Nora ANSELL-SALLES

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dimanche 10 janvier 2021

Comment "encore" organiser des événements en entreprise...


Des événements sont souvent organisés en entreprise, que ce soit pour remercier les collaborateurs, lancer un produit, fêter un départ en retraite... C'est l'occasion de participer à de nouvelles activités et de partager de bons moments ensemble.

Seulement voilà : Dans le contexte actuel, comment offrir une animation à la hauteur, qui a du sens, tout en respectant le rigoureux protocole sanitaire en vigueur ?

C'est pour répondre à cette question que Sens & Partners, entreprise à mission, propose une gamme complète d'animations « phygitales » aux entreprises : des quizz, des conférences et dégustations ludiques et autour du foie gras, chocolat, des vins, du whisky, ou encore du pain d'épices.

Pour injecter de la convivialité dans les événements, Sens & Partners a tout prévu avec des animations « phygitales » variées et festives qui permettent d'apprendre en s'amusant. La société propose ainsi des « packs » tout compris qui ont du sens, pour remercier, conforter et entrainer les équipes et les Comex.

Au menu, on trouve notamment  :

- Atelier autour du foie gras, avec apprentissage des cuissons auprès d'un chef à qui on peut poser des questions
- Dégustation (non virtuelle) de grands crus de chocolat avec notre chocologue Victoire
- Dégustation à l'aveugle de deux ou trois vins de différents cépages, commentée par un des oenologues de Sens & Partners
- Dégustation de whisky et de rhum avec Mark, le bar-tender de Sens & Partners
- Apprentissage de la confection du pain d'épices

Pour en savoir plus
Site web : https://sens-partners.com/evenements/

Exemple d'animation :
https://www.youtube.com/watch?v=109pK6ZuBPU&list=PLP1wukzwCP9MgNhwikk3EEOlTsEVUBZ7d&index=2

LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/53462172/

Lire le communiqué de presse sur Internet


mardi 14 janvier 2014

La MGEFI dans la presse


Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014

 

Titre : Scor pourrait acheter tout ou partie du capital de MutRé, qu'il détient à parts égales avec la Mutualité Française et la Matmut

CORRESPONDANCE ECONOMIQUE du 08 JAN 14

 

Titre : Les évènements qui ont marqué 2013

L'OPTICIEN LUNETIER de DEC 13

 

Titre : Les événements qui ont marqué l'année 2013

L'OUIE MAGAZINE de  NOV/DEC 13

 

Titre : L'Argus de l'Assurance - Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé

ARGUS ASSURANCE NEWSLETTER du 10 JAN 14  



Titre : Carnet

L'ENA MENSUEL HORS LES MURS de DEC 13


 
 


lundi 10 juin 2013

14 juin 2013 : Journée mondiale des donneurs de sang


Journée Mondiale des Donneurs de Sang : l’accès à des produits sûrs et de haute qualité est une priorité de la politique de santé publique du Conseil de l’Europe

 

Le 14 juin, chaque année, la Journée mondiale des donneurs de sang (JMDS) est célébrée dans le monde entier. Cette manifestation, née il y a 10 ans à l’initiative de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), vise à sensibiliser le public aux besoins en sang pour les transfusions, à la sécurisation des dons et à l’importance du don de sang, un geste solidaire qui sauve des vies. Cette édition de la JMDS, qui en marquera le 10e anniversaire, aura pour slogan « Faites le don de la vie : donnez votre sang ».

 

Le don de sang est le plus précieux qui soit ― le don de la vie. Selon l’OMS, quelque 92 millions de dons sont collectés chaque année. A l’échelle mondiale, 31% des donneurs sont âgés de moins de 24 ans, et 30% environ sont des femmes(*). Il semble donc exister un vaste potentiel de rééquilibrage entre âges et genres en matière de don. De nombreux pays disposent encore d’un approvisionnement insuffisant en sang de qualité pour répondre aux besoins, et les établissements du sang se trouvent de ce fait en difficulté pour fournir du sang sûr et de haute qualité.

 

L’un des défis auxquels s’est attaqué le Conseil de l’Europe est d’assurer l’accès à des produits sanguins sûrs et de haute qualité. Depuis les années 1950, il a ainsi élaboré presque 50 recommandations, adoptées par ses 47 Etats membres. Il est donc logique qu’il s’associe aux organisations internationales qui ont fondé la JMDS pour appeler à la mobilisation en faveur du don de sang et remercier les millions de donneurs à travers le monde.

 

Programme des événements

Cette année, l’OMS a choisi la France comme pays hôte des célébrations organisées au niveau mondial. L’Etablissement Français du Sang (EFS), qui assure la collecte et la transfusion sanguine en France, organisera des animations autour de la Gare Montparnasse, à Paris, les 13-15 juin. Le public sera invité à visiter les différents stands d’information et à se joindre aux festivités. L’EFS appellera également, ce jour-là, à visiter les centres de collecte locaux pour découvrir comment devenir un donneur régulier. Pour se mobiliser et s’associer à ces événements, rendez-vous sur le site de l’EFS.

 

Cérémonie d’ouverture

La cérémonie d’ouverture se déroulera le 14 juin à 10h00 à la Maison de l’Unesco (7 place de Fontenoy, 75007 Paris) en présence de Marisol Touraine, Ministre française de la Santé et des Affaires sociales, avec des interventions des différentes organisations internationales participantes, dont le Conseil de l’Europe en la personne de sa Directrice générale pour la Démocratie, Snežana Samardžić-Marković.

 

Colloque international

Un colloque international débutera ensuite à 14h15 à la Maison de l’UNESCO, avec la participation d’intervenants et d’invités venus d’Asie, d’Afrique, d’Europe et d’Amérique du Sud. Il portera sur les questions d’éthique et d’autosuffisance, et sera suivi d’une table ronde sur les aspects sociaux et éthiques du don du sang. Le public et la presse y seront les bienvenus.

 

Des informations complémentaires sont disponibles sur le site http://www.edqm.eu

 

 

 

La DEQM est une organisation qui joue un rôle moteur en matière de protection de la santé publique, grâce aux normes qu’elle contribue à élaborer et mettre en œuvre et dont elle surveille l’application, afin d’assurer la qualité, la sécurité et le bon usage des médicaments. Les normes qu’elle élabore sont des références scientifiques reconnues dans le monde entier. La Pharmacopée européenne est juridiquement contraignante dans les États européens qui en sont membres. La DEQM développe également des lignes directrices et des normes dans les domaines de la transfusion sanguine, de la transplantation d’organes et de la protection de la santé des consommateurs.

  

La Commission européenne de Pharmacopée compte 38 membres (Allemagne, Autriche, Belgique, Bosnie-Herzégovine, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Islande, Irlande, Italie, Lettonie, « l’ex-République yougoslave de Macédoine », Lituanie, Luxembourg, Malte, Monténégro, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Serbie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse, Turquie, Ukraine, Union européenne) et 24 observateurs : l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 5 États membres du Conseil de l’Europe (Albanie, Arménie, Fédération de Russie, Géorgie, République de Moldova) et 18 autres États (Algérie, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, États-Unis, Israël, Madagascar, Malaisie, Maroc, République de Belarus, République de Guinée, République du Kazakhstan, République de Singapour, Sénégal, Syrie, Tunisie).

mercredi 23 janvier 2013

Sécurité des patients - erreurs médicales


6 ans après sa mise en place, l'accréditation, premier dispositif français d'analyse des événements indésirables, monte en puissance

 

En matière de sécurité du patient, la Haute Autorité de Santé a pour objectif de réduire le nombre d'évènements indésirables liés aux soins. Parmi les leviers dont elle dispose, l'accréditation en constitue un volet important. Cette démarche de gestion des risques médicaux basée sur le volontariat des médecins doit permettre d'améliorer la qualité des pratiques professionnelles, de réduire le nombre d'événements indésirables associés aux soins et d'en limiter les conséquences. Pour être accrédités, les médecins, au sein de leur spécialité, déclarent chaque année des évènements porteurs de risques (EPR) et participent à un programme de réduction des risques incluant la mise en œuvre de recommandations et des formations spécifiques. La HAS dresse le bilan de cette démarche mise en place depuis 6 ans et présente de nouveaux outils mis au point : Solutions pour la Sécurité des Patients (SSP) et EPR remarquables.

 

 
Un premier bilan encourageant et riche d'enseignements

Lancée en 2007, le dispositif de l'accréditation concerne aujourd'hui 18 spécialités médicales dans les secteurs suivants : gynécologie-obstétrique, anesthésie-réanimation, chirurgie, spécialités interventionnelles ainsi que les activités d'échographie obstétricale, de réanimation et de soins intensifs. 11 400 médecins sont engagés dans la démarche sur 35 000 professionnels de santé potentiellement concernés par le dispositif, soit un ratio de 1/3.

Depuis le lancement du dispositif, ce sont près de 52 400 EPR qui ont été enregistrés dans la base de retour d'expérience (base REX), avec une forte progression ces deux dernières années : +45 % en 2011, +35% en 2010.

 

Dix-huit programmes de réduction des risques sont également développés et réactualisés annuellement par les organismes agréés des spécialités. Ces programmes mettent en évidence des situations à risque, reflets des principales préoccupations en matière de risque des médecins (111 sont définies aujourd'hui pour les 18 spécialités) et exigent des médecins la mise en œuvre de recommandations professionnelles (58 sont définies aujourd'hui pour les 18 spécialités). La réponse du praticien à ces exigences est évaluée annuellement par un expert de sa spécialité et conduit à l'attribution ou au retrait de l'accréditation.

Les programmes des spécialités peuvent proposer des recommandations professionnelles et des solutions pour la sécurité du patient (SSP) directement issues de l'analyse de la base de retour d'expérience (base REX).

 

De l'événement porteur de risque aux solutions concrètes pour la sécurité des patients

Les EPR apportent une information particulièrement utile sur la nature des complications et sur les moyens de les gérer. Ces informations concernent des champs aussi différents que l'acte de soins (pratiques médicales et soignantes), l'utilisation de médicaments ou de matériels que les aspects organisationnels de l'établissement de santé, la gestion des informations ou la gestion des hommes.

 

Par exemple, l'analyse des 9 000 EPR déclarés en 2011 a fait ressortir l'influence importante de l'équipe de soins dans la genèse des événements, puisque le dysfonctionnement de l'équipe est retrouvé dans 25 % des EPR avec une prédominance de problèmes de communication entre professionnels de santé. La HAS a déjà lancé une réflexion sur ce thème et débuté une expérimentation dans plusieurs services.

L'analyse des causes des événements dans la base de retour d'expérience permet aux organismes agréés de rechercher des solutions pour la sécurité du patient permettant de réduire les risques identifiés.

 

·        Un outil novateur : les Solutions pour la Sécurité du Patient (SSP)

L'approche traditionnelle de la sécurité du patient est souvent centrée sur la prévention, autrement dit sur l'évitement des problèmes et pas assez sur leur récupération quand, malgré tout, ils surviennent.

Une approche novatrice et récente en gestion du risque incite à essayer de se préparer à l'imprévu, c'est-à-dire à s'interroger sur la gestion des complications quand elles surviennent. Cela se concrétise par des SSP, Solutions pour la Sécurité du Patient, que la HAS élabore avec les professionnels selon une méthodologie particulière en insistant sur leurs mises en œuvre (accompagnement) et leurs impacts.

Concrètement, il s'agit de procédures qui, sans négliger les aspects de prévention, vont s'intéresser à la récupération pour pouvoir limiter les conséquences d'un événement indésirable. Les deux premières solutions parues en 2012 sont « réduction des erreurs de site d'exérèse de lésions cutanées » et « confusion entre antiseptique et anesthésique injectable ». Une quinzaine de SSP sont en cours d'élaboration pour une diffusion prévue en 2013.

 

·        EPR remarquables

Depuis 2012, des événements jugés remarquables pour leur aspect pédagogique sont mis en exergue dans des publications courtes afin de sensibiliser les professionnels sur des situations à risques identifiées dans la base de retour d'expérience.

Les événements analysés les plus intéressants sont communiqués aux professionnels et aux établissements. Ce partage permet à chacun de prendre conscience du risque potentiel de certaines situations et de rechercher localement des moyens pour s'en prémunir.

 

Un niveau d'exigence plus élevé et des perspectives ouvertes par la mise en place du DPC

La délivrance de l'accréditation est conditionnée par le respect, par le médecin engagé, des exigences définies par la HAS et sa spécialité en lien avec les associations de patients, impliquées dans le dispositif depuis sa conception. Cet engagement volontaire dans une démarche active de réduction des risques dans son exercice professionnel est vérifié annuellement par l'organisme agréé et la HAS et conditionne l'entrée et le maintien du médecin dans le dispositif. Les rejets de demandes d'accréditation et retraits d'accréditation représentent 10% des décisions prises par le Collège de la HAS. Les noms des médecins accrédités sont consultables sur le site internet de la HAS.

Après une phase d'acculturation nécessaire à l'ensemble des acteurs, la HAS et les organismes agréés élèvent progressivement le niveau d'exigence : en termes de qualité des déclarations, de respect des exigences du programme de la spécialité et des délais. Un renforcement de l'accompagnement des médecins et une assistance aux utilisateurs (Hotline du service évaluation et amélioration des pratiques de la HAS) sont associés à ce changement.

 

Pour valoriser les acquis de l'accréditation et poursuivre son déploiement auprès des professionnels de santé, notamment auprès des équipes hospitalières, plusieurs évolutions sont envisagées :

- expérimenter la gestion des risques en équipe pour l'intégrer dans les dispositifs d'accréditation, de certification et de développement professionnel continu (DPC), l'accréditation pouvant d'ailleurs concourir au respect de l'obligation de DPC.

- mobiliser les moyens, les supports et les procédures de l'accréditation pour favoriser la gestion des évènements indésirables notamment des évènements indésirables graves.

 

Pour la HAS, la mise en place du DPC représente une opportunité pour promouvoir l'accréditation auprès d'un public plus large de spécialités et de médecins.

 

Consultez les documents de la HAS sur www.has-sante.fr