🤔Qui selon vous est le meilleur candidat ? Et pourquoi ?
🔺️DERNIÈRE MINUTE
Candidature potentielle de Don Mello : fin du débat
🔹️Ferdinand MAYEGA à Paris
✒ Le cador de la finance Tidjane Thiam: L’espoir du PDCI pour le pouvoir en 2025 malgré les obstacles…
Le brillant esprit Tidjane Thiam, premier Ivoirien diplômé de la prestigieuse École polytechnique de Paris en 1984 puis de l’École des Mines en 1986 dont-il a été major et ensuite de l’Institut européen d’administration des affaires(INSEAD) en 1988 avant de connaître une ascension fulgurante exceptionnelle dans la finance internationale d’abord comme premier Africain d’origine et noir DG de l’assureur britannique Prudential ainsi que de la banque helvétique Crédit Suisse a été élu en décembre 2023 président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire ou PDCI.
C’est un saut vertigineux dans l’univers moins connu du monde cruel de la politique ivoirienne pour ce petit neveu du président et père de l’indépendance de la Côte d’Ivoire Félix Houphouët-Boigny qui a été absent du pays pendant 20 ans après le coup d’État du 24 décembre 1999 en Côte d’Ivoire ayant mis fin à sa brève carrière de ministre du Plan entre 1998-1999 sous la présidence du Chef de l’État Henri Konan Bédié malheureusement décédé le 1 août 2023 à 89 ans. Le PDCI, parti historique du pays qui n’a plus gouverné depuis 1999 espère avoir trouvé un sauveur en la personne de Tidjane Thiam élu haut la main au congrès du parti en décembre 2023 avec plus de 96% de voix pour permettre aux fidèles houphouetistes du PDCI et dans l’âme des autres parti politiques ivoiriens, notamment le RHDP du Chef de l’État Alassane Ouattara de toutes les tranches d’âge de resserrer les liens dans la perspective d’une victoire aux élections présidentielles de 2025.
Le matheux Tidjane Thiam habitué aux équations complexes, l’ingénierie de gestion de risque et aux algorithmes sait probablement que son chemin est jonché d’obstacles et d’embûches malgré son profil atypique qui lui a valu d’accéder vers les sphères les plus élevées de la finance mondiale en brisant le plafond de verre de deux des plus grandes entreprises occidentales avec une capitalisation boursière respective estimée à plusieurs milliards d’Euros. Parmi les obstacles majeurs du nouveau président du PDCI âgé de moins de 62 ans avec une stature charismatique et un souci permanent de faire la politique autrement que belliqueuse avec des coups bas, il y a d’abord des loups dans la bergerie du PDCI qui veulent saper son ascension au pouvoir suprême du pays par la division au sein même du parti parce qu’ils ont rêvé depuis longtemps la possibilité de présider aux destinées du PDCI après l’ancien président Henri Konan Bédié, figure illustre et indomptable du PDCI qui a cassé sa pipe en août dernier. La présidence du PDCI était très convoitée parce qu’elle constitue en même temps une rampe de lancement vers la conquête du pouvoir.
Le nouveau président du PDCI Tidjane Thiam doit poursuivre ses efforts voire affiner sa stratégie pour convaincre particulièrement l’un de ses principaux adversaires au sein du parti à savoir l’ancien ministre du Commerce Jean-Louis Billon de 2012 à 2017 dans le gouvernement de Daniel Kablan Duncan pendant le premier mandat présidentiel du président Ouattara. Ce richissime homme d’affaires par ailleurs héritier de l'empire agro-industriel SIFCA Jean-Louis Billon demeure un véritable caillou dans la chaussure au sein même du PDCI du plus jeune technocrate et directeur du Bureau National d’Études Techniques et de Développement(BNETD) à 31 ans qui s’était illustré par la réalisation de grands projets pour la Côte d’Ivoire. L’ancien ministre Jean-Louis Billon a une surface financière importante, des bras longs pour être un frein sérieux pour Tidjane Thiam pour accéder au pouvoir en 2025 ainsi que des connexions assez profondes avec certains membres influents du cercle de l’appareil du pouvoir actuel. L’.affront de M. Jean-Louis Billon surtout pourrait favoriser une démobilisation des militants à cause des luttes internes. Cette atmosphère conflictuelle et de rébellion risque finalement de jouer le jeu du parti au pouvoir parce que cette division est profitable aux adversaires au pouvoir pour gagner les prochaines élections plus facilement en 2025.
La politique est un monde manichéen où la cruauté des acteurs n’est pas toujours un jeu à somme nulle parce qu’il y a généralement des perdants et des gagnants. Tidjane Thiam qui a pris l’habitude d’être un gagnant dans le monde de la finance est certainement depuis quelques mois à l’école par la pratique comme président d’un illustre parti politique ayant de nombreux cadres et jeunes loups qui lorgnent son siège avec beaucoup d’appétit. Nous savons que la stratégie, l’honnêteté, l’ambition et l’intelligence participent à la réussite du management contemporain. C’est en cela que toute gestion vient à maturité. Monsieur Tidjane Thiam doit s’inspirer de ses recettes de succès en finance mais en prenant en compte d’autres paramètres à intégrer dans son équation vers la conquête du pouvoir en 2025. Il n’a plus assez de temps compte tenu de l’échéance présidentielle l’année prochaine. Ce dernier a le désavantage d’avoir passé deux décennies à l’extérieur de la Côte d’Ivoire ce qui fait qu’il n’est pas assez connu des populations dans les régions reculées du pays. Cependant, le cador de la finance internationale Tidjane Thiam a aussi un réel atout ou avantage parce qu’il n’a pas les mains sales par rapport aux différentes crises politiques du pays ce qui peut l’aider dans une certaine mesure sans oublier ses réseaux dans les cercles de décision ou de pouvoir à travers le monde. Par ailleurs, son discours rassembleur et policé, notamment envers Alassane Ouattara dont-il est proche depuis de nombreuses années pourrait lui servir même s’il devient un sérieux adversaire pour l’élection de 2025. Le Président Alassane Ouattara ne semble pas particulièrement décidé à se lancer pour un 4ème mandat l’année prochaine et serait même disposé à ne pas être candidat si l’ancien chef de l’État Laurent Gbagbo par exemple mettait un terme à son ambition présidentielle en 2025. Si c’était le cas, le président du PDCI aurait des chances sérieuses de pouvoir gagner aux élections l’année prochaine en essayant de favoriser le compromis avec certains leaders politiques d’autres partis de l’opposition.
Les obsèques de l’ancien président Henri Konan Bédié vont débuter le 20 mai prochain et Tidjane Thiam a été reçu en mars dernier avec une importante délégation du PDCI par le chef de l’État Alassane Ouattara au Palais présidentiel au sujet de l’organisation du deuil. Le chef de l’État Alassane Ouattara en a profité pour affirmer son attachement au PDCI dont-il a été l’un des principaux dirigeants à l’époque où il était Premier ministre. Ces obsèques seront aussi une occasion pour Tidjane Thiam de se faire connaître un peu plus des Ivoiriens et de prendre davantage de lumière comme successeur du chef de l’État Henri Konan Bédié à la tête du PDCI. Tidjane Thiam malgré la profonde douleur de cette disparition doit essayer d’asseoir sa crédibilité et rassurer les Ivoiriens d’une manière générale qu’il a l’étoffe nécessaire pour devenir le prochain président de Côte d’Ivoire.
🔹️Soutien anonyme de Simone Gbagbo
✒️ Je pense que de toutes les personnalités ciblées, Docteur Simone EHIVET GBAGBO est la meilleure candidate à l'élection présidentielle d'octobre 2025.
1) Son parcours politique exceptionnel jalonné de toutes sortes d'expériences et d'épreuves en fait l' une des personnalités les plus résilientes du personnel politique ivoirien ces 30 dernières années.
2) Parmi tous, c'est la seule Dame. De plus, elle est également la seule a avoir ce niveau d'expérience et de crédibilité auprès des populations. Même ses adversaires lui reconnaissent son sérieux et la qualité de ses propositions pour le pays.
La posture qu'elle adopte depuis sa sortie de prison est des plus rassurantes : impératif de réconciliation et restauration du pays.
3) Elle a fait deux propositions majeures au pays qui font que son projet de société et son programme de gouvernement sont très attendus par les ivoiriens.
Ces deux propositions sont :
i) Relever le défi de la prochaine élection par un dialogue ouvert et inclusif qui permette d'aboutir à un système électoral consensuel, gage d'une paix durable en Côte d'Ivoire. A ce sujet, elle discute et travaille avec les partis politiques dans l'opposition, la société civile et les forces vives de la nation. Il y a des chances que ce travail débouche sur une coalition pour la réforme en profondeur du système électoral ivoirien.
2) Dr. Simone EHIVET GBAGBO propose une regerescence des agrégats économiques traditionnelle pour la mise en œuvre d'un développement harmonieux, intégré et endogène au pays.
Elle souhaite, en effet, que chaque citoyen soit informé, formé pour la transformation des produits locaux par les populations ivoiriennes elles-mêmes. Cela signifie que chaque citoyen doit créé de la valeur ajoutée en devenant justement un acteur de la transformation des produits locaux. Il sera ainsi un créateur de richesse à son bénéfice personnel et à celui de la nation. C'est un véritable changement des mentalités qu'elle suscite au sein de son parti et dans le pays.
3) Elle prend progressivement le leadership de l'opposition par le respect et le capital crédit qu'elle incarne et inspire.
Au total, Dr Simone EHIVET GBAGBO est mieux placée que les autres pour gagner l'élection présidentielle d'octobre 2025 en Côte d'Ivoire si cette élection est juste et transparente.
🔹️Membre de la Direction du PPA-CI
Merci
✒️ Le président Laurent Gbagbo s'est mis lui-même [par sa démarche et son discours] dans une situation très inconfortable en interne, en ouvrant la voie à sa succession dans son parti...
Même s'il est arrivé à faire comprendre à des gens comme Stéphane Kipré qu'ils doivent se préparer pour 2030, car 2025 c’est "Lui", et qu'ils sont plus ou moins rentrés dans les rangs ... pour autant, ils sont en train d'essayer de prendre les rennes du parti.
Des gens comme Don Mello qui s’activent également en coulisse pour prendre le contrôle du parti vont trouver sur leur chemin des adversaires comme Stéphane Kipré qui dispose, comme eux, de moyens financiers.
Le problème de la tendance Don Mello c'est qu'ils ont voulu aller plus vite, espérant prendre le contrôle de la convention carrément, voire du congrès plus tard, et voir dans quelle mesure ils pouvaient discuter du retrait du Pdt. Gbagbo et du choix d’un autre candidat.
Ce retrait, c’est ce à quoi travaille en coulisse Oulaye Hubert qui se verrait bien prendre la tête d’une coalition réunissant Simone Ehivet, Blé Goudé et éventuellement Affi N’Guessan. Mais qui manque de courage, bien qu’il dispose du soutien de nombreux militants de l’ouest, sa région martyrisée par la rébellion de Ouattara.
Leur objectif à tous était que l’on discute du choix du candidat du PPA-CI pour 2025 ce qui était difficile à accepter pour le Pdt. Gbagbo.
Il a donc organisé ce soit "disant plébiscite" auquel il a répond favorablement ce qui lui a permis de reprendre le contrôle. Ce qu’il fera encore le 10 mai lors de la Convention du parti
Il dit aux gars : soit vous me soutenez tous pour 2025 parce que l'élection présidentielle c’est la mère de toutes les élections... et si c’est bon pour moi c'est bon pour vous et pour la suite (régionales, députations, municipales etc.) Cela serait bon pour vous et pour le parti qui en sortira renforcé.
Soit vous ne me soutenez pas, et le parti va s’écraser comme il s’est écrasé pour les élections municipales. C’est vous qui perdrez tout espoir de revenir au pouvoir. Moi, je prendrai ma retraite.
Si vous dispersez les voix alors c'est le PDCI et le RDR qui se tailleront la part du gâteau.
Moi de toute façon je n’ai plus rien à prouver, je n’ai plus rien à perdre, c'est votre avenir qui est en jeu.
Pour sa part la tendance Pickass ne vise pas du tout la présidentielle, elle vise de manière plus humble la direction du parti, elle se fond donc dans le moule des GOR (Gbagbo ou Rien).
Plus cela mets du temps et plus cela lui laisse du temps pour travailler sur le terrain à placer leur gens partout.
Ils espèrent que demain avec l’histoire de Pickass à la Fesci, à la JFPI, ensuite pendant l’exile, ensuite en tant qu’ancien secrétaire général, que celui-ci pourrait tirer les dividendes de tout cela et prendre le contrôle du parti.
En réalité Pikass se projette et prépare le combat de la nouvelle génération où s’affronteront Pickass, Blé Goudé, Kipré Stéphane, Navigué.
Je crois qu’en dehors de la tendance Don Mello qui prend acte de ce qui est en train de se passer, toutes les autres parties sont d’accord sur le fait qu’il faut soutenir le président Gbagbo.
Je pense que les gars de Don Mello vont se ranger à ce choix.
De son côté Koné Katina, qui lui est plus sage, est en train de réfléchir à une possibilité, de négocier demain avec le gouvernement une transition ou une refonte des conditions électorales pour arriver à un processus démocratique apaisé.
Pickass essaie de "fesciser" la jeunesse du parti, en essayant d’intégrer un maximum de jeunes étudiants alors que les tendance Kipré et Gbagbo, qui dirigent actuellement la jeunesse du parti, ne veulent pas en entendre parler, car ils ont peur de cette masse d’étudiants aux méthodes ultra violentes qui vont envahir les structures de la jeunesse et offrir le contrôle du parti à Pickass donc il y a une espèce d’entente à court terme entre Pickass et Kipré mais en fait il y a le feu qui couve entre les deux concernant le contrôle de la jeunesse pour 2030. L’un est légitime. L’autre est riche.
Tous sont d’accord qu’il ne faut pas tomber dans les excès opportunistes d’Affi N'gessan de Simone Gbagbo et qu’il faut rester derrière le président Laurent Gbagbo, franchir le cap de 2025, voir comment ça va se passer et ensuite voir pour 2030.
Concernant le problème de l’éligibilité du président Gbagbo, celui-ci met son parti en demeure de tout faire pour régler ce problème.
Il y avait au préalable le problème de son acquittement, il a fait le pari que cela allait marcher et ça a marché. Maintenant il y a le problème de l’éligibilité, il fait le pari que c’est une situation juridico-politiques et que donc cela va se régler par la politique en fait. Pour lui, les commanditaires de son incarcération (les Français) pourraient demander à Ouattara de lâcher du lest sur ce dossier.
Il traite un peu la justice d’intendance.
Il pense que cela pourrait être réglé.
Maintenant si ce n’est pas réglé quelle type d’entente il pourrait mettre en place avec d’éventuels alliés... ?
Cela relève de la stratégie il a sa petite idée en tête...
Pour l’heure en interne il appelle tout le monde a s’aligner derrière sa position.
Qui ne s’aligne pas derrière sa position sera perçu in fine par les militants comme quelqu’un de non fiable et donc du coup pourra faire une impasse sur son éventuelle succession à Laurent Gbagbo. Il aura très peu de chance d’être nommé ou désigné ou choisi [par une autre convention extraordinaire ou un congrès extraordinaire] à la place de Laurent Gbagbo.
Mais il est certain que la personne qui n’aura pas fait allégeance à sa candidature actuelle n’aura aucune chance de pouvoir accéder à ce titre de successeur désigné, que ce soit en interne ou comme potentiel futur candidat du Parti.
🔹️Geneviève Goëtzger journaliste
✒️ THIAM est un esprit brillant et une belle réussite dans l’entreprise, mais il a une totale méconnaissance de son pays et de ce que vivent les Ivoiriens. C'est un joli coup dans la prise du PDCI-RDA mais depuis une forme d’amateurisme apparaît...
Le meilleur candidat est Pascal Affi N’Guessan par sa compétence, son expérience et sa connaissance intime de son pays, des préoccupations de ses compatriotes et de leurs difficultés. Son projet de rupture sera celui du peuple ivoirien.
Au revoir @p_affi heureuse d’avoir été à vos côtés pour cette séquence, la 1e marche vers une élection présidentielle que vous gagnerez, en portant haut et fort la voix et les aspirations du peuple de #CIV225 A très bientôt #Babi pour votre déclaration officielle de candidature !
🔹️ ANGE ELUI
Entrepreneur ivoirien
✒️ Thiam semble être le pendant de Ouattara et la personne la plus apte à gérer le pays ... Uniquement ancien cador de la finance internationale des affaires, qui remplace un ancien fonctionnaire international. On dirait que les réformes structurelles sont taillées pour lui. Ce serait un bon deal pour ADO qui est sûr de ne pas subir de chasses aux sorcières.
Affi est un candidat équilibré mais sa récente alliance avec le RHDP risque de le fragiliser. Il ne peut éventuellement pas se désolidariser de l' élan de sa nouvelle coalition ni avoir l' assentiment massif de militants de gauche.
Gbagbo et ADO peuvent permettre à cette présidentielle d'être la meilleure en ne se présentant pas, ça aidera à un renouvellement... Mais le bras de fer engagé sur la remise du nom de Gbagbo réclamée par son parti et sa candidature déclarée laissent penser que les antagonismes ne sont pas morts. On verra bien.
Au sein du RHDP, on a Bictogo vainqueur de l' élection dans le bastion du rival historique qui se donne des allures de rassembleur et prend des positions moins clivantes. Bacongo qui essaie de mobiliser autour du soutien indéfectible à ADO dont il semblerait soutenir la candidature.
On a ADO lui-même qui au regard de ses dernières déclarations semble ne vouloir pas rempiler mais bon, si un des sa génération se présente ... Il se présentera il l'a dit.
🔹️ AFFELE DAGO PAUL
Politologue
✒️ De mon point de vue, le meilleur candidat en 2025 est le premier ministre Pascal AFFI N’GUESSAN.
De prime abord, il a un parcours politique attrayant dans la mesure où il a pu occuper tous les postes politiques importants du pays. Cela met en relief l’homme chevronné de la politique.
Ensuite, il faut prendre en compte également son ancienneté dans l’arène politique ivoirienne qui fait de lui aujourd’hui un homme politique expérimenté. Il connaît les problèmes des ivoiriens. Il a vu ce que chaque président a fait et ce qu’il n’a pas pu faire.
Enfin il faut souligner que c’est un homme de paix , un défenseur de la justice. En effet depuis sa sortie de prison le 6 août 2013, il n’a que pour leitmotiv la paix, la réconciliation. Il a proposé les États généraux de la République afin que le mal que les ivoiriens ont connus puisse être rangé dans les placards en situant les responsabilités .
Ce sont des actes d’homme d’État , d’un homme qui aime son pays.
Eu égard de ce qui précède, le président AFFI se positionne comme l’homme idéal, le conciliateur des ivoiriens. Celui qu’il faut pour tourner la page noire du pays.
🔹️Journaliste, qui suit l'actualité ivoirienne et Africaine
✒️ D'abord, procédons par élimination :
- Ouattara est en train de terminer un 3e mandat illégal. S'engager pour un 4e ferait oublier les bons points qu'il a eu en économie et dans les infrastructures. Et puis, derrière la tentative d'un 4e mandat, il saperait l'infime cohésion qui existe entre ivoiriens.
- La nature l'a décidé, Bédié s'en est allé. Son remplaçant, Tidjane Thiam, paraît être le meilleur cheval à la présidentielle de 2025. Sauf qu'il a été mal élu au PDCI, qu'il ne connait pas ses propres hommes, et qu'il fait trop policé pour l'arène politique ivoirienne où il faut savoir donner des coups. L'on dit aussi qu'il a les mêmes parrains que Ouattara et qu'il maintiendrait la CI dans le giron de la France alors qu'aujourd'hui, les populations africaines prônent partout un rééquilibrage des relations avec les pays occidentaux.
- Concernant Gbagbo, pour le moment, personne n'a une idée précise de son offre politique. En plus, il se présente comme le 1er diviseur commun de la gauche ivoirienne. L'on sait juste que s'il redevient Président de la République, il est sûr que l'on aura droit à des avancées démocratiques.
- Affi N’guessan, jugé dans la gauche ivoirienne de pas fiable. Dans tous les cas, il s'est vraiment affaibli.
- Soro, la remontée de la pente vers le RHDP est impossible. En plus les ivoiriens continuent de lui en vouloir pour son statut de rebelle N°1.
- Blé Goudé, pas encore prêt. En plus, il doit se débattre pour montrer qu'il n'a aucun accord secret avec le pouvoir actuel. Sans oublier que ses relations avec son mentor Gbagbo restent coincées dans trop de non-dits.
- Simone Gbagbo : encore faible
A présent, un Mamadou Koulibaly, s'il arrivait à se rendre plus populaire, ferait l'affaire.
Une combinaison Mamadou Koulibaly - député Antoine Assalé Tiémoko - l'activiste Pulchérie Gbalé intéresserait les ivoiriens qui ont vu leurs intérêts largement défendus par ces 3 personnes.
A propos de Don Mello
Je l'avais oublié, juste parce que Gbagbo lui-même l'oublie régulièrement.
Pour moi, au PPA-CI, c'est le meilleur cheval, qui a une lecture précise de tous les enjeux et techniquement, il est mieux outillé que Gbagbo.
Gbagbo gagnerait à le placer au devant du PPA-CI.
🔹️ HAMED RIBA FOFANA
Web Master parti démocratique de Côte d'Ivoire
✒️ Tidjane Thiam émerge comme un souffle d'air frais dans le paysage politique ivoirien, offrant une perspective nouvelle et prometteuse pour l'avenir. Son parcours impressionnant dans le domaine économique, combiné à sa vision pour une Côte d'Ivoire prospère et pacifique, en fait un candidat exceptionnel pour la présidentielle de 2025. En choisissant la voie de la rupture avec les pratiques du passé, Thiam incarne l'espoir d'un changement authentique et positif. Son engagement envers la construction d'une société harmonieuse, fondée sur la paix durable, inspire confiance et aspiration à un avenir meilleur pour tous les Ivoiriens.
🔹️LUCAS ATTEBY Président Winners Académy
✒️ Je fais partie de ceux qui souhaite que les 3 anciens, c'est-à-dire Bédié, Gbagbo et Ouattara ne se présentent plus, pour une question d'alternance.
Malheureusement par la force des choses le président Bédié n'est plus de ce monde.
Pour le premier schéma, si les Pdts Gbagbo et Ouattara sont candidats, ils seront tous deux les grands favoris.
Ouattara en tant que Pdt. en exercice a l'avantage car il détient les moyens de l’État tant financiers que matériels mais, il a un bilan mitigé au-delà des infrastructures construites, la Côte d'Ivoire est beaucoup endettée, les droits de l'homme n'existent pas.
Quand au Pdt. Gbagbo sa force est qu'il est très populaire, c'est l'homme du peuple avec une bonne campagne et une bonne communication, il pourrait renverser la donne.
Pour le deuxième schéma, si les anciens présidents ne sont pas candidats les élections se joueront avec Thiam qui semble avoir une notoriété internationale, au plan national il fait ses premiers pas même s'il a été Ministre sous Bédié.
C'est maintenant qu'il à nouveau revient dans l'arène politique ivoirienne qui ne maîtrise pas vraiment, pour preuve il a nommé des personnes qui vraisemblablement ne sont pas membres du PDCI.
Ensuite nous avons Affi N'guessan qui a été un homme d'État qui maîtrise la gestion étatique mais son talon d'Achille c'est qu'il est en disgrâce avec son mentor le Pdt. Gbagbo, ce qui ne lui facilite pas la tâche vue la popularité du Pdt. Gbagbo qui est un véritable leader au-delà de tout ce que quiconque puisse lui reprocher.
Enfin au RHDP le plus plausible des candidats est bien Adama BICTOGO qui se veut rassembleur mais jusque là n'a pas la caution des ténors de son parti, chose plus que beaucoup importante pour pouvoir être élu Président de la Côte d’Ivoire en 2025.
actions d'Alassane pour les partisans de Alassane.
En ce qui concerne son parti, Tidjane est également un symbole important pour les partisans de Houphouët Boigny.
🔹️Journaliste du Burkina
✒️ En décrivant Tidiane, je tiens à souligner qu'il possède tous les atouts nécessaires pour diriger la Côte-d'Ivoire.
Si Monsieur Soro se trouvait en Côte-d'Ivoire, il y aurait un duel entre les deux.
À mon avis, Alassane a commencé à perdre de l'importance , de la confiance pour le peuple ivoirien ces derniers temps mais Il a la possibilité de gagner les élections. S'il se présente, cela ressemblerait à un duel.
Cependant, étant donné que c'est en Afrique, il a la possibilité de gagner.
Actuellement, Tijane, pour moi, est un homme intelligent, intellectuel, qui a des relations à l'échelle internationale , il connaît la politique que la plus part des politiciens ivoiriens etc .
Selon moi, il a la capacité de diriger la Côte-d'Ivoire en poursuivant les actions d'Alassane pour les partisans de Alassane.
En ce qui concerne son parti, Tidjane est également un symbole important pour les partisans de Houphoueit Boigny.
🔹️Veilleur
✒️ Tidjane Thiam pourrait faire un bon candidat pour plusieurs raisons :
c'est un homme d'affaires ivoirien-français. Il est connu pour son parcours dans le secteur financier, notamment en tant qu'ancien directeur général de Crédit Suisse. Thiam est souvent décrit comme un leader charismatique et visionnaire, reconnu pour ses compétences en gestion et sa capacité à naviguer dans des environnements complexes.
Sa carrière illustre son engagement envers l'innovation et la transformation des entreprises dans le secteur financier.
🔹️Étudiant ivoirien
✒️ Dans la configuration actuelle de la vie politique en Côte d’Ivoire, le PPA-CI ne peut pas gagner les élections présidentielles pour les 15 prochaines années.
Le nouveau parti de l’ex président Laurent Gbagbo se concentre que sur Laurent Gbagbo, qui est sous le coup d’une condamnation ( volonté politique ), et donc ne peut pas se présenter à une élection.
Ensuite, ils ne sont pas assez implanté sur le territoire national. C’est la preuve de son échec aux élections municipales récentes.
Pour rappel, Laurent Gbagbo vient de rentrer de l’Europe, il a demandé le soutien de l’Europe afin que Ouattara lui enlève la condamnation politique de 20 ans, le soutien pour l’éventuelle candidature de Don Mello, qui pourra s’allier à Thiam au deuxième tour.
Le PDCI - RDA a fait venir Tidjane Thiam, qui a passé 20 ans hors du pays.
Son absence égale à sa présence, même si on connaît le financier Tidjane Thiam, on ne connaît pas le politique Tidjane Thiam, les jeunes ne lui feront pas confiance en 2025, même s'il a le soutien d’une partie de la communauté internationale.
Également, la division interne au sein du PDCI -RDA va impacter la candidature de THIAM, on a le bloc de Jean Louis Billon et Thierry Tanoh, le bloc des Meecistes et Maurice Kacou Guikawe et bien d’autres blocs …
Aujourd’hui, l’heure est à la consolidation des acquis du côté du RHDP. Les Jeunes ivoiriens veulent un renouveau, de nouveaux visages sur la scène politique. Au RHDP, on reste soudé autour du leadership du président Alassane Ouattara, et de nos leaders. On pense notamment à Patrick Achi, Fidèle Sarassoro, Tiemoko Meyilet Koné, Abdourrahmane Cissé, Mamadou Touré, Adama Bictogo, Anne Désirée Ouloto…
🔹️Louis Metan ancien Bâtonnier
✒️ Si le terme candidat veut dire celui qui va gagner, c'est le Président Alassane Ouattara en l'état actuel de notre système électoral. L'étape qui sera la plus délicate est celle du 2ème tour avec le report de voix. Il a donc intérêt à faire le plein de voix au premier tour et il s'organise pour ça. Le PPA-CI est financièrement asséché. Le candidat du PDCI va découvrir seulement maintenant le rude terrain de la compétition avec ses invectives, ses imprévus et ses méthodes de déstabiliation. À ce jeu là, seul Soro Guillaume peut l'inquiéter malgré son passé. Mais, tout dépend de la période où il peut être admis à compétitir.
Mais, il y a encore du temps et des combats préparatoires pour l'opposition qui, bien menés, peuvent changer la donne.
Concernant l'éventuelle candidature de M. Don Mello je pense qu'il veut bien être candidat mais, seule une gauche unie peut lui garantir ses chances de succès. Il faut aussi mettre à son actif le mouvement panafricanisme. Mais, à un an de la compétition, ne pouvant aller sans le PPA-CI, pour moi il s'abstiendra donc de faire acte de candidature.
🔹️Citoyen ivoirien résident à Paris
✒️ Avant qu'on ne parle d' élections pensez-vous qu' ils écriront le nom du président sur la liste électorale ? Sinon pour moi, le president Gbagbo remportera l'élection présidentielle haut la main, si elles sont organisées dans la transparence.
Pourquoi il gagnerait?tout simplement parceque Mr Alassane Ouattara n'a jamais gagné une élection digne et n'a jamais été en compétion avec des candidats sérieux en face, raison pour laquelle je parle de transparence.
🔹️Panafricaniste Anonyme
✒️ Le meilleur candidat de 2025 reste Ouattara , les ivoiriens ne veulent pas revenir en arrière avec Gbagbo-Soro ou sauter dans l'inconnu avec Thiam . En 2030 la jeunesse pourra prendre la relève.
🔹️Ahouman Gaël Lakpa Analyste Sociopolitique et Écrivain Ivoirien
✒️ À l'approche des élections présidentielles de 2025 en Côte d'Ivoire, le paysage politique se dessine avec des stratégies qui pourraient redéfinir l'avenir du pays. Le Président Alassane Ouattara, à la tête du RHDP, semble préparer le terrain pour une large campagne, potentiellement en quête d'un quatrième mandat. Au-delà de consolider son propre parti, il est probable qu'il cherche à former des alliances stratégiques avec d'autres partis et figures publiques pour constituer une majorité présidentielle solide.
Les réalisations infrastructurelles sous ses trois mandats précédents pourraient jouer en sa faveur, avec une croissance économique moyenne prévue à 6,5% pour 2024-2025 et des investissements continus dans les infrastructures numériques et de transport. Cependant, l'opposition a la tâche de mettre en lumière les insuffisances de la gouvernance de Ouattara depuis 2010, notamment les critiques sur la concentration des poursuites judiciaires et le manque de réconciliation nationale.
Du côté du PDCI RDA, le candidat Tidjane Thiam doit naviguer dans les eaux troubles des luttes internes, notamment avec Jean Louis Billon, une figure à surveiller. La cohésion interne sera cruciale pour que le PDCI puisse relever les défis face au RHDP. La stratégie de l'opposition sera déterminante : une opposition unie aura une chance de succès, tandis qu'une opposition divisée pourrait voir le RHDP l'emporter dès le premier tour.
Le PPACI de Laurent Gbagbo, quant à lui, doit consolider ses rangs en réunissant des figures clés telles qu'Affi N'Guessan, Simone Gbagbo, Blé Goude et d'autres membres de l'ancienne LMP de 2010. Sans cette unité, le PPA-CI risque de répéter les erreurs des élections municipales et régionales passées.
Le candidat qui saura se démarquer sera celui qui propose des innovations dans le discours et des solutions constructives aux problèmes rencontrés par les Ivoiriens, tels que la cherté de la vie, le chômage des jeunes, la santé, le système éducatif et le logement. Dans ce contexte, des outsiders comme Assalé Tiemoko pourraient jouer un rôle significatif, apportant une nouvelle perspective à la politique ivoirienne.
En conclusion, les élections de 2025 seront un tournant pour la Côte d'Ivoire, et il est impératif que les acteurs politiques s'engagent dans une campagne qui reflète les aspirations et les besoins du peuple ivoirien.
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🎤 Pascal Affi N'guessan Président du FPI lors de sa conférence de presse samedi 04 Mai 2024.
" Restons ensemble, on va avancer. Si tu (Gbagbo) peux, je te soutiens. Mais si tu ne peux pas, je passe devant.... c'est ce que je lui ai proposé depuis 2020.
Nous ne sommes pas dans les ressentiments. Ce qui est important pour nous, est-ce que ça fait avancer la Côte d'Ivoire !
Si pour l'intérêt national, Laurent Gbagbo nous appelle à une action favorable, positive pour la Côte d'Ivoire, nous sommes prêts........
Mon divorce avec Gbagbo est un divorce politique. Mais il peut aussi avoir réconciliation politique. Et il ne faut pas être surpris .........."
Merci à l'ensemble des contributeurs. Si vous souhaitez enrichir cet article d'un témoignage [anonyme ou nominatif] n'hésitez pas à le faire parvenir pour publication à la rédaction pressentinelle2@gmail.com
✒️ Nora Ansell-Salles
