.
Parmi les adultes qui se déclarent en couple, 4 % indiquent par ailleurs que leur conjoint ne vit pas dans le logement. Plus de la moitié d'entre eux a moins de 30 ans. Entre 30 et 59 ans, une personne en couple sur dix ne réside pas avec son conjoint en l'absence d'enfant commun. La non-cohabitation concerne surtout des personnes en union libre.
200 000 personnes sont en couple avec une personne du même sexe, dont 16 % avec une personne ne vivant pas sous le même toit. Six sur dix sont des hommes. 43 % sont pacsées, cette proportion atteignant 55 % après 35 ans. Environ 10 % déclarent vivre au moins une partie du temps avec un enfant, généralement né avant l'union actuelle ; il s'agit avant tout de femmes.
Insee : Insee Première n° 1435 - Contact : bureau-de-presse@insee.fr
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1 Agence nationale de la recherche (ANR), Atelier parisien d'urbanisme (Apur), Caisses d'allocations familiales d'Île de France, Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP), Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France (IAU-ÎDF) , Mairie de Paris, Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), Plan urbanisme construction architecture (Puca).
Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple
En 2011, le mariage reste le statut majoritaire des personnes adultes vivant en couple en Ile-de-France (71 %). Avant 25 ans, les personnes en couple vivent essentiellement en union libre, tandis qu'après 35 ans, le mariage prédomine. Le pacs, dans un cas sur deux, est choisi par une personne de 25 à 34 ans. A Paris, les personnes en couple sont davantage en union libre.
Insee IDF : Faits et chiffres n° 302 - Contact : eric.bonnefoi@insee.fr
L'enquête Famille et Logements 2011
L'information démographique en France provient de deux sources principales. Le recensement fournit des données sur l'état de la population à une date donnée, l'état civil renseigne sur les naissances, mariages et décès. Mais ces deux sources ne sont pas suffisantes pour éclairer les histoires et situations familiales des personnes vivant en France (nombre d'enfants, calendrier des naissances, types d'union, etc.).
Régulièrement associée aux enquêtes de recensement depuis 1954, l'enquête Famille permet de décrire plus en détail la diversité des situations familiales. Avec un échantillon de 360 000 adultes répondants en 2011, répartis dans 1400 communes, l'enquête Famille et Logements permet en particulier de quantifier des situations très minoritaires, ce qui n'est pas possible dans les enquêtes habituelles de taille plus réduite.
Douze ans après la dernière édition, l'enquête Famille et Logements 2011 intègre de nouveaux thèmes : le pacs, la vie en couple non cohabitant ou avec une personne de même sexe, les familles recomposées, les modes de garde d'enfants. Elle aborde également les thèmes de la multirésidence et du déploiement géographique des familles, et, comme les précédentes enquêtes, permet d'étudier la fécondité ou les familles sur trois générations.
Trois premières études portant sur les couples et les modes de cohabitation sont publiées aujourd'hui. Elles seront complétées par la suite par des publications sur les autres thématiques abordées par l'enquête.
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